Du RSA à 3,8 millions de ventes avec le marketing de réseau. Donc je suis avec David Perez, donc on va voir tout ça en détail dans cette vidéo. Donc grosse grosse histoire inspirante, j’aime bien vous partager ce type d’histoire assez régulièrement, parce que souvent, on a l’impression qu’il faut être une véritable star pour réussir dans un domaine et on a du mal à s’identifier à des gens qui seraient vraiment partis de très très bas, ou alors totalement de zéro. Et là, on a encore une preuve vivante et on va le voir en détail dans cette vidéo.
Alors, aujourd’hui on est à Tallinn en Estonie. Et aussi pourquoi je fais cette vidéo ? C’est parce que tu es associé avec mon frère déjà depuis un petit moment, donc j’ai pu te découvrir davantage, et à chaque fois je me dis : « mais voilà, c’est un truc de malade, il faut absolument partager tout ça ». Donc, dis-nous tout, je te laisse te présenter pour nous expliquer tes débuts donc sur le business et surtout qu’est-ce que tu faisais avant de démarrer dans le MLM, quel MLM tu es, etc., etc. Donc salut David.
David Perez, pro du marketing de réseau
Salut Maxence. D’abord merci beaucoup pour l’invitation, c’est un plaisir. Ça fait quelque temps déjà que je te suis beaucoup sur les réseaux. Merci pour toute cette inspiration et ce professionnalisme que tu amènes dans la sphère francophone, ça fait plaisir de voir ce niveau de qualité. Alors voilà, en quelques mots, donc David Perez, j’ai 40 ans. Je suis l’heureux papa de trois enfants. Et en fait, rien ne me prédisposait à faire du marketing de réseau puisque j’ai écouté sagement les conseils de ma maman qui m’avait dit : « si tu veux faire une belle carrière, il faut aller faire des études ». Donc j’ai fait une classe préparatoire HEC, et une grande école de commerce qui s’appelle l’EDHEC qui est classée dans les cinq meilleures écoles de commerce.
Toi aussi tu as fait école de commerce, parce que j’ai une vidéo où je dis, l’arnaque des écoles de commerce et…
Voilà, eh bah je pense qu’on est bien dedans.
Et une fois de plus, ça confirme, là c’est du haut niveau puisque l’EDHEC, c’est top cinq.
Top cinq, exactement, top cinq avec HEC, l’ESSEC, etc. Donc je sors de cette école, je démarre ma carrière à la Défense dans le consulting, dans un cabinet qui s’appelle PWC. Donc je suis content puisque j’ai 22 ans, je gagne 32-33 000 €, donc c’était il y a quand même 15 ans de ça.
Ouais, donc ce qui ferait aujourd’hui 50 à 60 000 € l’année.
Une opération de la colonne vertébrale
Ouais, à peu près. Donc je suis content, je travaille très dur pendant sept-huit ans et je deviens le plus jeune directeur d’un cabinet concurrent qui s’appelle Deloitte. Donc à 29 ans, quand tu es directeur, tu as un salaire à six chiffres à l’année, tu te dis : « bon, ma mère avait raison ». Donc je suis passé du HLM dans lequel on vivait à Neuilly-sur-Seine, voilà, une petite Lexus pour partir en week-end à Deauville. Bon, les clichés un petit peu, mais quand tu viens du HLM, quand tu n’as pas eu tout ça, quand tu as… je n’étais jamais parti en vacances finalement, et que tout de suite, en quelques années, tu gagnes des salaires sympathiques, ça fait un gros changement. Et là j’ai eu un accident de vie : opération de la colonne vertébrale, hernie discale – ça parle peut-être à certains – un début de paralysie au niveau de la jambe droite. Et cette opération en fait m’a laissé un handicap que j’ai toujours aujourd’hui. Alors c’est un handicap qui n’est pas visible, mais ça nécessite des piqûres de morphine tous les jours, comme hier pendant le séminaire. Et du coup, j’ai perdu mon emploi, parce que je n’étais plus assez rentable pour ce niveau de rémunération. Et donc je me suis dit : « ce n’est pas un problème, je suis diplômé d’une des meilleures écoles de commerce, j’ai un super parcours dans les boîtes de conseil, j’ai 30 ans. Je vais retrouver du travail ». Et en fait, pas du tout. Le marché m’a envoyé en pleine tête un message que j’ai bien reçu : « si tu n’es pas valide à 100 %, ta valeur, elle est divisée par deux ou trois ». Donc on me proposait plein d’embauches parce que vous savez qu’en France, les entreprises sont obligées d’avoir des travailleurs handicapés, sinon elles payent une taxe. Mais comme j’étais handicapé, on me proposait 3 000, 4 000 € par mois, alors que j’en gagnais deux ou trois fois plus avant. Donc j’ai refusé ce dictat un peu de ce système et je me suis dit : « eh bah je vais monter mon business ». Donc j’ai commencé à apprendre, je suis parti à l’étranger. Et donc pendant un peu plus de deux ans, j’ai enchaîné le chômage, puis le RSA. Et en fait, bah le RSA, ce n’est pas évident, c’est 473 € par mois. Je suis papa de trois enfants, je suis divorcé, donc c’est chaud. Et la question que je me suis posée à ce moment-là, c’est : quel véhicule entrepreneurial je peux prendre pour gagner de l’argent maintenant ? Pas dans deux mois, pas dans trois mois, maintenant, parce que j’avais épuisé toutes mes économies pour les soins médicaux, etc.
Ouais, les années précédentes où tu gagnais bien, tu avais eu quand même cette intelligence de mettre de l’argent de côté qui t’a un peu sauvé sur le moment ouais.
Sur quelques années.
RSA, retour chez ses parents, divorce
Alors tu n’as pas précisé vis-à-vis des années, tu as fait trois années au RSA. Alors ça va être intéressant un petit peu, c’était quoi ton quotidien à ce moment-là ? Puisque j’imagine, si ta famille est encore vivante, peut-être qu’ils te donnaient, je ne sais pas moi, voilà, la négativité ambiante, est-ce que tu avais la tête dans le seau ? Parce que souvent, quand on est sous terre, on peut assez rapidement sombrer dans la dépression, crises d’angoisse, voire – je ne vous le conseille pas – le suicide. Puisque j’avais regardé un coup le mot concurrentiel « comment se suicider » et c’est hallucinant le nombre de fois comment c’est recherché dans Google. Donc, dis-nous tout sur cette période de trois ans du RSA.
