C’est ce qu’on va voir aujourd’hui dans cette vidéo. Je suis actuellement avec Sonia Pereira, qui est également membre de mon club privé Vivre de son site internet. Donc, on va voir tout ça en détails dans cette vidéo. Comment tu t’es lancée, tu as réalisé au cours des douze derniers mois un peu plus de 22 000 € seulement avec ton site web ; donc, on va voir tout ça en détails.
Donc, je vais laisser Sonia se présenter. J’aime bien le dire et de temps en temps, montrer aussi des femmes, pourquoi ? Parce que je sais que si vous êtes une femme et que vous regardez cette vidéo, vous vous dites : je ne vois que des mecs réussir, comment je peux réussir dans le business. Ou alors, si vous voyez des femmes, vous vous dites : soit elles n’ont pas d’enfant, soit elles sont jeunes, soit elles ont un ami entrepreneur, soit elles connaissent des gens qui sont geek. C’est assez compliqué. Là, je me suis dit, tu vas faire péter tous les blocages avec ton histoire inspirante. Donc, je te laisse rapidement te présenter, Sonia, et nous expliquer un petit peu ce qui t’a amené à être sur internet, et comment tu as découlé pour ton succès ?
Son déclic pour se lancer dans un business en ligne avec 3 enfants
Sonia Pereira : Je me présente, comme il l’a dit, je suis Sonia Pereira, j’ai un blog qui s’appelle la Business Girl Academy, que j’ai créé il y a un an et un mois. Le 1er novembre, je fais l’anniversaire d’un an de la Business Girl Academy. C’est un blog exclusivement dédié aux femmes dans lequel je parle de blogging, de web marketing, comment vivre de ses passions sur le net en 2017.
Maxence Rigottier : Quel a été le déclic ? J’aime bien l’évoquer souvent, où tu te dis : waouh, franchement le salariat ça m’emmerde ; ou encore, franchement oui, on peut gagner sa vie sur internet, soit avec un site web, une chaîne YouTube, une page Facebook ou alors avec du e-commerce, un compte Snapchat, un compte Instagram, etc. Quel a été le déclic pour toi, te dire : ok, non seulement, je vais me lancer en ligne, mais en plus, j’y crois, je sais que c’est possible pour moi également.
Sonia Pereira : Alors, moi je savais. J’ai été salariée du secteur bancaire et assurance pendant plus de quinze ans. Je n’ai pas arrêté de me plaindre, de dire que je n’étais pas heureuse, que je n’étais pas épanouie ; que ce que je faisais, c’était nul à chier, que mon patron me faisait chier, même si dans les grandes entreprises, on n’a jamais le patron en direct. Mais même, on n’est pas libre de faire ce qu’on veut, c’est ça.
Maxence Rigottier : Des contraintes hiérarchiques.
Sonia Pereira : Des contraintes hiérarchiques, des réunions à la con où on vous explique des choses, pour lesquelles vous n’adhérez pas forcément. Mais vous êtes obligé d’adhérer parce que vous n’êtes que salarié. Donc, il n’y a pas le choix. Être obligé de poser vos congés payés puis de vous battre avec les trois quarts de vos collègues pour réussir à avoir le mois de juillet ou le mois d’août. Voilà, c’est tout ça qui m’a gonflé. Mais pendant des années, je n’ai pas arrêté de me plaindre et de ne rien changer de mon côté, c’est-à-dire de me dire que le problème, c’était la société, c’était le patron, c’était mes collègues, c’était tout ça, mais ce n’était pas moi. Et à un moment donné, j’ai essayé d’être un petit peu plus ouverte, de réaliser et de regarder un petit peu.
J’ai vraiment réalisé que le problème, c’était moi finalement, parce que je me cachais derrière de fausses croyances et de fausses excuses à me dire systématiquement « non, mais je ne sais faire que ça de toute manière, comment je peux changer de vie, je ne connais pas d’autre métier, je ne sais pas faire autre chose ». Et c’est au moment où je me suis dit : ok, tu ne sais pas faire autre chose, mais peut-être que tu peux encore apprendre à faire d’autres choses. C’est là que je me suis dit : ok, je vais changer de vie, comment faire ? Aujourd’hui, on a tous une tablette chez nous, on a tous un ordinateur, on a tous quasiment une connexion internet. La première chose qu’on fait quand on recherche quelque chose aujourd’hui, c’est de taper sur Google. C’est ce que j’ai fait Maxence, j’ai tapé sur Google : Comment changer de vie ? Comment changer de métier ?
De fil en aiguille, je suis tombée sur les business en ligne. Et je me suis dit, c’est ce qu’il me faut. Parce que clairement, c’était pour moi le seul business modèle qui me permettait d’être libre. J’ai trois enfants, tu l’as dit, donc de pouvoir garder mes enfants, de pouvoir rester avec mes enfants, de pouvoir voyager quand je veux, où je veux et continuer mon activité, puisque tout est dématérialisé finalement. Voilà, c’était vraiment un rêve pour moi, c’était de me dire : si je peux bosser sur internet, ça veut dire que je peux voyager, je peux garder mes enfants, je peux rester chez moi, je peux bosser si j’en ai envie. Si j’ai envie de me lever à 11 heures, je me lève à 11 heures. Si j’ai envie de bosser à 2 heures du matin parce que je suis plus productive à 2 heures, je peux. C’était pour moi le rêve. Donc, je me suis dit : c’est ce que je veux et j’étais déterminée.
Maxence Rigottier : Tu as compris. C’est ce que j’évoque souvent quand on m’interviewe. Vous avez trois contraintes malheureusement quand vous n’êtes pas en ligne, souvent vous pouvez en faire péter une ou deux, mais pour faire péter les trois… Donc, c’est quoi ces trois contraintes ? Contrainte horaire, généralement c’est comme un petit réveil le matin qui sonne pour vous dire : il faut y aller au boulot. Ensuite, vous avez la contrainte géographique. Comme je le dis souvent, si vous habitez à Brest, il y a de grandes chances que vous ayez un emploi à Brest. Si vous habitez à Bangkok en Thaïlande, il y a de grandes chances que votre emploi soit dans les environs de Bangkok. Et la troisième contrainte après horaire et géographique, c’est hiérarchique. C’est-à-dire que vous avez un patron…
Sonia Pereira : À qui il faut tout justifier.
Maxence Rigottier : Donc, même si vous avez par exemple une boulangerie, même si vous êtes prestataire sur internet, par exemple si vous êtes freelance sur internet, vous n’avez plus les contraintes horaires, vous n’avez plus les contraintes géographiques, vous avez les contraintes hiérarchiques. Moi, c’est ça, je me suis dit, je vais tourner le problème dans tous les sens, et c’est internet qui fait péter ces trois contraintes, et c’est ça qui est assez fabuleux.
