De 0 à 15000 euros par mois avec le Print On Demand

De 0 à 15000 euros par mois avec le Print On Demand

De 0 à 15 000 € par mois sur internet ! Aujourd’hui, je suis avec Thomas Gio. Salut Thomas !

Salut Maxence ! Merci de m’accueillir sur ta chaîne.

Alors, juste avant qu’il se présente, c’est une nouvelle étude de cas d’un membre de mon Club Privé Business. Je connais aussi Thomas depuis janvier 2017. On s’est rencontrés à l’un de mes masterminds que j’organisais à Malte à cette époque-là. On va expliquer tout ça en détail dans cette vidéo. Tu réalises environ un petit peu plus de 10 000 € par mois grâce à la vente de formation en ligne e-commerce version print on demand. Tu réalises aussi 5 000 € par mois avec des boutiques de print on demand. On va revenir tout ça en détail dans cette vidéo.

Alors est-ce que tu peux te présenter ? Et à la fin de ta présentation, bah nous amener à ce fameux déclic qui a fait : « OK, là, c’est sûr, c’est aujourd’hui, je me lance sur internet ».

Thomas Gio, infopreneur spécialisé e-commerce et Print on Demand (POD)

Pas de souci. Alors, je m’appelle Thomas Gio, j’ai 27 ans. Donc j’ai une chaîne YouTube de – à l’heure actuelle – plus de 11 000 abonnés. Et j’ai environ 11 000 abonnés aussi sur Instagram. Donc c’est mes deux grosses sources de trafic. Et je fais des formations, donc principalement sur le e-commerce, mais plus spécifiquement sur le print on demand et aussi sur l’acquisition de trafic avec les réseaux sociaux, donc notamment YouTube, Instagram et Facebook aussi. Et donc, je fais, comme l’a dit Maxence, 5 000 € en print on demand, mais là on parle de bénéfices. Sinon je fais fois trois, donc je fais 15 000 € de chiffres d’affaires en print on demand. Mais la particularité, c’est qu’en fait le print on demand je l’ai automatisé à 98 % et je passe que 10 heures par semaine dessus. Donc quand je compte 10 heures, c’est plus de la veille, c’est plus regarder un peu les tendances ce qui marche, ce qui ne marche pas. Parce qu’en fait, le print on demand est tout automatisé. Donc voilà, c’est 5 000 €. Et pourquoi je ne fais pas plus ? Bah parce que comme il l’a dit, j’ai d’autres business, et donc forcément, je n’ai que 24 heures dans une journée, je ne peux pas être partout, c’est ça.

Je comprends. Il y a le côté focus qu’on doit avoir pour développer son business ?

Exactement. Et donc en infoprenariat, je fais entre 10 000 €, 11 000 €, en gros c’est à peu près ça par mois, en vente de formation, comme j’ai dit, principalement sur le print on demand et le e-commerce en général. J’essaye de m’axer un peu sur le marketing aussi et l’acquisition de trafic qui est pour moi très important. Et peu importe les business, il faut toujours du trafic qualifié qui convertit… qui envoie sur une offre qui convertit, tout simplement. Et donc le déclic, comment j’ai commencé sur internet ? Tout simplement, j’ai lu un livre que je pense tous les infopreneurs l’ont lu, c’est « La semaine de 4 heures ». Et en fait, pour moi dans mon imaginaire, un entrepreneur, ça devrait travailler 150 heures et se défoncer. Et en fait, j’ai vu que…

En mode chinois, H 24 pendant 42 ans.

C’est ça. Et en fait, j’ai lu et j’ai fait : « ah bah non, mais en fait c’est possible de gagner de l’argent en étant un peu plus intelligent et en travaillant mieux ». Et donc là, de fil en aiguille je suis tombé bah sur la chaîne d’Olivier Roland, puis la tienne. Et puis donc du coup, c’était la première formation que j’ai commencé à acheter. Donc j’ai rejoint ton Club Privé Business. Et donc du coup, de fil en aiguille, et après, quand tu as organisé ton mastermind à Malte, j’ai sauté sur l’occasion, j’y suis allé et c’est là où on s’est rencontrés. Puis après, ça fait deux ans qu’on a bossé ensemble, etc., et maintenant, pour ceux qui ne le savent pas, je gère aussi son site e-commerce du coup.

On va y revenir aussi en détail.

Exactement.

En tout cas, si vous voulez cartonner et surtout vous lancer dans cette vague qui va avoir lieu au cours des prochaines années, et notamment si vous avez une communauté et que vous voulez la fédérer de manière davantage, ça va être vis-à-vis du print on demand, vous avez la possibilité – on y reviendra aussi dans la vidéo – de Teespring par rapport à YouTube. Donc beaucoup de chemins se sont écoulés depuis Malte.

C’est clair.

Donc en janvier 2017, c’était exactement le weekend mastermind que j’avais organisé. Alors, peut-être que si vous visionnez cette vidéo, vous vous dites : « OK, Thomas, donc il est né en 1992, tu faisais quoi avant de te lancer sur internet ? » Parce que finalement, tu as certainement fait des choses dans ta vie avant de te lancer sur le web.

Bien sûr.

Et on est à Paris, tu habites à Paris, est-ce que tu es un Parisien ?

Non, pas du tout, j’habite en…

Où est-ce que tu as grandi ?

Alors, j’ai toujours grandi en région parisienne, je n’ai jamais habité à Paris même. Et là, j’habite dans le 77, donc entre Paris et Disney. Mais pour les Parisiens, je ne suis pas un Parisien.

Tu es dans la périphérie.

Ouais, c’est exactement ça.

Donc ce matin, pour venir faire l’étude du cas, parce que là on est dans Paris XVIe, tu as mis deux heures ! Welcome to Paris !

Deux heures pour faire 30 km. Bienvenue à Paris. Donc bon, c’est…

Enfance à Paris, PPA pour un master en alternance

Ça va parler les Parisiens. D’où la magie d’internet parce que c’est des choses rares qui t’arrivent là, tu… c’est là que tu vois le bonheur d’être sur internet, de ne pas avoir ces fameuses deux heures de bouchon pour aller à un travail.

C’est ça. Moi pour aller à mon bureau j’ai quatre pas à faire quoi. Donc c’est vrai que le confort de vie est déjà génial. Et je rebondis sur ce que tu me demandais, qu’est-ce que je faisais avant ? J’ai fait une école de commerce. Et en fait, la dernière… on va rigoler, mais la dernière année j’ai arrêté puisqu’en fait je voyais que je ne travaillais pas et puis j’avais des 17 de moyenne, donc ça ne m’intéressait pas, je m’ennuyais. Et en fait, j’ai tout arrêté donc à 10 mois d’avoir bon Bac+5 au final.

