De 0 à 15 000€ / mois en parlant de sexualité – Jessica Pirbay

De 0 à 15 000€ / mois en parlant de sexualité – Jessica Pirbay

Bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Aujourd’hui, je suis avec qui ? Jessica PIRBAY, en direct de Paris. Juste avant de voir en détail cette nouvelle étude de cas du Club Privé Business, j’ai rencontré Jessica pour la première fois c’était à malte, en mai 2017. Donc il y a déjà du temps qui s’est écoulé depuis, c’était l’un de mes week-ends mastermind que j’avais organisé. À cette époque-là, tu démarrais tout juste sur internet, aujourd’hui tu as une chaîne YouTube de plus de 70 000 abonnés sur le tantra, la sexualité, le développement personnel. Alors, je vais te laisser te présenter, et à la fin de la présentation, finalement, aussi nous expliquer le déclic qui t’a amenée à être sur internet. Alors, je te laisse tout nous dire depuis tes débuts jusqu’à aujourd’hui.

Alors, je suis Jessica PIRBAY et je suis sexothérapeute et coach en sexualité, et j’accompagne les hommes, les femmes et les couples à s’épanouir pleinement dans leur relation amoureuse et sexuelle, voilà.

Et c’est bien dit avec un beau petit tout doux. Alors, avant de te lancer sur internet, avant l’année 2017, qu’est-ce que… tu faisais exactement la même chose ? Quand est-ce que tu t’étais intéressée finalement du sujet tantra, développement personnel, sexualité. Tu en as fait déjà ton métier, avec un cabinet en dur ?

Du cabinet physique au coaching online

Voilà. En fait, j’étais déjà en face à face, je recevais des personnes en face à face, je recevais déjà des femmes et des hommes et des couples. Par contre, j’étais uniquement sur Paris, forcément, et j’avais déjà débuté mon activité, je recevais des personnes, je commençais à coacher, être en thérapie. Et au fur et à mesure, moi-même je me suis formée en sexologie, et avec la formation que je fais, et qui se termine d’ailleurs en sex et love coach aux États-Unis. Donc si tu veux, tout ça c’était fait un petit peu en même temps, et j’ai senti que très vite il fallait que je passe au online, pour pouvoir avoir une clientèle pas forcément juste parisienne, mais une envergure nationale, voire du coup bientôt, multinationale, voilà.

Alors là, aujourd’hui on est à Paris, tu habites à Paris, est-ce que tu as été Parisienne ou alors tu es venue emménager dans la capitale ?

Non, justement je ne suis pas parisienne, voilà, j’ai vécu…

Donc, tu es venue emménager dans la capitale ?

Voilà, j’ai vécu très longtemps à Londres et très longtemps au Brésil.

Tu es née au Brésil où… ?

Non, je suis née à Madagascar, mais j’ai… voilà.

Donc Madagascar, ensuite tu as vécu quoi ? Pas d’années en… ?

Cinq ans en Angleterre, deux ans au Brésil.

Alors, Brésil, qu’est-ce que tu avais apprécié ?

Justement le lâcher-prise et le côté corps. Très connectés au corps les Brésiliens.

Et pourquoi Jessica veut aussi se lancer sur le marché international dans le futur ? Tu parles très bien anglais, comme tu as vécu à Londres et…

Une formation en sex coach et tantra

Voilà, que ma formation en sex coach, sex and love coach était aux États-Unis, et c’est dans un institut tantrique aux États-Unis.

Alors, est-ce que tu as le petit élément déclencheur qui a fait : OK, now, maintenant je me lance sur internet, parce que finalement souvent on peut s’intéresser au sujet, s’intéresser même des fois plusieurs mois, plusieurs années, et il faut qu’il y ait un déclic. Et comme j’aime bien l’évoquer, soit un accident, une rupture, un licenciement… en fait, quelque chose où il y a une grosse douleur dans notre vie, et c’est ça qui amène le changement, et c’est pour ça que j’explique souvent le déclic. Toi, quel était ce fameux déclic ?

Mon déclic, c’était vraiment l’envie de passer à un niveau supérieur, pour être honnête avec toi, j’avais envie d’aller… voilà, j’avais envie d’investir en immobilier, j’avais envie de… voilà, de m’offrir une vie plus belle. Et puis surtout, honnêtement, le déclic qui venait aussi de la contribution que je voulais donner au monde. Si je restais juste sur Paris…

Ouais, tu as une clientèle parisienne, point barre. Et l’impact Paris, point barre aussi.

Voilà, je n’étais pas dans ma… je ne transformais pas des milliers de vies quoi. Et je crois que mon message, que je voulais faire passer, il est tellement fort et que je veux encore passer – sur le tantra, sur la sexualité, sur l’amour – est tellement fort, que je ne peux pas juste me limiter à Paris.

Ouais, je comprends.

Voilà. Et là, ça a été un… donc déjà mes rêves à moi et ma contribution au monde, ma mission de vie, moi je veux être une grande, et je veux transmettre ce message au monde entier en fait, voilà. Je crois que ça a été mon déclic. Et quand j’ai commencé à me dire : pourquoi le online ? Pour tout te dire, j’ai commencé à avoir des… je ne sais pas comment je suis tombée dessus, mais des webinaires, des publicités Facebook sur différents sujets : développement personnel, immobilier, business en ligne, parce que c’était comme ça que je t’ai connu. Je me suis dit : « tiens, c’est marrant, c’est des gens… » et du coup, j’ai acheté, je commençais à acheter les formations et tout, je me suis dit : « mais moi, ces gens-là, ils ne sont pas du tout à Paris quoi, et je suis cliente de ces personnes ».

Ouais, tu as aussi le déclic par rapport à toi-même qui achetait des formations, tu te dis : « bah oui, lui, il n’est pas à Paris, lui non plus, lui non plus ».