Sonia Pereira : C’est ça. Ça a été pour moi une révélation quand j’ai vu ça. Il est possible de gagner de l’argent en restant chez soi, en ayant un ordinateur juste avec une connexion Wifi, et en faisant ce qu’on veut, je signe !
L’importance de se former
Maxence Rigottier : Excellent ! Tu t’es formée, ça c’est ce que je vous recommande. La totalité des gens qui réussissent investissent en eux-mêmes et surtout dans énormément de formations, séminaires. Là on est au séminaire Biz Club d’Alexandre Roth. Tu m’as évoqué un nom ; j’en ai fait des séminaires, j’en ai rencontré des dizaines et des centaines de personnes, et je n’avais jamais entendu cette personne. Est-ce que tu peux nous évoquer sa formation et comment tu l’as découvert au final ?
Sonia Pereira : C’est Saïd Amzil. Si je suis aujourd’hui sur internet, c’est grâce à lui, parce que c’est la première formation que j’ai achetée. Saïd Amzil, c’est un très grand web marketeur. Il a une niche. Ton public est assez averti, donc ils savent ce que c’est qu’une niche et un marché spécifique. Donc, il a une niche et sa niche à lui, c’est la communauté musulmane.
Maxence Rigottier : Toutes les communautés musulmanes sont chez lui ?
Sonia Pereira : Une grande partie. Après, il y en a d’autres qui sont aussi ailleurs.
Maxence Rigottier : Oui, mais d’une manière générale, c’est la référence si on parle de la thématique…
Sonia Pereira : Quand il fait des promos, c’est des 300 et 400 personnes qui s’inscrivent à ses formations. Donc, il a un sacré level dans le web entrepreneuriat et web marketing. Du coup, j’ai commencé par lui. J’ai fait mes premières armes avec Saïd. Après, je suis tombée un peu dans le bain de me dire : Ça me plaît énormément, j’ai envie d’apprendre plein de choses. Je me suis aussi formée auprès d’Olivier Roland.
Maxence Rigottier : Exactement, blogueur pro.
Sonia Pereira : Blogueur pro. Sa formation avait une très bonne réputation, j’avais envie de voir un petit peu ce que c’était et je n’ai pas été déçue, du coup, je me suis formée aussi auprès d’Olivier Roland. J’ai fait aussi Martin La Tulipe, l’académie Zéro limite, parce qu’il y avait le côté coaching et conférence. J’ai toujours le projet de devenir conférencière. Le côté coach que je suis déjà maintenant, les formations, ça permet de gagner un temps précieux. Je veux dire, s’il avait fallu que j’essaie de créer un business sur le net en partant de zéro, même avec la plus grande volonté du monde, je n’aurais pas réussi ou je serais encore en train de patauger aujourd’hui. C’est ça aussi le fait d’investir. Il y a beaucoup de gens qui vous parlent des formations.
Maxence Rigottier : C’est 500 €, c’est 1 000 €… c’est une somme.
Sonia Pereira : Mais c’est quoi à côté d’une vie.
Maxence Rigottier : C’est un investissement dérisoire par rapport au changement de vie, surtout le ROI – j’aime bien le dire -, c’est généralement fois dix à fois mille si vous le mettez en application.
Sonia Pereira : J’ai commencé, j’ai investi plus de 7 000 € la première année, je ne compte pas les dernières formations que j’ai faites. D’ailleurs, je fais partie de ton club privé Maxence. Je ne compte pas les dernières formations que j’ai faites vu que je continue à me former continuellement et que je pense que je me formerais toute ma vie finalement. Je ne vais pas m’arrêter. Mais ce que je veux dire, c’est que j’ai investi 7 000 € pour la première année de mon business, pour faire 22 000 €. Vous voyez la balance, je suis déjà gagnante.
Maxence Rigottier : Plus 15 000 et surtout, ce qui est excellent, c’est que quand vous avez des connaissances, le réseau et le mindset ici, c’est des euros jusqu’à votre mort. C’est ça qui est assez fabuleux et c’est pour ça que c’est important de vous former, quelle que soit l’activité que vous faites aujourd’hui.
Sonia Pereira : De par le fait que ça vous permet énormément de gagner du temps, mais il y a aussi le fait que, Maxence : tu as vu le nombre de personnes qu’on rencontre. Les experts, ça vous permet d’aller beaucoup plus vite dans votre travail. Là aujourd’hui, je suis avec Maxence, il est en train de m’interviewer. Ça me fait aussi de la pub, ça fait de la pub à mon propre business. Vous rencontrez des experts qui parfois peuvent vous dire : je trouve ça sympa ce que tu fais, est-ce que tu peux venir, on peut travailler ensemble sur telle chose. Puis, vous rencontrez aussi des collègues qui sont dans le même cas que vous et qui vont vous aider aussi à faire passer votre business au level supplémentaire.
Maxence Rigottier : Même si vous avez du niveau, en 2016, j’ai réalisé plus de 230 000 €, c’est quand même à un certain niveau. Et il y avait déjà Cédric Villa (je te fais un petit coucou si tu visionnes cette vidéo), qui m’avait expliqué les notifications avec les push crew. Il y a également Kévin Hanno que j’avais rencontré à Malte récemment, qui va mettre le même type d’application. Je me suis dit : ça c’est encore une chose que je vais mettre en place dans mon business, parce que ça évolue. Et même si vous avez du niveau, c’est toujours important d’aller dans des séminaires parce que vous allez toujours avoir des actions. Surtout, ce qui est magique, c’est que vous rencontrez aussi d’autres personnes. Par exemple, il y avait Cédric Anicet, Olivier Roland, David Laroche.
Sonia Pereira : Antoine Blanchemaison cet après-midi.
Maxence Rigottier : Bref, on a vraiment des personnes de tous horizons, de toutes branches du marketing. Par exemple, Antoine Blanchemaison, c’est YouTube. Par exemple, Anicet, ça va être principalement la communauté, il fait différents millions sur internet ; David Laroche, la motivation. Ce que je veux dire, c’est à chaque fois des gros points positifs et un avatar de speakers différents. Olivier Roland, qui a réalisé un bouquin best-seller de 11 000 ventes. C’est fabuleux.
Sonia Pereira : C’est super. Et ils vous font gagner énormément de temps parce que du coup, ils vous font prendre des raccourcis. C’est Saïd Amzil qui disait ça, c’est comme avoir une carte aux trésors. Vous savez qu’il y a un trésor quelque part, mais si vous passez votre temps à le chercher et que vous n’avez pas la carte, vous pouvez perdre de nombreuses années, même ne jamais trouver ce fameux trésor. Là, ce sont justement des personnes et des experts sur internet qui ont réussi à trouver ce trésor, puis qui vous guident en vous donnant les raccourcis pour atteindre ce fameux trésor qui est la liberté.