Donc tu as fait Master… alors, école de commerce, laquelle ?

Alors, moi j’ai fait PPA, parce que c’était… en fait c’est une pas connue, mais c’était une des seules qui faisait un Master en alternance, et je l’ai fait en alternance, c’est pour ça.

OK, donc à la fin de l’alternance, OK.

Ouais. Et donc j’ai tout arrêté. Et au final, après, j’ai…

Donc tu as arrêté à Bac+4 et…

Ouais, c’est ça.

… quelques jours ?

Auto formation avec des livres orientés business

Ouais. Bac+4 et deux mois, je crois. Et en fait, j’ai commencé à lire des livres de business vraiment à fond. Et je me suis dit : « attends, en six mois, donc en dépensant 200 € et en six mois j’ai appris plus qu’en cinq ans et je ne sais pas combien de milliers d’euros ». J’ai fait : « ah, d’accord ». Et en fait, c’est tout bête et c’est encore la magie d’internet et du savoir qui se transfère, c’est qu’à l’école bah c’est un endroit physique, donc on va avoir les meilleurs profs de l’école. Tandis qu’avec les livres on peut avoir les meilleurs cerveaux du monde entier. Et là, bah tout le monde en fait de l’éducation est disrupté parce qu’en fait on se forme auprès des meilleurs au final. Donc ça va beaucoup plus vite et on va beaucoup plus loin, et donc forcément c’est beaucoup plus puissant.

Souvenez-vous, si vous regardez cette vidéo et que vous avez votre enfant qui a envie de faire une école de commerce, il va être bon pour réaliser à être cadre supérieur ou travailler pour un grand groupe, mais il ne va pas apprendre le commerce. Moi c’est ça qui m’avait déçu, peut-être que…

Non, mais c’est génial.

Mais what ! École de commerce, tu fais tout sauf du commerce. C’est un petit peu comme si vous alliez à une école de piano et vous ne jouez jamais au piano, bah c’est exactement ça. Et c’est ça qui m’a choqué. Moi j’avais fait un an, c’était l’école Euromed management à Marseille, qui s’appelle KEDGE Business School. C’est une fusion avec Bordeaux. Moi c’est ça qui m’a qui m’a tué, c’est… Donc je le redis, il faut bien que ça soit clair au sein de votre esprit. C’est comme si vous alliez en STAPS, en sport, on est d’accord ?

Non, mais c’est ça, ouais.

Et vous ne faites jamais de sport. Bah ça, c’est les écoles de commerce. Et c’est ça qui m’a tué, ça m’a crucifié.

Bah je ne sais pas toi, mais moi en vente en one-to-one je suis nul alors que j’ai fait une école de commerce. Enfin, c’est exactement ça. Et alors par contre, pour faire la juridique, la finance, ça on en a bouffé. Mais pareil, l’entrepreneuriat en école de commerce… Alors, il y a des cours, mais ça… enfin l’entrepreneuriat ça ne s’apprend pas, ça se vit quoi. C’est comme un entrepreneur américain, je sais plus qui disait ça, il dit : « on peut dire toute la journée : allez on va faire des pompes, on ne saura pas en faire si on ne les fait pas ».

Voilà, il faut pratiquer pratiquer dans la réalité du marché. Alors du coup, le déclic c’est l’école de commettre ? Ça a été quoi le déclic ?

Non… ouais, le déclic… ouais, l’école de commerce je m’ennuyais, etc., et je suis tombé donc en cherchant sur internet…

La semaine de 4 heures

Ouais, « La semaine de quatre heures ». Et ça, ça t’as mis une baffe ?

Voilà. Mais avant ça, j’ai tapé comme toi sur Google « comment devenir riche sur internet » ; « comment devenir riche… »

« Comment changer de vie » et des choses comme ça ?

Ouais, exactement, « comment changer de vie ». Et je suis tombé donc sur « La semaine de quatre heures ». J’ai lu, j’ai fait : « si un livre m’a fait cet effet-là, je n’imagine pas, si j’en lis deux, trois, quatre, cinq ». Alors, et ce qui est drôle c’est que je détestais lire, mais vraiment. Je sais que tu es pareil…

Tu es comme moi, d’accord.

Des débuts ratés sur Amazon FBA

Ouais, je déteste lire. Et les livres de business, bah j’arrivais à les enchaîner un peu plus vite parce qu’en fait j’apprenais les vrais trucs. Mais les histoires, moi j’avais du mal, tu sais, à continuer. Tandis que les livres de business, bah j’ai bombardé, j’en ai lu, ouais, 10-15 en à peu près six mois. Et après, bah comme tout le monde je me suis lancé. J’ai découvert aussi par le même biais le monde du e-commerce. Et j’ai commencé… alors, pire erreur possible, j’ai commencé en faisant du stock Amazon sur Amazon FBA, sans être formé, donc ça c’est du génie.

Donc ensuite le stock il était chez toi ?

Non, même pas, je les ai laissés et je leur ai dit de le détruire parce que…

Ouais, d’accord, ouais.

Mais parce qu’en fait je ne m’étais pas formé. Donc j’avais misé sans connaissance du marché sur les câbles USB Type C, donc qui allaient remplacer le… ça allait être la norme partout. Donc là, j’avais bon. Seul petit problème, c’est que je les ai commandés fin décembre 2016, fin année 2016 pardon, donc novembre-décembre. Et Amazon, au cours de l’année 2017 ils nous disent : « bah en fait à les acheter en 2017 parce qu’il nous faut la certification à jour de cette année ». Et donc du coup, impossible de les vendre, stock bloqué. Et bah voilà, bienvenue chez Amazon. Donc c’est encore une fois les pour et les contre. Alors, oui, j’ai eu beaucoup de trafics, j’ai fait des ventes, mais ça m’appartient pas parce que bah là ils ont le stock, et ils l’ont encore, je pense. Donc… donc je suis…

À moins qu’ils ont peut-être détruit ou je ne sais pas, quel est le délai.

La découverte du DropShipping avec Shopify et du POD

J’espère pour eux, mais voilà, je suis resté bloqué. Donc après, je me suis orienté vers le dropshipping classique avec Aliexpress, sur Shopify. En 2017, ça marchait très très bien, c’était beaucoup plus facile que maintenant, il fallait moins travailler ses offres, etc. Et en fait, de fil en aiguille, sans le savoir, je me suis redirigé vers le print on demand, mais sans savoir que c’était du print on demand. Et j’ai pris un influenceur sur la chasse, c’était peut-être parce que j’avais une niche sur le camping.

