Bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Aujourd’hui, je suis à Paris avec Jérémy Bambini. Salut Jérémy !
Salut Maxence !
Vous allez un petit peu voir aussi, comment il réalise pour gagner sa vie sur internet, sur quelles thématiques il est. Bref, je vais te laisser te présenter. Puis, à la fin de la présentation, je t’invite à nous donner quel a été le déclic pour arriver sur internet. Jérémy également est un dinosaure en quelque sorte, parce que tu as démarré la même année que moi, en 2011, à quelques mois plus tard par rapport à moi, j’ai démarré le 1er février 2011. Bref, je te laisse tout nous dire et surtout nous expliquer ta vie avant internet et tes démarrages jusqu’à aujourd’hui.
Une reconversion dans l’informatique après l’armée
D’accord. Donc je m’appelle Jérémy, je suis un ancien militaire qui après s’est reconverti dans le civil, dans l’informatique. Et effectivement, je travaille… je vis du web depuis, on va dire 2015-2016, et j’ai commencé en 2011, à peu près en même temps que Maxence, avec des formations et un simple blog.
Et tu étais salarié quand tu as démarré ?
Oui quand j’ai commencé, donc j’ai fait ça en plus de mon travail, j’avais un travail en trois-huit, donc j’avais parfois des jours de repos en milieu de semaine et profitais de mes temps morts pour créer et alimenter mon blog et me former à différentes compétences que je pourrai exploiter à distance.
Alors, numéro 1 : armée de l’air ; numéro 2 : reconversion dans l’informatique. Via ce job, tu t’es dit : voilà, c’est les trois-huit, et tu as envie de te lancer sur internet, tu avais vu qu’il y avait des opportunités. Donc tu as démarré en 2011 et c’est en 2015 que là tu es à transition, tu es arrivé à en vivre -on reviendra après en détail par rapport à ça – et tu t’es dit : maintenant je vais quitter mon emploi. Et chose que tu as faite, que je vous recommande systématiquement : quand vous quittez votre emploi, le faire avec une rupture conventionnelle. Pourquoi ? Parce que ça vous permet d’avoir de l’argent, donc un revenu grâce au chômage qui va vous permettre de continuer le développement de votre projet. Donc c’est la sécurité. Et numéro 2, autant bénéficier des aides de l’État. On est en France, donc là-dessus c’est parfait. Alors, je vais revenir donc sur les différents piliers. Je l’évoque souvent sur le business sur internet : pour gagner sa vie, vous avez Google, vous avez Facebook, vous avez YouTube, vous avez Instagram. Il y a d’autres plateformes, mais c’est les quatre principales. Alors, première chose : dans quelles thématiques tu as lancé ton activité ?
Un blog de fitness
Alors, j’ai lancé un blog sur le fitness, parce que c’est un domaine qui me passionnait. Je parlais d’alimentation et de musculation à l’époque. Et j’ai simplement commencé à rédiger des articles, à peu près un article par semaine, parce que c’était ce que disait de faire la formation. Et puis, j’ai commencé, pour le monétiser, j’ai fait un petit peu de pub Adsense à l’époque où ça marchait, mais ça m’a rapporté trois fois rien. J’ai commencé à vraiment le monétiser avec de l’affiliation, c’est-à-dire que je recommandais des compléments alimentaires et j’ai été rémunéré pour chaque client que je référais. Et j’ai fait ça jusqu’à ce que je lance mon premier programme qui était un e-book, qui existe encore maintenant, mais qui a bien évolué depuis. Et c’est en lançant des programmes que j’ai fini par pouvoir être assez rentable pour envisager de quitter mon emploi.
Alors, par rapport à cet e-book, donc on remet dans le contexte, le début des années 2010, le vent en poupe c’était le blogging et principalement Google, ça a évolué, notamment avec l’arrivée des réseaux sociaux. Un e-book, dans un premier temps tu vendais à combien ? 20 € ?
Oui 20-27 €.
27 €. OK, donc un peu le prix classique de ce type de programme. Alors, aujourd’hui, quelles sont tes sources de trafic par rapport à ton activité ? Alors, tu as dit fitness. Est-ce que tu peux réaliser la précision, parce que c’est une niche bien précise, le Kettlebell. Je ne sais pas si je le prononce bien. Alors, qu’est-ce que c’est le Kettlebell ? En quoi ça consiste ? Je te laisse un petit peu nous détailler tout ça.
Oui. En fait j’ai simplement parlé de ma façon de vivre le fitness. Je n’aime pas ce mot, mais en fait, il n’y a pas de meilleurs termes pour ça. Je parle essentiellement de deux choses : le jeûne intermittent, mon mode alimentaire, et au niveau entraînement au Kettlebell qui est un outil de fitness qui permet de s’entraîner sans salle de sport et de faire des entraînements très complets et efficaces qui demandent peu de temps. Donc, pour les personnes occupées c’est l’idéal. Moi qui travaillais en trois-huit et qui en plus étais devenu jeune papa, bah c’était parfait quoi. Donc j’ai parlé en fait de ces… je me suis concentré sur ces deux choses, après avoir été très généraliste. Et c’est quand je me suis recentré sur ces deux choses que mon trafic a commencé à augmenter.