Alors pour tout te dire, ça a été très dur émotionnellement parlant, pour deux raisons évidentes. Premièrement, bah j’ai eu honte de moi, même si c’est un accident de vie qui m’est arrivé. Mais je me suis dit plein de choses : « pourquoi je n’ai pas plus investi de l’argent pour avoir des actifs qui tournaient pour moi ? Pourquoi je n’ai pas pris plus soin de mon corps en faisant peut-être plus de sport ? » Pendant que je bossais pour un patron pour avoir une belle augmentation à la fin de l’année, j’ai oublié ma santé. Donc c’était une certaine un peu honte d’en être arrivé là. Par rapport à mes enfants, j’avais du mal à les regarder dans les yeux parce que je ne pouvais pas leur offrir des beaux cadeaux par exemple pour leurs anniversaires. Et pendant quelques mois, j’ai été obligé de revenir chez mes parents. Donc quand tu as 30 ans, que tu as fait un Bac+5, que tu as eu une carrière qui est plutôt, on va dire, intéressante et que tu dois revenir chez papa et maman, c’est chaud.
Ça prend un coup pour la fierté personnelle, j’imagine.
C’est chaud. On ne parlait pas beaucoup parce que je suis plutôt pudique, donc ils ne me posaient pas trop de questions non plus, mais ils avaient confiance en moi.
OK.
Le marketing de réseau pour gagner du cash rapidement
Ils avaient confiance en moi. Et du coup à ce moment-là, je me dis : qu’est-ce que je peux faire pour générer de l’argent maintenant ? Et je m’intéressais déjà au webmarketing, à l’infoprenariat, mais la raison pour laquelle je ne me suis pas lancé là-dedans, c’est que je me suis dit : « il va me falloir beaucoup de temps pour apprendre à créer un site – puisque c’était il y a quelques années en arrière, on n’avait pas tous les outils faciles d’aujourd’hui – donc pour créer un site, pour créer un produit ». Je n’ai pas eu la présence d’esprit de vendre le produit de quelqu’un d’autre. Donc en fait je me suis dit, l’infoprenariat, le webmarketing, c’est trop long avant de pouvoir générer des revenus. Et là je me suis intéressé au marketing de réseau. Alors c’est bizarre, parce que moi j’avais un a priori très négatif sur le marketing de réseau.
Alors la date, c’était quoi ? 2013 du coup le…
2013, exactement.
Donc 2013, déjà, moi j’ai démarré sur Internet le 1er février 2011. Donc ça n’avait été évidemment pas autant développé qu’aujourd’hui, mais déjà en 2013, il y avait de quoi faire pour gagner de l’argent sur le web. Et du coup, qu’est-ce qui t’a vraiment le plus motivé du MLM qu’un business en ligne, que du dropshipping, de l’Amazon FBA ou voilà, d’autres alternatives qui auraient pu aussi te rapporter du cash rapidement ?
Alors en fait, ce sont quelques vidéos que j’ai vues sur YouTube, une vidéo de Tony Robbins qu’on connaît tous.
Donc développement personnel pour ceux qui ne connaissent pas, mais voilà, je pense que tout le monde connaît.
Exactement. Et Tony Robbins en fait dans une interview, on lui demande son avis sur le marketing de réseau. Et dans cette vidéo, il recommande chaudement, chaleureusement, parce qu’il dit que c’est une manière très simple et sans risque de démarrer un business à temps partiel ou à temps plein. Et ensuite, je vois une autre vidéo de Robert Kiyozaki qui recommande le marketing de réseau, de Richard Branson, le fondateur de Virgin, qui dit même qu’il a démarré par le marketing de réseau. Je me dis : « bon, il y a peut-être quelque chose que j’ai mal compris. Et mon a priori négatif sur le marketing de réseau, je vais peut-être le mettre de côté un peu et je vais commencer à lire ». Et j’ai lu un bouquin que j’ai trouvé à la Fnac, que je vous conseille d’ailleurs, qui s’appelle « Les prochains millionnaires ». C’est un ouvrage de Paul Zane Pilzer. Paul Zane Pilzer était le Vice-président de la Citibank à 26 ans.
OK, donc très très lourd.
Très lourd, il a conseillé plusieurs Présidents américains et sa spécialité, ce sont les tendances économiques, il arrive à prédire l’avenir. Et dans son livre, il explique qu’il y a deux industries qui vont créer plus de millionnaires que la musique, que le sport, que le cinéma. Premièrement, c’est l’anti-âge. Son analyse elle est très simple, les baby-boomers, on s’en souvient tous, un milliard de personnes nées après la Seconde Guerre mondiale. Eh bah aujourd’hui, ce milliard de personnes, ils ont entre 54 et 72 ans. Et leurs problématiques communes, c’est comment vieillir en bonne santé, comment se sentir jeune et comment paraître jeune. Donc qu’est-ce qu’ils font ? Ils investissent beaucoup d’argent dans des produits cosmétiques, dans des compléments alimentaires le plus naturels possible pour pouvoir investir dans leur santé. Donc sa première recommandation, c’est : positionnez-vous sur l’anti-âge, parce que c’est une industrie qui a une croissance insolente. Pour te donner un chiffre, à l’heure où on se parle, 300 milliards de dollars sont dépensés chaque année dans cette industrie-là de l’anti-âge.
300 milliards de dollars ouais, ahurissant, énorme.
Et quand il parle de la progression dans les dix années à venir, il pense que ce marché va tripler.
Alors ça, c’était en quelle année que… ?
2013, je lis son bouquin.
En 2013. Donc là, d’ailleurs ça a déjà encore augmenté, OK.
Ça a continué à augmenter. Et la deuxième industrie qu’il propose de surveiller avec beaucoup d’attention, c’est l’industrie du bouche-à-oreille rémunéré, donc de l’affiliate marketing, de l’infoprenariat, du marketing de réseau. Il explique d’une manière très simple : le bouche-à-oreille, c’est quelque chose qui est vieux comme la nuit des temps, on a toujours recommandé les choses qui nous plaisent et on a toujours dénoncé les choses qui nous ont généré des émotions négatives.