OK.

Et l’influenceur, il avait une page sur Instagram de deux millions, et en fait, il mettait… c’était 50 $ pour mettre un post, pas une story, un post de deux heures, et après deux heures il le vire. Et en deux heures, j’avais fait 638 $. J’ai fait : « 50 $, ça me fait 638 $ » Je fais : « c’est pas mal, il y a un petit truc à faire ». Et donc en fait, j’ai continué comme ça sur le print on demand. Et c’est là où je me suis spécialisé dans cette niche, en fait des sous-niches du e-commerce.

Les mécanismes de son business en ligne : infoprenariat et e-commerce

Alors, là on va rentrer les mains dans le cambouis dans le business de Thomas. Donc tu as un business d’infoprenariat ; un business e-commerce. Alors, on va faire les quatre métriques : le trafic, les leads, le cash et la livraison du produit et la satisfaction clientèle. Numéro un, le trafic. Vis-à-vis de ton business d’infoprenariat, c’est quoi ? Et vis-à-vis de ton business e-commerce, c’est quoi ?

YouTube, un peu d’Instagram et du SEO

Alors, en fait mon e-commerce ou mon infoprenariat c’est le même, parce que j’ai vu que ça marchait bien en e-commerce et que ça marche aussi bien en infoprenariat, j’ai juste dupliqué. C’est juste différent et je t’expliquerai. Je suis à 80 % de trafic de YouTube sur l’infoprenariat.

Donc première plateforme : YouTube ?

YouTube, ouais, YouTube…

OK, 80 %. Excellent.

Qui est pour moi le meilleur réseau social.

Je confirme, c’est exactement pareil pour moi.

On fait une vidéo il y a trois ans, ça paye encore, donc c’est super. Et après, il y a, allez, je vais dire, 10-15 % qui viennent à d’Instagram. Et là, depuis – donc comme on en parlait avant – je viens de commencer à être vraiment bon sur Pinterest. Et donc ça commence à 5 %, mais c’est tout petit puisque ça fait un mois que j’y suis quoi.

Donc 80 % YouTube, 15 %… 10-15 % Instagram. Et toi tu commences à développer petit à petit Pinterest.

C’est ça. Et je n’ai pas Facebook parce que…

Ouais, Google et Facebook t’en es où ?

Alors, Google bah c’est… pour moi c’est YouTube, même si c’est différent. Et j’ai aussi mon blog, mais mon blog je suis en phase de vraiment créer du contenu. Donc je ne regarde pas les métriques, je ne m’en occupe pas pour l’instant. Je veux vraiment le monter et après là je l’optimiserais. Pour l’instant, je mets du contenu dessus puisque je l’ai créé en novembre 2018.

Novembre 2018. Tu sais si tu as 100 visiteurs par jour ou 200 visiteurs ?

Ah oui oui, je sais je j’ai…

Tu as combien à peu près ?

J’ai 750 par jour à peu près.

750 visiteurs par jour ?

Ouais, c’est ça.

Et YouTube, tu as quoi ?

YouTube, je suis à 100 000 vues par mois.

Ouais, bah à peu près comme moi, 100 000 vues par mois.

C’est ça.

750 visiteurs par jour sur Google, donc là c’est vraiment bien.

Ouais, c’est pas mal.

Insta, Pinterest. Et la partie e-commerce, c’est pareil ? Comment tu fais ?

E-commerce, bah je te dis, j’ai dû piquer ce schéma, YouTube ça doit être un peu moins. Je pense que je suis à 70. Je dois être quand même à 20 % d’Instagram parce que je travaille beaucoup avec les influenceurs. Pareil, Facebook je le délaisse. Je fais un peu de pub, mais ce n’est pas quelque chose qui… Facebook ce n’est une plateforme que j’affectionne. Donc de toute façon, ça ne sert à rien d’aller dessus pour aller dessus. Si on n’affectionne pas, ça ne sert à rien. Et Pinterest, je ne l’ai pas encore mis dessus. Et puis j’ai mes sites, je fais des articles de blog, donc SEO naturel, voilà. Mais très peu, ça doit être 5 % du trafic, en gros. Donc c’est… dans tous mes business, c’est YouTube. Sauf que là où je te dis c’est différent, c’est que sur l’infoprenariat bah je montre ma tête. Sur la chaîne YouTube pour mon site e-commerce, je ne montre pas ma tête. Et c’est plus des vidéos, tu sais, des compilations, des récap par exemple. Et en descriptions, bah je fais le même schéma, je mets mes liens de produits au final.

Un lead lui rapporte 27€

D’accord. Alors, vis-à-vis des leads, combien tu as de nouveaux prospects qualifiés qui rentrent chaque jour dans ta base de données ?

Alors, sur l’infoprenariat c’est ça mon problème, on en parlait avant, c’est que pour l’instant j’en ai que dix. Et donc…

Donc là, c’est catastrophique entre guillemets par rapport à…

C’est catastrophique…

Ouais, parce que tu as le même trafic que moi. Je suis à 100 000 vues business par mois, tu es à peu près pareil. Je suis à 500 visiteurs par jour, tu as 750, donc c’est plus. Et moi je dois être à peu près entre 50 à 70 inscrits journalier.

À lire
16 000€, 21 000 fans Facebook et 800 abonnés Youtube

Bah c’est ça. Alors, moi quand je te…

… pour la partie web marketing. Après, j’ai ma partie aussi paris sportifs.

Oui oui, là, ouais, on part sur cette partie-là. Mais là, moi quand je te dis dix, c’est net. Parce qu’aussi, moi j’ai une particularité, c’est que j’envoie six emails par semaine.

Ah ouais, donc tu as beaucoup, j’imagine, des inscriptions.

Donc en fait, ça trie, voilà. J’ai beaucoup des inscriptions, mais donc j’ai dix nets par jour. Mais c’est catastrophique aussi, on est d’accord. Et c’est ça, c’est juste…

C’est là que tu dois vraiment t’améliorer, la conversion.

Ouais, voilà, c’est là où je rebosse, donc il faut que je bosse mailing by net, donc mes cadeaux offerts. Il faut que je rebosse aussi peut-être ma séquence de bienvenue. Tu vois, il y a pas mal de choses à rebosser. Mais ce qui me rassure, c’est que je me dis : « avec 10 leads par jour, j’arrive à faire 10 000 par mois ».

Ouais, donc ce qui est fabuleux.

Donc ouais. En gros, j’ai calculé, un lead me rapporte 27 €.

D’accord.

Alors, je ne connais pas les moyennes du marché, mais bon, je pense que je suis largement dessus, parce que c’est juste phénoménal.