Le jeûne intermittent permet de faire ça plus facilement, puisque plutôt que de calculer ses portions tout au long de la journée, on va tout rassembler, de préférence en fin de journée. Et du coup, les portions sont plus grosses, on a moins l’impression de se restreindre, et c’est ce qui fait que c’est plus facile à tenir qu’un régime classique.
Pour Jérémy, le jeûne intermittent permet de maigrir durablement et encourage aussi à mieux manger.
Quand on a passé une bonne partie de la journée à jeûner, on n’a pas envie de se nourrir avec n’importe quoi. Donc, naturellement on va être de moins en moins attiré par les aliments transformés ou très sucrés, parce qu’on ne mange plus par habitude, on mange pour se nourrir. On se reconnecte avec la vraie faim.
D’accord, donc nichez. Vous vous souvenez, si vous devez avoir une expertise, par exemple, moi je suis dans le domaine des jeux en ligne, vous avez le poker, les paris hippiques, les paris sportifs… vous avez pas mal de possibilités. Et c’est important de commencer à se spécialiser, c’est pareil dans le fitness, vous avez différents modes d’alimentation, différents modes de type d’exercice. Et là, Jérémy s’est positionné dans un thème précis de la thématique du fitness, comme moi je me suis spécialisé dans un thème précis : les paris sportifs, dans le thème des jeux en ligne. Pour vous donner un aperçu par rapport à ça. Alors, vis-à-vis de tes sources de trafic aujourd’hui, qu’est-ce que tu fais ?
Deux sources de trafic pour l’acquisition : Google et Facebook ads
Mes deux principales sources de trafic c’est : la publicité payante Facebook.
Publicité Facebook, OK.
Et Google, donc le référencement naturel, c’est-à-dire le trafic qui vient des articles qu’il y a encore sur mon blog.
Alors numéro un : trafic. Publicité Facebook, combien tu investis ? Ton site web par rapport aux articles, combien tu as de visiteurs par jour ?
Au niveau publicité Facebook, j’ai un budget… je mets un budget entre 1800-2000 €/mois.
Donc 60 à 70 €/jour.
Voilà et puis référencement naturel, ça me rapporte à peu près 500 visites par jour.
Donc, ce qui est plutôt pas mal parce que c’est méga qualifié Google. Alors, est-ce que tu sais approximativement le nombre de nouveaux prospects qualifiés qui rentre chaque jour dans ta base de données ? J’imagine… tu sais, si 1 € le prospect, 0,50 € le prospect, 2 € le prospect ? Est-ce que tu sais un petit peu les chiffres ?
Actuellement, je suis entre 0,50 € et 0,60 € le prospect.
Donc, si tu mets 60 €/jour, tu as globalement 100 nouveaux prospects.
Oui, c’est ça. Je fais entre 100 et 150 prospects par jour.
Ouais, donc globalement, 100 prospects venant de la publicité Facebook et peut-être 50 venants de ton site Google ?
Ouais, c’est à peu près ça.
OK, alors maintenant vous vous posez la question suivante : OK, merci, Jérémy, donc on a bien compris ton trafic et ton système d’acquisition. Par rapport à la vente, qu’est-ce que tu vends ? Quels sont tes différents programmes ? Quels sont les différents tarifs ? Combien tu arrives à réaliser en termes de ventes par mois ? Je le laisse tout nous expliquer.
Une séquence de vente simpliste et efficace
Alors, mon… je suis une séquence de vente qui est très simple. C’est qu’en fait, j’ai une offre principale qui est une offre à abonnement, qui me permet, quand on rejoint l’offre à abonnement, d’obtenir un programme alimentaire et d’entraînement très généraliste. Et le fait d’être abonné permet d’accéder à différents services. Notamment, il y a un suivi, un suivi hebdomadaire, et un suivi au niveau des exercices. C’est-à-dire que les élèves ont la possibilité de se filmer, de m’envoyer leurs vidéos, et moi je leur fais un feedback, de façon à ce qu’ils soient sûrs d’avoir la bonne technique et la meilleure technique pour être déjà en sécurité et des résultats. Parce que ce qu’il faut préciser, c’est qu’en parallèle, je me suis formé à l’entraînement au Kettlebell, je suis instructeur certifié au Kettlebell.
Ouais, donc tu as les diplômes et puis tu t’es formé le sujet, tu es… tu le maîtrises.
Voilà, je me suis formé par passion en fait. Mon business a été… est tourné autour de ma passion, donc ça a été très simple. Et à travers cet abonnement, une fois que vous êtes abonné, les membres ont accès à des réductions sur mes programmes spécifiques. Donc, avant j’avais un catalogue de programmes et tout le monde pouvait y accéder, il suffisait de les commander. Et après, j’ai mis tous ces programmes pour favoriser le suivi. J’ai mis tous ces programmes derrière l’abonnement. C’est-à-dire qu’il n’y a que les abonnés qui peuvent accéder à ces programmes qui ont accès à des offres confidentielles.