Bah oui. Alors je me suis dit : « mais alors, du coup, ça peut être partout, ils peuvent avoir des clients qui sont partout dans le monde entier ». Et là, ça a été vraiment un déclic pour moi. Et à ce moment-là je me suis dit : « si eux ils le font, moi aussi je peux le faire ». Ça a commencé comme ça.

Merveilleux. Alors, ça va rebondir à une question que vous vous posez peut-être, et souvent que j’ai en objections c’est : OK, mais finalement – et c’est peut-être encore un degré au-dessus si vous êtes une femme – j’ai peur du regard de l’autre, oui, mais qu’est-ce que les gens vont penser moi ? C’est… voilà, souvent les trois obstacles : peur du jugement, peur de la critique, et peur du regard de l’autre. Toi, comment tu as fait face pour quand même te lancer, et ne pas te faire piéger ou alors, absorbée par rapport à ces peurs-là ?

Alors, pour être honnête avec toi, alors ce n’était pas facile pour moi non plus. Je me souviens, au début je regardais mes premières vidéos, je me suis dit : « mais franchement ».

Tu t’es dit : what, c’est quoi ce désastre ?

Transmettre un message à des milliers de personnes grâce aux vidéos

Voilà, je me suis dit : je me répète, en plus je me regardais souvent dans la caméra. Enfin, je faisais trop attention à moi en fait, à mon apparence, tout ce que je pouvais dégager. Alors qu’en fait, c’est vraiment ce qui m’a aidée à aller de l’avant et continuer, parce que ce n’est pas évident non plus, tu as un rythme : tu dois sortir des vidéos, etc., c’est vraiment de regarder à l’intérieur de la caméra, comme si c’était un œil, et comme si je discutais à quelqu’un, et que je transmettais mon message à une personne. Et d’ailleurs c’est ça. Et en fait, au lieu de le transmettre à une personne, je le transmets à juste des milliers de personnes. Et c’est ça qui m’a fait aller de l’avant, c’est : on s’en fout de ce que… je dis toujours : « it’s not about you, it’s about the others ». Il ne s’agit pas de toi là, il s’agit de : combien de personnes tu vas aider avec le message que tu vas donner aux autres ? Et du coup, là, c’est là où je me suis dit : bah non, on s’en fout en fait, on s’en fout de moi à ce moment-là. C’est : qui va me regarder, qu’est-ce qu’il va retenir de mon message ? Et à chaque fois, c’est ce qui me… voilà, parfois même je fais des choses en sexo, c’est quand même des sujets très intimes.

Je confirme.

Voilà. Et c’est le message que… je me raccroche au message et aux autres, et pas à moi.

Voilà, et puis vraiment, à partir du moment où on voit plus grand que soi, c’est ce qu’on appelle l’ego, et c’est ce que j’aime bien aussi évoquer, c’est quand vous allez avoir 75, 80, 85, 90 ou plus, qu’est-ce que vous voulez laisser sur cette Terre ? Et qu’est-ce que vous aimeriez avoir donné aux autres ? Donc la contribution et l’impact que vous aimeriez avoir donné. Et dès qu’on fait ça, finalement on se dit : OK, quelqu’un qui va me critiquer, quelqu’un qui va me dire je ne vais pas réussir ou quoi que ce soit. À votre avis, est-ce qu’en 2080 vous allez vous vous posez la question de : commentaires YouTube ou alors, d’une réflexion quelqu’un vous a fait en 2020 ? La réponse est non. Donc c’est important de l’avoir en tête.

Et puis surtout, plus on avance, et plus il y a des gens qui nous disent merci : « merci pour tes vidéos, heureusement que tu es là. »

Continue, c’est trop bien ce que tu fais, surtout ne change pas.

Ouais. Et donc là, c’est beau quoi. Et là tu dis, voilà : tu crées une communauté, tu transformes des vies, et je crois que c’est magnifique.

Du trafic en provenance de YouTube

Ouais, je ne peux que confirmer tous les propos. Alors maintenant, on va revenir un petit peu par rapport à la partie business internet. Si vous me suivez, vous avez compris, c’est-ce que je réalise souvent quand je fais des études de cas, il faut se focaliser sur le trafic, le nombre de nouveaux prospects qualifiés, le cash, les produits que vous vendez et la satisfaction clientèle. Alors, par rapport à ton trafic, est-ce que toi c’est plutôt YouTube, est-ce que c’est plutôt Google, est-ce que c’est plutôt Instagram, est-ce que c’est plutôt Facebook, est-ce que c’est un mix de ces quatre plateformes que je recommande ? Dis-nous tout.

Alors, pour moi c’est YouTube.

C’est une YouTubeuse comme moi, I love YouTube ! Ça, c’est vraiment une grosse clé. Toutes les personnes qui ont des grosses chaînes YouTube, ça envoie du lourd par la suite.

Ouais, parce qu’en fait j’aime bien YouTube, parce que c’est du… pour moi, c’est du passif : une fois que tu as fait ta vidéo, ta vidéo elle tourne, elle tourne, elle tourne. Au début, je ne sais pas, surtout quand on débute, on a peu de vues, on a peu de vues, on a peu d’abonnés. Mais au fur et à mesure qu’on en fait, on a de plus en plus de vues. Et quand tu vois, moi quand je vois des vidéos que j’ai tournées, même des vidéos franchement je me dis : « purée, c’est celle-là qui marche ? » Enfin, « c’est celle-là qui fait 500 000 vues depuis deux ans ? » Bah en fait, j’ai démarré avec cette vidéo-là, et aujourd’hui elle a 500 000 vues. Et je crois que la récompense de voir combien de… comment la vidéo elle tourne, et quand tu as des clients qui viennent me voir ou des clients qui commandent mes produits en ligne, et qui me disent… et puis souvent je leur demande : « qu’est-ce qui vous a fait venir vers moi ? » Et ils me disent : « j’ai vu une vidéo, et c’est cette vidéo-là que j’ai vu ». Je lui dis merci quoi, c’est génial pour ça.