Son organisation entre travail et 3 enfants
Maxence Rigottier : Alors, il y a peut-être une question que vous vous posez. Vous vous dites : merci Sonia, comment tu t’organises avec trois enfants ? Comment sont un petit peu tes journées ? Parce que si vous avez même déjà un enfant, je pense que voilà, en gros, vous avez une problématique que les personnes comme moi n’ont pas du tout. Quand je dis problématique, évidemment, vous avez beaucoup d’amour, c’est un gros point positif d’avoir un enfant. Mais évidemment pour le temps, vous avez 24 heures comme moi. Il y a des obligations de temps en temps, peut-être aller les chercher à l’école ou trouver une nounou. Donc, comment tu t’organises pour arriver à gérer business en ligne et relation familiale ?
Sonia Pereira : On m’a déjà posé la question, comment tu fais ? Est-ce que tu as une technique ? Franchement, je suis désolée, je cherche encore la super technique, je n’en ai pas vraiment. Mais en tous les cas, tous les jours, je me dis que j’ai énormément de chance de faire ce que je fais. Et j’ai fait tout ça justement pour pouvoir avoir cette liberté que j’ai aujourd’hui, parce que malgré tout, il faut que je m’organise, ce n’est pas pire que d’avoir un patron. Quand tu as un patron… enfin, vous devez sûrement savoir ce que c’est, il faut s’organiser encore plus. Il faut essayer de lâcher ses enfants à 7 heures du matin des fois dans les garderies pour pouvoir arriver au boulot à 8 heures. Le soir, c’est pareil. Si vous commencez à 8 heures, peut-être que vous allez finir à 17 heures-17 heures 30, les transports en commun, arriver. Du coup, le gosse, il s’est tapé la garderie le matin, il se tape la garderie le soir. Le mercredi, il n’y a pas école mais vous, vous travaillez parce que le patron, il ne vous a pas donné de journée pour le mercredi, donc c’est la garderie du mercredi. Les vacances scolaires, au lieu que votre enfant puisse récupérer, se reposer et rester à la maison, non, vous êtes obligé de le foutre en centre de loisirs. C’est des dépenses, c’est du temps que vous ne passez pas avec vos enfants. Grâce à internet, il n’y a pas plus d’organisation que ça. Justement, mes enfants ne font plus de la garderie, mes enfants ne vont plus au centre de loisirs. Et là, on est en pleines vacances scolaires. Je suis au séminaire, donc les enfants sont avec la mamie. Mais sinon, c’est moins compliqué avec des enfants sur internet, qu’avec des enfants dans le salariat.
Maxence Rigottier : En gros, ça t’a permis de un, passer plus de temps avec tes enfants ; deux, d’avoir une meilleure organisation, parce que tu n’es plus carrée dans les horaires, à 5 minutes près.
Sonia Pereira : Clairement, c’est ça.
Maxence Rigottier : Généralement, si vous habitez dans la région parisienne, c’est encore plus embêtant et problématique, parce qu’on a les embouteillages et tout ce qui va avec.
Sonia Pereira : Le stress ! Je le vois quand je dépose mes enfants le matin – ma fille en l’occurrence qui a trois ans, je la dépose à la maternelle-, je vois les mamans en train de… ça me rappelle moi il y a quelque temps encore en train de courir dans les escaliers de l’école ou ce genre de chose, parce qu’il y a le patron. Le patron, il ne blague pas, 9 heures, c’est 9 heures, ce n’est pas 9 heures 5. Du coup moi, quand je les regarde, ça me fait un petit pincement au cœur, car moi, je peux déposer ma fille carrément en pyjama. Je mets des bottes ou des baskets, et hop, je dépose ma fille. Après, je rentre à la maison, tranquille, je prends mon petit déjeuner. Là, j’ai décidé d’aller faire du sport, je suis en train de m’inscrire dans une salle de sport.
En fait, sachez que si aujourd’hui vous êtes employé, vous ne donnez pas l’excuse qu’avec des enfants, vous ne pouvez justement pas être sur internet ou vous ne pouvez pas faire ce que vous voulez. Au contraire, c’est maintenant que vous êtes employé ou salarié que vous ne pouvez pas faire ce que vous voulez, que vous êtes obligé de prendre cinq semaines de vacances pour être avec vos enfants et parents, et essayer de ne gérer ça que pendant les vacances scolaires, parce que vous n’avez pas d’autre choix. Aujourd’hui, si vous êtes sur internet, vous avez toute la liberté de pouvoir travailler en étant à l’autre bout du monde, de prendre les vacances scolaires ou pas, c’est vous qui voyez. Vous pouvez être avec vos enfants, sans les déposer ni à la garderie, ni au centre de loisirs, sans forcément avoir de nounou. C’est la liberté totale. Au départ oui, ça fait peur, parce que changer de vie, c’est toujours compliqué.
Maxence Rigottier : Le changement souvent, et après, l’inconscient qui est un petit peu surpris au début. Après, c’est bon.
Sonia Pereira : Mais une fois que vous regardez derrière vous, vous vous dites : mais pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt. Et moi, c’est ce que je me dis aujourd’hui quand je vois Maxence qui est tout jeune. Bon, moi je ne suis pas toute vieille non plus mais si j’avais pu à son âge faire la même chose, je le referai aujourd’hui, vraiment.
Sa réussite en tant que femme et comment elle a maîtrisé la technique
Maxence Rigottier : Du coup, également, je voulais que tu reviennes sur une objection que j’ai généralement et notamment si vous êtes une femme. Oui, mais moi, je ne suis pas… mais la technique, je n’y comprends rien. Alors comment tu fais ? Est-ce que tu la délègues ? Est-ce que tu es vraiment dans la simplicité ? Parce que dès que justement un marketeur ou quelqu’un évoque une stratégie où il y a trop de techniques, tu ne le fais pas. Comment tu procèdes pour briser ces obstacles techniques ?
Sonia Pereira : J’ai une technique justement que j’enseigne aussi dans mon club privé. Dans les projets des grandes entreprises, ils ont ce qu’on appelle, le triangle de gestion. Il y a trois points dans un triangle de gestion. Il y a le projet en lui-même, il y a le coût, et il y a la durée. Il faut se dire que ces trois points-là, vous ne pouvez pas les avoir en même temps. C’est-à-dire que si vous voulez votre projet très rapidement, automatiquement, vous serez obligé de payer cher. Si vous voulez que votre projet soit fait lentement, ça veut dire directement par vous, vous allez prendre le temps d’apprendre et d’implémenter de le faire vous-même. Automatiquement, vous allez gagner en coût. C’est ça le triangle de gestion. C’est-à-dire que si vous voulez quelque chose rapidement, vous allez le déléguer et donc automatiquement, vous allez payer. Si vous voulez quelque chose, mais que vous n’êtes pas pressé dans les délais, vous allez le faire soit par vous-même à moindre coût parce que vous allez prendre quelqu’un qui va vous dire : ok, moi je le fais pour pas cher, mais en revanche, je vais mettre deux ou trois semaines pour le faire. Ben là, vous payerez moins. Mais vous ne pourrez jamais avoir ces trois points en même temps.
