Olé ! Bienvenue dans cette nouvelle vidéo et cette nouvelle étude de cas du Club Privé Business. Donc je suis avec Lauren qui va nous partager sa présentation, nous expliquer son déclic : pourquoi il s’est mis sur internet ? Là, on est vraiment dans une thématique « passion, loisir ». La basse, c’est souvent… on peut avoir des objections en se disant : « est-ce que c’est possible aussi de gagner de l’argent sur internet avec des thématiques passion ? » Donc on va voir en détail aussi ton activité, et puis on reviendra dans un dernier point : pourquoi tu t’étais inscrit au Club Privé Business ? Comment tu m’as découvert ?
Alors, on est aujourd’hui à Paris, je te laisse nous expliquer de tes débuts jusqu’à aujourd’hui, donc dans ta vie. Et surtout, à la fin de ta présentation, évoque-nous ce fameux déclic qui t’a amené sur internet, parce que tu as démarré ton activité en juillet 2018, donc c’est quand même assez récent. Mais tu t’es également… voilà, je vais laisser lui expliquer… nous expliquer tout ça, intéresser au sujet à partir de 2014-2015. Bref, je te laisse tout nous raconter.
Alors, bonjour à tous, salut Max. Donc j’ai commencé en 2004… enfin, j’ai commencé en 2014. En 2014, je me suis intéressé au web.
Alors, qu’est-ce que tu faisais avant internet ?
Lauren Dubout Gabelus, ancien professeur de musique en conservatoire
Oui, alors moi, j’étais prof de musique dans une école de musique, dans un conservatoire. Donc je faisais mes cours comme tout prof de musique, dans un conservatoire en école de musique. J’avais des élèves qui passaient, donc je faisais des cours classiquement. Et petit à petit, je me suis dit qu’il fallait que je me mette sur le Net, qu’il fallait que je passe sur le Net, parce que ça commençait vraiment à se développer et que c’était…
Tu as vu qu’internet allait aussi être pour toi une bonne opportunité pour développer tes ventes.
Exactement, mais sans savoir encore ce que je devais mettre en place, c’était un peu flou en fait, tu vois, voilà, c’était flou. Et donc, je me suis dit qu’il fallait vraiment que je le fasse. Donc 2014, j’ai monté… enfin, j’ai monté un site, c’était un site un peu bidon, j’allais dire, mais il ne se passait rien, parce que je n’avais rien à vendre, voilà.
Quel a été le déclic ? Donc tu as été prof. Alors, tu es encore prof, pour des particuliers, de cours de basse. Donc on va y revenir un petit peu plus tard dans la vidéo.
Guitare, basse, piano, je te coupe.
Guitare, basse, piano, excellent, le trio gagnant.
Exactement.
Quel était ce fameux déclic en 2014 ? Là, tu étais intéressé, bam, je m’intéresse vraiment au sujet.
Le déclic, c’est vraiment le fait de voir plein de choses qui se développaient sur internet, notamment, moi, je voyais pas mal tout ce qui se passe aux États-Unis, chez les Anglo-Saxons.
Donc tu t’es intéressé à ce qui se faisait aux US ?
Ouais, parce que la musique là-bas, c’est vraiment à un autre niveau que…
J’imagine que c’est le high level.
Voilà, il n’y a pas de comparaison. Et donc, il y avait plein de chaînes YouTube sur la musique, il y avait plein de programmes en ligne. Et surtout que moi, je faisais beaucoup de cours en présentiel. Et je me disais qu’en fait si je pouvais passer une grande partie sur le Net, ce serait vraiment bien, quoi, tu vois ? Et donc, j’ai voulu me lancer là-dedans, voilà. Et donc, bien longtemps après, j’ai compris qu’il fallait vendre des choses.
4 ans de traversée du désert
Alors, dis-nous tout, 2014… j’ai dit, au début de cette vidéo, que tu as démarré en juillet 2018. Alors, finalement, là, de 2014 à juillet 2018, qu’est-ce qui s’est passé ? Là, on a plus ou moins quatre ans de végétation.
Quatre ans de traversée du désert.
Explique-nous tout ça.
Bah, en fait, il ne s’est rien passé, puisque j’ai commencé à m’intéresser en 2014. Et en fait, moi, je bossais à côté, donc je faisais mes cours. Et donc le temps est passé, tout ça, et puis, voilà, je ne me posais pas de questions, quoi. J’ai cru qu’avec juste un site, on gagnait des sous, eh bah, en fait, rien.
Il a trop écouté les vendeurs de rêve ! C’est ce que Lauren me disait juste avant qu’on démarre cette interview vidéo, tu suivais beaucoup de vendeurs de rêves, des gens qui sont influents dans l’infoprenariat, mais qui sont malheureusement des vendeurs de rêves, que je connais aussi, moi, personnellement. Et pour certains, voilà, c’est des bonnes personnes, mais stop au marketing bullshit, comme ça, vendre du rêve. Et donc, du coup, ouais, tu pensais qu’il n’y avait pas beaucoup d’effort. Tu étais… tu ne pensais pas l’expression « en mode chinois » que j’évoque souvent, c’est ça la réalité d’avoir du succès sur internet.
Voilà. La réalité du truc, c’est qu’en fait il faut bosser de façon « Chinois » comme tu…
Il faut charbonner, voilà, il faut être en mode « Chinois », comme je l’évoque.
C’est ça. Et les mecs à l’époque, en fait ils disaient : « vous avez un site WordPress et c’est bon, trois clics, millionnaire ».
J’imagine.
Donc je me disais : « mais merde, comment ça se fait que je n’aie pas d’argent ? » Et du coup, donc après, moi, je t’ai rencontré… enfin, je t’ai rencontré, je t’ai vu sur le Net, j’ai commencé à te suivre, tu vois, après cette traversée du désert, comme on dit, où je n’ai rien fait finalement. Je continuais mes cours.
Ouais, tu consommais un peu du contenu gratuit, de temps en temps du contenu payant, mais tu n’avais pas les résultats, puis tu passais pas trop à l’action.
Le passage à l’action grâce au Club Privé Business
Voilà. En fait, après, quand j’ai voulu passer à l’action et vraiment passer à un autre niveau, c’est là où je t’ai vu sur le Net. Et puis après, j’ai pris le programme Club Privé Business, et puis là, ça a vraiment augmenté, puis ça s’est vraiment développé. Puisque tu as vraiment suivi avec toi, tu vois ?
Du coup, là vous vous posez peut-être la question suivante : quel a été ce deuxième déclic ? Parce que toi, tu as un cas bien particulier. Généralement, les gens démarrent, ils ont un déclic, et ensuite ça peut prendre un petit peu de temps pour avoir des résultats. Ça va dépendre ou alors ça peut aller très très vite. Toi, finalement, premier déclic : 2014, tu as compris qu’il fallait te mettre en ligne pour pouvoir avoir davantage de clients. Tu as une traversée du désert de quatre ans, mais finalement, alors c’était quoi ce deuxième déclic ? Donc tu m’as dit, ouais, tu m’as découvert. Et c’est ça, tu t’es dit : « bon, allez, là, a priori, ce n’est pas un vendeur de rêves ». Ou alors, je ne sais pas, je t’ai remotivé, je ne sais pas.
Voilà, c’est ça. Donc en fait, donc après mon passage « vendeurs de rêve ».
Tu t’es dit : « bon, je vais prendre des formateurs plus terre à terre » ?
Je me suis dit : « on va prendre un truc de sérieux ». Et puis, comme je disais, je t’ai découvert sur le Net, donc je t’ai suivi, vidéos YouTube, tout ça. Et après, je me suis dit… bon, je continuais quand même à faire mes cours. Et puis parfois, tu vois, j’avais des clients qui m’annulaient au dernier moment, qui arrêtaient ou qui ne renouvelaient pas. Et des fois, il y avait des gros clients, dont je n’avais plus de nouvelles après les vacances. Tu vois, par exemple, vacances d’été…
Ouais, les deux mois de l’été où on dit : « je reprendrai à la rentrée », puis finalement, il y a eu autre chose dans sa vie qui fait qu’on ne reprend pas.
Voilà, on se dit tous : « OK, on se retrouve en septembre ». Et en fait… en fait, j’avais des gros clients, tu vois, qui me mettaient 400-500 € par mois et que je n’avais plus en septembre, tu vois ?
Donc là, tu t’es dit : « ouh, il faut que je fasse quelque chose, comme beaucoup d’indépendants, en dur pour ne pas avoir, voilà, des pics de revenus et puis ensuite, le stress de… Merde, il y a plus rien qui tombe ».
C’est ça. Et donc du coup, je me suis dit : « mais là, il faut vraiment que je me bouge et il faut vraiment que je le fasse ». Et parce qu’en fait, si tu as deux-trois clients qui te plantent comme ça, tu n’as plus rien, quoi.