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Ouais, complètement. Une nouvelle fois, à chaque fois ayez toujours ça en tête : c’est des humains derrière les vues, et quand vous avez des vidéos à 10, 15, 50 000 vues, plus, là, vous dites : waouh, c’est assez grandiose par rapport à ça.

Exactement.

Donc sur YouTube, tu fais quoi ? Deux vidéos par semaine ? Alors, tu as démarré quand ? Mai 2017, à peu près quand il y avait le mastermind ?

Oui, et je me suis vraiment mise en juin, juste après le mastermind.

Juin 2017, donc finalement c’est assez récent. Tu me montrais les stats, juste avant qu’on démarre l’étude de cas, et tu étais à 221 000 vues au cours des 28 derniers jours, ce qui fait plus de 7 000 vues par jour en moyenne. Là, c’est… là, tu avais déjà… tu n’es pas loin des cinq millions de vues, ce qui est assez énorme en l’espace de deux ans seulement. Et je me souviens quand on s’était vus au mastermind en mai 2017 à Malte, tu m’avais parlé du tantra, et moi je connaissais depuis un an, parce que j’avais découvert cela, et j’ai été choqué dans le développement personnel que personne n’en parlait. On avait eu cette réflexion par rapport à ça. Et si je vous dis ça, c’est parce que là aussi, je donne souvent des thématiques comme le vin, la voile, il n’y a personne sur le sujet, alors que vous feriez un tabac par rapport à ça. C’est important de temps en temps, finalement on peut être de nombreux acteurs sur une thématique ; il y a encore de nombreuses thématiques où il n’y a personne, et c’est assez hallucinant avec finalement tous les formateurs qu’il y a aujourd’hui.

Complètement, je suis tout à fait d’accord.

Et toi pour YouTube, Google tu n’utilises pas trop. Instagram et Facebook ?

Oui, Facebook j’ai investi dans la publicité Facebook.

Où est-ce que ça en est Facebook, comment tu procèdes ?

Écoute, Facebook, j’ai fait une… je fais tourner une pub, donc parfois je l’arrête, parce que…

OK, on va dire un mois sur deux tu envoies et un mois sur deux tu dis : on oublie. Parce que si vous faites 100 % de la pub, et c’est plus ou moins les mêmes pubs, c’est comme la télé : il y a l’effet : OK, je vous vois tout le temps, donc je ne vous vois plus.

Exactement. Donc j’appuie sur mon bouton, j’arrête, j’appuie sur mon bouton, j’arrête. J’aime beaucoup aussi la publicité Facebook, parce que ça me permet d’avoir des prospects autres que YouTube, surtout que je travaille beaucoup avec des dirigeants d’entreprises, des coachs. Et ça me permet de toucher la cible que je veux sur Facebook ; alors que sur YouTube, tu ne sais pas trop…

Ouais, c’est monsieur tout le monde. Tu as aussi bien des dirigeants que des Africains, que des cadres, que des employés… bref, tu as tout le monde.

Exactement. Donc je t’avoue que moi j’aime beaucoup Facebook pour ça, mais c’est aussi un budget. Un budget que YouTube… j’ai aussi un budget YouTube, puisque que moi, je…

Tu fais appel à une équipe vidéo, comme moi je fais appel ?

Voilà, maintenant oui, parce que c’est beaucoup plus simple pour moi de me concentrer sur mon message, plutôt que de me concentrer sur la technique.

Zone de génie, zone de talent. Alors par rapport à Facebook, tu investis… les mois où tu investis, tu investis quoi ? 20 € par jour, 50 € par jour, 100 € par jour ?

J’ai commencé par 20 € par jour, et j’ai augmenté à 40 € par jour. Pour moi, ça me va, tu vois, j’avais, je ne sais pas, on va dire que j’avais eu, peut-être trois-quatre prospects par jour, mais enfin, parce que le petit produit, j’ai mis quelque chose de payant. Je n’ai pas fait un webinaire, je n’ai pas… donc pour moi, c’est des gens qui ont acheté, qui m’ont déjà acheté quoi, qui ont déjà sorti leur Carte bleue, ils me font confiance.

Oui, même si c’est, on va dire, 18 €, 20 €, c’est des gens qui t’ont fait suffisamment confiance, qui ont sorti la Carte bleue. Et vous le savez, si vous me suivez depuis un minimum, votre liste de clients, vous allez pouvoir leur reproposer un deuxième produit et troisième produit, toutes ces choses-là.

Exactement. Donc ce que je fais avec CLickFunnel, avec l’order bump, etc., des personnes qui rentrent par mon petit produit, qui est à quelques euros, tu vois, et puis en fait ils prennent un coaching avec moi ou ils achètent un autre… mon programme tantrique, etc., en ligne. Donc ça fait augmenter le panier moyen.

Absolument. Alors, maintenant vis-à-vis de la partie cash, qu’est-ce que tu vends ? Et tu nous diras… donc je disais à Jess, donc là vous avez vu son trafic, c’est à peu près un peu plus de 7 000 vues par jour. Je disais, alors du coup, tu as combien de nouveaux inscrits qualifiés qui rentrent dans ta base de données ? Et là, tu vas nous expliquer ce que tu as a mis en place, et puis après nous donner un petit peu la liste des produits que tu vends sur le web.

Du coup, en fait ce que j’avais mis en place, c’est un produit gratuit, un cadeau, voilà. Et j’ai fait l’erreur d’enlever ce cadeau-là.

Parce que tu avais beaucoup d’Africains qui s’inscrivaient ?

Voilà. Et puis du coup, je ne savais plus trop avec la base de données, GetResponse, etc., qui est mon e-mail.