Alors, vis-à-vis, pour bien récapituler, que ce soit clair au sein de votre esprit, donc numéro 1 : ventes avec un système à abonnement. Donc on va revenir juste après, savoir combien de temps les gens restent en moyenne. Donc là, tu fais des tests de prix et donc ça peut être 29 €/mois, 39 €/mois, 49 €/mois, et voilà, de manière générale, une trentaine d’euros par mois ou un accès pendant six mois à cet abonnement. Et donc, l’objectif de Jérémy, vous l’avez compris, avec ses 150 nouveaux prospects par jour, c’est d’avoir le maximum de clients. Donc, c’est son produit d’appel. Le produit d’appel est un système à abonnement et après, une fois par semaine tu as un catalogue de produits et là, tu vas faire une promotion seulement sur ta liste de clients. Donc si, on va dire, je donne un exemple tout bête, si tu as 50 nouveaux clients au cours du mois précédant, ça se rajoute et tu as un turnover… alors, tu as combien de produits complémentaires en plus de l’abonnement ?
Là, de tête, j’en ai lancé récemment, mais j’en ai entre 8 et 10 programmes complémentaires.
Ouais, donc en gros, turnover tous les deux mois, tu sais que de janvier-février tu lances, mars-avril tu fais le WeMake, mai-juin, tous les deux mois, hop, tu fais un turnover de ces différents programmes sur, et uniquement, ta liste de clients.
Oui. Après c’est toujours pareil, quand on a plein d’offres et qu’on les fait tourner, il y en a toujours quelques-unes qui sortent du lot.
Ouais, les 20-80. Donc, si tu as 10 offres, il y en a deux qui font un carton.
Voilà, le but c’est de recentrer sur les offres qui se vendent le mieux, c’est-à-dire qui aident le plus de personnes. Et bah quitte à sacrifier des offres qui se vendent moins bien et les remplacer par d’autres. Et le but c’est toujours en continu, c’est un travail en continu, c’est de trouver les offres qui aideraient le mieux les élèves.
Les produits best-sellers.
Après, il y a aussi le côté, vu que je continue de me former, j’en apprends de plus en plus, donc je mets à jour mes programmes et ça me permet de toujours maintenir mon niveau de compétence, on va dire, au top du moment et de pouvoir mieux aider les élèves.
Un système d’abonnement sur l’année
Alors, autre question que vous vous posez peut-être, c’est vis-à-vis du système à abonnement : souvent on peut avoir cette objection : « oui, mais les gens sont réfractaires ». Alors, moi personnellement, je vais en tant que client déjà, et c’est la même chose pour Jérémy, quand vous faites du business sur internet, vous achetez pas mal de logiciels, donc ce qu’on appelle des outils. Vous avez peut-être déjà entendu parler : Système.io, ClickFunnels, LearnyBox… vous avez beaucoup de systèmes à abonnement, facturation Quaderno, vous avez les autorépondeurs MailChimp, GetResponse, Infusionsoft… donc, vous avez ce côté logiciel où, moi en tant que client, Jérémy c’est pareil, il y a des milliers de web entrepreneurs, on paye des abonnements tous les mois, tous les mois, tous les mois. Donc je sais que c’est des business qui sont grandioses. Pourquoi ? Parce qu’il y a une valeur avis du client qui est très importante. Ensuite, vis-à-vis de, moi mon activité de paris sportifs, c’est ce qui a fait mon succès. J’ai des abonnements annuels, donc j’ai trois offres abonnement annuelles. Et c’est ça aussi qui me permet d’avoir systématiquement du récurrent. Alors toi, quelle est à peu près la durée moyenne des personnes qui restent dans ton abonnement ?
En moyenne, entre six et dix mois. Après je n’ai pas énormément de recul, parce que par rapport au volume de vente ce n’est pas…
Donc, tu sais que quand tu fais une vente à 29 €/mois, tu as globalement fait une vente à 200 €. S’ils restent six mois en moyenne, vous faites le calcul, plus ou moins 200 €.
Voilà, sans compter les offres qu’il y a derrière.
Ouais, les offres additionnelles. La même chose avec mon club privé revenus passifs, il y a une offre à abonnement. Pareil, j’ai beaucoup de personnes, ils rentrent avec l’offre sans engagement de durée et beaucoup de personnes restent finalement entre six à douze mois. Donc là aussi, ça me permet de… quand je sais qu’il y a une nouvelle personne, c’est comme si j’avais vendu pour quelques centaines d’euros. Alors, maintenant vis-à-vis des chiffres, là tu… donc on a pu voir, tu as investi quasiment 2000 €/mois dans la publicité Facebook. Les différentes offres abonnement, plus les programmes complémentaires, tu fais quoi ? 6 000 €/par mois, 5 000 €/mois, 7 000 €/mois, plus ?