Ouais, des grosses déceptions, absolument.
Exactement. Mais le problème, c’est qu’avant internet, c’était très compliqué de savoir qui a recommandé quoi à qui et donc c’est très compliqué de rémunérer ce bouche-à-oreille. Quand internet est arrivé, les traqueurs sont arrivés, les liens d’affiliation sont arrivés et du coup on sait qui a recommandé quoi à qui grâce à ces traqueurs, et donc on peut rémunérer le bouche-à-oreille.
Absolument.
Et ça a modifié l’économie mondiale et la majorité de la population participe à ce nouveau phénomène sans savoir que ce phénomène existe. Peut-être que vous achetez des produits sur Amazon et vous n’avez aucune idée que Amazon dispose d’un réseau d’affiliés colossal, moi je suis affilié Amazon par exemple, et dès que je fais la promotion d’un produit Amazon, Amazon me rémunère. Je n’ai pas de boutique Amazon, je n’ai pas de produits à vendre, simplement le bouche-à-oreille que je fais sur les réseaux sociaux, eh bah Amazon me rémunère. Et c’est comme ça aussi que tu as monté, je pense, une partie de tes business, c’est sur la rémunération de ce bouche-à-oreille. Donc pour moi, la prise de conscience quand je lis ce bouquin, je me dis : « mais alors, il me faut me trouver une société qui est dans l’anti-âge et qui fonctionne en marketing de réseau ».
Absolument. Et…
Oui, pardon.
Le marketing de réseau dans Jeunesse Global France
Alors je te laisse continuer. Du coup vous vous dites certainement, alors qu’est-ce que tu as choisi comme marketing de réseau et pourquoi celui-là plutôt qu’un autre ? Je te laisse poursuivre.
Alors, c’est vrai qu’il y a beaucoup beaucoup de choix dans le marketing de réseau, il y a des milliers de compagnies. Moi je suis consultant de métier, donc je suis très froid, très factuel. Ce que j’ai fait, j’ai regardé la liste des sociétés qui sont en train d’émerger, donc je ne voulais pas prendre une société qui a 10-20-30-40 ans déjà derrière elle, parce que je pense que le timing est passé. Je voulais une société récente, trois-quatre ans, mais qui était déjà identifiée comme une future superstar. Et il se trouve qu’il y a une association des sociétés de marketing de réseau aux États-Unis qui s’appelle la DSA, Direct Selling Association. Et cette association regroupe les sociétés légales de marketing de réseau, important, et il y a une élection de la société la plus prometteuse. Donc ce sont les grands du marketing de réseau qui regardent les toutes nouvelles sociétés et qui essayent d’identifier laquelle a le meilleur modèle économique, le meilleur produit et les meilleures chances de performer. Et en 2012, qui est-ce qui a obtenu ce prix ? La société Jeunesse Global. À l’époque, elle fait 125 millions de chiffre d’affaires, c’est sa troisième année. Donc elle a démarré à 30 millions, 60 millions, 125 millions, et je décide de…
En 2013 du coup, là, dans celle-ci ?
… de démarrer, exactement. Donc bah j’étais très bien inspiré, puisque trois ans après, elle atteint 1 milliard de dollars de chiffre d’affaires. Pour vous donner un ordre d’idée, les sociétés qui mettent six ans pour atteindre 1 milliard de chiffre d’affaires, Facebook a fait six ans, Apple a fait six ans, eBay a mis un an de plus que nous puisqu’ils ont mis sept ans pour pouvoir atteindre ce milliard. Mais à l’époque, il n’y avait rien en français, ce n’était pas encore lancé, donc j’ai dû tout traduire et j’ai importé le concept en France. Donc août 2013, le démarrage de mon aventure.
Alors du coup, est-ce que tu peux nous donner la distinction entre 1 million et 1 milliard pour vraiment que vous compreniez l’immense différence ? Parce que tu expliquais, voilà, que Facebook, Apple l’ont fait en six ans et eBay en sept ans. Mais souvent, alors on n’a peut-être pas conscience réellement du gap monumental entre ces deux critères.
Exactement. Alors comme je le précise du coup, hier dans le mastermind, 1 million… imaginez si je vous donne 1 million de secondes de vacances là tout de suite, maintenant, vous pouvez partir en vacances pendant les 11 prochains jours. Si je vous donne 1 milliard de secondes de vacances, vous êtes en vacances pendant les 32 prochaines années. Voilà la différence entre 1 million et 1 milliard, c’est énorme.
Donc 11 jours versus 32 ans.
Exactement.
Donc hallucinant ouais. Alors, est-ce que tu peux nous dire les premières années, donc tu as démarré en 2013. Alors, comment ça s’est déroulé ta première année, tes premiers 18 mois ? Parce que bah j’imagine, c’est comme toute activité, sauf cas extrêmes, c’est assez compliqué d’avoir voilà, des résultats fulgurants. Quel est ton ressenti et puis comment ça s’est déroulé pour toi ?
Le code 1 – 3 – 5 – 7
Alors, c’est marrant que tu me poses cette question, parce qu’en fait, il y a quelque chose d’intrigant dans ce démarrage. Je parle souvent du code 1-3-5-7 pour expliquer comment se passe une aventure dans le marketing de réseau et je crois que c’est très proche du webmarketing et de l’infoprenariat. 1-3-5-7, c’est un code qui m’a été donné par Éric Worre. Alors vous connaissez peut-être Éric Worre, l’auteur de Go Pro. J’ai eu la chance d’être formé par lui au marketing de réseau, j’ai la chance de le compter dans mes amis. Et en fait 1-3-5-7, 1 c’est un an, c’est ce qu’il faut pour apprendre le marketing de réseau. Donc dans votre première année, ne comptez pas gagner d’argent, mais vous allez juste apprendre, gagner 2-3… voilà, quelques centaines de milliers d’euros pour payer vos produits et vos formations, c’est tout. Trois ans, c’est ce qu’il vous faut pour remplacer votre salaire par une rémunération sur votre marketing de réseau. Mais attention, si vous gagnez 3 000 € de salaire et que vous gagnez 3 000 € avec votre marketing de réseau, ça n’a pas du tout la même valeur. D’un côté, vous avez 3 000 € par rapport au temps que vous donnez à votre patron. Donc dès que vous arrêtez de donner ce temps, la rémunération disparaît.