Vous devez récupérer les e-mails. Récupérer les e-mails, parce que ça marche pour Jess, mais c’est quand même… tu perds beaucoup d’argent par rapport à ça, parce que malheureusement, pour qu’une personne regarde vos vidéos et ensuite achète, et vous n’avez pas l’e-mail pour la recontacter, pour faire un mix de contenus gratuits, de contenus payants, c’est là où vous perdez, notamment pour les produits moyens de gamme et haut de gamme, pas mal d’argent.

Un accompagnement personnalisé

Exactement. Alors du coup, bien évidemment j’ai remis en place mon cadeau.

Le cadeau de bienvenue, le lead magnet.

Voilà, mon lead magnet, mon cadeau qui est « Sex master » et « Sex godess ». Et là donc, je récupère des e-mails, et j’ai tout un processus d’e-mailing qui est derrière, pour pouvoir me contacter – parce que moi, j’accompagne aussi des personnes sur trois mois, etc. – donc elles ont cette possibilité-là, mais aussi de proposer mes programmes. Donc ils ont le choix, tu leur dis dans les mails, je raconte la douleur de la personne qui est dans l’avatar, en l’occurrence une vidéo qui cartonne chez moi, c’est « Sept jours pour durer plus longtemps au lit ».

Ça ne m’étonne pas : sept jours pour durer plus longtemps au lit. Alors, je peux me tromper, je dirais que c’est plus un avatar d’homme, mais est-ce que c’est vrai ?

Oui, c’est le cas.

Ça me paraît logique.

Donc, la vidéo en fait qui cartonne, c’est : « Comment durer plus longtemps au lit, comment retarder l’éjaculation précoce ». Et du coup, mon programme qui se vend le plus, c’est « Sept jours pour durer plus longtemps au lit », voilà. Et donc là, ça fonctionne très bien. J’ai une liste d’e-mails qui est derrière, qui suit une fois que le procès rentre.

Donc tu vends via une séquence d’e-mails ou tu fais un webinar automatisé ? Qu’est-ce que tu procèdes en processus de vente ?

Plutôt e-mail, je ne fais pas vraiment de webinar.

e-mail que tu envoies manuellement ou c’est une séquence qui… ?

Non, je fais une séquence.

Ouais, une séquence d’e-mails en automatique, OK, d’accord.

Voilà, où je travaille vraiment sur la douleur de la personne, voilà, les émotions et la solution, enfin, les conséquences de la solution, donc retrouver de l’endurance, et du coup, forcément faire plaisir, prendre son plaisir, etc. Et ensuite, la solution, le comment, c’est mon programme. Voilà comment j’ai fait ma construction d’e-mails. Ça parle aux gens, parce qu’ils se sentent compris. Et pour moi, pour moi c’était aussi plus intéressant, et je t’avoue : moins time-consuming, moins prise de temps de le faire en e-mail automatique, plutôt que de faire des webinaires, etc. Et je n’ai pas fait de webinaires automatisés pour l’heure. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne l’ai pas fait, je me sentais plus à l’aise comme ça. Et là, les nouvelles stratégies, c’est aussi des YouTube live.

Donc YouTube live, là que tu es en train de mettre en place petit à petit ? Parce que Jessica a une chaîne YouTube de plus de 70 000 abonnés, donc forcément ça vaut le coup de faire des lives, pour pouvoir impacter son audience.

Voilà, de créer du lien avec ma communauté.

Alors, vis-à-vis de la gamme de produits, c’est quel tarif la fourchette que tu vends, ça va de combien à combien de manière générale ?

Alors, là vraiment, ça va de 17 €…

Donc petits produits d’appel à 17 €, OK.

Voilà, à 300 €.

À 300 €, OK, des formations online qui restent relativement peu chères, mais voilà, comme tu fais un minimum de volumes, parce que tu as du gros trafic, 7 000 vues par jour, c’est ce qui te permet de pouvoir réaliser tout ça.

Exactement. Et puis, ça me permet, je t’avoue que les petits produits, ça me permet…

De payer la pub, j’imagine ?

Oui, et puis que les gens aussi ne s’engagent pas forcément, mais s’engagent quand même et apprennent à me connaître. Et du coup, je les emmène à…

Ouais, d’avoir une liste de clients et petit à petit de continuer.

Exactement. Parce que je me suis aperçu vraiment d’une chose, c’est que c’était aussi beaucoup mes clients qui rachetaient mes autres produits, 80/20 quoi, loi de Pareto.

Logique. Voilà : une personne qui achète chez vous et qui apprécie, elle va racheter une deuxième fois, une troisième fois. Je vais vous donner une analogie qui va vous parler : si vous êtes comme moi, chez Apple, vous achetez un iPad, vous achetez un iPhone, vous achetez un MacBook Pro, vous achetez un MacBook Air. Et trois ans après, si vous en êtes satisfait, vous racheter un nouveau MacBook Pro, un nouveau MacBook Air, c’est l’analogie que vous devez avoir. Donc, faites de bons produits, et puis après vous avez la porte d’entrée, et les autres personnes forcément vont acheter d’autres programmes.

Exactement. Et ça, c’est pour ça que c’est aussi important de prendre soin de ses clients. Parce que là, je suis en train de mettre aussi en place un programme, voilà, je commence à avoir mon équipe, à vraiment prendre soin aussi des clients que j’ai déjà, parce que pour moi, le lien c’est hyper important. Et comme c’est nos clients qui nous suivent et qui nous rachètent, c’est important d’en prendre soin.

Activité de coaching online et offline

Merveilleux ! Alors maintenant, vis-à-vis de ta partie en dur, parce qu’on a fait la partie online. Là, la vente de tes différents programmes est à environ 3 000 € par mois de ventes. Et là, tu vas améliorer ça, pour passer à 10, 15, 20 000 € et plus dans le futur.