Ouais, tu as… ouais ouais. On reviendra un petit peu sur tous les chiffres juste après. Donc si vous visionnez cette vidéo, vous êtes coach, thérapeute, musicien, artiste, si vous vous reconnaissez – et c’est fort probable – dans le témoignage de Lauren par rapport à ça : à partir du moment où on est indépendant avec un business en dur, vous allez avoir des pics de revenus et puis vous allez avoir des moments… la traversée du désert. Et du coup, le côté online, comme vous avez tout qui fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Donc là, au moment où on fait cette vidéo, Lauren, il a des gens qui le regardent sur sa chaîne YouTube, qui visitent son site web. Moi, c’est pareil, il va vendre des nouveaux produits, chose qui n’est pas le cas quand on a un business en dur. Il y a des jours fériés, il y a des week-ends, la nuit il ne se passe rien. internet 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Et dernier élément qui est assez choquant, c’est que là, on est à Paris – tu nous diras juste après si tu es Parisien, si tu as grandi ici – quand vous avez un business en dur, votre business est local. Alors qu’internet, vous allez voir des clients n’importe où en France, Belgique, Canada, expatriés, toutes ces choses-là. Alors, dis-nous tout par rapport à ça et puis vis-à-vis de… est-ce que tu es parisien, comme tu habites à Paris ? Ou alors, non, tu as délocalisé dans la capitale ?
Parisien, oui, voilà. Comme je te disais ce matin dans le métro, je suis bien content d’avoir un business en ligne.
Tu en as marre de la Rat Race du métro.
Ah, c’est terrible ! Et donc du coup, ouais, c’est ça, ça, c’est important, c’est qu’en fait, sur le Net, tu ratisses partout, toute la francophonie. Moi, j’ai des…
Et c’est ça qui est extraordinaire.
Ouais, ça, c’est magique. Et en fait, moi, j’ai des gens de Tahiti, j’ai des gens Émirats arabes unis, j’ai des gens de partout dans le monde, de toute la francophonie, partout, partout. Tu vois : Nouvelle-Calédonie, je n’aurais jamais pensé qu’un type à l’autre bout du monde m’achète de trucs, tu vois ? C’est incroyable.
Ouais, à partir du moment où vous êtes dans un pays, la personne est expatriée, elle parle français, vous… c’est un client potentiel.
Du 16ème arrondissement au monde entier comme client potentiel
C’est ça qui est dingue, c’est incroyable. Alors que, tu vois, moi, c’était vraiment très sectorisé.
Là, à Paris, et donc là, on est dans le 16e. Et justement, tous tes clients, c’est le côté chic de Paris. Donc choses que j’ignorais quand j’ai fait le tournage vidéo avec l’équipe, qu’on a réalisé, toutes les personnes qui sont de Paris me disent : « ah ouais, ce n’est pas mal, tu es dans Paris 16e, c’est chic ». On ignorait ça et on a appris ça depuis le début des tournages des études de cas.
Si si, c’est le côté chic, donc… enfin, moi, je travaille que dans cet arrondissement.
Que dans le 16e ?
Quasiment, oui. Donc tu vois c’est quand même sectorisé, c’est un arrondissement.
Là, c’est méga local, Paris 16e, tes clients. Donc là, on a une belle analogie : business en dur versus business online.
Exactement, donc business online, tu ouvres tout, quoi. C’est plus le petit quartier, le coin, tu vois ? Et donc, partout dans le monde, aux États-Unis… enfin, tous les expatriés.
Ouais, l’exemple une nouvelle fois concret, je viens de Chalon-sur-Saône, dans la campagne, j’ai été expatrié à Malte de fin 2012 à début 2018. Depuis avril 2018, je suis expatrié à Tallinn, en Estonie. Là, je suis à Paris pour faire des études de cas, d’avis du Club Privé Business. Et c’est pour vous dire que vous pouvez gérer tout ça depuis n’importe où dans le monde. Et vos clients se trouvent n’importe où dans le monde, comme vous êtes sur le marché francophone, c’est ça qui est assez grandiose.
C’est ça qui est incroyable, c’est ça qui est fou. Et quand tu vois qu’en fait, après, sur les autorépondeurs, tu as les personnes sur la carte du monde, c’est ça qui est fou. Tu t’aperçois que tu as des gens au Canada, beaucoup au Canada aussi, les Français et les Québécois, j’en ai beaucoup, Canada, États-Unis…
Les Suisses, on les aime, les Suisses, pourquoi ? Parce que gros pouvoir d’achat, et surtout si vous vendez une formation à 200-300-500 000 €, pour un suisse, c’est… dans sa tête, c’est comme si le prix était divisé par deux, puisque le pouvoir d’achat est très important dans ce pays.
Et ce qui est marrant, c’est que c’est pareil, tu vois ? Les gens qui achètent… enfin, pour moi qui suis Parisien, en fait, tu as quasiment peu de Parisiens, c’est toute la France. Et en fait, ce qu’il faut se dire, c’est qu’en fait, quand on est dans les grosses villes comme ça, il ne faut pas raisonner en se disant… enfin, tout se passe dans notre ville, quoi, puisque Paris, ce n’est pas la France. Parce que moi, j’ai plein de gens qui m’ont dit : « tu vois, moi, je voulais des cours ». Et en fait, tu as plein de gens qui sont dans des petits villages, dans des bleds, tu vois, en campagne, et qui ne sont pas dans les grosses agglomérations type Paris, Bordeaux, Lille… enfin, tu vois, où il y a vraiment du monde. Et en fait, les gens, ils sont chez eux dans leur campagne et ils veulent du service, ils veulent des cours, ils veulent des choses. Et en fait, toi, en ligne, en fait tu leur fournis ce qu’ils veulent. Ça, c’est bien.
J’imagine. Alors, je ne suis pas pianiste, je ne suis pas guitariste, je ne sais pas faire de la basse, mais comme je viens de Chalon-sur-Saône, c’est une ville de 45 000 habitants Chalon-sur-Saône, en Saône-et-Loire, clairement, ça m’étonnerait qu’il y ait beaucoup de profs qui donnent des cours. Je pense que ça doit être assez rare.
Voilà. Donc tu habites dans une ville comme ça…
Et après, à la campagne, évidemment qu’il n’y a personne.
Voilà. Donc, tu vois, il y a des gens qui me l’ont dit plusieurs fois, moi… même dans des villes comme Marseille, il y a un type qui m’a dit : « je voulais prendre des cours à Marseille, je n’avais trouvé personne ». Et il m’a trouvé en ligne, tu vois ?
D’accord, bah, excellent.
C’est fou !
Trafic qualitié : YouTube, Facebook (groupe et page) et son site Internet
Alors, maintenant on va revenir sur les quatre métriques d’un business. Vous le savez certainement, vous devez vous focaliser sur le trafic, les leads, donc les prospects qualifiés, le cash, donc avoir de l’argent qui rentre au quotidien ou alors toutes les semaines, tous les mois et la livraison, la satisfaction clientèle. Vis-à-vis de tes sources de trafic, j’explique généralement qu’il y a quatre plateformes : Google, Facebook, YouTube, Instagram. Vous avez deux plateformes comme Snapchat, LinkedIn, Pinterest, les partenariats, le bouche-à-oreille. Vous avez d’autres possibilités, le podcast, mais de manière générale, c’est vraiment ce quatuor que vous devez être. En fonction des études de cas que je réalise, certains vont être plus Google, d’autres plus Facebook, d’autres plus Instagram, d’autres plus YouTube. Toi, tes sources de trafic, qu’est-ce que c’est ?
Moi, c’est YouTube principalement.
C’est un YouTubeur comme moi. Toi, c’est… tu fais « I love YouTube ».
C’est ça, mais en fait, c’est quasiment obligatoire, j’allais dire.
Alors, dans certaines études de cas, on a pu le voir, certains n’ont pas de chaîne YouTube et ça marche bien pour eux. Mais honnêtement, si vous vous privez de YouTube, c’est vraiment une perte monumentale en termes d’argent.
Parce que c’est quasiment obligatoire, franchement. Après, les gens qui ont un peu de difficulté… YouTube, il faut faire du… comment dire… il faut faire du volume. C’est-à-dire : les gens qui ont un peu de difficultés à se mettre devant la caméra, c’est… il faut se lancer, il faut se mettre le téléphone sur un trépied, et on y va, on fait la vidéo, on balance, on met en ligne. Et au bout de la deuxième, troisième, quatrième, cinquième, ça va aller, mais il faut du trafic. Et au départ, ce n’est pas évident, il y en a plein qui bloque, mais il faut se lancer et puis, après, ça va, mais c’est obligatoire, franchement.
Alors, toi, tu as YouTube, Facebook, qu’est-ce que tu fais, groupe privé ?
Ouais, groupes privés, page… alors, groupes privés, page Facebook.
Donc groupe privé, page Facebook, OK.
Et ma page perso, ça ne me sert pas à grand-chose, voilà. Et…
Insta, tu es dessus ou pas trop ?
Je suis dessus, mais je n’arrive pas… ce n’est pas un truc que j’arrive à…
C’est moins ton dada ?
Ouais, parce que… je ne sais pas, je n’en sais rien, je n’arrive pas. En fait, Insta, il faut être tout le temps dessus.
Ah ça, il faut aller aussi sur les plateformes où vous avez des gros résultats. Moi, personnellement, c’est Google et YouTube, c’est là où je fais plus de 80 % de mon chiffre d’affaires. J’appuie, j’appuie, j’appuie, j’appuie, il faut appuyer là où vraiment vous êtes une star, et c’est important.
Insta, moi, je n’ai pas… je n’ai pas de gros résultats.
Tu es comme moi, c’est normal, ouais.
C’est un truc que je n’arrive pas à… pourtant, il y a des gens qui ont du résultat, mais je ne sais pas.
Et Google, tu as un site web ?
Site web, Google, ouais.
Alors, YouTube, est-ce que tu sais à peu près tu as combien au cours des 30 derniers jours ? 30 000 vues, 20 000 vues, 50 000 vues, 10 000 vues ?