Oui oui, normalement quand vous faites 1 € par mois et par lead, c’est bien.

Ah !

Ensuite, 2 €, topissime. Donc toi tu es même à plus de 2 €.

Ouais.

En gros, vous allez avoir en fonction des thématiques évidemment, mais de manière générale, la tendance ça va être de 0,50 € à 2 € par mois en moyenne par lead. Donc de 6 € à 24 € en moyenne par nouveau prospect par an. Donc si vous avez en une année on va dire 10 000 nouveaux contacts, vous allez faire entre 50 000 € et 240 000 €. Comme je vous le dis une nouvelle fois, c’est les tendances générales en fonction de votre marché, en fonction de votre relation, ça va être soit beaucoup plus. Peu de chances que ça soit beaucoup moins parce qu’à moins que vous fassiez des choses catastrophiques, mais ça vous donne quelques petites tendances. Donc moi, je dois avoir à peu près 30 000 nouveaux prospects par an, on va dire une moyenne de 100 par jour, de mes deux activités. Ce qui fait bah du coup à 30-35 000 € par an.

Bah tu es à trois, plus de trois et demi.

Et ouais, je dois être à… ouais.

Bah moi du coup, je dois être à… moi quand je te dis 27, c’est pour l’année, donc c’est au global.

Ouais, voilà. Donc toi tu es au-dessus des 2 € par mois, donc c’est bien.

Ouais ouais, ça c’est sûr, c’est sûr, mais…

Et après, l’autre facteur qui va dépendre c’est plus vous avez de produits, plus là aussi vous pouvez démultiplier la valeur à vie du client.

Exactement, bah c’est une super transition. Il y a ça aussi, c’est que je sors un produit par mois. Et donc du coup ce qui est bien, c’est que par exemple si je prends sur un produit, par exemple là j’ai sorti un produit sur connaître son avatar client, un autre sur augmenter ses marges en e-commerce, c’est des choses dont personne ne parle qui sont pour moi fondamentales. Et derrière, je vais ressortir… j’ai un autre produit qui est un plan d’action détaillé. Eh bah en fait, les trois je peux faire un bundle, je fais un beau pack, et du coup ça me permet d’avoir de nouvelles ventes, parce qu’en gros, ça permet de toujours réintéresser son client. Et aussi quelque chose que j’ai mis en place, c’est que moi j’ai plusieurs échelles de valeurs, mon client il rentre à 47 € et il peut ressortir à 800 €, c’est mon produit final, tu vois. Donc j’ai vraiment plein d’étapes. Et je peux les retravailler, donc les amener à un niveau supérieur, et donc c’est là où c’est intéressant.

Vente Print On Demand (+ 100 produits)

Alors, vis-à-vis du cash – donc ça, c’est la troisième métrique – qu’est-ce que tu vends concrètement dans la partie e-commerce ? Alors, c’est quoi globalement tes prix et combien tu te programmes, quelles sont tes promesses ? Je te laisse tout nous expliquer.

Pas de souci. Alors, sur la partie e-commerce donc je vends 80 % – ou même 90 % maintenant – du print on demand. Parce que comme je l’expliquais, moi c’est ce que j’affectionne le plus, je trouve ça plus qualitatif. C’est automatisé à 100 %, pas besoin de passer de commande, bah tu le sais très bien.

Alors, qu’est-ce que tu vends ? Est-ce que tu vends ce genre de mugs ?

Ça, on a ramené ça et…

Je suis avec ma tenue, c’est ma marque Maxence Rigottier, c’est Thomas qui a réalisé et qui réalise encore aujourd’hui ma boutique e-commerce. Vous pouvez taper « boutique Maxence Rigottier » dans Google, c’est bibi qui est derrière la baguette.

C’est ça, exactement.

Là, vous pouvez voir ça. Est-ce que tu vends des mugs, est-ce que tu vends aussi des fringues comme moi ?

Justement, je vais en profiter pour en parler. Parce que quand on parle de print on demand, et même moi sur mes vidéos je fais un peu le raccourci, mais ce n’est pas du tout ça, on parle de t-shirts. Sauf qu’il faut savoir…

Ou de mugs, ou je ne sais pas, de coques d’iPhone, de casquettes…

Alors, moi malheureusement… Il y a tout, il y a tout, il y a plus de 100 produits. Il y a des coussins, des oreillers, des… enfin des taies… enfin des housses de coussins. Il y a les oreillers, les draps, les rideaux de douche, les rideaux, enfin bref, il y a vraiment des choses qu’on ne peut imaginer. Et même moi, dans mes vidéos je dis « t-shirt », alors qu’en fait malheureusement tout le monde quand ils font du print on demand, veulent faire du t-shirt, mais le t-shirt ce n’est pas le plus rentable.

Je confirme.

Ce n’est pas rentable du tout.

Moi par exemple pour ça, en plus c’est du made in France, je le vends 100 € les tenues débardeurs et le coût est entre 50 € à 55 €.

C’est ça.

Donc la marge elle est vraiment mauvaise. Je le fais juste pour avoir davantage de clients et surtout bah ça me fait de la publicité, et puis c’est une grosse fierté personnelle. Mais pour le cash, non, c’est la merde.

C’est exactement ça. Et moi je recommande d’aller sur des produits beaucoup moins sympas, parce que c’est vrai que ça fait mieux de dire « j’ai une marque de t-shirt » qu’une marque de meubles par exemple, pour l’ego c’est quand même mieux. Mais pour le compte en banque, moi j’en vends à la pelle des mugs aux États-Unis, vraiment, parce que c’est très tendance et les gens adorent ça. Mais après, il y a aussi des choses que je vends bien comme des coussins, des tableaux. Enfin il y a énormément de produits qu’on soupçonnerait pas et pourtant qui se vendent très très bien. Parce que moi je suis… en France et aux États-Unis j’ai deux sites, et aux États-Unis le marché du t-shirt commence à être un peu saturé parce que bah tu as bien vu la facilité avec laquelle c’est de créer un business en print on demand quoi.

Ouais, complètement. Donc là, vis-à-vis du print on demand, tu fais à peu près 15 000 € de chiffres d’affaires par mois.

C’est ça. Ah oui, et j’ai pas dit le…

Et sur ces 15 000 €, bah tu as 5 000 € de bénef ?

C’est ça.

Et là, tu vends du coup de manière générale ce que tu as évoqué, des t-shirts, des mugs.