Dans mon propre business, j’essaie d’apprendre à faire les choses par moi-même, ce n’est pas très compliqué. En général, vous tapez sur Google, vous trouverez toujours un tuto, vous trouvez toujours quelqu’un de sympa sur YouTube, qui aura pensé à faire une vidéo, à vous expliquer des choses.
Maxence Rigottier : Exactement, ça c’est le mauvais prétexte qu’ont les gens, de manière générale, même des fois dans mon club privé. On me pose des fois une question : comment on crée une page Facebook ? Tu le tapes dans YouTube, tu as le tuto, et deux minutes après, tu as ta page.
Sonia Pereira : C’est ça, il y aura toujours quelqu’un qui aura pensé à faire un tuto là-dessus. Donc le tout, c’est de regarder, puis de mettre en pause, puis de faire en même temps. Ce n’est pas très compliqué. Du coup, soit, vous prenez le temps d’apprendre par vous-même, soit vous vous estimez que c’est une chose que vous n’allez faire qu’une fois seule fois par an dans votre propre business. Si c’est une fois par an, ce n’est pas utile de l’apprendre, si vous n’allez jamais le refaire, déléguez, payez quelqu’un. Aujourd’hui, vous avez des freelances pour pas très cher, pour quelques euros à l’autre bout du monde, qui vont vous permettre de faire ces choses-là. Par exemple, moi j’ai toujours la même chose. On me dit beaucoup : oui la technique, moi je n’arrive pas à créer mon site, je n’arrive pas à créer mon blog.
Maxence Rigottier : Ça c’est une grosse objection.
Sonia Pereira : C’est une grosse objection mais c’est un métier, quitte à demander de devenir webdesigner ou développeur, c’est un métier. Donc, c’est comme si, le dentiste par exemple, il te refait une dent et il va aller la commander. Il ne va pas s’amuser à fabriquer des dents. C’est exactement ça. Si tu veux un business sur internet, tu n’es pas obligé de devenir développeur. Tu passes par une entreprise. Alors oui, ça a un coût, mais aujourd’hui, moi j’ai…
Maxence Rigottier : Quelle est votre valeur horaire ? Et si on applique ce que tu viens d’évoquer, le triangle…
Sonia Pereira : Le triangle de gestion, voilà, quelle est votre valeur horaire ? Est-ce que si aujourd’hui, vous gagnez dans votre propre business 97 € de l’heure, peut-être qu’il n’est pas judicieux d’essayer d’apprendre à faire quelque chose pendant des heures et des journées entières et perdre les fameux 97 € de l’heure qu’un client pourrait vous payer en coaching personnalisé. D’ailleurs, c’est comme ça que j’ai réussi à faire comprendre à mon mari que j’avais besoin d’une femme de ménage. J’ai expliqué que j’avais besoin d’une femme de ménage, parce que mon coût horaire était à 97 € de l’heure. Donc, pendant que je faisais le ménage, je perdais 97 €.
Maxence Rigottier : Alors ça, je vous le conseille. Ma famille ou des personnes ont du mal à comprendre qu’il y a beaucoup de choses, quand vous gagnez un certain niveau… ça revenait à une discussion que j’avais avec Olivier Roland hier. Je lui disais : est-ce que toi, tu assumes avec ta famille ? En gros, quand vous avez un certain seuil de succès, les gens, ce n’est pas qu’ils ont du mal à y croire, mais ils se disent : mais comment c’est possible ? Ce gars-là, je l’ai connu, je lui ai changé ses couches, c’est mon petit, il était dans mon cas de figure, au milieu des vaches, etc. Là, je gagne trois fois plus que toute ma famille réunie. Imaginez quand même un peu le choc. Donc, par ricochet, il y a des choses, je vais manger au restaurant, je ne sais même pas comment marche une machine à laver. Je sais que ça fait un peu bizarre de dire ça, mais c’est parce que ma valeur horaire est beaucoup plus importante que de me casser le cul à passer un coup de balai, à laver mon linge ou à me faire à bouffer, alors que je vaux beaucoup plus que ça.
Sonia Pereira : Je pense que de toute manière, les gens qui ont compris ce que c’est réellement qu’un business en ligne, la valeur de l’argent et ce genre de chose, ne seront pas choqués par ce que tu dis. Ceux qui seront choqués justement, c’est ceux qui ne changeront rien à leur vie, malheureusement.
Maxence Rigottier : Exactement, si vous êtes dans la rat race, ça peut vous surprendre, si vous ne l’êtes déjà plus, vous êtes libre. Moi aussi, on se ressemble.
Sonia Pereira : C’est ça, moi aussi, on se ressemble, ou je veux simplement être comme toi. Je veux être comme toi Maxence, je ne veux pas savoir ce que c’est que de faire une machine à laver, je ne veux pas avoir à appuyer sur un seul bouton. Je ne veux pas à avoir affaire à bouffer, je veux être comme toi et donc, je vais me donner les moyens d’être comme toi et puis d’arriver à un certain niveau, et de pouvoir justement aller bouffer au restaurant, au lieu de me faire chier à faire à bouffer. Voilà, il faut vraiment penser positivement. Il ne faut pas envier et être mauvais du succès des autres.
Maxence Rigottier : Quand vous êtes jaloux, malheureusement, c’est de l’auto-sabotage pour avoir la réussite dans votre business. Ça c’est important de l’avoir à l’esprit.
Un club privé dédié uniquement aux femmes
Je voulais également que tu reviennes sur quelque chose que tu m’avais dit hier. Et j’ai trouvé ça intelligent en termes de segment. Tu as un site sur la Business Girl Academy où tu expliques un petit peu comment gagner sa vie sur le web, comment réaliser différents tutos par rapport au web marketing. Tu as une spécificité dans le sens où tu n’acceptes que les femmes. J’ai trouvé ça malin, pourquoi ? Parce que c’est surtout un monde d’homme l’infopreneuriat de manière générale. Du coup, si c’est enseigné par une femme, c’est plus doux, c’est plus dans l’empathie. Vous le savez, les hommes comprennent les hommes et les femmes comprennent les femmes. Le bouquin Vénus et Mars, vous avez compris, c’est exactement la même chose. Donc, comment ça t’est venu cette idée et est-ce que tu as quand même des hommes qui te contactent pour acheter ton club privé ?