Ouais, c’est entre 6 et 7 000 €/mois en général, mon chiffre d’affaires.
De la vente uniquement par mail
Voilà, donc on voit hop, Jérémy investit 2 000 € et il réalise entre 6 à 7 000 € par mois de ventes, donc ce qui fait un ROS, pour ceux qui apprécient Facebook, de trois. Tu as une autre particularité que j’aimerais que tu reviennes, c’est que toi, tu ne vends pas direct. C’est-à-dire que tu as beaucoup de personnes qui achètent au deuxième mois, au troisième mois. Quelle est à peu près la tendance ? Pourquoi tu as fait ça et à quel moment intervient la vente ?
En fait, mon système de vente, qu’on n’a pas parlé, je vends uniquement par e-mail et je ne communique avec mon audience que par e-mail. C’est-à-dire je ne suis pas…
Ah oui, donc pas de live, pas de webinaires, pas de ventes flashs en quelque sorte, c’est séquences e-mails automatisés.
Ouais. Séquence e-mail, pas automatisée, en général il y a quelques e-mails qui sont automatisés au départ, parce qu’il y a certains e-mails… certains contenus par lesquels je veux que les nouveaux inscrits passent. Mais après, je passe à l’e-mailing quotidien. C’est-à-dire, j’envoie un e-mail par jour. Ma séquence e-mail d’ailleurs initiale, elle est à deux e-mails par jour en 25 jours, et c’est quelque chose que je suis en train de tester. Mais en général c’est un e-mail par jour et chaque e-mail vend mon abonnement, si la personne n’est pas encore abonnée. Et si la personne est déjà abonnée, le même e-mail change d’appel à l’action automatiquement et va vendre un programme complémentaire.
D’accord, donc souvenez-vous, si vous visionnez cette vidéo et que vous n’avez pas d’offre à abonnement, peut-être que ce n’est pas possible dans votre cas de figure. Je ne dis pas que toutes les thématiques sur internet, il est possible d’avoir des offres abonnement, mais en tout cas, au moins 80 % des thématiques. Donc réfléchissez qu’est-ce que vous pouvez mettre en place en abonnement. Donc, ça peut être soit des abonnements mensuels, trimestriels ou annuels. Pourquoi ? Parce que souvenez-vous, c’est ça qui va vous permettre d’avoir du cash récurrent, récurrent, récurrent, et en l’occurrence, lui, Jérémy, c’est ça qui est appréciable, c’est qu’il sait qu’il ne démarre jamais un mois avec… il a un seuil de matelas du mois précédent vis-à-vis de ses offres abonnements. Et du coup, ça lui permet de réinvestir dans la publicité Facebook. Alors, maintenant vis-à-vis de la partie satisfaction clientèle et suivi, toi c’est quoi alors ? Les gens achètent, ils ont un programme online en vidéo, ils ont des coachings communs… ? Alors, comment tu procèdes ?
Tout est envoyé par e-mail, j’ai éliminé tout ça en espace membre. J’ai travaillé avec des espaces membres avant et puis c’était une prise de tête.
Monsieur e-mail
Jérémy, monsieur e-mail, monsieur e-mail, excellent.
Voilà, j’envoie donc ce que j’appelle des protocoles, donc le programme par e-mail c’est des simples PDF avec des vidéos qui apportent un complément d’explication. Et en parallèle, donc je suis accessible par e-mail pour répondre aux questions. Et les élèves reçoivent chaque semaine un formulaire qui leur permet de faire leur suivi hebdomadaire, ils remplissent leurs mesures, ils notent leurs remarques, comment ils ont vécu la semaine passée, voilà, ils font vraiment leur feedback. Et en plus de ça, pour la partie exercice, s’ils ont la possibilité de se filmer et de m’envoyer leurs vidéos pour que leur fasse un retour, donc tout se passe en différé, il n’y a jamais de live en fait et il n’y a pas de limite dans le nombre de vidéos à m’envoyer. La seule contrainte c’est, on ne m’envoie pas de nouvelle vidéo tant que la précédente n’a pas été analysée. En dehors de ça il n’y a pas de limite. Et c’est vraiment… quand je reçois la vidéo, je retourne moi-même une vidéo personnalisée où je filme mon écran et avec ma souris je pointe, voilà au niveau de tes hanches et tout, il faudrait mieux placer ton dos. Et je renvoie la vidéo, donc chaque élève a sa vidéo personnalisée avec son feedback. Cette expérience est un exemple vivant de la réussite du tunnel de vente pour coach sportif en ligne.