Absolument.
Et de l’autre côté, vous avez 3 000 € qui sont générés par un réseau, donc votre rémunération ne dépend plus de vous, ne dépend plus de votre temps de travail, ne dépend plus de vos actions au quotidien, mais dépend de l’organisation du système que vous avez monté. Donc moi je préfère beaucoup avoir 3 000 € en marketing de réseau que 3 000 € en salaire. Après, le numéro 5, cinq ans, c’est ce qu’il faut pour devenir Diamant Directeur. Donc chez Jeunesse, un Diamant Directeur génère 1 million de dollars de revenus par an. Et sept ans pour devenir une star internationale. Donc 1-3-5-7. Et donc moi, mes dix-huit premiers mois, j’ai généré 110 000 € de chiffre d’affaires avec Jeunesse, c’est-à-dire une rémunération ridicule, j’ai presque honte d’en parler. Et d’ailleurs, souvent quand je me présentais, je disais que j’avais vraiment démarré en 2015, parce que de 2013 à 2015, j’étais peut-être avec un état d’esprit amateur, je ne faisais pas les choses suffisamment sérieusement. Donc c’est un début, on va dire, catastrophique. Mais après, quand tu m’as raconté son histoire de la première année, zéro….
Voilà, zéro, donc ça confirme, 0-8 000-32 000-71 000-103 000-238 000-626 000, et en 2018 je vais faire entre 900 000 et 1 million d’euros. Finalement, bah moi ça m’a tout de suite parlé quand tu as dit 1-3-5-7, c’est exactement ça.
Exactement. Donc du coup par contre ce qui se passe, c’est que fin 2014, je décide d’appliquer des stratégies du webmarketing et de l’infoprenariat à mon business Jeunesse. Donc je crée des vidéos, je crée un site Internet, une sorte de tunnel pour capter les prospects, et alors là, tout change. A ce moment là, je ne savais pas encore très bien comment créer un site internet qui rapporte de l’argent mais on chiffre d’affaires généré en 18 mois maintenant est devenu mon chiffre d’affaires mensuel, et je termine ma première année donc 2015 avec 1,5 million de dollars de chiffre d’affaires.
Une présence en ligne qui lui permet de faire décoller son business
D’accord, donc ce qui commence à être assez sympathique. Toi, c’est vraiment ta présence en ligne qui t’a permis d’exploser à ce moment-là ?
Oui parce qu’en fait, mon analyse a été très simple. Je me suis dit : « il y a plein de personnes qui vont découvrir Jeunesse Global », donc c’était un peu un pari sur l’avenir, mais les ingrédients les indicateurs étaient quand même au vert. Et je me suis dit : ces personnes-là peut-être vont découvrir Jeunesse avec quelqu’un qui n’est pas professionnel, donc ils n’ont pas envie de travailler avec lui ; avec des personnes qui ne vont pas faire de suivi derrière, du coup ils vont rester dans la nature. Et donc qu’est-ce qu’ils vont faire ? Ils vont aller sur Google et ils vont taper Jeunesse Global France pour aller plus loin, pour compléter leur niveau de connaissances sur cette opportunité. Et quand ils vont taper Jeunesse Global France, je voulais qu’ils tombent sur moi, sur mes vidéos de présentation, mais également sur des vidéos de formation que j’ai laissées gratuitement disponibles à tout le monde, comme par exemple ma formation à l’invitation. Aujourd’hui elle a, je crois, 22 000 vues, donc elle a été vue par plein d’autres compagnies et je suis content de l’avoir laissée gratuitement à tout le monde, j’aurais pu la vendre, clairement. Et donc toutes ces personnes qui ont trouvé mes vidéos, eh bah une partie d’entre elles m’ont contacté à travers donc mes formulaires et m’ont dit : « David, j’ai vu tes vidéos et j’ai entendu parler de Jeunesse, j’aimerais démarrer avec toi ». Et c’est juste énorme, parce que la plupart des gens qui font du marketing de réseau sont en grande difficulté, parce qu’ils sont obligés d’aller contacter leurs marchés froids ou leurs marchés chauds, donc ils ont une démarche un peu de prospection active, et moi j’ai inversé la tendance, ce sont les personnes qui viennent me voir pour me demander : « est-ce que je peux démarrer avec toi ? » C’est jouissif.
Ça c’est bah jackpot pour toi et c’est tellement gratifiant sur le plan personnel et professionnel.
C’est magnifique. Donc avec ce système Internet qui est complètement… qui était amateur, parce que je n’étais pas du tout professionnel, j’ai parrainé 200 personnes, personnellement, en trois ans.
Alors, est-ce que tu peux… si vous démarrez dans le marketing de réseau, tu as donné pendant le mastermind, comment on démarre souvent via l’objection : « oui, mais moi j’ai zéro réseau, tout le monde va me remballer ». Donc première chose, revenir sur la loi statistique, le nombre de refus. Et deuxième chose, quand une personne parraine à chaque fois une autre personne, bah finalement, combien de personnes on a au bout d’un an ? Sur ces deux points-là.
Ses conseils pour réussir dans le marketing de réseau
D’accord. Alors, par rapport aux objections, il y a cinq objections dans le marketing de réseau, on les connaît, c’est : « je n’ai pas d’argent », « je n’ai pas de temps », « je n’ai pas d’amis », « qu’est-ce qui me dit que tes produits ne sont pas dangereux ? » et « c’est du pyramidal, c’est illégal ». Donc ça, on les entend tout le temps.