Écoute, j’avais regardé, dans l’ensemble, c’était un million et quelques de vues depuis un an.
Donc là, un peu plus d’un million de vues, ouais, donc tu dois tourner à 80 000 vues mensuelles, à mon avis.
Ouais, je n’ai pas regardé, ouais, c’était un million et quelques.
Et Google ?
Je ne sais pas. Ça, pour ça, je ne regarde pas.
Donc là, dans le cas de Lauren, tout bête : YouTube, un petit peu de Google et Facebook, notamment avec ta page et ton groupe public et privé.
La constance comme clé de la réussite
Ouais. Facebook, ça ne marche pas mal, parce que mine de rien, il y a pas mal de gens qui font que du Facebook. Ça, c’est un truc que, tu vois, j’ai découvert, parce qu’en fait, je mets quand même deux vidéos, je me force minimum une par semaine. Là, je veux vraiment passer à deux, enfin, j’en fais deux, voire minimum une. Et en fait, c’est ça, comme tu disais.
La constance, les amis. Vous voulez avoir une belle chaîne YouTube, parce que numéro 1… en fait, ce que je surkiffe avec YouTube, c’est très simple. Donc numéro 1 : vous allez voir un actif sur le long terme. Numéro 2 : c’est la relation, que les gens oublient, avec les gens, c’est des humains qui vont acheter vos produits et services. Et numéro 3 – chose que personne n’évoque, et que je dis souvent aussi dans mes coachings communs – c’est que le fait de faire des vidéos, ça va être votre entraînement. Donc comme vous allez réaliser une formation payante, vous allez être habitué à parler à la caméra, à structurer votre contenu, à être fluide, à être limpide. Et si vous faites du high ticket ou si vous faites d’autres types de canaux et que vous devez lancer ensuite des formations online, mais que vous n’avez pas eu cet entraînement en faisant des vidéos YouTube, vous allez bégayer, vous allez hésiter. J’avais un ami, on rigolait avec l’équipe de tournage, là, il y a une connaissance qui est en train de travailler par rapport à mon séminaire. Et en fait, quand il envoie un message Insta…
Il bégaye ?
Non, pire, ce n’est pas qu’il bégaye, mais c’est que quand il parle, il me fait un e-mail. Il me fait : « bonjour, virgule, Maxence, point. J’ai trouvé un séminaire… » Le mec, il me parle en écrivant !
Ah ouais, parce qu’il n’est pas habitué.
Parce qu’il n’est pas habitué, voilà, c’est pour vous donner cette analogie. Et là, vous voyez très bien, on est fluide. Et pour être fluide, ce n’est pas qu’on a un talent ou quoi que ce soit, c’est l’entraînement. Et c’est ça, parce que souvent il y a des formateurs qui vont vous dire : « créez cette formation en 15 jours chrono », des choses comme ça. Comment voulez-vous faire quelque chose de structuré, de qualitatif, si vous n’avez jamais parlé. Moi, les premières fois où j’ai parlé devant une vidéo, syndrome de la vidéo blanche, je bégayais au bout de 30 secondes « qu’est-ce que je dois dire ? » Je ne savais plus qu’est-ce qu’il faut que je dise. Et ça, il y a seulement l’entraînement si vous voulez ensuite faire des bons programmes de formation, c’est pour le petit aparté.
Non, mais c’est obligatoire, ça, il faut vraiment… Mais ce n’est pas compliqué, il faut se mettre devant… comme on fait là.
Voilà, c’est comme tout, c’est… le faire au début, bah, vous n’êtes pas fluide, vous bégayez, vous avez le syndrome de… bah, voilà, la vidéo blanche, vous ne savez pas trop quoi dire. Et après, petit à petit, vous la structurez. Moi, ce que je fais, c’est que j’ai souvent trois-quatre *0:18:49* promesses quand je fais une vidéo solo, et comme ça… Vous voyez, c’est souvent des vidéos plus ou moins type que je fais, et c’est ce qui me permet de faire le contenu.
Ouais, pour ceux qui ont du mal, on peut même mettre un petit pupitre avec… sur le côté du trépied, avec les trois points, trois-quatre points qu’on veut évoquer, ça, ça marche bien, mais il faut le faire, il faut le faire, c’est vraiment… de toute façon, c’est obligatoire. Tous les indépendants – moi, c’est ce que je dirais – tous les indépendants, il faut vraiment avoir une chaîne YouTube et un business en ligne.
Ouais, c’est important, parce que… c’est ça qui va vous permettre… On va y revenir juste après par rapport aux chiffres.
C’est important, ça.
Lead magnets et bonus
Vis-à-vis donc des leads, combien tu as de bonus ? Et c’est quoi tes… ce qu’on appelle les « leads magnet », donc c’est les cadeaux de bienvenue, c’est ce que j’appelle, donc pour que les personnes s’inscrivent à votre newsletter, donc il faut donner un bonus. Ce qu’on appellerait aussi un appât, dans le sens… pour que quelqu’un donne son e-mail, il faut qu’il ait quelque chose à y gagner, c’est logique. Et pour qu’elle ait quelque chose à y gagner, c’est d’offrir soit un fichier PDF, soit une vidéo bonus, soit une petite formation offerte, mais un cadeau pour que ce soit gagnant-gagnant. Et vous, avec cet e-mail, vous pouvez recontacter la personne pour offrir du contenu gratuit et puis vos offres commerciales. Donc, dis-nous tout.
Moi, j’ai une heure, plus d’une heure, j’ai 1h20, je crois, de cours, tu vois ? 1h20 de cours privé en ligne, particulier, 1h20 de cours. Et donc c’est quand même pas mal, tu vois, 1h20 de cours, c’est quasiment une mini formation. Et une étude de cas d’un musicien, où je décompose un morceau. Et donc, tu cliques, tu mets ton e-mail et tu reçois tout, voilà.
Et tu sais à peu près si tu as dix nouveaux prospects par jour ?
Je ne sais pas.
Ah, tu n’as pas regardé.
Au niveau des chiffres, je suis un peu…
Ça, c’est quelque chose. C’est logique : tu démarres, tu as démarré en juillet 2018. Et petit à petit, quand vous devez… quand vous allez surtout vous professionnaliser, c’est de vous focaliser sur ces quatre métriques, pourquoi ? Parce que c’est ça qui va vous permettre de progresser, et surtout, à chaque fois, on a tous que 24 heures par jour, vous focaliser sur les actions qui vont payer sur le moyen, long terme.
Après, sur l’autorépondeur, je vois… je reçois les nouveaux abonnés, tu vois, les nouveaux inscrits, mais je ne compte pas. Donc bravo, un nouveau prospect, un nouveau prospect, nouveau prospect.
Tu es sur quel autorépondeur ?
GetResponse.
GetResponse, OK. Je n’utilise pas, mais je connais. Bon, ça doit être marqué, mais il n’y a pas de souci.
GetResponse, après, il faut que je fasse le fameux tunnel.
Sa promesse de vente
Alors, là, on va revenir sur la partie « cash, vente ». Qu’est-ce que tu vends ? Quels sont les différents tarifs ? Ça aura certainement changé au moment où vous visionnez cette vidéo, parce qu’en tant que web entrepreneurs, on teste aussi des prix, on change temps en temps notre offre. Qu’est-ce que tu vends ? Quelle est la promesse ? Et quel est le prix ?
La promesse, c’est de faire le Stade de France. Non, ce n’est pas vrai.
Ça pourrait, ça pourrait. Là, ce serait une belle promesse high ticket : « remplissez le Stade de France avec votre guitare ». Là, ce serait du très très haut niveau.
Ce que je vends, c’est une formation. J’en ai quoi, j’en ai six ou sept. Alors, la grosse formation… On avait parlé du prix, donc j’ai commencé une grosse formation de 15 heures, donc devenir bassiste de zéro à pro.
Donc, devenir bassiste de zéro à pro, excellente promesse.
Voilà. Parce que je suis bassiste-contrebassiste à la base, donc c’est vraiment mon truc. Et donc du coup, grosse formation de 15 heures, j’avais commencé à 147 €.
Oh là ! Prix artiste, 147 €, mais c’est donné, c’est trop peu cher.
Voilà. Donc là, j’ai monté à 247 et je me suis dit : « ça ne va pas vendre » ; et ça vend, tu vois ?
Et là, tu… 297 ? Il faut faire par palier, les amis. Et après, vous l’avez compris, ce n’est pas d’augmenter le prix pour augmenter le prix, c’est augmenter aussi la valeur. Et dès que vous avez augmenté votre valeur, il n’y a pas de souci.
J’améliore à chaque fois, je rajoute des choses.
Donc grosse formation, entre guillemets, donc bassiste pro de zéro à pro. Là, tu la vends à 250 €, 247 €.
Ouais, c’est la formation phare.
Donc ça, c’est ta formation phare. Et ensuite, c’est quoi les autres petits produits que tu as ?
Ce n’est pas des petits produits, j’ai une grosse formation sur le rythme, le rythme en musique, pareil, 197. Soit tu prends le niveau débutant 97 ou niveau moyen avancé 97. Sinon, tu prends les 297… 197, ouais. Voilà.
D’accord. Donc soit la personne est débutante, soit elle est confirmée, soit elle se dit : « je suis débutant, mais je vais devenir confirmé ». Donc elle prend le package, OK.
Ouais, c’est ça. Tu prends le package, après, trois… une formation à 49 pour… j’appelle ça « kit de démarrage ». Si tu as vraiment zéro notion.