Pour en ligne, oui.

Mais Jessica a une autre casquette, c’est qu’elle a un cabinet en dur, où là tu… d’ailleurs, je ne sais pas, tu te déplaces encore un petit peu à ton Cabinet ?

Je ne me déplace plus trop.

Maintenant, il n’y a plus besoin, online, on est sur internet, plus besoin de payer des loyers exorbitants made in Paris.

Ouais, voilà. Écoute, je fais pas mal de visioconférences, parce que ma chaîne YouTube…

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Explique-nous tous ces programmes online, puisque là tu fais à peu près 12 000 € de ventes par mois, en moyenne 10-12 000 € de ventes, qu’est-ce que c’est exactement ces coachings d’accompagnement ? Qu’on comprenne tout ça. Et c’est quoi la promesse ?

En gros, 10-12 et 17-18 000 quoi.

Ouais, ça va dépendre des mois, on va dire une moyenne sur l’année 150 000 €.

À peu près. Entre 100 et 150. Du coup, là, l’idée c’est de stabiliser aussi tout ça dans la phase montante. Alors, qu’est-ce que je fais ? Concrètement, j’ai mes produits en ligne, donc ça qui se vend tout seul, je suis en train d’optimiser.

Donc là, pas de souci, c’est plus ou moins automatisé. Excellent.

Et grâce à ma chaîne YouTube, en fait comme je suis – vous l’avez compris – sexothérapeute, thérapeute de couple et coach en sexualité, j’ai aussi des personnes qui vont me contacter et qui ont besoin de se faire accompagner, parce qu’il y a des sujets intimes qu’on ne va pas toujours traiter, il n’y aura pas la réponse dans mon programme en ligne. Et donc j’ai deux possibilités : la possibilité, effectivement, j’ai fait des accompagnements qui… donc sur deux-trois mois, où les personnes sont accompagnées, ça coûte 3 à 4 000 €, parfois 6 000 €, en fonction de la problématique. Donc je suis plutôt sur du coaching high ticket haut de gamme, où je suis vraiment 100 % pour eux, donc ça me demande du temps. Mais en même temps la valeur, la valeur que je mets est à la hauteur du prix qu’ils me payent. Et donc c’est : oui, maintenant je ne fais plus de personnes qui me voient, sans prendre ce haut de gamme-là, voilà, parce que c’est plus de temps.

Pour être avec toi en présentiel, il faut prendre systématiquement le coaching premium d’accompagnement ?

Voilà, exactement.

Ce qui est logique, on a que 24 heures par jour, donc plus votre valeur augmente, plus les tarifs vont augmenter. Ce qui paraît normal.

Voilà, ça devient compliqué. Donc après, j’ai des ateliers aussi que je fais, donc là où il y a… là, c’est en présentiel aussi, mais il y a plusieurs femmes par exemple pour l’atelier. Ou des visioconférences, et il y aura plusieurs hommes dans des… comme des masters class, voilà. Et toutes ces personnes-là, elles viennent de ma chaîne YouTube en fait. En fait, j’ai vraiment développé tout un business, finalement entre business en ligne one-to-one, ateliers, et là je suis en train de créer mon école aussi, pour prendre tout le marché, parce que la chaîne YouTube génère du trafic. Il y a des personnes qui demandent un thérapeute, et je ne peux pas, moi, donc m’occuper…

Ouais, les aider parce que…

Je n’ai pas le temps en fait.

Et là, tu vas embaucher une équipe pour pouvoir le faire. Et du coup, elle sera accompagnée par une équipe que tu auras formée.

Exactement, voilà. Donc comme ça, je prends vraiment tout le marché : et ma chaîne YouTube et tout, enfin voilà, qui m’amène jusqu’à ma mission de vie.

Merveilleux. Alors, par rapport à la livraison du produit et la satisfaction clientèle. Donc vis-à-vis de tes ventes de formations en ligne c’est des PDF, des fichiers audios, des formations vidéo ? Donc, là on a compris que pour la partie Cabinet, business en dur, ça va être du coaching visioconférence ou alors, quelques rendez-vous face à face. Donc là, il n’y a pas de formation ou des choses comme ça, c’est : tu vends ton temps. Et ensuite, vis-à-vis de la partie internet, comment tu procèdes ? Est-ce qu’il y a des coachings communs, des coachings privés, des groupes privés Facebook ? Dis-nous tout.

Écoute, en ligne, donc déjà mes formations en ligne, mes programmes en ligne sont sous forme de vidéo. Alors, j’ai tout j’essaie vraiment de m’adapter, parce que je sais qu’il y a des personnes qui vont plutôt regarder des vidéos, des personnes qui vont plutôt écouter les audio, et des personnes qui vont plutôt adorer le PDF. Donc chaque formation que je fais, chaque chose que je fais, j’essaie vraiment de dupliquer audio, vidéos PDF.

OK, donc ça, parfait. Tous les types de personnes qui… il y a peut-être des gens qui sont plus lecture, d’autres plus écoute, d’autres plus visuel ; là, tu as le trio gagnant.

Exactement. Donc là maintenant, vraiment c’est ce que je fais. Je n’ai pas commencé comme ça, mais c’est-ce que je fais, parce que j’ai compris qu’on était tous différents aussi, et même dans notre manière de prendre de l’information. Et donc ça, c’est pour le programme. Et après, ton autre question c’était : est-ce que j’avais des ateliers ou est-ce que j’avais des groupes membres ? Là, je suis en train, j’ai des ateliers et j’ai aussi des masters class, avec plusieurs personnes. C’est en visioconférence, voilà, donc c’est en visioconférence, et j’ai plusieurs personnes que j’accompagne, moi. Et j’ai plusieurs personnes, dans différents endroits, qui se connectent au master class, voilà.