Lever les barrières limitantes
Et en fait on a des réponses pour les cinq qui sont très simples. Le côté pyramidal, illégal, bon moi je me suis renseigné avec mon avocat, vous pouvez regarder sur YouTube « Laurent Wauquiez marketing de réseau », donc Laurent Wauquiez quand il était secrétaire d’État à l’emploi, il a signé un accord national avec le Ministère de l’Économie et des Finances, Pôle Emploi et la fédération de la vente directe qui regroupe les sociétés légales en France dont forcément Jeunesse fait partie. Donc quand on envoie cette vidéo, les gens comprennent que c’est légal, qu’il faut simplement choisir une société qui est bien référencée et qui fait les choses correctement. Sur « est-ce que vos produits sont dangereux ? », les gens quand ils ne voient pas les produits dans un magazine ou à la télévision, ils ont l’impression que c’est dangereux, alors qu’on a beaucoup de médecins qui les utilisent, c’est validé depuis déjà bien bien des années, et nos produits sont top top qualités, puisque majoritairement naturels. Sur l’objection « je n’ai pas d’amis », bon là c’est très simple, je leur montre un exemple, comment avec 12 personnes vous pouvez créer un réseau de 4 000 en un an. Donc je vais vous donner l’exemple juste après. « Je n’ai pas d’argent », c’est une question de priorité. Souvent la personne qui me dit « je n’ai pas d’argent, sur la table il y a un Samsung S8 ou un iPhone 8 qui est justement le prix de son démarrage à Jeunesse. Donc je dis : « plutôt que d’avoir de l’argent dans un téléphone qui va déprécier année après année, dans trois ans il ne vaudra plus rien, eh bah peut-être revends ton téléphone, mets cet argent dans un véhicule entrepreneurial et après, tu pourras t’acheter un nouvel iPhone tous les ans sans avoir même besoin de regarder le prix ». Et pour les gens qui disent finalement « je n’ai pas le temps », bah le temps, si on a un vrai pourquoi et si on a compris ce que l’on peut obtenir avec ça, le temps on le trouve, c’est juste une fausse excuse. Donc pour revenir sur l’exemple clé, comment avec 12 personnes on peut créer un réseau de 4 000 personnes, c’est ce qu’on appelle la loi géométrique. Donc, imaginez que vous démarrez une activité de marketing de réseau, vous êtes très occupé et vous n’avez le temps que de parrainer un nouveau distributeur par mois, ça veut dire 12 personnes sur une année. Qu’est-ce que vous pouvez espérer comme réseau à la fin de l’année ? À partir du moment où cette personne-là, vous allez lui apprendre à faire comme vous, à parrainer une personne par mois, vous rentrez dans ce qu’on appelle le système de la duplication. Donc ce que vous faites, les autres le font et ainsi de suite. Et avec ce système-là, une personne par mois qui fait la même chose que vous, faites le calcul, à la fin de l’année vous avez 4 096 personnes dans votre réseau. Et 4 000 personnes dans un réseau, ça fait beaucoup de chiffre d’affaires, ça fait beaucoup de rémunérations également. Alors bien sûr, la vie réelle ce n’est pas linéaire, donc tout le monde ne va pas le faire. Mais même si vous n’avez que 25 % d’objectifs atteints sur ces 4 000, ça vous fait un réseau de 1 000 personnes. Et moi, c’est exactement ce qui m’est arrivé, puisque ma première année, donc en 2015 quand j’ai vraiment commencé à construire, à la fin de l’année j’ai eu 1 000 personnes dans mon réseau. Et 1 000 personnes dans son réseau, ça m’a produit 1,5 million de chiffre d’affaires. La deuxième année, 2016, mon réseau a augmenté pour passer à 4 000 partenaires. Et ma troisième année, bah il y a eu une explosion, je suis passé à 12 000 partenaires répartis dans 65 pays. Mais à la base, comment ça a démarré ? J’ai donné le produit à ma maman pour qu’elle le teste, tout est parti de là. C’est une personne qui en parle à une, qui en parle à une, qui en parle à une, et l’effet boule de neige prend un peu de temps, c’est pour ça qu’on parle du 1-3-5-7. Mais il faut être patient parce que c’est dans les dernières années que la rémunération prend un effet de levier magnifique, et du coup tout le travail que vous avez fait au début, les deux-trois premières années, vous n’avez pas une rémunération énorme, eh bah vous êtes payé pour ce travail-là. Et j’ai souvent l’habitude sur scène, quand je fais des séminaires, le dernier d’ailleurs j’étais à Berlin, j’avais l’honneur d’être en face de 6 000 personnes dans le vélodrome de Berlin.
Gros gros event.
Des efforts qui payent de manière exponentielle
Gros event. Et ce que je dis souvent, c’est que quand on est salarié, la rémunération que l’on a en tête, l’habitude qu’on a, ça donne à peu près ça : « je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je suis payé ». Donc je travaille quatre semaines, je suis payé. Et vous avancez dans l’année, ça continue : « je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je suis payé. Je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je suis payé ». Quand vous êtes entrepreneur, que ce soit comme Maxence, comme Jonathan, comme moi, c’est une musique qui est totalement différente, ça sonne plutôt comme ça – et tu me confirmeras : « je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je suis payé ». Mais après, on continue à développer son système internet, et donc la musique change un peu : « je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je suis payé, je suis payé, je suis payé, je suis payé ». Ça commence déjà à sonner mieux, non ?
C’est plus sympa ouais.
Exactement. Mais après, quand on fait des efforts, quand on arrive dans sa troisième, quatrième, cinquième année, ça ressemble plutôt à ça : « je travaille, je travaille, je travaille, je suis payé, je suis payé, je suis payé, je suis payé, je suis payé, je suis payé, je suis payé, je suis payé ». Et c’est ça qu’il faut avoir en tête. Quand vous changez votre état d’esprit du salarié qui veut être payé après quatre semaines de travail un taux horaire et que vous passez en entrepreneur où vous comprenez qu’au début, vous allez être sous-payé pour le travail que vous faites, parce que vous êtes en train de construire l’outil, construire le système, vous êtes en train de construire votre réputation, votre notoriété, mais qu’à la fin la musique, ça va être « je suis payé, je suis payé, je suis payé, je suis payé », donc au début vous êtes sous-payé pour ce que vous faites, et après vous êtes surpayé pour ce que vous faites. Je suis sûr que le travail que tu as fait au début, en termes d’heures et en termes d’implication, c’est à peu près équivalent à ce que tu fais aujourd’hui, mais ta rémunération elle a complètement changé, alors que c’est à peu près le même travail, tu donnes du contenu, tu donnes de la valeur ajoutée, tu es dans le partage, tu es dans la communication et tu essayes toujours de trouver comment aider les autres. Tu faisais ça il y a cinq ans, tu fais ça aujourd’hui, il y a cinq ans tu étais sous-payé pour le faire, parce que tu n’avais pas encore la notoriété.
Aujourd’hui je suis…
Largement surpayé, on est d’accord.