En gros, moi, par exemple j’ai zéro notion, ce serait… si je m’intéresse au sujet, il faudrait que j’achète ça, le kit, le kit de démarrage.
Tu as zéro notion, tu veux commencer, tu prends le kit de démarrage. Il y a beaucoup quand même dedans, pas cher, 49 €, très joli, pas cher, 49 €.
Moi, si j’étais à la place de Lauren, tous les prix qu’il affiche, je ferais juste une fois deux. Tu vois, la formation phare, je la mettrais à 500. Ensuite, j’aurais… en gros, moi, ce serait ça, ce serait… dans ton cas de figure, j’aurais mon kit de démarrage, on va dire à 50 €, là, ce serait à peu près… je laisserais le prix. Donc je ferais 50 €, 100 €, ce que tu as, ensuite, 197 €, 297 €, 497 €. Le rythme, il serait à 297 €, de zéro à bassiste pro : 497 €. Et là, j’aurais le produit d’appel à…
On me l’a dit, tu sais qu’on me l’a dit je ne sais pas combien de fois, mais c’est ça.
C’est des croyances limitantes pour le moment, ça va se débloquer et ce sera OK. Donc, achetez, si vous êtes intéressé, au plus vite, avant que Lauren augmente les différents tarifs.
Et du coup, après, j’ai une autre petite… là, je suis en train d’en faire une autre grosse sur la lecture et le solfège, qui va être grosse aussi. Et j’en ai une petite pour l’initiation à la lecture au solfège, que je veux mettre… je n’ai pas encore mis le prix-là, tu vois ? J’ai envoyé le… j’ai envoyé ça à l’assistant là pour qu’il fasse la page web. Merlin, d’ailleurs, si tu nous regardes, qui fait tout, qui est super et qui me fait les pages de présentation, tout ça. Donc le prix, je ne sais pas, tu vois ? On va voir ça plus tard.
3 000€ par mois avec une liste de contact réduite
Alors, vis-à-vis… par rapport à la vente, tu réalises combien ? 3 000 € par mois ?
Ouais, c’est ça.
C’est ce que tu me disais ?
Ouais, c’est ça.
3 000 € par mois, ta liste, c’est quoi ? 3 000 contacts, 5 000… ?
Petite liste.
C’est combien de contacts ?
En dessous de 2 000. Attends, 1 700 et quelques.
1 700 contacts, 3 000 € par mois, on voit l’importance de la relation, et aussi, d’avoir des offres qui sont claires dans son marché.
Tu vois, ce n’est pas beaucoup, ce n’est rien.
Ouais, mais quand les gens apprécient ce que vous faites, il n’y a pas besoin d’avoir des grosses audiences pour pouvoir arriver à gagner de l’argent.
Donc le but du jeu, c’est, tu vois, passer de 1 600… avoir une grosse liste. Donc imagine avec 1 700 inscrits, ce que je fais, donc alors, tu montes 5 000, 6 000, 7 000, 8 000, 10 000, 20 000 inscrits, c’est…
Attention, l’objectif de Lauren, ce que j’ai dit là, c’est de faire les 10 000 € par mois prochainement. Et surtout, dans ton cas de figure – et c’était la même chose avec l’étude de cas de Thomas GIO – tu as du trafic, c’est excellent, c’est de te focaliser sur la conversion. C’est-à-dire que, pareil, les cadeaux de bienvenue ne sont pas tip top, parce que par rapport à ton trafic, là, c’est… la taille de ta liste, tu ne dois pas avoir beaucoup de nouveaux inscrits par jour. C’est là que tu dois les chercher, la conversion sur « trafic versus abonnés à ma newsletter ».
C’est ça, exactement.
Autre chose, vis-à-vis, donc là, la partie online qui fait 3 000 € de vente par mois. Et tu me disais « la partie en dur », parce que tu es toujours prof, par la même occasion, de ce que tu faisais par le passé. Tu fais aussi là à peu près 3 000 € par mois. Mais là, c’est des cours que tu donnes à domicile, c’est des clients premium de Paris 16e ?
Exactement, exactement. J’espère qu’ils ne vont pas regarder. Exactement, beaucoup beaucoup de présentiel, donc tu vois, en fait quand je rentre…
Après, s’ils sont Paris 16e, logiquement, c’est OK les relations à l’argent, c’est… Ce que je veux dire, c’est que, moi, souvent on me demande pourquoi j’affiche tout le temps mes chiffres, les choses comme ça, c’est parce que dans ma tête, c’est… quand tu as de l’argent, c’est OK l’argent. C’est justement c’est quand tu n’en as pas qu’il y a les tabous, les croyances limitantes, toutes ces choses-là. C’est pour le petit aparté.
Non, mais c’est ça, les gens qui ont les moyens…
Paris 16e, c’est pété d’oseille.
C’est ça. Et puis les gens, ils ne discutent pas.
J’ai vu le prix de la location de la semaine-là à Paris 16e, OK, j’ai vu que ça coûtait une blinde.
Ouais, c’est ça, c’est ça. Donc par rapport à ça, mes prix, c’est très bien, personne ne discute et puis… Donc voilà, donc oui, on disait que moi j’ai beaucoup de cours en présentiel. Donc présentiel, je rentre le soir, business sur l’ordi, sur les partitions, sur les machins, pour créer du contenu, tu vois ? Donc c’est du… ce n’est pas… on ne se croise pas les pouces.
Ouais, on va revenir justement par rapport à ça. Donc juste, je récapitule le business modèle de Lauren. Donc numéro 1, par rapport au trafic, principalement YouTube, un petit peu de Facebook, un petit peu donc de Google. Tu as investi dans la publicité ou c’est que de l’organique ?
Un petit peu, pas beaucoup.
Mais combien ? 5 € par jour ?
Ouais, voilà.
Ouais, donc c’est vraiment dérisoire.
Tu vois ? Et avec ça, tu as quand même des résultats.
D’accord, bah, c’est ça qui est beau.
Internet, un Eldorado réel
Ouais. Et en fait, il y a du monde, moi, tu vois, Facebook, c’est un truc que j’avais ouvert… enfin, je… comme tout le monde a un compte Facebook, voilà. Et en fait, quand je me suis intéressé à la pub Facebook, en fait j’ai vu l’envers du décor. Et en fait, il y a plein de gens… les gens sont sur Facebook, il y a deux milliards de personnes, deux milliards de personnes. Et en fait, d’après ce qu’on dit, ça va augmenter, augmenter, augmenter, donc il y a des gens qui passent leur temps sur Facebook, quoi, qui racontent leur vie. Non, mais c’est ça, j’ai donné à manger…
Je rigole, mais je confirme tellement, parce que c’est ça. Aujourd’hui, on est ultra connecté, les télés vont devenir dépressives et les journaux papier aussi, parce qu’aujourd’hui, une nouvelle génération, c’est online. C’est les plateformes que vous connaissez : YouTube, Facebook, YouTube, Instagram. C’est Netflix, c’est pour ça que la télé, ils sont vraiment dans la merde rapport à ça, parce que les nouvelles générations…
Les jeunes, ils sont sur Insta tout le temps. Tout le temps, tu prends le métro, Insta. Ils balayent comme Facebook, Insta. Facebook, Insta, Facebook, Insta, tout le temps, tout le temps, tout le temps.
Donc c’est un changement d’évolution qu’il faut prendre en compte si vous ne voulez pas mourir dans votre business.
C’est ça. Mon comptable me l’a dit.
Qu’est-ce qu’il t’a dit, ton comptable ?
Il m’a dit, mon comptable : « ah, de toute façon, si on n’est pas sur internet, on est morts ». Donc ce n’est pas moi.
Donc le comptable qui t’a dit, parce qu’il doit avoir certainement beaucoup d’autres indépendants dans d’autres… comme toi, artistes, mais aussi coachs, thérapeute, consultants. Et ceux qui ne sont pas en ligne, petit à petit…
Ah, c’est terminé. Il m’a dit : « si vous n’êtes pas sur le Net, c’est mort ».
Prenez les chiffres… juste, voilà, si vous vous intéressez au sujet, prenez les chiffres de la presse, prenez les chiffres de la télé, vous allez voir, ça fait comme ça. C’est une descente piste bleue de ski. Et internet, c’est… vous montez une piste rouge de ski, voilà.
Et en plus, ce qui est dingue, c’est… d’après ce qu’on dit, ce n’est que le début d’internet.
Ah, je confirme, oui, parce que nous… et toi, tu n’es pas né avec internet. Sauf que les nouvelles générations, toutes les personnes qui sont nées après l’an 2000, donc là, c’est une nouvelle génération qui débarque, eux, à six ans, ils étaient déjà avec leur smartphone, ils regardaient des petits dessins animés. Mon ex-copine, elle avait une petite fille, voilà, quand elle regarde les dessins animés – c’est peut-être le cas si vous avez des enfants – ils sont sur YouTube pour regarder les dessins animés. Voilà, Croque Carotte, My Little Pony, ils sont sur YouTube
C’est ça, mais c’est ça, ils ne sont plus devant la télé, les mômes.
Ils sont plus sur… voilà, l’époque des Chevaliers du Zodiaque, Club Dorothée, Olive et Tom, l’École des Champions et tout, plutôt mon époque.
Voilà, c’est ça, ouais, pareil, le Club Dorothée, toutes ces conneries.
Voilà, Dragon Ball Z, c’est fini, c’est sur YouTube maintenant, ce n’est plus à la télé.