Alors, je récapitule l’activité de Jérémy, donc numéro 1 par rapport au trafic, donc site web, google, donc 500 visiteurs par jour et publicités Facebook, environ 2 000 € d’investissement par mois. Vis-à-vis de l’accusation de lead, là tu offres un bonus, le classique, et tu as environ 150 nouveaux contacts qui rentrent dans ta base de données. Ensuite, par rapport au cash, là tu vends une offre abonnement. Donc, réfléchissez qu’est-ce que vous pouvez vendre comme offre abonnement, et sur cette liste de clients qui achètent cet abonnement, une offre promotionnelle par semaine par rapport à ton catalogue de produits. Donc ce qui te permet de faire entre 6 000 à 7 000 € de ventes par mois. Et vis-à-vis du côté délivrer le produit, donc beaucoup d’e-mails, quelques exercices en vidéo et surtout un suivi personnalisé. Parce que vous l’avez compris, pour réussir sur internet, aujourd’hui vous devez avoir ce côté humain. Et c’est ce que les gens recherchent, c’est des programmes d’accompagnement et plus à des formations isolées. C’est encore le cas dans certaines thématiques, mais de plus en plus, il y a ce côté accompagnement que vous devez prendre en compte pour progresser dans votre business sur internet.
Oui, c’est ça, au début je travaillais de façon classique, c’est-à-dire que j’avais juste un calendrier de promotion et j’envoyais des programmes sous forme de catalogue, où je faisais des promotions. Et après, je me suis demandé, enfin, je voulais travailler plus en profondeur avec les gens et je me suis demandé comment… comment je pourrais travailler avec un suivi plus en profondeur avec les gens, mais sans que ça ne me demande la journée en fait. Et j’ai trouvé ce système de coaching vidéo en différé, je ne sais pas comment on appelle ça. Et voilà, ça me permet… ça me demande peu de temps, ça me permet d’envoyer… le business me demande peu de temps en fait en général, et ça me permet d’apporter de la valeur constamment, mais en même temps, d’avoir ce côté suivi où la personne est vraiment impliquée et où je m’implique pour l’élève.
OK, merci, Jérémy, par rapport à ce retour d’expérience. Donc vous l’avez compris, Jérémy c’est monsieur e-mail, il a une seconde activité sur le copywriting, l’e-mail marketing. Donc là, qu’est-ce que tu proposes ? Quel est ton canal d’acquisition ? Dis-nous tout. Et c’est ça qui est assez extraordinaire, tu as démarré sur internet la même année que moi en 2011 et bien ça t’a permis aussi de développer d’autres compétences on évolue au fil du temps un moi-même bas j’ai démarré que les paris sportifs j’ai toujours cette première activité et début 2015 je me suis lancé dans le webmarketing la vidéo qu’on est en train de réaliser c’est par rapport à cette thématique. En gros, au fil du temps vous allez vous développer d’autres compétences. Je crois que tu as démarré le copywriting début 2017, quelque chose du genre ?
Pour… en prestations ou même avant.
Expertise en copywriting
Ouais, prestation, Jérémy fait prestation. Donc si vous voulez refaire votre copywriting, je vous recommande vraiment Jérémy. Il vous fera un devis, puisque comme il me l’a évoqué à nombreuses reprises, c’est souvent des offres sur mesure en fonction de ce que vous voulez. Donc, numéro 1 : tu réalises des prestations pour certains clients. Et numéro 2 : tu as aussi une formation sur le sujet. Alors, dis-nous tout, et comment ça t’est venu finalement ce côté copywriting, parce que tu es Monsieur e-mail, sur le marché, par rapport à ton business.
En fait, quand mon premier blog dont sur le fitness a commencé à décoller, en fait plus il décollait et moins j’en faisais et je me suis recentré vraiment sur l’e-mail, j’avais aussi plusieurs pages de vente. Et j’avais vite compris, vers 2012, c’est 2012 que j’ai compris… que j’ai fait la connaissance de cette compétence qui est le copywriting, qui est l’art d’écrire pour persuader ou vendre. Et je me suis mis à fond là-dessus, puisque j’ai compris que c’était avec ça que j’allais pouvoir… dès que j’ai vu ça, je me suis dit : c’est avec ça que je vais pouvoir quitter mon emploi et vivre… et vivre. Et ça a été le cas. Et donc, j’ai rédigé mes pages de vente, j’ai rédigé mes e-mails. Et puis, bah, il y avait des… parmi mes abonnés, il y avait d’autres marketeurs qui ont vu ma façon d’écrire et qui après ont commencé à me contacter pour rédiger leur page de vente.
Ouais, en fait naturellement… naturellement ils t’ont contacté : j’aime ce que tu fais, est-ce que tu ne pourrais pas m’aider pas rapport à mon copywriting ? C’est là que t’est venue l’idée de vendre des prestations d’e-mailing, copywriting.