C’est ça. Et en fait, j’ai une particularité. Comme je travaille beaucoup mes avatars clients, je connais très bien ce qu’ils veulent, ce qu’ils aiment. Et donc ce que j’arrive à faire en général… alors, je ne sais pas comment c’est possible, je ne mets pas forcément un bundle en place. Mais en général, un client quand il achète chez moi il ne m’achète pas un produit, il m’en achète entre deux et trois. Donc…

À chaque nouveau client ?

Ouais, en général.

Chaque client qui passe une commande, il passe une commande pour au moins deux à trois produits ?

Pas 100 %, mais au moins 90 % quoi, vraiment.

Ouais, d’accord. Donc ça, c’est bien.

Et donc en gros, mon panier moyen n’est pas à 10-15 €, il est plus dans les 45-50 €. Je n’ai pas regardé dernièrement, mais il doit être, ouais, à 47 et des brouettes. Donc c’est très intéressant, parce que mon client, le coût d’acquisition peut être de, allez, 10-15 € si on est vraiment mauvais, parfois gratuit, comme je fais beaucoup de YouTube, et derrière il va me rapporter 45-50 €. Donc, c’est pour ça que ça me permet d’avoir des marges beaucoup plus confortables. Et encore, là ma marge n’est pas bonne, c’est juste 30 %. Mais bon, comme j’ai lissé sur l’année, parfois c’est un peu moins bien, parfois c’est beaucoup mieux. Mais voilà, on va rester sur 30 %, ce qui est un peu plus haut que la moyenne du e-commerce. Le e-commerce, on est plus dans les 15-20 %. Donc c’est une bonne marge, parce que je ne dépends pas de la pub Facebook à 100 %, j’ai d’autres vecteurs de trafic en organique qui me rapportent beaucoup de visiteurs et donc beaucoup d’acheteurs.

Vis-à-vis de la partie infoprenariat, qu’est-ce que tu vends ? C’est quoi les différents tarifs pour faire… tu fais 10-11-12 000 € de vente par mois ? Dis-nous tout.

Alors, mon produit phare bah forcément c’est sur le print on demand, qui est 97 €. Et en fait, j’ai créé cette formation pour que la personne quand elle vient dans la formation elle ait tout, tout en main. Et c’est une formation, comme je le dis souvent, je pourrais vendre dix fois plus cher. Mais je veux vraiment rendre le print on demand accessible, parce que je sais que c’est un marché. Là, c’est la mode du dropshipping, mais dans un an ou deux ans, comme on copie toujours ce qui se passe aux États-Unis, ça va arriver. C’est une vague déferlante qui va arriver sur le print on demand, ça va être juste phénoménal. Donc je veux le rendre accessible pour le moment au maximum de personnes. Ce n’est pas dit que dans les prochains mois je l’augmente, parce que forcément, offre et la demande…

Donc ça, tu en vends un ou deux par jour, tu en vends à la pelle ?

J’en vends au minimum un par jour, ouais, ça, c’est sûr.

Minimum un par jour, donc tu sais déjà que tu as 3 000 € par mois.

Sûr. Il faudrait que je regarde, mais je dois être à plus d’un par jour depuis que je l’ai lancé. Évidemment, je mets des mises à jour et tout pour toujours garder à jour, parce que tu connais comme moi le web marketing, ça bouge tout le temps.

Ça va vite.

Ça, c’est clair. Donc ça, c’est mon premier produit. Après, j’ai des produits à 47 €, c’est des petits produits un peu d’appel, des petits produits, plus des stratégies précises. Par exemple, comment connaître son avatar client, comment augmenter ses marges. Donc des choses comme je te disais, vraiment pas mis en avant par les formateurs en e-commerce, et pourtant, c’est ce qui rapporte énormément d’argent. Donc j’ai ça. Après, j’ai d’autres formations à 297 €, ça c’est une formation sur YouTube où j’explique tout mon process de YouTube pour comment faire justement 10 000 € en infoprenariat, mais aussi à 15 000 € en e-commerce, où j’explique tout mon process. J’ai un process détaillé, ce n’est pas du hasard, c’est vraiment que tout est travaillé évidemment. Et ensuite, j’ai une formation globale sur les réseaux sociaux, pareil, orientée e-commerce, mais on peut l’orienter pour si tu veux créer une agence par exemple et que tu veux te spécialiser dans les réseaux sociaux.

Et ça, tu le vends à combien ?

Son offre marketing, le petit plus qui fait la différence

500 €, 497 €. Mais dedans il y a Facebook, Pinterest, YouTube, Snapchat et Instagram, donc il y a tout. Pour le prix, c’est juste ridicule, parce qu’en gros chaque module pourrait être vendu à 1 000 € à lui seul, mais je veux vraiment apporter beaucoup beaucoup beaucoup. Et ma dernière, c’est ma formation globale sur le e-commerce qui est à 800 €, 797 €, mais qui honnêtement je pense, sur le marché, c’est la plus complète, il y a plus de 400 vidéos.

Ah oui ? Tu t’es enflammé !

Groupe privé, accompagnement, etc. Bref, je veux un truc où la personne rentre, c’est divisé par semaine, semaine un, deux, trois, et c’est à 12 semaines. Et que la personne à la fin bah ça soit une experte du e-commerce.

D’accord.

Je ne veux pas qu’elle sache un peu faire du drop shipping, non, je veux que ça soit une experte, et donc c’est pour ça. Et donc, alors ça se sent peut-être quand j’en parle, mais quand je crée une formation, je ne veux pas faire une formation pour faire une formation, je veux vraiment faire toujours l’effort en plus. Et dans tous mes business, c’est comme ça. Et je pense que c’est aussi une clé de mes résultats, c’est que je ne fais pas le truc basique, je fais toujours un truc en plus. Si par exemple, je vois que le marché fait ça, bah moi qu’est-ce que je peux ajouter en plus pour me démarquer.

Ouais, je comprends. Et c’est malin et intelligent de ta part.

C’est ça. Eh bah c’est gentil, mais c’est surtout que pourquoi les gens font comme tout le monde ? Tu vois, par exemple on en parle souvent, mais en e-commerce les gens ce qu’ils font c’est qu’ils prennent un produit sur Aliexpress, ils le mettent sur leur site, ils font une pub et ils prient. Bah non, si tu fais ça, tu ne vas pas marcher. Il faut faire l’effort en plus, créer une offre marketing, créer un petit truc. Et dans n’importe quel business, il faut créer une offre marketing. Il faut toujours, comme tu le dis si bien, créer une offre irrésistible, donner dix fois la valeur de ce qu’on vend. Et bah il n’y a que comme ça qu’on vend à la pelle, et il n’y a pas d’autre secret. Donc moi, c’est comme ça que je fais dans tous mes business. Et c’est vrai que ça fait quoi, deux-trois ans que tu parles d’offre irrésistible, qu’on ne t’a pas enseignée en école de commerce. Et…

Je confirme.