OK, bah écoute, parfait par rapport à ça. Alors, peut-être ça va rebondir sur un autre sujet que vous vous posez certainement : c’est quoi le quotidien de Jessica PIBAY ? Combien de temps ça te prend, du coup, par semaine ton business en ligne ? Est-ce que c’est 10 heures par semaine, est-ce que c’est 30 heures par semaine, est-ce que tu es en mode chinois, 50 heures par semaine ? Et c’est quoi ta journée type, dans ton organisation de ta double casquette business offline, business online ?

Alors, écoute : au début ça me prenait beaucoup de temps. Déjà je faisais mes vidéos toute seule, etc., pour moi ça fait partie du business en ligne, parce qu’il y a tout ce qu’il y a en amont. Et puis surtout, j’étais… là, je me suis vraiment organisée, c’est-à-dire que tous les dimanches soirs, j’ai vraiment mon planning, je sais ce que je vais faire pendant toute la semaine, etc., je n’avais pas une organisation, on en parle très peu, mais pour moi ça a changé ma vie d’entrepreneuses, d’avoir vraiment mon fichier Excel et tout ce que je dois faire, etc., la planification. Et en fait, si tu veux, alors combien de temps je passe pour mon business en ligne ? Quand j’ai démarré, ça me prenait beaucoup de temps entre les vidéos, la technique, etc. Et puis là aujourd’hui, ça me prend, on va dire, quatre jours par mois.

Quatre jours par mois seulement ? D’accord, là c’est… là tu es en mode semaine light. Comment tu fais pour arriver à être si peu ?

Voilà, quatre jours à une semaine, parce que je suis en train d’augmenter mon rythme, puisque je vais lancer aussi ma chaîne YouTube en anglais, donc ça va me faire plus de temps, on va dire que ça me prend une semaine sur un mois.

Donc là, bravo, tu es efficace et productive.

En fait, j’ai appris à déléguer, voilà, j’ai appris à déléguer pour, justement, me concentrer sur mon message, et voilà, ma zone de génie. Alors, comment je fais ? Déjà je prépare… tout part de ma chaîne YouTube, on l’aura bien compris, puisque c’est là mon investissement le plus important en temps. Après, il y a la publicité Facebook, mais une fois qu’on la met en place, tu appuies sur le bouton pour la faire tourner, tu arrêtes, tu reprends, voilà. YouTube, par contre, c’est un… voilà, c’est un vrai business YouTube.

C’est un processus, voilà, en publiant régulièrement du contenu, vous avez des nouveaux actifs en votre faveur. La relation qui est très importante aussi avec votre communauté, qui vous voit régulièrement avec votre contenu, toutes ces choses-là.

Exactement. Et là en fait, ce que je fais, c’est comme je tourne des vidéos d’un coup, parce que j’ai essayé d’un coup et j’ai essayé une vidéo par jour, honnêtement une vidéo par jour ça ne marchait pas pour moi, parce que je ne m’y tenais pas en fait. Donc je préfère maintenant tourner…

En fait, tu fais exactement… on fait pareil. Pareil : je tourne en pack, et ensuite tu publies régulièrement. C’est ce qui est le mieux, parce qu’il y a des jours on est dans un avion, des jours n’a pas de peps, toutes ces choses-là, alors qu’une fois que vous le faites pendant quelques jours, vous êtes tranquille quelques semaines ou quelques mois.

Exactement, ouais, complètement. Donc j’ai fait ça, et puis, bon, j’ai délégué cette partie-là, j’ai délégué aussi le montage pour me dégager du temps. Et ensuite, je travaille vraiment, là je suis en train de former une équipe aussi pour travailler tout ce qui est le SEO, les mots clés dans la vidéo, la description, je la transfère à une autre équipe à Madagascar pour la transcription des vidéos. Ça, je crois que c’était toi, voilà, j’ai eu cette technique-là par toi. Et puis peut-être d’ailleurs que là je vais former quelqu’un, pour faire le travail en interne dans la boîte, puisque je suis en train de commencer à construire l’équipe, et commencer à déléguer en interne au sein de mon équipe. En fait, je travaille beaucoup, moi toute seule, si tu veux, effectivement ça me prend quatre jours par mois, quatre à cinq jours par mois, mais mon équipe, enfin, je veux dire, ça prend plus de temps.

Parce que tu as une équipe derrière qui eux bossent énormément. Logique.

Bien sûr, là les produits en plus, voilà, en fait je te dis aussi quatre jours, mais là je suis en train de travailler sur mes produits en ligne. Et là, je suis en train de travailler dessus, donc ça va me prendre on va dire une semaine quoi, entre le… parce que je fais des packs, les petites formations, les grosses formations, les grosses grosses formations, il y a du travail derrière. Quand je sors des formations, ça me prend plus de temps, parce qu’il faut les tourner, etc., de faire tout, de travailler en profondeur quoi, donc voilà.

Et la dimension internationale, elle était venue comment du coup ?

La dimension internationale, en fait je trouvais ça très dommage de me limiter au marché francophone, déjà. Par ma langue déjà, par ma langue, par le fait que j’ai voyagé, que je suis multiculturelle. Et puis surtout, c’est un sujet, c’est… pour moi, j’ai vu l’envergure de YouTube. Pour moi c’est juste magique en fait.

Tu t’es dit : YouTube I love you !

Je me suis dit : mais c’est juste génial.

Je veux me marier avec YouTube.