Tous, tous, tous, sur You… non, mais c’est vrai ! C’est ça qui est fou.
Donc c’est pour vous donner, voilà, cette analogie à avoir en tête.
La télé, c’est mort maintenant. Donc internet, internet à mort. Mais ça, c’est obligatoire, moi, c’est ce que je répète. Et en fait, il y a plein de gens qui ne sont pas… qui ne tiltent pas, en fait qui continuent leur truc comme ça. Et en fait, c’est la peur de l’image, tu vois, il y a aussi ça, la peur de l’image…
Je comprends, peur de la critique, peur du regard de l’autre, peur du jugement.
Voilà, ça, si tu fais ça, tu n’avances pas. Il faut y aller, après il y a toujours un ou deux cons qui te mettent un… non, mais c’est vrai, qui te mettent un mauvais commentaire, ce n’est pas grave. C’est bon signe, on dit que c’est bon signe.
Voilà. C’est que vous commencez à avoir du succès, donc bravo et félicitation.
Donc il faut s’y mettre, c’est obligatoire, mais vraiment, moi, j’insiste, moi, je ne regrette pas.
Alors, je vais juste, comme j’évoquais, je récapitule, donc numéro 1 : le trafic, principalement YouTube, 5 € de publicité Facebook, un petit peu d’Insta, un petit peu de Google. Ensuite, le point faible, c’est la conversion en nombre d’inscrits à ta liste d’e-mails. En termes de vente, tu réalises 3 000 € par mois avec cinq-six programmes qu’on a évoqués entre 47 et 247 €, mais là, tu vas augmenter les tarifs. En tout cas, je te le souhaite. Vis-à-vis de la livraison du produit, c’est principalement des formations en vidéo, en ligne. Donc là, tu filmes tes cours de basse ou tu filmes tes logiciels en… voilà, en screenshot. Et comme ça, les personnes peuvent faire exactement la même chose depuis chez elles. Donc ça, c’est grandiose. Alors là, je voulais qu’on revienne sur la partie… donc je vais te poser quatre questions. Donc numéro 1 : c’est quoi le quotidien de Lauren ? Donc comment tu t’organises ? Numéro 2 : combien de temps tu passes par semaine par rapport à ton business online ? Numéro 3 : la délégation, donc est-ce que tu délègues ? Et si oui, quoi ? Et numéro 4 : la technique, est-ce que tu es un geek ? Ou, en revanche, tu ne pipes rien à internet comme moi et tu délègues tout ça aussi ?
Son quotidien
Alors, c’était quoi la première ?
Alors, première question : organisation, et combien de temps tu passes par semaine ?
Ah oui. Alors… donc moi, je me lève tard, comme je te disais.
Donc tu es un artiste, le Miracle Morning, tu oublies.
Ah, non, ça, c’est mort.
Tu te lèves, ouais, à 11h ?
Ça, c’est vraiment un truc…
Tu fais le côté artiste, donc coucher, 2-3 h du mat ?
Ouais, maxi deux… enfin, je dis ça, oui oui oui oui, c’est… ouais, c’est ça, ouais.
Deux heures du mat… deux… On va dire, allez, tu te couches à deux heures du matin et tu te lèves à 10-11 h ?
Ouais, minimum. Ouais, ça…
Minimum, voire midi.
Ça m’arrive. Et après, je fais… je pars donner mes cours, je fais…
Donc tu n’as aucun cours le matin, j’imagine ?
Sauf le mercredi, le mercredi je vois les enfants, et ça, c’est un supplice de me lever.
Les enfants, venez l’après-midi, dites à vos parents : « c’est bon, c’est terminé, on ne veut plus travailler le matin ».
Le mercredi, c’est 9h-21 h, toute la journée.
Ah, donc là, c’est ton gros gros jour, ouais.
Là, c’est the marathon, voilà. Et sinon, tous les jours, début d’après-midi jusqu’au soir, jusqu’à 20h, 20h-21 h minimum. Ensuite, je rentre et ensuite, je continue à améliorer tout ce que je fais sur le Net, les programme.
Tu te lèves à 10h ?
Voilà, je me fais… voilà, 10h, des vidéos, donc je fais des vidéos deux fois par semaine, je fais deux fois la vidéo… enfin, je fais les deux vidéos. Ensuite, je pars vers 13-14 h, je vais donner mes cours jusqu’au soir, je rentre. Après, je me mets sur mes programmes à améliorer ou à refaire des… à écrire des programmes. Comme là j’ai fait, ce soir je vais faire ça, je fais un nouveau programme. Et toujours améliorer, toujours améliorer le truc, parce qu’on ne peut pas… en fait, quand tu fais une formation – enfin, tu le sais – tu ne peux pas poser un truc comme ça et te dire : « c’est bon ». Tu vois, il faut toujours améliorer, toujours, toujours.
Ouais, je confirme.
Pour que les gens soient contents, tu vois ? Rajouter du contenu, moi, je rajoute… moi, je fais ce qu’on appelle un… j’ai inventé un nouveau concept, enfin, un « nouveau concept ». Dans ma formation, je rajoute toujours des choses en plus, tu vois ? C’est-à-dire que je… les gens qui me posent des questions, je leur fais une vidéo particulière. Et en fait, la vidéo, je la rajoute dans la formation. Ce qui fait que s’il y a une personne qui a aussi la même question… la même question, oui, en fait elle a la réponse avec cette vidéo, tu vois ? Ce qui fait que c’est un peu une formation évolutive. Ce qui fait que tu te retrouves avec un truc énorme, donc c’est pour ça que je vais augmenter les prix, tu vois ? Donc de 15 heures, ça va devenir 20 heures. Et après, je ne peux pas trop en mettre quand même.
Donc du coup, si on regarde par rapport au temps que tu y passes, donc 14h-19 h, cours en présentiel avec tes clients-là, qu’on a évoqué, à Paris 16e, le mercredi, jour des enfants ?
Ouais, toute la journée, ouais.
Et ensuite, les soirs, 21 h jusqu’à 2h du mat, donc tu te fais cinq heures par jour, où là tu es *0:35:49*. Et le week-end, du coup, là, tu n’as pas de cours présentiel ?
Tout le temps ! Je suis blindé tout le temps ! Tout le temps, c’est le pire, samedi, dimanche, c’est blindé. Samedi, c’est pareil…
Donc du coup, tu n’as pas beaucoup de temps finalement à passer pour… Si on calcule, si tu fais six jours sur sept, cinq-six heures, ouais, tu fais 35 heures par semaine business en ligne et 35 heures par semaine business en dur.
Ouais, après, je vais te dire : on ne compte même plus les heures. Tu vois, j’allais te dire, ça ne sert à rien de compter les heures. Enfin, « ça ne sert à rien de compter les heures », il faut savoir ce qu’on veut.
Ouais, je comprends. Et toi, ton objectif, si j’avais bien compris, c’est de quasiment ne plus trop avoir de clients en présentiel ?
Ouais, voilà.
Et c’est sûr que si le jour où tu vas faire 10 000 € par mois de vente en ligne, c’est bon, il n’y a pas besoin…
Je vais en garder que quelques-uns que je connais bien.
Tu gardes les quatre meilleurs clients, que tu es tellement heureux d’y aller, qui te payent bien, ce n’est pas une prise de tête, et tu surkiffes, tu sais. En gros, tu le ferais quasiment pour gratuit, puisque c’est… tu surkiffes. Et puis, après…
Puisque dans… tu vois, moi, il y a des gens que je suis depuis des années. Il y a des gens que j’ai vus… tu vois, des familles, enfin, je les connais depuis dix ans. Tu vois, il y a des mômes, je les ai vus à huit ans, maintenant, ils ont 18 ans, tu vois, qui me dépassent, tu vois ? Pourtant, je ne suis pas petit. Il y a des enfants que j’ai vus grandir, j’ai connu les parents, toute la famille, tu vois ? Je vais donner les cours de piano, je les connais depuis des années et des années. Et donc, ceux-là, je les garderais. Mais on ne compte pas les heures, il ne faut pas compter les heures, c’est du boulot. Tu vois, par exemple, ma grosse formation, j’ai fait… je n’ai pas pris de vacances en juillet, l’année dernière.
2018, OK.
2018, j’ai fait juin, juillet, août non-stop, tous les jours, genre je ne compte même pas les heures.
Ouais, je comprends.
Tu vois, pour faire toute la formation de 15 heures. Et je ne me suis pas dit : « merde, il faut que je prenne des vacances. Tiens… » Il n’y a pas de vacances, pas de week-ends. Ça, tu vois, ça, ce n’est pas…
En fait, ce qu’il faut que vous ayez en tête, c’est ça, c’est qu’à un moment donné, pour changer vous devez faire pendant trois mois, six mois, un an, des sacrifices. Moi-même, j’en ai fait, bah, pour avoir le succès que j’ai eu – j’ai démarré le 1er février 2011 – j’ai mangé du caillou pendant plusieurs années. Et vous devez, en fait, faire des sacrifices pour avoir cette vision à long terme, parce qu’une fois après que votre business est lancé, là, vous allez pouvoir souffler, et surtout les actifs que vous avez mis en place, ça va payer. Et si vous ne démarrez jamais, il ne va rien se passer pour vous au fil du temps.
Ouais, c’est ça. Il ne faut pas croire qu’on monte un site, on fait un truc et c’est fini. Non, c’est énorme le travail. Donc ça, c’est… Mais par contre, après ça paye, c’est bien, mais c’est vraiment un gros coup de pied.