Je suis largement surpayé ouais. Pour vous donner un exemple, donc là on est à la fin de la matinée et donc ce matin, donc de minuit à 11h59, voilà, j’ai encaissé 1 000 € de ventes, donc du coup, évidemment que c’est quand même plutôt sympa.
Eh bah oui. Et c’est marrant parce qu’on a… avec ton frère, on vient d’encaisser nous aussi ce matin, alors que bah là c’est le premier rendez-vous, il est… pareil, une formation, donc 1 000 €, plus l’option à 1 000 €. Donc voilà la magie du système, c’est que ça travaille même quand nous on fait autre chose.
Alors, je voulais aussi revenir donc vis-à-vis des plans de rémunérations, donc de manière générale sur les ventes ou les revenus globaux du marketing de réseau, il te reste… si le réseau – on va prendre ça – fait 1 million d’euros, tu as 12 %, donc 120 000 € pour toi. C’est 10-12 % ? Quelle est un petit peu la tendance, puisqu’il y a peut-être des gens… alors ça du coup, ça n’a rien à voir avec l’infoprenariat, il y aurait plus un modèle d’Amazon ou alors de dropshipping où du coup, bah là il faut penser à sa marge. Alors ce qui est bien, c’est que c’est un peu moins complexe que Amazon FBA ou le dropshipping, mais c’est différent de l’infoprenariat où là en l’occurrence, sur les 1 000 €, il faut juste que j’enlève frais Stripe et taxes et frais divers et ensuite tout le reste, c’est in the pocket pour moi. Mais le MLM, comme bah il y a le produit à payer, il y a également à payer un tout petit peu des différentes lignes du marketing de réseau. Voilà, quelle est un petit peu la tendance ? Donc vis-à-vis d’1 million d’euros sur son réseau, combien tu touches ? 10 % ? 7 % ? 8 % ? 12 % ? Quels sont les chiffres ?
Alors, je vais t’expliquer. Effectivement, on ne peut pas gagner sur tous les plans parce que quand vous démarrez avec Jeunesse par exemple, à la seconde où vous vous inscrivez, vous avez une boutique en ligne traduite en 30 langues, Fedex qui livre dans 150 pays, une application iPhone, Android, des outils marketing, toutes les formations sont prêtes, tous les éléments commerciaux sont prêts, donc vous avez une sorte de microfranchise clé en main à la seconde où vous vous inscrivez, et ça coûte, pour les gens qui veulent faire ça sérieusement, à peu près 1 000 €. Mais étant donné que tu n’as rien à faire pour construire ton système et qu’après, ton activité pendant les semaines qui suivent, les mois qui suivent, c’est uniquement de communiquer, donc tu n’as pas ni la logistique, ni le site Internet, ni les paiements, ni le service client puisque tout ça, c’est géré par Jeunesse, tu ne peux pas avoir les mêmes marges qu’en infoprenariat, ce qui est évident.
Ce qui est logique.
Donc pour faire simple, dans le marketing de réseau, il y a la rémunération de vos propres clients et de vos propres parrainages, donc ça, on va le mettre de côté puisque ça dépend de vos actions, mais il y a la rémunération sur votre réseau. Donc pour répondre à ta question, si mon réseau fait 1 million de chiffre d’affaires, la société Jeunesse va garder 50 % pour elle pour faire fonctionner le business et 50 % va permettre de rémunérer l’équipe, d’accord ? Donc sur 1 million il y a 500 000 au minimum qui est redistribué à l’équipe. En tant que leader, sur ces 500 000, on a entre eux 12 et 15 % de rémunération personnelle. Donc sur 1 million de ventes, 500 000 de commissions pour l’équipe, 12 à 15 %. Donc moi ma première année, en l’occurrence 2015, j’ai généré 75 000 € de ventes et j’avais fait un million et demi de dollars, donc ça faisait 1,2 million à peu près d’euros.
D’accord, donc tu as touché 75 000 $ et…
Euros, c’était en euros.
Euros pardon, et 1,2 million avait réalisé le réseau.
1,2 million. Donc ça faisait 600 000 de bonus et sur ces 600 000 j’ai dû toucher 12-13 % à peu près. Et à ça, on ajoute toutes les ventes que j’ai faites à mes propres clients qui ne rentrent pas là-dedans, tous les parrainages que j’ai faits qui ne rentrent pas là-dedans aussi, et bien sûr les voyages, puisque j’ai gagné plusieurs voyages, donc avion, hôtel, frais payés, donc c’est des avantages en nature.
Quel est le dernier voyage que tu as que tu as réalisé du coup ?
Alors le dernier voyage, c’était à Orlando.
Orlando, États-Unis, OK.
Très sympathique. Donc je suis monté sur scène là-bas, donc je n’ai pas fait de speech, mais j’ai été reconnu pour avoir atteint un rang élevé. Donc aujourd’hui je suis Émeraude Directeur, mais à l’époque j’étais Rubis. Et donc c’est intéressant parce que la reconnaissance se passe dans une salle avec 18 000 personnes, c’est juste énormissime, tu as l’impression d’être dans une salle de concert.
C’est un stade.
Ouais, c’est un stade. Donc voilà, tous frais payés, Orlando, l’hôtel magnifique, un palace. Et puis les faux frais sur place, donc une petite enveloppe avec un peu de cash c’est toujours sympathique. Donc on va dire que globalement sur l’année, vous pouvez avoir 4-5-6-10 000 € à peu près en gains voyage par Jeunesse, donc ça fait plaisir aussi, c’est de l’argent en moins que tu dépenses.
C’est le 13ème et le 14ème mois bien sympathiques.
Exactement.
Alors je voulais aussi que tu reviennes sur donc la période par rapport RSA, plus tes enfants. Donc tu l’as dit brièvement tout à l’heure, parce que je sais aussi bah voilà, le pourquoi, c’est quelque chose de primordial pour vraiment réussir. Donc personnellement, je n’ai pas d’enfant, donc je vais moins le comprendre que si vous avez des enfants, ce qui est fort probable en regardant la vidéo. Et toi, ça t’avait motivé ? Voilà, dis-nous. Donc un de tes trois enfants voulait partir quelque part sur la planète, donc notamment New York, donc ça coûte une blinde. Là tu as un autre enfant qui veut aller au Japon. Là aussi, ça n’a quand même rien à voir donc avec d’autres pays, ça coûte une blinde également. Voilà, ce qui t’avait motivé, voilà, si tu pouvais nous refaire un petit speech sur ce scénario-là aussi, ce qui t’a donné envie de ne pas lâcher, même si pendant un an et demi c’était très mitigé tes différents résultats. Et c’est la persévérance qui t’a permis aujourd’hui d’avoir des résultats fulgurants. Dis-nous tout.