Ouais, c’est comme ça que j’ai commencé à faire des prestations, j’ai fait surtout des e-mails, des e-mails, des séquences e-mails, des pages de vente, des scripts de vidéos de vente, essentiellement sur deux thématiques, la santé, c’est ce que j’ai fait le plus et le make money, enfin, l’entrepreneuriat en fait. Donc, j’ai fait des prestations pendant quelques années et après, j’ai voulu sortir du travail pour des clients et me recentrer sur mes business et j’ai créé donc un deuxième business basé sur l’e-mail copywriting où en fait je… c’est un copier-coller de mon business sur le fitness. C’est-à-dire que j’acquiers des leads, j’envoie un e-mail par jour vers une offre qui est un programme d’e-mailing qui permet d’obtenir une séquence e-mail automatisée. À la fin vous avez une séquence e-mail que soit vous utilisez pour votre business, si vous avez une liste et une offre, soit…
Alors, quelle est la promesse de cette offre-là en copywriting ?
Donc, c’est un programme de 30 jours et chaque jour, il y a une action effectuée avec une fiche action et une vidéo explicative. Et à la fin des 30 jours, vous avez une séquence e-mail qui est rédigée, qui est prête. Soit vous l’utilisez pour votre propre business, soit vous la vendez à un client ou vous l’adaptez au marché du client, et elle est vendable telle quelle.
D’accord. Alors maintenant, je voulais revenir en détail sur l’organisation, le temps que te prend un business sur internet. Alors, aujourd’hui tu es père d’une petite fille, tu as également une activité de business, le copywriting, donc tu as deux activités. Combien de temps ça te prend ton business sur internet et comment tu t’organises dans tes journées ?
Alors, les actions… ce que j’appelle « les actions critiques », c’est-à-dire les actions qui me permettent… qui ont un impact direct sur mon chiffre d’affaires, ça me prend entre 30 et 60 minutes par business, par jour. Parce que ça me demande… j’ai à rédiger un e-mail et à modifier et ajuster le budget de mes campagnes Facebook. Et encore, ce n’est même pas tous les jours ça. Donc, rédaction et programmation d’e-mails pour les deux business. Dans l’ensemble, ça me prend deux grosses heures par jour, pour être assez large. Et le reste de la journée, c’est là que si j’ai des e-mails à répondre, je vais y répondre, ça va me prendre un peu de temps dans l’après-midi ou dans la soirée. Et au niveau organisation, je fais toutes mes tâches importantes le matin, à midi absolument j’arrête de travailler, puisque je commence à perdre le focus vers 11 h.
Un e-mail par jour
Donc, tu fais partie des gens du miracle morning ?
J’ai une routine matinale, je ne suis pas spécialement la miracle morning, mais…
Mais voilà, en gros, le matin grosse priorité, tu fais ton business et c’est à midi que tu commences un peu à décrocher en termes de concertation et d’impact pour ton activité.
Mais après, on est soit du matin, soit du soir. C’est vrai que je m’étais habitué à travailler le matin, puisque quand j’étais salarié, je me levais à 5 h, avant ma famille, pour avoir à peu près une heure pour travailler sur mon business, le temps que les filles se réveillent et puis j’ai gardé cette habitude là en fait. Et ça me permet de… voilà, j’ai plus de créativités le matin, donc je fais les tâches créatives le matin. Et le reste de la journée, comme mes tâches importantes ont été faites, les e-mails sont envoyés, les campagnes Facebook ont été gérées, donc le reste de la journée je vais faire d’autres tâches. C’est là que je vais faire un peu de techniques ou administratifs ou répondre aux e-mails, des coachings quand j’en ai à faire, coaching en copywriting ou coaching fitness.
Donc en gros, ça te prend quoi ? 35 heures par semaine, 40 heures par semaine, 30 heures par semaine, si tu devais le chiffrer ? Est-ce que tu te fais aussi une journée off, comme tu as une petite fille ?
Journée off, alors des… ouais, je programme des journées off, mais j’ai remarqué que les matins où je n’envoyais pas d’e-mails ou je n’écrivais pas, je passais une moins bonne journée.
Ouais, donc c’est vraiment ta routine dans ta vie, d’accord.
Ouais, ça en fait partie et en fait je suis passé naturellement de… au début, quand j’envoyais un e-mail par jour, c’était cinq e-mails par semaine. Et un jour, sans le faire exprès, j’ai envoyé le samedi et le dimanche, j’avais tellement l’habitude et je ne m’en étais pas rendu compte en fait. Et je suis passé à sept e-mails par semaine sans l’avoir décidé.
Donc, un e-mail par jour, OK.
Et même pendant… les périodes où je veux moins travailler ou je veux me faire une semaine off, je recycle des e-mails que j’ai déjà envoyés, simplement. Et voilà, je fais comme ça. Et sinon, oui, je programme des journées ou des weekends off. Après, quand on est passionné, il y a toujours un… on fait toujours des trucs plus ou en moins en lien avec son business. Donc après, à voir ce qu’on considère comme du travail ou pas.
Je confirme. Vis-à-vis de la partie délégation, est-ce que tu délègues des choses. Et si oui, qu’est-ce que tu délègues dans ton activité ?