Ouais. Parce que là, tu as 3 000 € de vente par mois, je suis sûr que dans un an tu seras… déjà, je peux déjà le dire, au moins à 6 000-7 000 et je pense que tu seras même à 10 000. Donc du coup, tu vas te dire, deux ans après ton départ : « je suis heureux d’avoir fait ce sacrifice, l’été 2018, à ne pas avoir pris de vacances ». Parce que l’été 2020, là, tu vas pouvoir te prendre des vacances et tu seras plus riche à la fin de tes vacances qu’au début de tes vacances.
C’est ça, c’est ce qu’on dit, c’est quoi ? C’est : « 5 ans de bagne ou 40 ans de galère », je crois, il y a un dicton comme ça, un truc comme ça, je crois. Donc là, ce n’est pas cinq ans de bagne, mais c’est…
On va dire que c’est un an ou deux ans de charbonnage violent, et après, c’est cool à tout jamais. Vous avez le Mindset, les actifs et tout ce qui va avec.
Et surtout qu’une fois qu’on a passé un cap, ça décolle, ça ne peut qu’aller en augmentant, voilà. Donc le plus dur, c’est de… c’est d’avoir le truc à vendre, un produit, voilà. Faire une formation à vendre, un produit, ça, c’est hyper important. Il ne faut pas se dire : « je vais faire un business en ligne et puis je fais trois vidéos, et puis je n’ai rien à vendre ». Ça, ça ne sert à rien, voilà.
Je confirme.
En fait, il faut un business, un produit, le mettre en ligne. Et si ça ne marche pas, ce n’est pas grave, on en refait un autre et on s’améliore, on s’améliore, on s’améliore. Faire des vidéos et tout ça, tout ça, tout ça, c’est du boulot.
Délégation de ses tâches techniques
Alors, pour rebondir par rapport à ce que tu viens d’évoquer, vis-à-vis de la délégation et de la technique, qu’est-ce que… ? Comment tu fais ? Est-ce que tu es bon et tu es un geek ? Sinon, qu’est-ce que tu délègues ? Est-ce que tu délègues ? Raconte-nous des petites anecdotes croustillantes.
Une petite anecdote, mais tu vas voir. En fait, moi, je… donc, moi, je suis une bille en technique, c’est vraiment un truc, c’est… je ne comprends rien, tu vois ? Donc en fait, je mettais les vidéos en ligne, et puis pour la musique, il y a plein de logiciels, tu vois, à utiliser, qui sont connus chez les gens qui font de la musique et qui sont… ce sont des usines à gaz, tu vois, pour faire tourner. Et en fait, j’ai mis une vidéo YouTube sur… donc je mets des vidéos. Et en commentaire, il y a un type, Merlin, de toute façon qui va nous regarder, je pense, qui m’a dit… donc Merlin qui m’a dit : « si tu veux, je peux te… ». Non, il m’a dit : « si vous voulez… il me vouvoyait au départ, parce qu’on ne se connaissait pas : « si vous voulez, je peux vous faire les partitions en format Guitar Pro ». Guitar Pro, c’est un logiciel, c’est pareil, c’est un truc, c’est une usine à gaz. Dès que tu ouvres ça, tu ne comprends rien. « Je peux vous faire des partitions », j’ai dit : « ah ouais, d’accord, c’est cool ». Et en fait, c’était au moment où je me suis dit… en fait, parce que moi, en fait, ma formation au départ, j’ai tout fait à la main, tu vois ? Ce n’était même pas du… même pas sous Word, tout ça. En fait, je faisais tout à la main, j’écrivais tout à la main et je faisais un scan. Et dans la formation, il y a encore des trucs en scan. Donc lui, il m’a dit : « si vous voulez, je peux vous faire les trucs sous format Guitar Pro ». Tu vois, Guitar Pro, c’est vraiment les partitions de pros. Et j’ai dit : « ah, c’est cool », et je ne le connaissais pas, tu vois ? Et en fait, maintenant, c’est devenu : Merlin qui me fait tout.
C’est devenu ton bras pour ton activité, d’accord.
Mon bras droit, un assistant qui touche en web, c’est un geek, il me fait tout…
En plus, il connaît la guitare, la basse, le piano, c’est un musicien, donc là, c’est merveilleux.
Voilà. Et c’est super, et donc grâce à lui, franchement, je ne le remercierai jamais assez, quoi. Sinon, je ne sais même pas comment j’aurais fait, sinon j’aurais cherché un mec… un indépendant sur Fever ou un truc comme ça, tu vois, pour me faire tout en partition.
Là, ce qu’a réalisé Lauren – et c’est ce que vous devez faire. Moi, c’est ce que je fais souvent – c’est : recruter dans vos prospects et vos clients. Pourquoi ? Parce qu’ils vous suivent, ils vous connaissent, et du coup dans le lot… même si vous avez seulement une liste de 500 contacts ou 1 000 contacts, il y a toujours des gens qui seraient prêts à travailler pour vous. Et surtout, comme ils vous suivent, déjà ils sont intéressés par l’activité. Et ensuite, comme ils vous suivent, ils vous connaissent, ils apprécient ce que vous faites, donc du coup, bam, ça va être assez simple pour votre personal branding.
Voilà. Et du coup, donc tu vois, là, on a commencé… tu vois, ça fait quelques mois qu’il me fait tout. Et donc du coup, avec le temps, ça va augmenter, augmenter, augmenter. Et puis, après ça va être un… je ne sais même pas si on appelle ça un prestataire, ça va être… c’est comme un pote qui me fait des trucs, quoi.
Ça va être ton bras droit.
Ouais, bras droit, voilà, carrément, je lui ai déjà dit. Et pour faire de la vidéo, du montage, du truc, parce qu’il connaît vraiment bien le… tous les logiciels informatiques. Il me fait tout sur OptimizePress, encore à l’ancienne, tu vois ? Et donc là, je vais faire le tunnel, c’est lui qui va m’aiguiller sur le truc.
Alors, du coup, ouais, on n’a pas précisé ça. Comme tu n’as pas de tunnel de vente, tu vends comment ? Les Lives, les conférences en ligne ?
Tunnel de vente en mode e-mailing
Non, les e-mails.
Donc toi, c’est… tu envoies, ce qu’on appelle, voilà, des ventes flash. Une fois par mois, une fois tous les 15 jours ?
Une fois par jour.
Une fois par jour ?
Ouais, j’envoie un e-mail une fois par jour.
Ah, tu envoies un e-mail par jour ? D’accord.
Un e-mail par jour, hop, à la fin de l’e-mail, je mets un lien.
Donc tu… mais c’est un e-mail de valeur et à la fin…
Ouais, c’est un e-mail de conseil, un e-mail… comment on appelle ça… *0:43:36*. Donc je fais un e-mail, un peu un cours, tu sais ? Un cours écrit qui explique… qui donne deux-trois infos importantes. Motivation aussi, e-mail de motivation, parce que tu sais, dans la musique, les gens, il faut les… tu sais, ce n’est pas…
Il faut aussi les motiver.
Voilà, parce que ce n’est pas facile, tu vois ? La musique ça se ferait, moi, je dis tout le temps : « si c’était facile, tout le monde ferait de la musique ». Non, mais c’est vrai, donc les gens, il faut les bouger, et ils sont contents, ils me répondent à chaque fois : « c’est bien, merci, super, merci de nous motiver ». Donc un e-mail de motivation avec de la valeur, du contenu, des conseils. Et à la fin, appel à l’action : « donc si tu veux t’améliorer là-dessus, tiens, tu cliques sur le lien bassiste pro ou alors sur le rythme ».
Alors, tu as un autre programme, d’accord, OK.
Un autre programme sur les six ou sept programmes que j’ai, et ça marche bien. Donc là-dessus, tu vois, quand… donc c’est pour ça qu’il faut se mettre sur le Net, puisque quand on annule un cours, je rentre, je fais un e-mail…
Et puis tu as 100 € qui tombent.
Voilà, c’est ça, avec un clic. Donc du coup, je me dis : « merde, p***, on m’a annulé deux trois cours ». Enfin, on ne m’annule pas deux-trois cours, mais par exemple, au dernier moment, tu vois, la semaine dernière, il y avait une grève de la RATP là, j’ai perdu… allez, j’ai perdu pour deux-trois heures 150 €. C’est 150 €, tu vois, ce n’est pas rien quand même ! Tu vois, donc 150 €, grève RATP, je me suis dit : « merde ». Donc je suis rentré, e-mail, tac, et puis le lendemain, tu as au moins une vente, quoi, tu vois ?
Ouais, la magie d’internet.
C’est fou, donc… et je le répète, je n’ai pas beaucoup… j’ai une petite liste.
Ah, c’est ça qui est fabuleux, mais, comme on peut le voir, grâce à tes vidéos YouTube, grâce à ta relation aussi par e-mail, eh bien, il suffit juste finalement d’avoir une personne qui achète par jour. Et ça te permet d’avoir ce chiffre d’affaires là.
C’est important, le relationnel, ça, c’est hyper important.
Ouais. Ayez ça en tête, parce que : qui achète ? C’est des humains. Donc du coup, il ne faut jamais l’oublier, même si on aime l’automatisation, la robotisation, les choses comme ça, ça reste des humains qui sont abonnés à votre newsletter, qui vous suivent sur YouTube, toutes ces choses-là. Et c’est ça qui va faire une différence monstrueuse.
