Introduction
Cet article est un article invité de Matteo Venturi du site Mind Parachutes.
Avec une vision claire, la bonne approche, et beaucoup de ténacité, il n’y a pas de rêves en dehors de votre portée.
Chaque pas dans la bonne direction, aussi modeste puisse paraître, vous rapproche de vos rêves.
Cela est valable peu importe votre situation actuelle.
Par exemple, on peut grandir dans un milieu agricole, et dans l’espace de quelques années devenir une référence dans le business en ligne.
On peut passer d’un sentiment de malaise et une difficulté à se sentir à sa place, à être millionnaire et conseiller d’autres entrepreneurs à réussir sur le web.
Bien sûr, cela ne se fait pas en se tournant les pouces, ou en restant au chaud, dans sa zone de confort.
Il faut faire preuve de détermination, être prêt à apprendre des nouvelles compétences, et à se mettre constamment en discussion.
Mais c’est possible. C’est à votre portée.
Dans cette vidéo, découvrez comment un fils d’agriculteur est devenu millionnaire sur le web.
Synthèse du livre de Maxence Rigottier
Je m’appelle Matteo Venturi, et ma mission est de vous aider à bouger, à avancer dans la direction que vous souhaitez donner à votre vie. Donc, si vous voulez vous créer une vie plus libre et indépendante, abonnez-vous tout de suite à Mind Parachutes.
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Démarrer avec peu ou rien du tout n’est pas seulement la réalité pour beaucoup d’entre nous, c’est aussi le début de l’histoire de réussite de Maxence Rigottier.
Dans son livre « De la patate à 100 patates », Maxence partage sa propre expérience d’entrepreneur sur le web.
Ce n’est pas seulement un récit de son ascension, mais un miroir dans lequel vous pourrez vous voir et vous dire : « Si lui il l’a fait, pourquoi pas moi ? »
Déjà pendant sa scolarité, c’était clair que la voie classique du salariat n’était pas faite pour lui. Le fil conducteur de sa vie est la liberté.
Le désir plus grand de Maxence est de vivre sa vie à fond, ne pas avoir de regrets. Et il est prêt à payer le prix de sa liberté.
C’était fin 2010, et Maxence n’avait que 21 ans. Pas d’expérience, pas de compétences particulières non plus.
En tant que fils d’agriculteurs de la campagne bourguignonne, il était très loin du monde du web et de l’entrepreneuriat.
Mais il ne manquait pas d’ambition, et d’une énorme motivation.
Voilà ses 4 zéros, ses faiblisses de départ, que 99% de gens utilisent comme excuse pour même pas essayer !
Zéro capital : comment faire pour démarrer une entreprise, quand on n’a pas d’économies ou d’aide familiale ?
Zéro connaissance : par quoi commencer ? qu’est-ce que l’on peut proposer aux autres, quand on n’a l’impression de ne rien connaître, de rien avoir à offrir ?
Zéro compétence : comment réussir sur Internet, alors que l’on n’a pas de compétences techniques ?
Zéro réseau : comment trouver de l’aide et traverser les moments difficiles, alors que notre entourage propre ne comprend même pas ce que nous essayons de faire ?
Pourtant, Maxence a choisi de ne pas voir ces 4 zéros comme des limites. Il a décidé de les voir comme des défis à relever.
Avec du courage, une stratégie claire, et une volonté d’apprendre, il était convaincu que ces obstacles pouvaient se transformer en tremplins pour le succès.
Il a commencé petit, avec ce qu’il avait – un vieil ordinateur et une connexion internet, mais surtout, son ambition et sa détermination.
Il a choisi un domaine qu’il connaissait bien (le foot), il a créé son premier site web, et il s’est mis au boulot.
Et les résultats ne se sont pas fait atteindre. Bon, en fait, si.
Pendant les 11 premiers mois de son activité (de février à décembre 2011), il a gagné très exactement zéro euro. De quoi bien fêter, n’est-ce pas ?
L’année suivante, en 2012, son chiffre d’affaires a carrément explosé : 8000€. Sur l’année, pas chaque mois.
Peu importe si pour un œil extérieur bosser à fond pendant un an pour gagner moins de 700€ par mois n’en valait pas la peine.
Maxence était conscient qu’il avait réussi à enclencher le processus.
Désormais, il avait un produit qui intéressait les gens, et il arrivait à vendre !