Et du coup, j’ai toujours gardé ça en tête, de créer une offre irrésistible sur n’importe lequel de mes business, eh bah forcément ça marche quoi. Il n’y a pas de secret au final, c’est vraiment quand tu travailles bien, que tu connais bien tes clients et que tu fais une belle offre, ça vend.

Je récapitule donc vis-à-vis de ce que tu viens d’évoquer, Thomas. Donc par rapport aux formations, une gamme de produits entre 47 € et 497 €, et tu as une formation additionnelle à 800 €, 797 €, spéciale e-commerce. Et alors, par rapport à ta méthode de vente, est-ce que c’est des séquences d’emails ? Est-ce que c’est des Lives ? Est-ce que c’est des lancements orchestrés ? Est-ce que c’est des webinaires ? Est-ce que c’est un mix de tout ça ? Comment tu procèdes pour faire un peu plus de 10 000 € de vente par mois ?

Bien sûr. Alors, j’ai testé beaucoup de faire… donc de vendre mon produit à 797 € en webinaire plus pub Facebook, et c’était webinaire toutes les semaines.

Donc là, pas Evergreen, mais par contre toutes les semaines tu avais un webinaire ?

Ah non non, toutes les semaines je suis en live, c’était le mercredi à 20 h, ouais. Honnêtement, c’est très énergivore. Alors, oui, j’ai gagné de l’argent, mais honnêtement ce n’est pas assez intéressant pour le temps passé et l’investissement. Et surtout, moi ce que je n’ai pas aimé, et je pense que tu es comme moi, parce que je sais qu’on n’est pas fan des pubs sur notre business infoprenariat, c’est que ça rapporte un trafic tellement pas qualifié. Et donc du coup, en moyenne, je crois que je suis à 2 % de taux de remboursement. Bah mon taux il a grimpé jusqu’à 10-12 %, tu vois.

Ouais, les mauvaises personnes.

Alors, que… ouais, c’est ça, des personnes qui ne me connaissent pas et qui ne connaissent pas ma façon de travailler. Et du coup, j’avais l’impression de travailler en fait dans le vent, parce que je me dis : « OK, peut-être que je fais du chiffre d’affaires, mais au final bah avec la pub qui coûte très cher, la marge n’est pas si intéressante que ça ».

Ouais. Après, tu as du SAV, des demandes de remboursement, des gens qui cliquent sur spam, *0:25:14* des emails.

C’est clair, exactement.

Parce que moi j’ai investi 50 000 € sur l’année 2018 dans Facebook. Et comme je le dis, je sais que pour certaines personnes ça marche et on le recommande, mais je sais qu’il y a aussi beaucoup de personnes, et comme je le dis à chaque fois, il y a des gens qui disent : « merci Maxence, enfin quelqu’un d’honnête qui le dit ».

Ouais, c’est ça.

Vous pouvez être comme moi, vous pouvez être comme Thomas. Moi je pense que j’ai perdu un petit peu d’argent puisque j’ai investi 50 000 € dans l’année 2018 et j’ai peut-être récupéré 60 000 €. Mais après voilà, c’est le pixel Facebook, vous payez le prestataire, donc ce qu’on appelle un trafic manager. Vous avez les gens casse-couilles et ainsi de suite. Donc, moi j’estime que j’ai perdu de l’argent, pas énormément, et je ne regrette pas de l’avoir fait. Mais je préfère investir 50 000 € comme je le fais dans YouTube avec des vidéos qualitatives. J’avais fait d’ailleurs le calcul, je vais vous le donner. Donc pour l’année 2019, mon équipe vidéo et photo ça me revient à 60 000 €. Donc j’ai 45 000 € directement pour l’équipe vidéo et après 15 000 € additionnels qui a lieu bah : location d’appartement Airbnb, les restaurants, des choses comme ça. Donc j’ai investi en tout 60 000 €. Je sais que c’est 60 000 € en moyen long terme, un an, un an et demi, il y a un 1 000 000€ qui va tomber. Donc c’est un ROI ou ROAS si vous êtes… je vais y arriver, mon enthousiasme me fait bafouiller, donc de globalement 14-15 ou 16, donc ce qui est gigantesque.

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C’est énorme.

Voilà, c’est pour vous donner cette logique. Et surtout mes vidéos YouTube, si j’arrête de publier ça va descendre évidemment mon trafic. Mais la pub quand tu arrêtes, il y a zéro, c’est-à-dire que…

Il n’y a plus rien.

C’est-à-dire que deux jours après, c’est comme si tu n’avais jamais investi un centime. Alors que sur YouTube, si je suis à 100 000 visites par mois, 100 000 vues, peut-être que dans trois mois je serai à 50 000 vues par mois. Mais j’aurai encore 50 000 vues par mois, c’est ça qui est ouf !

C’est ça qui est dingue.

Alors que j’ai arrêté de publier pendant 90 jours, pour vous donner cet exemple.

Non, mais tu as tout à fait raison. Et les personnes qui basent leur business sur YouTube… sur Facebook pardon, sur la pub Facebook, bah le jour où ils se font fermer leur compte bah ils pleurent.

Et puis cerise sur le gâteau que tu viens de rajouter, moi ce qui m’a tué c’est que tu mets de l’argent, c’est toi qui payes et tu n’es pas libre de dire ce que tu veux. Alors que sur YouTube si tu veux dire… je ne sais pas, si tu veux claquer une Ferrari, si tu veux mettre une femme à poil, je te dis n’importe quoi, juste pour que vous ayez ça en tête, vous pouvez, en organique. Dès que vous voulez réaliser de la pub sur Facebook, on n’est pas libre de ce qu’on veut faire. Si vous êtes dans le fitness, vous ne pouvez pas mettre des avant/après alors ce que c’est justement…

Ouais, ça ils n’aiment pas.

Vous, votre objectif c’est… vous savez la valeur de votre produit, c’est justement de montrer avant/après. Bah non, on n’a pas le droit ! Alors qu’on a le droit sur YouTube.

C’est ça, on n’a pas le droit, on « make money », donc notre niche. C’est de plus en plus compliqué, dès qu’on parle un peu d’argent on se fait striker. Ou maintenant ce qu’ils font, c’est qu’ils appellent ça du « *shadow base* », c’est-à-dire qu’ils disent : « OK, on te la laisse, par contre tu payes pour toucher une personne, tu dois payer cinq fois plus que d’habitude ».

Ouais, complètement.