Ouais, tu as des personnes qui te contactent de Belgique, de Suisse, du sud de la France, de Nantes, enfin, de partout. Là je me suis dit : « mon dieu, si ma chaîne YouTube elle est en anglais, je vais avoir des gens ». Déjà avec ma chaîne…

Surtout la francophonie, pour être vraiment gentil, on dirait en a 100 millions de personnes – j’exclus entre guillemets l’Afrique, dans le sens où c’est plus compliqué pour eux d’acheter des produits, parce qu’ils n’ont pas forcément des Cartes bleues, des choses comme ça – 100 millions de personnes la francophonie, le côté anglais ça va être un ou deux milliards, parce que même si vous êtes… moi qui habite en Estonie, un Estonien va aller regarder le marché US, il n’y a jamais un Estonien va se dire : « je vais regarder le marché français ». Même s’il parlait français, il ne va pas se dire : « je vais regarder le marché français ». Donc tu vas voir, il y a un-deux milliards de personnes qui s’intéressent en prospects potentiels.

Bien sûr, complètement. Donc en fait, pour moi c’est un outil pour toucher au-delà des frontières et même…

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Faire un fois 100 en impact.

Exactement. Voilà pourquoi.

Alors, vis-à-vis de la technique, là tu expliquais que tu déléguais. Tu es geek, tu n’es pas du tout geek ? Quel est ton ressenti par rapport à ça ? Parce que c’est souvent une objection qu’on a sur le business internet.

Alors, moi j’étais super bien accompagnée, puisque j’étais en plus dans ton groupe privé, donc j’avais vraiment tout de A à Z avec la vidéo qui montrait. Je ne suis pas geek à la base, après je ne suis pas… je n’ai pas peur. Par contre, si j’avais été toute seule, toute seule, je pense que j’aurais lâché l’affaire avant ou j’aurais mis plus de temps à y arriver. Là, dans le groupe business, il y a toutes les vidéos par type. Alors, il y avait : le paiement comment ça se passe, les pages de ventes, il y a tout. Et en fait, à chaque fois, en plus dès que j’oubliais quelque chose, je retournais sur la vidéo et je re-regardais et je resuivais, et puis il y a toujours quelqu’un qui répond quand on est bloqué, donc c’est génial, voilà.

OK, alors je récapitule un petit peu ton business internet. Numéro1 : YouTube, c’est là où tu as 80 % de ton trafic, on a pu voir, plus de 7 000 vues journalières, et ça va augmenter au fil du temps. Ensuite, un petit peu de publicité Facebook, où tu as un budget d’environ 1 200 € mensuel, mais tu le fais un mois sur deux pour pouvoir toucher davantage de personnes. Tu as deux casquettes : la casquette offline, où là tu réalises 10-12 000 € de ventes par mois ; et la casquette online, environ 3 000 € de ventes par mois. Donc là, tu vas démultiplier tout ça par la suite. Vis-à-vis de la livraison du produit ou encore la satisfaction clientèle : formation vidéo, visioconférence, coaching directement en atelier présentiel, coaching privé, toutes ces choses-là. Et par rapport à ta journée type, tu délègues, tu es vraiment focalisée sur ta zone de génie, ta zone de talent, donc ça, c’est merveilleux, parce que souvent on peut vite être dispersé dans des choses qui sont inutiles. Là-dessus, c’est pour ça que tu fais une grosse différence et que tu as déjà une chaîne YouTube de plus de 70 000 abonnés. Alors, est-ce que tu te souviens comment tu m’avais découvert en 2017 ? Et ensuite, tu reviendras sur quels étaient les points forts, selon toi, du Club Privé Business.

Oui. Alors écoute, moi, je t’avais découvert, je ne sais pas si c’était une publicité Facebook ou pas, mais je t’ai découvert par…

Parce que finalement tu avais démarré par mon week-end mastermind, et c’est ensuite que tu avais fait le Club Privé Business, je m’en souviens.

Exactement. En fait, j’ai démarré, en fait je t’ai découvert, tu faisais un webinaire.

C’est par le webinaire, OK.

Voilà, par le webinaire, et puis j’ai adoré. En fait, le contenu était hyper puissant, était hyper de qualité, et tu as donné énormément de valeurs. Et là je me suis dit : mais si je vais…

Tu t’es dit : waouh !

Je me suis dit déjà : un webinaire en deux heures. Il a duré longtemps ce webinaire.

Je fais des webinaires qui durent assez longtemps, ouais, je m’enflamme.

Je me suis dit : waouh, quand même tout ça. Du coup, je n’ai pas attendu très longtemps, je me suis inscrite à ton mastermind à Malte. Et c’est ensuite en fait que je suis rentrée dans le… enfin, à Malte, derrière Malte en fait. Au même moment quasiment.

Alors, donc toi les points forts c’était vidéo tutoriel principalement ? Parce que, ouais, comme tu démarrais de zéro finalement.

Dans le Club Privé Business ? Écoute, c’est les vidéos, les vidéos tutoriels qui sont, voilà, chaque chose… voilà, on montre quasiment. Et puis à l’époque, alors, je ne sais plus si c’est encore le cas, il y avait ton frère.

Ouais, c’est encore le cas. Et j’ai même aujourd’hui – c’est ce que je disais dans une autre vidéo – depuis le 1er janvier 2019, un ingénieur web de métier. Donc si on a vraiment des questions techniques, là-dessus on est quasiment incollable, donc là-dessus on est bien paré.

Écoute, du coup, moi je me souviens d’avoir une qualité de service énorme. C’est-à-dire que quand moi j’étais bloquée, il y avait Jonathan qui me répondait tout de suite en fait ou dans la journée. Et je ne me suis jamais sentie seule dans le club.

Toi, c’est ça que tu as apprécié.

Pour moi, ça, c’était énorme le temps. Et j’avais l’impression qu’il y avait une réactivité qui était très rapide, parce que quand on est bloqué dans la technique, on peut s’arracher les cheveux.

On peut faire : waouh, c’est quoi ce bordel ?

En plus, on est là avec nos émotions et tout. Là, je me suis sentie accompagnée, je me suis dit : ce n’est pas grave, de toute façon il y a quelqu’un qui va te répondre. Donc il y a un service de qualité, vraiment, voilà.