Si on fait un bond en avant, 10 ans après ses premiers pas, Maxence est à la tête d’une entreprise florissante. Il accompagne plusieurs centaines de clients grâce à ses formations et ses coachings, il organise des séminaires auxquels participent plusieurs centaines de personnes (d’ailleurs, le prochain a lieu à Paris le 1-2 et 3 décembre, trouvez toutes les informations en description de la vidéo si vous souhaitez participer).
Et il a atteint un revenu net de 30 000 euros par mois.
Pas mal, pour quelqu’un qui a grandi à la campagne avec des opportunités professionnelles très limitées, et qui partait de zéro.
Les difficultés de ses débuts sont la conséquence directe d’une règle qui existe partout en nature.
Maîtriser une compétence jusqu’à exceller dans celle-ci demande du temps.
Des études scientifiques ont estimé à 10 000 heures le temps de pratique délibérée nécessaire pour devenir expert dans un domaine.
Malheureusement, cette règle de vie est à l’opposé de l’attitude suggérée partout dans les médias : « je veux tout, et tout de suite !!! ».
Des attentes irréalistes pour des résultats immédiats nous empêchent d’atteindre des résultats significatifs dans notre vie.
3 principaux pièges du débutant pour ne pas abandonner un projet important :
1 – Abandonner avant même d’avoir vraiment commencé : la plupart des gens qui souhaitent se lancer laissent tout tomber au bout de quelques jours, ou quelques semaines. C’est ce qui arrive à 90% de gens qui s’inscrivent à une salle de sport, ou qui achètent une formation. Ils ne vont jamais au bout du programme. Et c’est une excellente nouvelle pour les plus déterminés : il y a peut-être beaucoup de monde au départ, mais il y en aura de moins en moins à l’arrivée !
2 – Renoncer dès l’apparition des premiers obstacles : les histoires de succès fulgurants du jour au lendemain font la une des journaux justement parce qu’elles représentent une infime minorité de ce qui se passe dans la vraie vie. Pourtant, c’est ce à quoi s’attendent la plupart des gens. Il est indispensable de faire preuve de persévérance, et ne pas abandonner, même si les premiers résultats sont en dessous de vos attentes.
3 – Mourir de soif pendant la traversée du désert. Quand on lance une activité entrepreneuriale, on ne sait pas quand celle-ci commencera vraiment à décoller. Encaisser cette incertitude et persévérer peut être très difficile. Rencontrer des moments difficiles, lors desquels on pense tout laisser tomber, est quelque chose de naturel, même inévitable. Chaque projet ambitieux, même en dehors de l’entrepreneuriat, demande de supporter la traversée du désert.
La meilleure manière pour rester motivé et éviter ces 3 pièges, c’est d’avoir un POURQUOI puissant, une raison très profonde qui nous pousse à agir.
Il n’est pas rare, au départ, que cette raison soit parfaitement égoïste. On cherche d’abord à améliorer sa propre situation personnelle : plus de temps libre, plus d’argent, des meilleures conditions de vie.
Mais au fur est à mesure que le projet avance, et dès que les résultats commencent à arriver, cette motivation se transforme peu à peu dans un pourquoi altruiste, dans un projet dans lesquels la contribution que l’on apporte aux autres et au monde nous motive tout autant que les raisons personnelles derrière notre projet.
Mais connaître notre pourquoi puissant ne nous évitera pas de rencontrer des échecs tout au long de notre projet. C’est intrinsèque à la nature même d’un projet d’entreprise : vous avez décidé, vous avez osé entreprendre des choses.
Vous sortez régulièrement de votre zone de confort.
Donc, forcément, il y aura des moments où vous allez vous tromper, où vous prendrez une mauvaise décision.
3 règles pour développer un rapport plus sain avec l’échec :
1 – Règle n°1 : l’échec fait partie de l’aventure ! Ne soyez pas surpris, ni déçu, quand cela arrive, qu’il s’agisse d’un petit échec, ou même d’un grand. C’est juste inévitable.
2 – Règle n°2 : l’échec est une source d’information ! Bien sûr le sentiment d’échec est désagréable, et tout le monde préférerait l’éviter. Pourtant, c’est grâce à nos erreurs que nous allons apprendre et nous améliorer. Il est utile de se détacher émotionnellement de sa frustration, et se poser la question : qu’est-ce que je peux apprendre de cette situation ?