Sonia Pereira Justement, comment ça m’est venu ? Ça m’est venu quand je me suis formée. Je regardais ce qu’il y avait sur internet et il n’y avait que des hommes. Déjà, ça m’a énervé parce que je voulais me faire former par une femme ; les femmes me comprendront dans ce que je dis. Toi tu l’as compris aussi, on n’a pas les mêmes besoins ni les mêmes envies. On ne comprend pas les choses de la même manière. Par exemple, sur un site internet, on a besoin que ce soit très joli, d’avoir un joli design, alors qu’un homme va plus se dire que l’essentiel…
Maxence Rigottier C’est conversion et dans les chiffres.
Sonia Pereira Voilà. Dans le chiffre. Le contenu, la qualité du contenu, le contenant, on s’en fout alors que nous les femmes, on va avoir le contenu et le contenant. Il faut que ce soit beau – il faut que ce soit excellent aussi en termes de qualité – mais il faut que ce soit beau, que ça donne envie ; les petits trucs dorés, les petits machins. C’est pile poil mon délire, les fleurs, tout ce qui brille.
Maxence Rigottier Juste un petit aparté que j’aime bien. Quand vous recevez un e-mail ou un post facebook, à quoi reconnait-on un homme d’une femme ? Une femme a dix ou quinze smileys ou différents émoticônes ; un homme, il y en a un et souvent, c’est soit le clin d’œil ou la bouche ouverte. Il y a deux ou trois options, mais une femme c’est bien des fleurs, des cœurs, des nuages, des soleils. Voilà comment un reconnaît un homme et une femme dans un post ou un email.
Sonia Pereira Et donc, j’avais appris la base du web marketing par les hommes, mais le design, il n’y a aucun qui comprenait ce que je voulais expliquer. Je voulais un site au top, un truc magnifique comme je le voyais dans la blogosphère US et je ne le voyais pas en France. Je me disais, moi je veux être cette nana qui va faire un site merveilleux et qui va apprendre aux femmes comment créer justement un business en ligne, mais tout en ayant un business top et super joli, super désigné avec un beau branding. Du coup, c’est là que je me suis rendu compte que j’avais ma place à prendre, c’est qu’il n’y avait pas de femme et je…
Maxence Rigottier Et il n’y en a toujours pas aujourd’hui.
Sonia Pereira Non. Si, je suis là. Ça y est.
Maxence Rigottier J’en connais juste un petit peu, en plus de toi, Nina qui est aussi dans le web étudiant. A part vous deux, à mon sens, je n’ai jamais entendu d’autres femmes. C’est parfait.
Sonia Pereira Elles sont très rares donc venez, on vous attend. Il n’y a pas assez de femmes encore dans le web entreprenariat, dans le web marketing et dans le blogging.
Maxence Rigottier Il y a 50 000 hommes et 2 femmes.
Sonia Pereira Oui, voilà. Du coup, on vous attend. Venez, vous avez votre place à prendre. Il n’y a rien de super compliqué. Il faut juste être passionné parce qu’on fait. Et quand on est passionné, on le fait vraiment sans peine. Je passe mes soirées, quand j’ai couché tous les petits, à regarder des articles sur internet qui parlent de blogging. J’ai le barrage de la langue, je ne parle pas anglais, j’ai une notion scolaire. Malgré tout, depuis que je suis sur internet, il y a tellement de choses qui me plaisent dans la blogosphère US que je lis des articles, je comprends tout, je regarde des vidéos maintenant en anglais. Ça y est, je gère, c’est rentré.
Maxence Rigottier C’est rentré dans le mindset.
Sonia Pereira Exactement. Du coup, dépassez-vous. Faites sauter ces barrières qui vous bloquent. C’est vrai que pendant des années, on est conditionné depuis l’école – et c’est malheureux – à se dire que si on a fait telle branche d’étude, on est obligé de rester là-dedans. Si on travaille là-dedans, il faut rester là-dedans. Je suis restée avec cette phrase-là : « Tu sais, je n’ai pas eu la chance d’étudier » ma mère me disait ça. « Je n’ai pas eu la chance d’étudier et estime-toi heureuse » parce que j’étais dans un bureau à l’époque…
Maxence Rigottier Estime-toi heureuse d’avoir un job.
Sonia Pereira D’avoir un job et puis de travailler dans un bureau et d’être assise et patati et patata. C’est vrai que pendant des années, ça m’est resté.
La puissance du conditionnement
Maxence Rigottier Conditionnement. Horrible.
Sonia Pereira Oui, c’est ça, le conditionnement. Et maintenant, aujourd’hui, ma mère qui me voit super épanouie, c’est la première à me dire aujourd’hui : « Tu n’as pas posté d’article ? Tu n’as pas fait de vidéos ? ». C’est ma première fan, elle regarde tout ce que je fais et elle est très fière de moi, parce que j’ai réussi à la faire changer d’état d’esprit aussi. Faites sauter ces barrières, vous allez vraiment être beaucoup plus heureuse, beaucoup plus épanouie. Si vous ne le faites pas pour vous, faites le pour vos enfants, pour votre famille, pour être plus heureux. On parle beaucoup d’argent, Maxence, dans le web marketing. On parle beaucoup d’argent, parce que l’argent quelque part, c’est ce qui fait tourner ce monde et c’est ce qui vous permet d’être libre et de faire ce que vous voulez. Demain, si vous voulez voyager, il faut aller le payer le billet d’avion.
Maxence Rigottier Exactement.
Sonia Pereira Si vous voulez aller dans un superbe hôtel avec deux trois piscines pour vos enfants pour qu’ils s’amusent, il faut payer l’hôtel. De toute manière, chaque sortie est payante. Il n’y a rien de gratuit.
Maxence Rigottier Typiquement, je vais donner un exemple. Moi, je ne voulais pas prendre le métro, j’étais à la bourre ce matin. J’ai pris un Uber de Vincennes jusqu’à l’hôtel Movenpick où est pour le séminaire. J’ai payé 15€. Ça se paie, parce qu’une nouvelle fois, j’ai les moyens et je le fais. Mais si c’était il y a quelques années, je me serais dit : « Je vais prendre le métro » surtout que c’est gratuit exceptionnellement à Paris vis-à-vis du pic de pollution.
Sonia Pereira Ça devrait être gratuit tout le temps. Franchement.
Maxence Rigottier Voilà. C’est pour vous donner un ordre d’idées. Il y a quelques années : « Gratuit ?! Je fonce ». Jamais d’Uber. Maintenant, je connais ma valeur horaire, je me dis : « Je suis en retard, comment rattraper le temps, comment avoir un meilleur confort ». Je suis arrivé avec une grosse Mercedes. Déjà, rien que dans l’inconscient on se dit : « Wow, t’es dans l’abondance donc tu as acquis encore plus d’argent ».
Sonia Pereira C’est ça ! Et c’est pour ça que dans ce milieu-là, on parle beaucoup d’argent. Moi, ça ne choque pas plus que ça, au contraire. Mais voilà, aujourd’hui si vous n’avez pas d’argent,…
Maxence Rigottier C’est important dans la liberté.