Pas de délégation du SAV

Donc voilà, moi je ne suis pas fan. Et comme tu le dis, moi ça m’a rajouté… moi j’ai une particularité, c’est que tu sais, beaucoup d’infopreneurs enseignent la technique où on se ferme, la « technique pomodoro » où on ne fait rien pendant 20 minutes. Non, moi c’est mes clients d’abord. Et donc dès que j’ai un message sur n’importe quel réseau social, je réponds. Parce que je me dis : « bah sans client, je n’aurais pas de business ». Donc moi, c’est vraiment mon…

Tu n’as pas délégué encore le SAV ?

Je ne veux pas le déléguer en fait. C’est une particularité…

C’est ce qui va bloquer Thomas pour passer de 10 000 € à 30 000 € et plus par mois. Il me demandait tout à l’heure, là c’est l’une des raisons.

Ça, j’y pense. Mais il y a aussi un truc, c’est que du coup j’ai une super relation avec mon audience parce qu’ils se disent : « attends, je viens d’envoyer le mail et au bout d’une minute j’ai déjà une réponse », personne ne fait ça. Et c’est comme ça que j’ai disrupté tout le marché. Parce que tous les plus gros infopreneurs, on leur envoie un mail, ça prend parfois… bah ils ne répondent jamais. Et donc moi, on est sûr d’avoir une réponse, et donc forcément le capital confiance augmente. Donc je suis d’accord que c’était très bien pour le début, je songe à le déléguer, mais…

Vous êtes obligé de déléguer votre SAV si vous voulez passer de 10 000 € à 20 000 €, 30 000 €, 50 000 €, 100 000 € par mois. Parce que moi aujourd’hui je dois recevoir, entre Instagram, YouTube, les groupes privés Facebook, les SAV, bref, le tutti quanti, je dirais entre 100 à 200 e-mails. Donc j’ai deux personnes dédiées qui répondent toute la journée. Alors, on ne répond pas quand c’est genre : « bonjour, ça va ? » ou alors…

Ah ouais, on en a toujours ça.

… les questions foireuses comme vous vous en doutez certainement, c’est un manque de respect pour nous-mêmes, les membres de mon équipe. Donc là, on ne répond pas et je vous invite à ne pas répondre quand vous avez des gens qui vous manquent de respect. Si par contre c’est une question censée, bah là on répond, il n’y a pas de souci.

Non, carrément. Mais moi pareil, je ne réponds pas à ça. Je dois à peu près avoir 50 messages, mais…

« Salut, ça va ? »

Ouais, c’est ça, ouais, ou « bonjour ». Mais je préfère le faire moi-même, tout simplement parce que moi c’est important d’avoir une très bonne relation avec mon audience. Et je pense que c’est aussi un des vecteurs et une des choses qui a fait un peu mon branding on va dire. C’est que peu importe quand on m’envoie un message je réponds. Bon, quand je dors, je dors, mais tu vois ce que je veux dire. Et le problème c’est que du coup j’ai toujours fait ça. Et quand j’ai commencé à faire de la pub Facebook, mon SAV il a explosé.

Ah bah oui, tu as…

Je suis passé d’une heure par jour à trois-quatre heures. Donc j’ai fait : « OK, ce n’est pas possible, ça prend trop de temps et ça ne rapporte pas assez », donc j’ai préféré arrêter. Et moi je suis comme toi, je me concentre vraiment sur l’organique. Parce que l’organique, il y a aussi une chose qu’on… parce qu’on dit très bien : « oui, avec Facebook j’ai fait tant ». OK, tu as gagné ça, mais combien est-ce que tu déduis le temps passé à faire du SAV, le temps à négocier parce que les gens veulent un remboursement et des trucs comme ça ? Donc ça prend beaucoup de temps, ça prend beaucoup de mauvaises énergies aussi. Alors que par exemple, tu vois, YouTube on dit : « OK, ça m’a rapporté ça » et comme on le disait, ça paye sur le long terme. Et ça, c’est juste dingue quoi.

Et ça, c’est aussi une notion à avoir en tête, c’est que… bah là ça va surtout parler aux hommes, c’est cette notion de qui a la plus grosse et chiffre d’affaires, chiffre d’affaires, chiffre d’affaires. Moi personnellement, ce que je regarde ce n’est pas mon chiffre d’affaires, c’est quel est mon bénéfice, donc d’où, numéro un, pourquoi je suis expatrié. Numéro deux, j’ai déjà investi des centaines et centaines de milliers d’euros dans la bourse. J’ai investi des centaines de milliers d’euros dans l’immobilier à Tallinn, en Estonie. C’est juste pour vous montrer des petites analogies. Je sais que je n’ai pas un gros chiffre d’affaires entre guillemets, même si il est quand même excellent par rapport à 99 % des gens. Mais ce qui m’intéresse surtout, ce n’est pas mon chiffre d’affaires, c’est combien… et de manière générale pour… c’est ce que j’évoque quand on me pose souvent la question, je gagne à peu près 30 000 € net par mois donc en déduisant, voilà, mes paiements affiliés, les outils, les paiements des prestataires, les prestataires externes. Bah là, comme on est en train de filmer avec mon équipe vidéo, toutes ces choses-là. Et du coup, je sais que tous les mois, tous les mois, tous les mois en moyenne, donc des mois un petit peu plus, des mois un petit peu moins, je m’enrichis. Donc mon patrimoine augmente de 30 000 € et du coup je réinvestis ce patrimoine principalement immobilier et bourse. Et je sais que c’est ce qui va me permettre d’être multimillionnaire et même d’avoir 10 000 000€ de patrimoine, qui est mon objectif à 40 ans.

Mais c’est ça, c’est très bien ce que tu dis. Parce que dans le marché, malheureusement on parle tous de chiffre d’affaires, mais chiffre d’affaires on s’en fout…

Surtout toi en e-commerce, là, ça vole.

En e-commerce, ça me fait rire parce qu’il y a des gens ils font 100 000 € de chiffre d’affaires, mais ils ont 100 001 € de dépenses. Donc au final, ils perdent de l’argent. Un chiffre d’affaires, ça ne veut rien dire. C’est ce que tu as dit, c’est le bénéfice, qu’est-ce qui reste dans ta poche. Et c’est pour ça que dès le début j’ai précisé que c’est 5 000 € moi de bénéfices et que je fais 15 000 € de chiffre d’affaires. Mais comme toi, moi le chiffre d’affaires je m’en fous. C’est combien il reste dans ma poche, combien je vais avoir moi pour réinvestir derrière. Parce que bah comme je te l’ai dit, quand je faisais les pubs Facebook j’avais augmenté mon chiffre d’affaires, j’étais à 15-20 000 € en infoprenariat, par contre j’étais à 20 % de marge.