C’est ça, c’est comme toi, la différence de toi…
Alors, du coup, ouais, ça rebondit, ce que tu disais…
On en reparlera plus tard ?
Là, c’est la bonne transition. Comment tu m’as découvert ? Tu as acheté aussi d’autres formations, tu en as peut-être acheté, finalement pour 4 000-5000 € depuis 2014, dans ces eaux-là ?
Ouais, un peu moins, mais dans ces eaux-là, un petit peu moins, mais…
Environ, on va dire : 4 000 € de formation. Et comment tu m’as découvert ? Et qu’est-ce qui me distingue, selon toi, par rapport à d’autres formateurs du web ?
On ne donne pas de nom ?
Tu peux donner des noms, je m’en fiche.
Ouais. Alors, donc…
Si tu avais acheté, tu m’as dit Aurélien AMACKER, Franck ROCCA, tu avais acheté un… là, c’était Immobilier ANNICETTE, Cédric ANNICETTE. Tu as acheté un petit peu de Jean RIVIÈRE.
Ouais, Gregory LAGRANGE dans un copywriting, c’est très bien.
De toute façon, les amis, je sais d’avance – et c’est logique – tu as aussi acheté un Théophile ELIET, tu m’avais dit.
Théophile… Théo, ouais.
Les atouts de Maxence Rigottier VS Théophile Eliet, Aurélien Amacker, Franck Rocca…
C’est obligé et, en tout cas, c’est fort probable que si vous vous intéressez au web marketing, vous allez acheter deux-trois acteurs. Ça m’étonnerait, parce qu’on est complémentaires et on a aussi nos distinctions, ainsi de suite. Et toi, tu m’avais dit : la distinction frappante par rapport à Théophile ELIET, Aurélien AMACKER, Franck ROCCA, Cédric ANNICETTE, Jean RIVIÈRE, c’était ma proximité, et que ce soit vraiment 100 % pratique et non de la théorie ?
Voilà, c’est ça, c’est que…
Et l’accessibilité.
Ouais, c’est surtout ça, mais l’accessibilité, le côté pratique, théorie. C’est vrai que quand on achète des trucs en ligne, en fait on est… enfin, on clique, on reçoit le truc dans sa boîte mail…
La formation et après tchao hasta la vista !
Mais c’est ça, c’est ça. Donc on achète le truc en ligne, on clique, on reçoit le machin, on se dit « ah bon ? » Et puis le gars, on ne le voit jamais, on ne l’a jamais en e-mail, c’est délégué à Madagascar ou je ne sais pas, mais c’est vrai.
C’est délégué. Les coachings communs, il n’y en a pas, les réponses via une équipe ou un groupe Facebook, on s’en moque.
Voilà. Alors que pour le Club Privé Business, c’est vrai que… Il faut parler de Jonathan.
Donc Jonathan, mon frère, qui est aussi mon bras droit. En gros, donc souvent ce qui se passe, c’est soit moi-même, mon frère ou un membre de mon équipe. J’ai un ingénieur – comme je vous l’ai évoqué – depuis le 1er janvier 2019. Et souvent en fait, dès que j’ai les questions techniques, ce n’est pas moi qui réponds, parce que moi, je suis comme Lauren, je suis comme vous, je suis une merde en technique. Par contre, mon frère est meilleur que moi, mais il n’est pas non plus calé, calé. Par contre, mon ingénieur, laisse tomber, incollable, incollable. Logique, c’est un ingénieur de métier, un ingénieur web, donc du coup, forcément, il est extraordinaire par rapport à ça. Et moi, à chaque fois que je lui dis un truc, il me fait : « voilà, la réponse » – « OK, merci ! »
Ça, c’est bien, ça, c’est fou. Et ça, ça fait la différence. Tu vois, par exemple, dans le Club Privé Business, c’est vrai que tu as ce côté… Jonathan… Bon, moi, je l’ai fait avant que tu n’aies l’ingénieur ?
Ouais.
Donc Jonathan, c’est vrai qu’il te répond direct, nickel, il est là. Moi qui suis une bille en technique, j’ai réussi à installer Stripe.
Et donc j’ai différents modules, dont un module Stripe. Et en fait, ce que tu as apprécié, ce que beaucoup de personnes ont apprécié : je ne te fais pas une vidéo comme là on ferait. En mode Stripe, c’est : on filme l’écran et on va expliquer, voilà.
Et doucement.
Comment ouvrir un compte Stripe ? Comment réaliser un paiement ? Comment effectuer un remboursement ? Comment mettre en place la facturation en automatique ? Comment récupérer vos impayés avec Stripe ?
Ça, c’est hyper important, ça.
Donc c’est à chaque fois des petites vidéos tutoriels de quelques minutes. Donc ce n’est pas de la théorie, c’est de la pratique. C’est-à-dire que vous visionnez la vidéo, tout de suite, en instantané, vous pouvez le mettre en place dans votre business. Et c’est pour ça aussi que j’ai autant d’études de cas de personnes qui ont du succès, parce qu’il faut passer à l’action, vous vous en doutez. Mais le fait qu’il y ait les vidéos tutoriels, soit si vous avez du niveau, vous le déléguez à un membre de votre équipe ou soit vous le suivez vous-même et vous le mettez en place.
Parce que quand tu es largué, franchement… le tutoriel Stripe, franchement, c’était bien, petit, court, enfin, tu vois, concis. Doucement, je me suis dit, je mettais « pause », je faisais le truc sur l’ordi, pause… et ça marchait. Et pourtant, je suis vraiment une bille en technique, je suis allergique.
Ce que tu évoques aussi là, que je n’ai pas évoqué, c’est que souvent on fait des vidéos entre 5 à 12 minutes. En fait, si le module Stripe, s’il dure, je ne sais pas exactement combien il dure. Mais admettons, il dure une heure trente, ce n’est pas une vidéo d’une heure trente en un bloc qui t’assassine. Ça va être dix vidéos de cinq-sept-dix minutes en fonction du sujet précis. Et du coup, vous si c’est les impayés qui vous intéressent, finalement, vous allez juste dans la vidéo « impayés par rapport à Stripe ». Si, vous, c’est juste la facturation qui vous intéresse, vous allez dans la vidéo « facturation ». Si, vous, vous démarrez totalement de zéro, là, vous allez regarder tout le module vidéo par vidéo. C’est ça que les gens kiffent bien chez nous.
Et ça, tu vois, le truc Stripe, je ne l’ai pas vu ailleurs. Pourtant, c’est important, je veux dire, c’est le moyen de paiement. Stripe, PayPal, surtout Stripe, tu vois, le truc, ce tuto pour mettre le compte Stripe en ligne, tout ça, bien détaillé, p***, personne ne le fait. Pourtant, c’est vraiment le truc qu’il faut.
Tu vends comment sur internet si tu n’as pas Stripe ou PayPal ? C’est pour ça qu’on a fait les modules.
Voilà. Surtout, tu vois, c’est vraiment le truc… si tu n’as pas Stripe, tu ne vends rien, tu vends zéro, donc là, sur le club, c’est vraiment bien, ça. Pour ça, puis comme je disais, Jonathan tout le temps là pour t’aiguiller, pour répondre aux questions. Ça, c’est un gros plus, tu as des réponses. Ce n’est pas… voilà.
Parce que souvent, aussi… généralement, les trois plus-values qu’on m’évoque – et c’est ce que tu expliques – numéro 1 : les vidéos tutoriels pas à pas ; vidéo 2 : le SAV dans les points positifs, numéro 2. Et numéro 3 : c’est le côté aussi « coaching commun » que les gens aussi sont… kiffent bien.
Ouais, oui oui, on n’a pas parlé de ça, coaching commun. Quand tu es largué, coaching commun, ça te… toi, tu recadres le truc, tu dis : « point un, point deux, point trois ». Et puis, comme ça, tu sais ce que tu as à faire, voilà. Voilà, mais surtout avoir un truc à vendre.
Les amis, si aujourd’hui vous avez une chaîne YouTube, un compte Instagram, un site web, une page Facebook ou un groupe Facebook, que sais-je, vous avez du trafic, vous avez déjà commencé à développer une communauté, mais vous n’avez rien à vendre – ça paraît logique et ça l’est – vous allez avoir 0 € sur votre compte, c’est aussi simple que ça. Donc vous devez rapidement créer une offre. La première étape, en fait, c’est quand même de vous développer un peu de trafic, parce qu’il y a aussi des personnes qui vous disent la chose suivante – qui est vraie sur le papier, mais qui est fausse dans la réalité – si on vous dit en fait : « il vous faut une offre, et ensuite on va chercher le trafic », c’est vrai sur le papier, mais pourquoi c’est fumeux, c’est pipeau ? C’est que si vous n’avez pas un minimum de data, donc un petit peu, quelques centaines d’abonnés, des choses comme ça, vous allez créer un produit, mais vous allez peut-être créer le produit dont vous, vous voulez, pas le produit dont les gens veulent. Et c’est pour ça que j’explique que c’est important d’avoir un petit peu de trafic en amont. Et c’est ce fameux sondage : quels sont vos objectifs ? Quel est votre plus grosse frustration, votre plus gros problème ? Et que ressentez-vous à cause de cela ? Si vous avez une question à me poser, n’importe laquelle, quelle serait cette question ? Si je ne suis pas capable d’y répondre, je vais faire appel à un expert. Ce que je veux dire par là, c’est qu’il faut avoir une offre irrésistible, quelque chose à vendre, mais on peut vite tomber – si on n’a pas développé au moins une petite communauté de quelques centaines de personnes – dans le syndrome « je vends le produit dont moi j’ai besoin, mais que tout le monde s’en branle ». C’est pour vous donner cette analogie.