Sonia Pereira Dans cette société, si vous n’avez pas d’argent, vous n’êtes personne. Et si vous voulez rendre heureux vos enfants, si vous voulez leur payer les meilleures écoles, les meilleures études ou ne serait-ce que leur faire plaisir, ça se fait aussi avec l’argent. Donc, faites-le pour vous, faites-le pour vos enfants, pour votre famille. Si vous voulez faire des dons dans des associations, des dons c’est aussi de l’argent, donc c’est ça aussi. Si vous voulez faire le bien autour de vous, ça passe par l’argent. Donc, internet est un secteur encore vierge en France, il y a encore beaucoup de places à prendre. Venez prendre votre place.
Son meilleur conseil
Maxence Rigottier Exactement. Une question, un conseil que j’aime donner de manière générale : « Quel est le meilleur conseil ou alors la chose que tu as mise en place au cours des douze derniers mois ? ». Tu es assez récente sur le web et tu te dis : « Wow, comment je n’ai pas pu mettre ce conseil en place aussi rapidement ? » ou alors « J’ai vraiment bien fait de l’avoir mis en place, parce que ça a fait une différence énorme sur le très long terme ».
Sonia Pereira J’ai récemment découvert un truc, franchement, j’ai halluciné. Tu vas peut-être halluciner, tu vas peut-être te mettre dessus aussi. Je suis beaucoup, je suis toutes vidéos d’ailleurs, je suis tout ce que tu fais, du coup j’implémente en général ce que tu préconises et ça marche très bien. Mais là, il y a un truc dont on m’a parlé souvent. Comme je disais, je suis beaucoup la blogosphère US et on parle énormément du réseau social Pinterest. Et on dit que c’est le premier réseau social qui vous permet d’apporter un trafic monstrueux sur votre site. Donc, je me suis dit : « Ok, il faut que je commence à fouiller ». J’ai un compte Pinterest depuis deux, trois ans parce que j’aime bien. Je vais expliquer vite fait, Pinterest c’est un réseau social où on partage…
Maxence Rigottier Oui et qui sont les gens dessus ? Parce que moi, par exemple, je ne suis pas sur Pinterest.
Sonia Pereira Oui, voilà. Je vais t’expliquer. En fait, Pinterest, c’est un partage de centres d’intérêts. C’est-à-dire que si toi, tu aimes par exemple les belles voitures, les beaux voyages, tu vas créer un tableau sur ton compte Pinterest « voyage », « voiture » et tu vas aller épingler des images. Les images sont toujours en général liées à un article, à un site internet. Par exemple, si tu as une image en une de ton site internet qui renvoie vers une vidéo, tu vas pouvoir mettre cette image-là sur un des tes comptes Pinterest pro. Tu vas créer ton… Toi, c’est vivre de son…
Maxence Rigottier Vivre de son site internet.
Sonia Pereira Vivre de son site internet. Tu vas te créer un tableau « vivre de son site internet », tu vas mettre toutes les images liées à tes articles et à tes vidéos. Et donc, il va falloir que tu mettes aussi l’ensemble de tes centres d’intérêts, les voyages, la voiture, etc. Et à chaque fois que quelqu’un va venir épingler une de tes images, on va lui proposer justement ton site internet. Ce qui fait qu’il va venir visiter ton site. Les bloggeuses expliquaient que ça apporte un trafic monstrueux. Moi, ça fait deux ans que je l’avais, je n’avais pas de trafic, mais je n’avais pas réussi à utiliser la bonne technique parce que je ne connaissais pas. Quand j’ai commencé à regarder un petit peu ce qu’il fallait faire, j’ai compris tout de suite, j’ai eu l’espace de 15 jours, une grosse différence. Et aujourd’hui, ma première source de trafic c’est facebook, ça a toujours été facebook, mais la deuxième source de trafic, c’est Pinterest.
Maxence Rigottier C’est fou !
Sonia Pereira En l’espace de 15 jours.
Maxence Rigottier On parlait avec d’autres infopreneurs parce que tu es la première à m’en parler. Est-ce que, c’est toutes les thématiques ? Même si aujourd’hui vous regardez la vidéo, vous vous dites : « Oui mais moi, je suis la peinture, la bourse, la voile, le golf ». Ce n’est pas seulement la beauté, les femmes,…
Sonia Pereira Il y a tous les centres d’intérêts. Si je peux vous donner trois conseils, c’est un de créer une page pro sur Pinterest relié à votre site internet. A chaque fois que vous créez un article, vous épinglez. Vous essayez de faire, vous savez….
Maxence Rigottier Les tags ? Les mots-clés ?
Sonia Pereira Il y a le plugin, Sumome, qui est d’ailleurs la partie gratuite, pas la peine de prendre la partie payante où vous pouvez justement, quand vous glissez la souris sur la photo, épingler sur facebook, Pinterest ou Google Plus. Epinglez directement la photo de votre article ou de votre vidéo sur un de vos tableaux Pinterest. Ensuite, la troisième chose à faire, c’est d’y aller une fois par semaine, une heure par semaine où vous épinglez du contenu.
Maxence Rigottier Du nouveau contenu ou le contenu de son blog.
Sonia Pereira Non, le contenu sur Pinterest. C’est-à-dire aller épingler ce qui vous intéresse. Par exemple, les voitures, le voyage et toujours insérer des mots-clés dans la description. C’est-à-dire que, Pinterest, au bout d’un moment quand il va voir que vous êtes non seulement régulier sur votre compte, que vous êtes quelqu’un qui est actif, qui propose du contenu de qualité sur la plateforme, va commencer à vous mettre en avant. En vous mettant en avant, ça veut dire qu’une personne qui épingle une photo d’un de vos articles va être basculée sur toutes les personnes qui vont l’épingler et ça, continuellement toute l’année.
Maxence Rigottier Donc, il y a un gros effet viral.
Sonia Pereira C’est un gros effet viral. Ça, je ne l’entends qu’aux USA, je suis en train de le faire sur mon site privé et je peux vous dire qu’en quinze jours, j’ai tout de suite vu la différence et pourtant, je n’ai que 70 abonnés sur Pinterest et c’est ma deuxième source de trafic.
Maxence Rigottier Wow. En gros, c’est un peu comme Snpachat. Si vous avez 200 personnes sur Snapchat, il y a 180 personnes qui vont regarder vos snaps. C’est la même chose que sur Pinterest. Il n’y a peut-être pas encore beaucoup de monde, parce que tout le monde n’est pas dessus, mais c’est extrêmement qualitatif et surtout un engagement magique.
Sonia Pereira Donc, soyez sur Pinterest. Pour le moment, Pinterest n’est pas encore sur tout ce qui est publicité payante. Aux Etats-Unis, si.
Maxence Rigottier Ça arrivera évidemment dans quelque temps.