Réduire ses tâches pour se consacrer sur son coeur d’expertise et automatiser, éliminer ou déléguer
Alors très très peu en fait. Il y a quatre façons en fait. Quand on fait le bilan de ses tâches, première chose : je me demande ce que je peux éliminer par défaut, ce que je peux automatiser, après ce que je peux déléguer et quatrièmement, est-ce que je ne peux pas éliminer ce que je n’ai pas pu éliminer, finalement ? Donc je…
Donc, éliminer, déléguer, c’est quoi le… ?
Automatiser.
Ouais, éliminer, automatiser et déléguer. Et après, tu te redis finalement, dans ce qui reste, est-ce que… qu’est-ce qui… je me pose la question, qu’est-ce qui se passerait si je l’éliminais. Est-ce que ça a des conséquences ou pas ? Donc… et…
Je vais me le mettre en application, ça. Je trouve ça intéressant.
Donc, concrètement j’ai une assistante, une personne qui m’aide à… qui va juste s’occuper de la partie réseaux sociaux, parce que moi, à part la pub Facebook, je n’aime pas les réseaux sociaux donc… parce que je n’aime pas publier du contenu en public, j’aime bien réserver mon contenu et réserver mes meilleurs conseils pour mes abonnés, abonnés à la newsletter. Donc tout le contenu public en fait et la publicité sert à amener des gens à s’inscrire à ma newsletter. Et donc, cette personne s’occupe juste de publier sur les réseaux sociaux à ma place. Donc en fait, on prend des photos, on les met dans un dossier Dropbox. Elle puise dedans. Des fois je rédige des petits textes et puis voilà, on fait comme ça. Donc ça, c’est juste pour la partie organique. Mais honnêtement, je suis en train de réfléchir à disparaître des réseaux sociaux, parce que…
Ouais, juste, toi, c’est 100 % en mode pub et c’est tout.
Ouais, voilà, mode pub et au niveau contenu organique, j’aime bien faire ce qu’on est en train de faire, voilà, des études de cas où des interviews. Et c’est tout quoi. Plus du… ce qu’on appelle du marketing, du referal marketing, marketing pas référence et c’est tout. Je ne sais pas si c’était ta question.
OK, parfait. Et en termes de technique, tu maîtrises ou pareil, c’est délégué… parce que souvent, c’est un frein que vous avez peut-être « oui, mais moi je ne suis pas geek, moi je n’aime pas la technique », du coup, c’est toi qui le fais ou c’est délégué ?
C’est moi qui le fais, mais en fait c’est très simple. L’outil que j’utilise le plus c’est mon autorépondeur, donc le service d’e-mailing qui permet d’envoyer des e-mails en masse. Mais en dehors de ça, vraiment, j’élimine le maximum d’outils. J’ai utilisé ClikFunnels, une plateforme tout-en-un pour mon marketing, pendant un an. Mais quand je l’ai rejoint, je savais que j’allais la quitter. C’était juste pour tester des tunnels de vente, ce que j’ai prise et une fois que j’avais testé mes offres je vais fermer tout ça et j’ai juste gardé mon blog, mes e-mails, et puis c’est principalement les deux outils que j’utilise en fait.
Ouais, parce que le business model de Jérémy est assez simple : trafic, séquence d’e-mail, produit abonnement, et après, satisfaction clientèle. Donc ce qui permet, grâce à l’e-mail, de finalement recentrer sur toutes les choses qui ont une grosse valeur sur ton activité.
Exactement. En fait, c’est…
Un business entièrement bati et articulé sur l’e-mailing
Toi, ça a été le gros game changer, c’est avoir un business qui repose sur l’e-mailing.
Voilà, j’ai simplifié au maximum et en fait, c’est issu d’un vieux métier, c’est du marketing direct en fait, sauf que je l’ai appliqué à l’e-mail au lieu du courrier papier. Et toujours, je regarde ce que je peux éliminer ou simplifier pour n’avoir qu’à faire qu’à envoyer un e-mail. Enfin, pas que ça, parce que je m’ennuierais, je veux m’occuper de la partie e-mail et acquisition trafic. Ces deux compétences que je veux garder c’est : comment exposer mon audience à mes offres et comment ramener plus de personnes dans mon audience ?
OK, bah merci Jérémy, une nouvelle fois, par rapport à tous tes conseils. Alors, on va finir cette vidéo par l’apport à la dernière partie. Je connais Jérémy depuis plusieurs années. Tu as réalisé un week-end master mind avec moi en Estonie, à Tallinn, en mai 2018. Tu avais rejoint mon club privé business avant cette date-là. Je ne sais même plus la date. Ça doit être 2017. Tu as aussi participé à mes séminaires business internet en or. Comment tu m’as découvert et pour quelles raisons tu t’étais inscrit au club privé business et puis quels sont les différents points forts du club privé ?
Je t’ai connu, j’étais tombé… ça fait plusieurs fois que je voyais des vidéos de toi sur…
… après, comme Jérémy est un dinosaure, comme moi, du web, au bout d’un moment on est obligé de croiser des têtes et ainsi de suite.