Et tu avais déjà acheté d’autres formations par le passé, quand tu as rejoint le mastermind et le Club Privé Business ?

Une formation de toi ou de quelqu’un d’autre ?

De quelqu’un d’autre, est-ce que tu avais déjà acheté ? Ou c’était, finalement, l’un des premiers programmes que tu as acheté en ligne ?

Je suis en train de réfléchir. Pour moi c’était l’un des plus… peut-être j’ai… Franchement, je ne m’en souviens pas.

Donc c’est peut-être la première fois. Et c’est souvent le classique, il y a… en 2017, je faisais un petit peu de publicités Facebook, c’est certainement comme chaque. Tu as suivi – c’est un business model que vous pouvez faire, c’est ce que tu fais aussi dans ta thématique – publicité Facebook soit vers un bonus, un cadeau de bienvenue ou alors, une conférence en ligne. Ensuite, vous faites votre conférence en ligne. Alors moi, je suis partisan des gens qui pensent que vous devez faire vos conférences en ligne en live, et pas des enregistrements. Moi, mon conseil, après je sais qu’il y a plusieurs écoles, à vous de voir vis-à-vis des résultats, il y a des personnes qui disent : les webinars evergreen, mais ça ne marche pas très bien. Alors, je n’ai pas fait, moi personnellement, mais des connaissances que j’ai eues. Par contre, c’est plus puissant de se dire : je fais une conférence tous les 15 jours ou une par semaine ou une par mois, où là vous envoyez la sauce en pub, mais vous êtes en live. Parce que si vous n’êtes pas en live, déjà numéro 1 ça se sent et ça se voit un petit peu, même si vous êtes honnêtes en disant « c’est une rediffusion », mais c’est moins puissant. Donc c’est le conseil que je peux vous recommander. Et puis ensuite, forcément si vous apportez de la valeur, vous allez avoir un taux de conversion important. Parce que si tu avais fait l’effort de t’inscrire, d’être là le jour J et à l’heure du webinaire, c’est que tu faisais partie des prospects les plus qualifiés, et c’est ça qui est important.

Complètement, ouais. Je te remercie d’ailleurs, parce que ça me fait une petite touche de rappel.

Voilà, toujours appliquer ce que vous, vous ressentez et ce que vous faites à le mettre aussi dans votre propre business, et c’est ça qui va faire une grosse différence. OK, merci une nouvelle fois. Si vous avez apprécié la vidéo, cliquez sur le petit bouton « Like » juste en dessous. Si vous êtes une femme particulièrement, dites-le nous dans les commentaires, voilà, Jessica vous envoie du love, beaucoup de love. Ça me fait penser, du coup, pour un petit mot de la fin : est-ce que tu as des conseils à donner ou trois conseils que tu aurais aimé avoir il y a deux ou trois ans, que tu as envie de partager à des femmes, parce que souvent, je lui disais avant la vidéo, je lui demandais quelles sont pour toi les femmes qui ont du succès, et puis après tu m’avais posé cette question, et on peut avoir cette impression, ce qui n’est pas le cas, mais c’est quand même une grosse tendance, que ça soit que les hommes qui ont du succès, les femmes ce n’est pas le cas, c’est pour ça que je fais aussi des témoignages femmes par rapport à ça. Quels conseils tu aimerais donner aux femmes ? Oui les femmes, vous êtes les meilleures, mettez-nous la fessée.

La fessée tantrique est divine. Alors trois conseils. Premier conseil : c’est de vous connecter vraiment à votre puissance, parce qu’en fait on est aussi très puissante, et vraiment puissante et qu’on a toutes un message à partager. Alors, tous ou toutes en fait à partager, et connectez-vous à votre enfant intérieur, pour aller puiser cette ressource pour aller contribuer au monde. C’est votre contribution, et encore une fois, il ne s’agit pas de vous, il s’agit du message que vous voulez faire passer. La deuxième chose que j’ai envie de dire aux femmes, parce que c’est vraiment quelque chose que j’ai vécu en tant que femme entrepreneuse, c’est : ce n’est pas grave si on mélange comme énergie notre Ying et notre Yang, on n’est pas dans un monde… on est dans un monde, peut-être, un peu masculin, mais on peut aussi s’autoriser à suivre notre flow, notre intuition, et ne pas toujours être en mode machine, et vraiment suivre de quoi j’ai vraiment envie, qu’est-ce qui me fait vibrer, et d’être connectée au corps pour, voilà, pour respecter ses envies et ses désirs en termes de business, et de suivre son flow et son énergie, ça, c’est vraiment important. Et puis la troisième chose, c’est rester authentique, n’ayez pas peur du regard des autres, parce que de toute façon, on ne peut pas plaire à tout le monde, ça, c’est une chose que j’ai vraiment comprise. Et surtout, pensez à la personne qui va vous regarder derrière, et qui va écouter votre message, comme vous, vous êtes en train d’écouter le mien, qui va écouter votre message et comment est-ce que vous allez transformer, vous, sa vie en fait. Et je pense que c’est vraiment important, au-delà du chiffre d’affaires, au-delà de… voilà, bien sûr, l’idée c’est d’être entrepreneuse et d’aller de l’avant et de construire un empire ou pas, tout dépend de ce dont on veut, mais c’est vraiment : quelle personne, quel est l’impact que je vais avoir dans la vie de quelqu’un d’autre, en fait. Et je pense que ça, c’est beaucoup plus important.

Merveilleux et merci pour ces belles paroles. J’espère que, mesdames, ça va vous inspirer et sachez que le business internet c’est aussi fait pour vous. Et comme on est différent les hommes et les femmes, voilà, il faut juste par rapport à ses différentes qualités.

Complètement. Et n’oubliez pas d’être des sex godess, parce que la puissance de l’énergie sexuelle, ça se voit aussi à l’extérieur et même dans le business, voilà.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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