Hacker son cerveau pour se focaliser sur les autres
OK, avec plaisir Maxence. En fait, ce qui s’est passé, c’est que quand ma fille donc a eu 10 ans, j’étais en train de démarrer Jeunesse et donc je galérais. Et à ce moment-là…
Et tu n’avais pas d’oseille.
Je n’avais pas d’oseille.
Poches vides.
Poches vides. Et à ce moment-là, son anniversaire arrive et je ne peux pas lui offrir un beau cadeau. Et ma fille, elle s’en fiche parce que recevoir un cadeau de son papa, peu importe le cadeau…
Quand on a 10 ans, ça va.
Mais moi, ça m’a déchiré le cœur je me suis senti coupable, vous savez, je parlais de cette culpabilité et j’ai voulu me rattraper, et j’ai voulu aussi me donner une bonne raison de réussir, donc hacker mon cerveau, parce que je me suis rendu compte que quand le principal objectif, c’était de gagner de l’argent pour moi-même, ce n’était pas aussi puissant que quand l’objectif, c’était de faire plaisir aux gens que j’aime. Et donc ce qui s’est passé, c’est que ma fille, à ce moment-là, je lui ai fait une promesse. Je lui ai dit : « ma fille, dans deux ans, ça sera l’équivalent de la communion, donc ce qu’on appelle la Bat Mitzvah », et je dis : « tu vas choisir n’importe quelle ville dans le monde et on va aller passer une semaine, ton frère, toi et moi, ça sera ton cadeau pour tes 12 ans ». Et elle a choisi effectivement New York. Donc à ce moment-là, quand tu gagnes 473 € par mois et que ta fille vient de te dire : « papa, je choisis New York », Besançon ça m’aurait convenu (Rire.) Mais on a été plus loin avec elle, c’est-à-dire qu’on a créé son voyage. Je lui ai dit : « qu’est-ce que tu aimerais faire là-bas ? » Elle m’a dit : « j’adore le basket, est-ce qu’on peut aller voir un match de NBA au Madison Square Garden ? J’ai envie d’aller au musée où a été tourné le film “La nuit au musée”. J’ai envie d’aller me recueillir sur le 11 septembre. J’ai envie d’aller dans China Town, etc., etc. » Donc on a fait la liste de toutes ces activités et elle a commencé à en parler à ses copines à l’école : « dans deux ans, je pars à New York avec mon papa. Dans deux ans, je vais voir un match de NBA à New York » et elle a commencé à être excitée. Et à ce moment-là, une fois que j’ai transmis cette promesse à ma fille, je savais une chose, c’est que l’échec était impossible. Je ne savais pas comment j’allais réussir, mais je savais une chose, c’était impossible de décevoir ma fille. Parce qu’en fait, dès que j’avais des journées où ça allait moins bien, parce que je suis comme vous, des fois on n’a pas envie de bosser, des fois on est un peu déprimé, des fois on en a marre, des fois ça ne se passe pas comme on aimerait. Moi, tous les matins quasiment j’ai ma piqûre de morphine et la douleur qui peut des fois ne même pas me permettre de m’asseoir 15-20 minutes, c’est très compliqué à gérer. Et en fait, à chaque fois que j’avais ces moments un peu où l’émotion n’est pas top, je me conditionnais et je réfléchissais, je pensais à ma fille, le premier jour après ses 12 ans à l’école, quand ses copines viennent la voir en lui disant : « alors, c’était comment New York ? Alors, ton papa t’a amenée à New York ? », et là, qu’elle ait à dire : « bah non, mon papa il a eu des problèmes au travail, il n’a pas réussi à me payer le voyage, du coup je ne suis pas partie à New York ». Et là j’imagine toutes ses copines de classe qui sont en train de se foutre de sa gueule, qui sont en train… parce que les enfants sont justes impardonnables, enfin ils sont vraiment très très…
Ouais, ils sont vraiment dans le présent et voilà, ils s’en foutent s’ils blessent ou pas, et ce qui est logique, c’est le côté 100 % authentique.
100 % authentique. Et je vois ma fille en train de recevoir toutes ces moqueries de ses copines et je la vois en train de pleurer, et je l’imagine même en train de me défendre : « mais mon papa, il a mal au dos et c’est pour ça que ça ne s’est pas bien passé. Mais il avait vraiment envie de me faire ce cadeau-là, il ne m’a pas menti ». Et quand je l’imagine en train d’essayer de me défendre auprès de ses copines, quand je l’imagine en train de pleurer secrètement dans les toilettes parce qu’elle a été trop trop blessée par ses copines, vous imaginez le boost d’énergie, on devient inarrêtable. Donc ça a été mon moteur pendant deux ans. Pendant deux ans, j’ai travaillé pour lui offrir ce cadeau. Et quand ses 12 ans sont arrivés et que je lui ai envoyé donc le billet d’avion en Airbus A380 puisqu’on a choisi cet avion-là, parce qu’elle a un peu peur en avion, donc c’est l’avion le plus confortable pour voyager. On a choisi l’hôtel à Time Square avec la piscine, il y a très peu d’hôtels avec la piscine, parce qu’on avait envie également de se détendre le soir. Le soir de son arrivée, la limousine était en bas. Avec son frère, on est rentré dans la limousine et on est arrivé au Madison Square Garden dans cette belle limousine et on a été voir un match des New York Knicks, et j’ai vu l’étincelle dans ses yeux. Et je me suis dit : « bah franchement, ces deux années où ça a été dur, où des fois j’avais envie d’abandonner et des fois j’avais envie de tout lâcher, mais j’ai tenu pour elle », et ça, c’est mon enseignement, c’est ma clé du succès. Alors si aujourd’hui, vous avez envie de passer au niveau supérieur et que vous sentez que vous n’êtes pas dans votre plein potentiel, qu’il y a des choses qui vous retiennent un peu, peut-être quelque chose qui peut vous aider à passer au-delà, c’est associer vos proches à votre succès, faites des promesses aux gens que vous aimez parce qu’une fois que la promesse est sortie, la déception, elle ferait tellement mal que finalement la douleur d’aller bosser et de se mettre un coup de pied au cul, ce n’est rien comparé à ça. Et du coup votre cerveau, il est toujours là pour vous assurer d’avoir le moins mal possible. Donc entre une douleur de déception qui va vous faire infiniment mal et une douleur de se lever tôt le matin, de se mettre un coup de pied au cul pour aller bosser, la déception fait tellement plus mal que finalement, les petits problèmes du quotidien, vous les balayez d’un revers de la main et vous devenez inarrêtable. Mais alors attention, parce qu’une fois que le voyage est terminé, il faut repartir sur un autre projet, parce que si vous arrêtez, vous risquez de retomber dans les mêmes travers. Et donc le deuxième projet, ça a été d’emmener ma maman à New York.