Et puis ça ne marche pas.
Et du coup, on se dit : « c’est de la merde internet, je n’arrive pas à vendre », et c’est normal. Donc, ayez toujours ça en tête quand vous vendez quelque chose. Sauf la seule petite particularité, c’est que si vous êtes dans l’exemple de Lauren – mais je crois que tu avais déjà fait des sondages – si vous faites une activité en dur depuis 5 ans, 10 ans, 15 ans, 20 ans, et que vous la mettez online, voilà, là, vous savez les objections des gens, parce que vous le vivez depuis 10-15-20 ans via votre activité de business en dur. Mais si vous démarrez totalement de zéro, que vous n’avez pas une expertise que vous avez eue par le passé, là vous devez avoir un feed-back des gens, parce que sinon il y a 95 % de chances que vous faites le produit dont vous, vous voulez, et dont, non, les gens souhaitent avoir.
C’est le plus facile, c’est de transposer ce qu’on fait sur le Net.
Bah là, c’est el phenomeno, c’est le Graal.
Mais c’est ça, mais pour tous les boulots, moi, j’allais te dire, pour même la coiffure, tout, le maquillage, tout.
Et ce qui est fou, c’est que des thématiques comme ça. Alors, j’ai une thématique que j’aime bien évoquer, il n’y a toujours personne dedans, et je suis choqué, c’est la voile. Je vous dis ça, parce que j’ai une superbe connaissance qui est passionnée de voile. Alors, moi, je ne suis pas du tout passionné de voile, mais j’ai fait carrément le marketing où je disais : en gros, tu copies Laurent BREARD sur la photo, tu fais : « Objectif bateau, choisissez le bateau qui vous ressemble, devenez un marin accompli et sublimez votre bateau ». Et en fait, la voile, ce qui est extraordinaire, c’est que tu vends des produits à 1 000 €, c’est comme vendre 49 € pour les pianos, c’est que dalle. Parce qu’un bateau, le coût moyen d’un bateau en entretien, c’est 10 % du prix du bateau. Donc si vous avez acheté un bateau à 200 000 €, vous avez 20 000 € de frais de fonctionnement annuels par rapport au bateau.
Tu crois que ça marcherait, la voile ?
Ah, c’est une certitude. Donc le jour – donc il n’y a toujours personne, ça fait des années que je le dis – la personne qui se lancera sur le sujet, elle deviendra multimillionnaire. Donc je vous le dis, moi, je ne le fais pas, parce que là, j’ai le mal de mer, la voile ce n’est pas mon truc.
Non, mais il faut s’y connaître en plus.
Il faut s’y connaître, mais vu le nombre de personnes qui ont un bateau, je pense quand même qu’il y a des gens qui s’y connaissent dans la voile. Mais il n’y a personne qui a fait l’effort de le faire, et je sais que ça se fera un jour. Et la première personne qui le fera, elle sera multimillionnaire. Et ce sera bravo, elle.
Il y a un type que j’ai vu, c’est pareil, toujours…
Comme le vin, le vin aux States *0:56:07*, il a dû claquer 100 millions annuels, des sommes astronomiques en France, qui est sur le vin ? Je viens de la Bourgogne, pays du vin, Rhuys, Mercurey, mes parents habitent pas très loin de ces villages-là. Qui est sur le vin en France ? Vous êtes sur le vin en France, vous êtes multimillionnaire également, voilà. Je ne sais pas pourquoi. J’ai une connaissance, j’ai un membre de mon Club Privé Business qui s’appelle Educ-Dog, on l’a dit, on l’a répété sur les chiens que c’était, pareil, un marché porteur. Enfin, quelqu’un est arrivé en 2018, donc Vincent Marchal Educ-Dog. Alors, je ne sais pas les chiffres exacts, mais aux dernières nouvelles, il était à plus d’un million d’euros par an. Voilà, enfin ! Et je sais qu’il y aurait d’autres acteurs qui seraient capables de le faire, mais c’est pour vous donner cette analogie. C’est que je suis encore choqué, avec tous les formateurs qu’il y a sur le web, avec toute la répétition qu’on fait depuis des années et des années, qu’il y a encore des thématiques où il n’y a personne, où les gens, je ne sais pas, ils ne veulent pas devenir multimillionnaires.
Non, mais après… mais c’est pareil, après les gens, ils se disent… par exemple, tu es éducateur canin – sans prendre l’exemple du gars dont tu parles – le mec, il fait son boulot, il va dans son petit enclos éduquer les chiens. Il ne se dit pas : « tiens, je vais faire un truc sur internet ». Il faut ça aussi ! Il faut se dire ça, les gens ils ne tiltent pas, tu vois ?
Bah, toi, voilà, tu es arrivé en ligne, mais pareil, tu as tilté.
Voilà, j’ai tilté, mais tu as des gens… tu as plein de gens, ils ne veulent pas… tu vois ? Moi…
Ce n’est pas qu’ils veulent pas, c’est que souvent ils pensent que ce n’est pas possible. Parce que j’ai des connaissances aussi dans le fitness, ils travaillaient dans le fitness, je peux vous assurer que quand ces connaissances-là ont fait plus d’un million d’euros de vente avec 70 % de marge, tous les anciens coachs sportifs : « tu peux m’aider à… que je me lancer aussi sur internet ». Parce que vous inspirez tellement que les… voilà. Ce n’est pas que les gens veulent pas, c’est qu’ils pensent que c’est pas possible. Leur cas à eux est différent.
Voilà, exactement. Et puis, tu as aussi, comme on disait, la peur de la caméra, tu n’as pas envie que les gens… moi, ça m’est arrivé plusieurs fois, dans le métro, les gens m’arrêtent, c’est marrant ça. Il y a un mec qui est venu vers moi, il avait sur son… il vient vers moi avec son téléphone en main…
Il dit : « ah, mais c’est vous ! »
Et puis, il dit : « tiens, regarde », il était en train de regarder ma vidéo. C’est marrant *0:58:29* il y a deux-trois fois.
Moi, ça m’arrive régulièrement. Et à Paris, ça m’arrive tout le temps, parce que, voilà, maintenant…
Oui, parce que… Et pourtant, tu vois, je n’ai pas une communauté énorme, tu vois ? Une chaîne YouTube, j’ai quoi ? 8 000 abonnés, tu vois, ce n’est pas non plus… ce n’est pas 20 000, ce n’est pas 40 000. Donc tu vois, rien qu’avec ça, tu as…
Tu as déjà des gens qui commencent à te reconnaître…
Ouais, et puis tu as de l’impact, c’est bien, puis c’est sympa, puis les gens ils sont contents. C’est ça qu’il faut se dire, c’est que les gens ils sont contents, tu vois ? Tu leur fais plaisir, tu les aides, tu les fais monter en niveau. Pour moi, je parle pour mon instrument, tu vois ? Ils sont contents, voilà, satisfaction client, c’est ta règle d’or, ça, je crois ?
Je confirme.
Non, mais c’est important, c’est hyper important, voilà.
Alors, pour finir sur un mot de la fin, qu’est-ce que tu dirais aux personnes qui hésitent à s’inscrire au Club Privé Business ?
Il ne faut pas !
Foncez !
Il faut vraiment… alors, quand on fait un… quand on est sur le Net, on veut faire un business sur le net, c’est vrai, comme on disait, on a regardé un peu de tout, un peu tous les acteurs. Et puis, au fur et à mesure, tu en as toujours un ou deux qui sortent du lot, tu vois, qui sont accessibles, tu vois, qui t’aident vraiment. Donc comme toi, Max, donc il ne faut pas hésiter. De toute façon, on est obligés si on veut passer… il faut toujours côtoyer les gens qui sont au-dessus de nous et qui ont réussi dans ce qu’on veut faire. Même si ce n’est pas… Moi, tu vois, par exemple, en musique, pour moi, je prends toujours des gens qui sont… Tu vois, moi, je suis à mon niveau, j’ai toujours des gens qui sont, allez, 10 fois, 100 fois au-dessus de moi, tu vois, pour te booster. En business, c’est pareil, tu vois ?
De toute façon, quel que soit ce que vous faites, vous devez vous former, vous améliorer. Moi, je suis un marathonien, je m’entraîne quand je peux au Kenya, des choses comme ça. Je me prends la misère, je suis dernier ou avant-dernier, mais à chaque fois, je fais un record perso dans la foulée, alors que je suis dernier du groupe, parce que le niveau est tellement stratosphérique.
Tu vois, donc ça te booste.
Parce que ça te motive, ça te fait casser des croyances limitantes, tu vois que ton potentiel, en fait, est supérieur, des choses comme ça. Donc, formez-vous, les amis.
Voilà. Et puis, après, tu… et puis, après, quand tu discutes avec ces gens qui sont 10 fois, 100 fois plus hauts que toi, tu as toujours des conseils, des bons conseils qu’ils te donnent. Et puis, ça te permet de monter de niveau, et puis voilà. C’est comme ça.
Merci en tout cas, une nouvelle fois. Si vous avez des amis entrepreneurs, artistes, investisseurs, partagez-leur la vidéo, ça leur permettra d’avoir une nouvelle fois une histoire inspirante. Merci par rapport à tout ton feed-back.