Sonia Pereira En Angleterre, au Canada mais bientôt, ça va arriver en France. Donc je vous dis, commencez tout de suite à créer vos comptes sur Pinterest. Commencez à épingler progressivement une heure par jour. Déléguez-le si vous ne pouvez pas le faire. Vous payez quelqu’un une heure ou deux par semaine qui va épingler à votre place sur votre compte. Faites-le et vous verrez des résultats, j’en suis sûre. Bientôt, la publicité payante va arriver et à mon avis, ça va faire un truc de malade sur Pinterest.
Maxence Rigottier Ecoute, parfait par rapport à Pinterest. Surtout, mettez-le en place assez rapidement et le plugin Sumome.
Sonia Pereira Le plugin Sumome et à l’intérieur de Sumome, ça sera la partie « share », partager. Du coup, vous le mettez sur votre site internet, ce n’est pas très compliqué. C’est deux trois clics et vous allez voir que quand l’utilisateur passe sa souris sur l’une de vos photos, il va pouvoir partager l’article et donc la photo directement sur Pinterest. Moi, j’ai des articles qui ont été partagés sur Pinterest plus de 300 fois.
Maxence Rigottier Ah oui ! D’accord.
Sonia Pereira Et ce sont ces articles-là qui…
Maxence Rigottier Qui t’ont ramené évidemment aujourd’hui la deuxième source de trafic après facebook.
Sonia Pereira Voilà. J’ai deux articles qui m’apportent l’essentiel de mon trafic de Pinterest. J’ai créé son logo gratuitement, et celui-là, tous les jours, j’ai des gens de Pinterest qui arrivent sur mon site. Du coup, j’ai mis une page de capture sur cet article.
Maxence Rigottier Logique ! Pour avoir des abonnés à ta liste email.
Sonia Pereira C’est ça.
Maxence Rigottier Ok. Merci Sonia. Juste pour finir sur une dernière question, tu as rejoint mon club privé, grosso modo, il y a un peu plus d’un mois. C’est tout frais. Là on est à peu près bientôt 150 membres à l’intérieur de mon club privé et j’ai vu une grosse augmentation de femmes. Avant, on était peut-être à 25% de femmes, 75% hommes.
Sonia Pereira Super, bien joué les filles. Girl Power !
Maxence Rigottier Maintenant, il y a 40% minimum de femmes et 60% d’hommes. Tu as fait beaucoup de formations comme tu l’as évoqué, 7000 € investis et il y a des choses…
Sonia Pereira Peut-être à 10 000 maintenant.
Son avis sur le Club Privé Business de Maxence Rigottier
Maxence Rigottier Peut-être même 10 000€ maintenant. « Wow, tu as des choses, Maxence. C’est vraiment du très haut niveau dans le sens où, j’ai fait énormément de formation et je n’ai jamais appris ça ou ça ». Si tu voulais nous donner un petit feedback, qu’est-ce qui t’avais aussi convaincu pour rejoindre le club privé, parce que j’aime bien poser cette question. Pourquoi tu t’es dit : « Je vais aller voir Maxence » parce qu’au final, tu connais le web marketing, on s’était rencontrés il y peut-être déjà un an. Qu’est-ce qui t’as fait dire : « Je passe à l’action et ce coup-ci j’y vais ».
Sonia Pereira Je te suivais avant même d’avoir un blog. Je te connaissais à travers bloggeur pro déjà. D’ailleurs ma première vidéo dans laquelle je réponds à des questions de mes abonnés, dans ma première vidéo Youtube, je parle de toi. Je parle de Maxence Rigottier. J’expliquais qu’à travers un blog sur la course à pieds… parce qu’il y a des gens qui disent : « Oui mais, je ne pourrais jamais faire de blog, parce que de toute manière, ce qui marche, ce sont les blogs business. A partir du moment où vous parlez d’argent, il n’y a que ça qui marche ». Non, Maxence, tu as la preuve. Tu as commencé, toi, avec un blog de course à pieds.
Maxence Rigottier Exactement. Course à pieds, le running et paris sportifs qui n’a également rien à avoir.
Sonia Pereira Donc ça, c’était déjà une bonne chose. La deuxième chose, c’est que Maxence, justement ce que j’apprécie chez lui, c’est que c’est un gros fonceur. Je crois qu’on ressemble sur ce truc-là. C’est un gros fonceur et ce n’est pas quelqu’un qui est juste là pour prendre des informations, puis faire et s’arrêter là. Non, lui, il va chercher, il prend des risques. Tu crées la nouveauté sur le web marketing français aujourd’hui. Tu nous trouves des solutions qui sont rapides, faciles à utiliser au quotidien. Et donc, à travers tes vidéos, tu offres du contenu et tu tapes très haut. Donc, il était logique pour moi de rejoindre ton club privé parce que j’avais besoin de tes conseils pour tout ce qui était vidéos, pour tout ce qui était tunnel de vente,…
Maxence Rigottier Tu es sur Clickfunnels ou pas encore ?
Sonia Pereira Non, pas encore mais je l’envisage, j’y arrive, parce qu’avec Maxence, à mon avis, je n’ai pas trop le choix. Du coup, je vais passer sur Clickfunnels, je pense là, dans le courant de 2017. Et je savais déjà qu’avec tout le contenu qualitatif que tu donnes gratuitement,
Maxence Rigottier C’est ma chaîne Youtube qui t’as fait dire : « Wow, s’il donne autant de vidéos, il y a peu de chances que je me trompe en m’inscrivant ».
Sonia Pereira Il y a ça. Mais même, il y a toi tout simplement, l’être humain en lui-même. Maxence, je t’aime beaucoup et je crois que je ne suis pas toute seule. Tu as beaucoup d’abonnés qui t’apprécient sur internet et je savais qu’avec toi, je pourrais avancer vite et rapidement.
Maxence Rigottier C’est le gain de temps une nouvelle fois…
Sonia Pereira Je vous conseille justement, si vous vous posez la question, si vous hésitez à investir dans un club privé ou dans le club privé de Maxence, j’ai fait énormément de formations de très grandes qualités – je ne suis pas en train de les dénigrer – mais sachez que celles de Maxence, c’est du high-level pour le prix qu’il avance.
Maxence Rigottier C’était le coaching commun ou… Parce que d’une manière générale…
Sonia Pereira Ah oui, il faut que j’en parle. J’ai souvent fait des coachings communs dans les formations précédentes que j’ai faites. Mais attention, accrochez-vous, Maxence, quand il fait un coaching commun, ça commence à 18h et ça se finit des fois à 23h. Ça peut durer jusqu’à cinq et des fois six heures parce que Maxence va au bout des choses et veut répondre aux questions et conseille l’ensemble de ses abonnées. Et ça, je peux vous dire que dans le web marketing tout court, c’est très rare de trouver une personne aussi disponible, aussi ouverte que Maxence et qui veut vraiment votre réussite. Il est vraiment là pour vous donner des actions. Là dernièrement, on a fait un coaching ensemble il y a trois jours.