3 – Règle n°3 : l’échec doit être rapide ! C’est très bien de prendre le temps pour bien réfléchir et analyser la situation, pour décider du cours d’actions le plus prometteur. Mais une fois que cette réflexion a eu lieu, cela ne sert à rien de tergiverser. Il vaut beaucoup mieux d’essayer, et puis corriger rapidement le tir et adapter son approche si cela est nécessaire. Comme on dit aux US : fail often, fail fast. Échouez souvent, échouez vite. Vous arriverez plus tôt au succès.
Un concept essentiel à garder en tête pour développer son projet d’entreprise est qu’il n’est jamais question d’options binaires : ça marche ou ça ne marche pas, ça passe ou ça casse.
Il s’agit plutôt d’un processus évolutif, itératif, d’amélioration continue.
On fait des hypothèses sur ce qui pourrait fonctionner, on teste, on observe les résultats, on tire des enseignements, et on décide comment faire différemment la fois d’après pour obtenir des meilleurs résultats.
Et puis, c’est reparti pour un tour.
Pour assurer la réussite de votre projet, il vaut mieux appliquer et apprécier ce processus itératif, plutôt que d’attendre l’idée géniale qui va tout déchirer.
Cela me fait penser à l’expérience de Thomas Edison lors de l’invention de l’ampoule.
On dit qu’il a dû mener 10 000 expériences qui n’ont pas fonctionné, avant de trouver la solution.
Et à la question : mais comment vous avez fait pour ne pas vous décourager, et continuer, même après 10 000 échecs ?
Edison aurait répondu : Je n’ai pas échoué 10 000 fois. J’ai découvert 10 000 manières dont cela ne fonctionne pas.
Ce rapport profondément non-linéaire entre tentatives échouées et réussies est plein d’espoir. Peu importe si on a déjà essayé 10 000 fois sans trouver la solution. Il suffit d’une seule tentative qui réussit, pour en sortir gagnant.
Les 3 ingrédients indispensables pour maximiser les chances de réussite de votre projet
1 – La passion : pour que vous puissiez vous investir à fond dans votre projet, rester déterminé lors de la traversé du désert, vous devez être passionné par le sujet de votre business. Si vous ne savez pas trop par quoi commencer, pensez à vos centres d’intérêts, à ce que vous aimiez faire quand vous étiez jeune, ou ce que vous aimiez faire en vacances ou dans votre temps libre. Si la passion est un ingrédient indispensable, elle n’est par contre pas suffisante pour la réussite de votre business. Voici les 2 autres.
2 – Les compétences. Qu’est-ce que vous savez faire mieux que la moyenne ? En quoi vous êtes bon ? Pas besoin d’être un expert mondial dès le premier jour. Vous aurez le temps de vous former et de vous améliorer par la suite. Mais vous devez en savoir plus que vos clients afin de pouvoir les aider. La bonne nouvelle ? C’est que souvent nous avons des facilités naturelles dans les domaines dont nous sommes passionnés. Si nous ne les avons pas déjà, développer des compétences relatives à notre passion peut être un processus simple, rapide, et même plaisant.
3 – L’existence d’un marché. L’idée de vivre de sa passion est certes romantique. Mais elle ne peut fonctionner que s’il y a des gens qui sont disposés à acheter des produits ou services pour satisfaire leurs besoins, et qu’ils en ont la capacité. Si dans votre business vous voulez vous adresser à des particuliers, il existe des thématiques dont le marché est assuré, comme l’argent, la santé et les relations.
Finalement, se construire une vie libre et indépendante ne relève pas de la magie.
C’est le résultat d’un processus certes exigeant, mais en même temps assez simple et à la portée de tout le monde.
On reste focus jour après jour sur son projet. On analyse et on améliore constamment ce qui ne fonctionne pas. On se remet en question quand cela est nécessaire.
Voilà, vous connaissez désormais l’expérience inspirante de Maxence Rigottier et ses conseils pour se construire une vie libre et un business à succès.
Bien sûr, cette synthèse, ce n’est qu’un aperçu de tout ce que Maxence partage dans son livre.
Si vous souhaitez profiter davantage de tout ce qu’il a appris en 12 ans d’entrepreneuriat sur internet, je vous conseille vivement de lire le livre.
Conclusion
Et vous ? Est-ce que l’aventure de l’entrepreneuriat en ligne vous tente ?
Quels sont les freins ou les obstacles qui ne vous permettent pas de sauter le pas ?
Si vous êtes intéressé à en savoir davantage sur comment lancer votre Business et réussir, je vous invite à regarder la synthèse animée dédiée au livre « C’est à toi !! Le guide d’outsider pour développer votre business », de Ramit Sethi.
À très vite pour des nouvelles idées !