Voilà, en fait, je me suis toujours formé chez les marketeurs et copywriters américains. Et un jour, je me suis dit : bon, ce serait peut-être bien que je regarde ce qui se fait en France et puis je suis tombé sur toi, Théophile Eliet. Je regardais un peu en vidéo ce que ça donnait. Et puis j’étais tombé sur ton… quand j’ai appris que tu faisais un club privé, dans lequel il y avait du coaching de groupe, et c’est juste ça qui m’avait intéressé, je me suis dit : ça peut être une solution avant de prendre… avant de reprendre du coaching personnel.
Toi, c’est le coaching commun qui t’a donné envie, tu te dis : ouais, je fonce dans le privé business de Maxence, parce qu’il y a cet accompagnement, via le coaching commun, d’une séance de quatre heures.
En fait, ce n’est même pas ça. C’est que quand tu avais fait ton offre, tu avais dit : si vous rejoignez mon club privé aujourd’hui, pendant le webinaire, je vous offre une heure de coaching.
Ah oui, c’est mon offre spéciale webinaire. Donc si vous voulez avoir un coaching privé avec moi, il faut venir dans mes webinaires.
La plus valeur de la formation de Maxence : le coaching de groupe
Voilà, et en fait je l’ai pris juste pour avoir cette heure, ce Skype avec toi. Et après, j’ai regardé un peu les formations, parce qu’à l’époque j’étais sur ClickFunnels et puis je regardais s’il y avait des choses que je ne savais pas faire. Mais la vraie plus-value pour moi, c’est le coaching. Ouais, le coaching de groupe. Vous arrivez, Maxence passe en revue votre business et vous donne trois prochaines actions à faire. Et puis le mois suivant, vous annoncez votre avancée. Et voilà, et vous avancez comme ça.
Ouais. Et Jérémy, ce qui est appréciable avec toi, c’est que tu es assidu. Tu dois être là 10 fois sur 12 dans l’année, donc ça, c’est vraiment top par rapport à ça. Alors, est-ce que tu sais approximativement, j’avais déjà fait d’autres études de cas, combien tu as investi dans des formations américaines et françaises depuis tes débuts, 10 000 €, 20 000 €, 30 000 €, 50 000 € ? Est-ce que tu sais ? Moi, je sais que je suis à plus de 100 000 €. Est-ce que tu as déjà fait un petit peu le calcul dans ta tête ?
Ouais, je suis un petit peu en dessous des 30 000 €, depuis que j’ai commencé.
Environ, 30 000 €. Vous voyez l’importance ? Évidemment, vous pouvez démarrer avec une formation, c’est mon conseil. Vous faites une formation, vous commencez à avoir vos premiers résultats, une autre formation, vous avez d’autres résultats. Ensuite, vous allez vous diriger vers des programmes d’accompagnement plutôt de mentoring, consulting, coaching. Mais au départ, vous devez quand même démarrer par quelque chose et surtout appliquer les différents programmes. Et ensuite, dès que vous allez commencer comme moi, comme Jérémy ou comme d’autres personnes que j’ai pu réaliser en termes d’études de cas, qui ont investi plus de 10 ou 15 000 € dans des programmes, forcément, vous allez vous constituer des compétences. Là, en l’occurrence, Jérémy c’est le même type de profil que moi, il a une activité, ça le crée d’autres compétences, donc toi en l’occurrence, c’est l’e-mail marketing et le copywriting, moi ça a été le marketing plutôt de manière générale et aussi l’expatriation. Donc, ce qui m’a permis et donné l’envie de me lancer sur internet dans le webmarketing, début janvier 2015. Mais c’est pour vous donner ces analogies à avoir en tête par rapport à ça. Alors, comme tu as fait pas mal de programmes, quel message tu laisserais aux personnes qui hésitent à s’inscrire au club privé business ? Ou même, toi finalement, avant que tu ne rejoignes, bon, là on a compris que c’était le coaching commun qui t’avait vraiment convaincu. Mais ouais, quel message tu laisserais aux personnes qui hésitent à s’inscrire ?
Le message, disons que l’offre en elle-même, le coaching de groupe c’est déjà une énorme plus-value puisque ça vous permet… quand vous rentrez, déjà vous avez accès à un espace membre où il y a plein de formations techniques. Donc il suffit de puiser dans ce qui peut vous servir, une fois que vous avez déterminé la méthode qui vous plait, est-ce que vous allez plutôt faire, du Facebook ou du YouTube ou de l’e-mailing ? Donc au niveau technique, déjà vous êtes couvert au niveau des formations. Mais après, la vraie plus-value, ce qui va vraiment permettre d’avancer, c’est les coachings, les coachings communs, les coachings de groupe, puisque là, vous avez vraiment des actions à faires, propres à votre business. Et ça coûte toujours moins cher qu’un coaching privé, dès que vous pouvez passer au coaching privé. Mais en attendant, si vous êtes plus limité au niveau budget, parce que vous démarrez, c’est un premier bon investissement.