Maxence Rigottier J’ai réparti les trois actions principales à mettre en place.
Sonia Pereira Il m’a donné trois actions et dans un mois, je dois faire le topo et lui dire si j’ai mis en place ces trois actions. Si je ne les ai pas mises en place, il va me taper dessus. Si vous hésitez, si vous voulez savoir comment faire pour créer un business en ligne, allez-y les yeux fermés.
Maxence Rigottier Merci une nouvelle fois et je rebondis – c’est quelque chose que tu peux mettre aussi dans ton club privé ou si vous avez des produits en ligne –, c’est que généralement, ce qui se passe quand les gens proposent des coachings communs, c’est bien qu’ils répondent aux questions mais ils nous donnent pas la parole. Ils lisent la question pour vous répondre. Moi, ce que je me suis dit c’est : « Comment je pourrais innover et surtout plus motiver les gens, avoir plus de réussite. Ce qui nous permet du coup d’avoir plus de personnes qui réussissent ? ». Au lieu de dire : « Je réponds à tes questions », dire : « On va prendre ton cas, peut-être en 15 min, mais tu vas m’expliquer et surtout en fonction de ton avancée, en fonction de tes besoins précis, tu vas repartir les trois actions majeures ». Peut-être pour certains, ça va être de réaliser deux vidéos par semaine, pour d’autres, créer son tunnel de vente et réaliser un facebook live. Peut-être pour d’autres, ça va être souvent, – ce que je vois souvent, ça me vient instinctivement à l’esprit – « Maintenant, toi, dans ton avancée, dans ton business, focalise-toi à avoir des témoignages clients en vidéos, focalise-toi à faire des études de cas. Peut-être que pour toi, focalise-toi sur un partenariat. Toi, focalise-toi sur de la publicité payante ». A chaque fois, du coaching personnel en commun sur votre cas précis et surtout, c’est ça qui permet aussi de mesurer ses progrès, parce qu’on a la tête dans le guidon. Moi-même, souvent, je prends du recul. J’aime bien aussi, quand je fais des séminaires, d’une manière générale, quand il y a des speakers qui disent : « Tel jour, il s’est passé ça et ça ; et moi, instinctivement je me dis : « Qu’est-ce que je faisais en 2014 ? » et je me dis « J’avais ce niveau de revenu, ce niveau de mindset, etc. Et là, on me voit encore plus en évolution. C’est fabuleux.
Sonia Pereira Justement, combien tu gagnais en 2014 ?
Maxence Rigottier En 2014, j’étais à 3000€ par mois. Pour vous donner les chiffres, ça vous donnera un exemple, j’aime bien l’évoquer. 2011 : 0 ; 2012 : 8000 ; 2013 : 32 000 ; 2014 : 71 000 ; 2015 : 103 000 ; 2016 : 230 000 et 2017 (comme j’ai vraiment appuyé sur la publicité payante) au minimum 500 000 parce que je réorganise ma stratégie, notamment avec des prix plus importants mais un système de pack. Vous dites 500 000, c’est énorme mais au final, dans mes calculs, j’ai 200 personnes à convaincre en business et j’ai 300 personnes en paris sportifs. Ça va être assez facile. Egalement, j’ai grandi dans la cambrousse et surtout, je n’ai pas eu de succès immédiat. J’ai démarré en 2011 : « tu es en avance sur moi » je le dis systématiquement aux gens qui souscrivent à mes programmes aujourd’hui. J’ai vraiment mis du temps à décoller sur le web. C’est important aussi d’avoir cette capacité de persévérer. On a le bel exemple d’Alex Roth. Il a démarré il y a dix ans et au final – aujourd’hui il a énormément de succès – mais il a mis six ans, de 2006 à 2012 pour avoir des résultats plus ou moins mitigés.
Sonia Pereira Là, vous avez l’opportunité en 2017. C’est-à-dire que vous avez des gens qui sont passés avant vous, qui ont fait de plus grosses conneries avant vous et qui ont galéré avant vous. Du coup, dans leur programme, ils vous expliquent clairement comment justement ne pas galérer, comment tout de suite aller droit au but et aller trouver ce fameux trésor. C’est ce que je vous ai expliqué par rapport à la carte aux trésors toute à l’heure. Il y a des gens comme Maxence, comme Alex qui au départ ont galéré, parce que ça n’existait pas tout simplement en France, qu’il a fallu tout construire, qu’on n’avait pas les outils qu’il fallait non plus en France. Aujourd’hui, il y a tout et vous avez même le chemin pour accéder à ces choses-là. Foncez ! Si c’est ce que vous voulez faire, allez-y et je vous conseille vraiment vivement de vous inscrire au club privé de Maxence. Le coût… On parlait de coût tout à l’heure.
Maxence Rigottier Dérisoire… Le tarif augmente à partir du premier janvier 2017, mais ce sera un package quand même toujours avec cette offre irrésistible. Vous verrez pour les personnes qui s’inscriront, mais pour vous donner un exemple, j’ai démarré le 1er février 2011 avec mon site de paris sportifs que j’ai encore aujourd’hui, c’est là où je gagne encore le plus d’argent. Vous gagnez 3000€ par mois sur le web à ce moment-là, début 2011, vous faisiez partie des kings. Aujourd’hui, même moi à 230 000€ l’année, je ne fais pas partie… le top 10 est dans les millions, pour vous donner un exemple. En 2011, vous gagnez 5000€ par mois, je pense que vous étiez top 10 pour vous donner un exemple. Il y a 5 ans début 2011, mes parents n’achetaient jamais sur internet. Aujourd’hui, ils font peut-être un achat par trimestre. C’étaient des gens… je ne les aurais jamais vu acheter en ligne. Donc le marché, le comportement a évolué et surtout, vous le voyez à travers mes vidéos, j’ai interviewé différentes personnes, notamment Alexandre, sur la musique. Il démarre, à un moment donné il fait une vidéo par jour, dix mois après, il a 3000€ par mois avec une chaîne Youtube sur la musique.
Sonia Pereira Oui, j’ai vu.
Maxence Rigottier C’est quand même un truc de malade. En 2011, ça aurait été impossible.
Sonia Pereira C’est ça.
Maxence Rigottier Aujourd’hui, en fonction de la thématique que vous prenez, vous pouvez générer plusieurs milliers. Au moins déjà, remplacer votre salaire, même si vous êtes cadre sup, 3, 4, 5 000€ par mois, vous pouvez assez facilement en étant focus grâce à l’évolution du marché.
Sonia Pereira C’est ça. C’est la bonne année pour débuter sur internet.
Maxence Rigottier Comme dirait Cédric Annicet : « 2017, le meilleur millésime qui va avoir lieu ».