OK, excellent.
Le temps file, la santé n’est jamais garantie
Et à 68 ans, j’ai pu emmener ma maman à New York. Elle a travaillé toute sa vie en tant que salariée, elle n’a jamais pu se payer ce voyage. Et je vais vous dire une chose les amis : on pense que le temps est infini, on pense que la santé est garantie. Quelques mois après ce voyage à New York, ma maman n’a pas dormi pendant une semaine parce que c’est une fumeuse et elle a cru qu’elle avait une tumeur au poumon, et elle a attendu les résultats de la biopsie. Et vous savez que malheureusement, un cancer des poumons, c’est six mois à vivre malheureusement. Et pendant toute cette semaine où on attendait les résultats et on essayait de la rassurer, etc., moi chez moi, en même temps que je priais que ça se passe bien pour elle, je me disais : « si malheureusement ça va dans la mauvaise direction, qu’est-ce que je suis content d’avoir emmené ma maman à New York pendant qu’elle était en bonne santé », et voilà.
Qu’elle pouvait le profiter en quelque sorte, et si malheureusement, bah six mois… elle est toujours vivante j’espère.
Tout s’est bien passé finalement, mais…
Voilà en gros, la prise de conscience, et malheureusement c’est un fait, c’est qu’on va tous mourir, on n’a qu’une vie et pas de deuxième chance, et quand on procrastine, procrastine… et moi, c’est ce que je me dis des fois dans le business, c’est pour ça que bah je profite aussi de plus en plus davantage, parce que bah il y a des choses, on pourra toujours les faire. Mais si on passe à côté de sa vie par rapport à des futilités ou on est vraiment omniprésent dans le business, bah forcément bah on rate et on a un déséquilibré avec sa vie personnelle ou ses proches.
C’est vrai, exactement.
OK, bah merci par rapport à ton retour d’expérience. Donc si vous avez apprécié la vidéo, cliquez sur le petit bouton Like juste en dessous. Merci une nouvelle fois. Si vous visionnez cette vidéo, donc dites-moi dans les commentaires juste en dessous si vous aimeriez voir donc au séminaire Business Internet en Or, David, et plus particulièrement le MLM, donc dites-le-moi dans les commentaires si cette histoire vous a inspirés. Donc si c’est le cas, cliquez sur le petit bouton Like juste en dessous. Si vous visionnez cette vidéo, peut être que vous dites : « David, je veux que tu me coaches, je veux que tu sois mon mentor ». Donc tu as une formation sur le sujet pour aider les gens à gagner de l’argent avec le MLM, donc qui est en parallèle avec mon frère. À qui ça s’adresse et quels sont les bénéfices de passer par ton programme ?
Tout à fait Maxence. Alors, pour les personnes qui sont dans du MLM, peut-être pas chez Jeunesse et que vous souhaitez être accompagné, effectivement j’ai un programme de coaching individuel, vous pouvez me contacter directement, vous me trouvez sur Facebook ou sur mon site, et on regardera ensemble les modalités. Mais à côté de ça, en plus du coaching individuel, effectivement j’ai rencontré ton frère, ça a été une super rencontre humaine et professionnelle, et on a décidé d’associer le meilleur des deux mondes. Puisqu’aujourd’hui, je pense qu’avec ton frère, vous faites partie des trois meilleurs entrepreneurs web en France de par la qualité, de par les chiffres que vous sortez. Donc cette expertise et cette, on va dire, merveilleuse expérience que vous avez accumulée, elle est très rare et elle est surtout déconnectée jusqu’à présent du marketing de réseau. Et le marketing de réseau, moi aujourd’hui j’ai la chance d’avoir le rang le plus élevé chez Jeunesse en France et le troisième en Europe. Donc l’expérience du marketing de réseau que j’ai construite sur le terrain, votre expérience du webmarketing qui est juste incroyable, on a décidé de les associer pour pouvoir donner des outils d’automatisation pour les gens qui font du marketing de réseau. Donc on automatise quatre choses : vous allez automatiser la prospection pour, comme je vous le disais ultérieurement, de pouvoir avoir des gens qui viennent vous contacter, qui viennent vous demander des informations plutôt que vous, vous soyez en train de courir après. Deuxièmement, on automatise la présentation de votre business et de vos produits, parce que ça, c’est ce qu’on appelle les actions répétitives, c’est chronophage et on a un système pour le présenter par étapes. Troisièmement, on automatise l’inscription de vos clients et de vos distributeurs. Et quatrièmement, la partie on va dire démarrage qui est la partie également qui est très chronophage. Eh bah tout cela, on l’automatise. Donc ce système s’appelle automatisation MLM et booster ses revenus. C’est très important d’avoir en tête qu’un système Internet qui travaille pour vous, ça va avoir comme impact de générer plus de prospects, donc plus de parrainages, plus de chiffre d’affaires, et donc plus de commissions. Donc effectivement, cette formation est disponible, elle donne déjà des résultats incroyables, vous pourrez voir sur le site des témoignages des personnes qui ont, après 30 jours, déjà généré plus de 3 000 € de ventes avec ce système Internet. Et donc vous pouvez cliquer effectivement sur le lien en dessous pour pouvoir recevoir les informations, le programme, et bah je serai ravi de vous retrouver dans ce programme de formation automatisation MLM.