Ouais.

Et là aujourd’hui, je suis à 10 000 €, mais je suis à 70 % de marge. Bah le choix est vite fait.

Est-ce que vous préférez gagner 4 000 € par mois ou 7 000 € par mois ?

Et 4 000 € en se faisant chier à répondre, en ayant des demandes de remboursement ; ou alors 7 000 € en ayant des gens. Et c’est aussi… on ne l’a pas dit, mais la puissance de l’organique c’est que les gens nous cherchent, c’est eux qui font la démarche.

La notion de search.

Et ça, personne n’en parle, mais du coup les personnes sont beaucoup plus qualifiées. Parce que ce n’est pas comme sur Facebook où on apparait et on fait : « hey, prends ma formation ». Non, là c’est quelqu’un qui a cherché, qui s’est dit : « ah, bah cette personne elle m’intéresse, je vais aller voir ce qu’elle fait, je connais son travail ». Et donc la qualité de vos clients – et ça personne n’en parle – mais la qualité des prospects et des leads est beaucoup plus importante sur l’organique que sur du payant, ça il n’y a pas photo.

Ouais. La notion, donc si vous faites de la pub c’est vraiment cette notion de reciblage moi que je ne fais pas toujours, c’est là où vous allez aussi gagner pas mal d’argent. Et après, moi ce que j’aime bien évoquer – et c’est pour ça aussi que Thomas a des bons résultats et qu’on s’entend super bien – c’est que 70 % à 80 % minimum des millionnaires d’internet ce sont des millionnaires YouTube. Donc, ayez ça en tête, 80 % des millionnaires du web ce sont des millionnaires YouTube, via cette notion de search. Et après, si vous maitrisez la publicité Facebook ou même d’autres types de régies publicitaires, topissime, excellent. Mais c’est bien d’avoir un mix de tout ça, comme ça vous n’avez pas de stress pour votre business.

Des formations vidéo, des coachings comuns et privés

Alors, vis-à-vis de la satisfaction clientèle, donc on a compris, les gens sont contents. Donc a priori, de ce que tu nous as évoqué, c’est des formations en vidéo ?

Ouais, c’est ça.

Comment tu procèdes ? Donc c’est… il y a des coachings communs, des coachings privés ? Des groupes privés Facebook ? Est-ce que… ? Comment tu fais ?

Ça, ouais. Ça, je l’ai les coachings communs, privés, etc., je ne l’ai que pour ma grosse formation à 800. Parce que tu sais très bien comme moi que ça prend quand même du temps, il faut préparer. Et puis je ne veux pas rêver et faire : « bon, alors on a fait quoi ? » je veux vraiment suivre les gens. Donc ça, c’est pour vraiment mes clients vraiment VIP, très haut de gamme. Et puis, pour mes autres formations, je n’ai pas quelque chose en place. Par contre, n’importe quelle question, comme je te l’ai dit, je réponds super rapidement et ils savent qu’ils peuvent me joindre, il n’y a aucun problème. Je délivre mes vidéos alors…

Thomas, c’est monsieur SAV.

Ouais, c’est ça. Non, mais en fait c’est drôle, parce que les gens pensent que le SAV c’est de la merde, alors qu’honnêtement – moi j’ai fait mes stats – je réponds à un message sur trois, ça me fait une vente.

Alors, je confirme, mais je mets le « mais »…

Je suis d’accord avec toi.

… par rapport à… Si vous voulez vous grossir, et je pense que vous savez très bien de quoi je veux dire, si aujourd’hui vous fait plusieurs centaines de milliers d’euros de vente sur internet ou des millions d’euros de vente, bah c’est redondant et votre valeur ajoutée, la zone de génie de Thomas également n’est pas sur le SAV.

Ce n’est pas ça. Par contre si vous commencez, ne négligez pas le SAV.

Si vous commencez évidemment, ne le négligez pas.

Parce qu’honnêtement, c’est de l’argent très très rapidement et très facile. Et il y a des personnes en fait, elles ont juste besoin d’être rassurées souvent, on répond et voilà, elles achètent, et on n’a rien fait. Et c’est ça qui est juste génial, donc voilà. Au début, moi je conseillerais vraiment de bombarder sur le SAV. Mais évidemment, après un moment, on sent le blocage, on sent les limites parce qu’on n’a que 24 heures dans une journée et donc on ne peut pas tout faire, donc ça c’est sûr.

Podia pour sa simplicité d’utilisation : 28 minutes pour une page de vente et un espace membre

Et donc, tu me demandais comment je délivre mes produits. Donc moi j’utilise – je t’en avais parlé – la plateforme Podia. Alors, ce n’est pas connu du tout. Ce n’est pas une plateforme parfaite, mais avant j’étais sur ClickFunnels, et ClickFunnels, un truc tout bête, l’intégration PayPal c’est un enfer.

Ouais, je confirme.

Moi je mettais deux jours à faire une page de vente, enfin bref. J’avais Funnelish pour ceux qui connaissent, donc c’est une appli en plus. Et j’avais plus…

Et Thomas, il a tout essayé. Il a essayé ClickFunnels, Systeme.io, LearnyBox ?

Au tout début, ouais, LearnyBox.

Et là, il est… donc quatrième tentative, Podia.

C’est ça.

Donc après LearnyBox, Systme.io, ClikFunnels, toi c’est Podia qui te correspondait ?

Alors, Podia ça me correspond parce que je sors un produit tous les mois. Et une page de vente, plus espace membre d’un produit, sur Podia c’est 28 minutes montre en main, imbattable. Par contre, il faut le savoir, Podia ce n’est pas un tunnel de vente, donc il n’y aura pas des grosses pages d’upsell, etc. Les upsell, ce sera plus comme du e-commerce avec un pop-up qui arrive, avec la présentation de… bah le nom de l’outil, la réduction, etc. Et donc après, ils peuvent cliquer et mettre plusieurs produits dans leur panier en fait. Donc c’est différent. Je ne suis pas satisfait à 100 %, mais au moins 95 % par rapport à ce que j’avais sur ClickFunnels, qui est une très belle machine quand on a un deux ou trois produits. Dès qu’on commence à en avoir plus, je pense qu’il faut quand même avoir quelque chose de plus simple et moins lourd. Donc voilà, c’était vraiment la chose. Et donc forcément, c’est comme ClickFunnels, les personnes achètent et elles ont direct leur mail avec leur accès et puis elles peuvent commencer. Mais bon, voilà tout simplement.

La journée type de Thomas Gio

Alors, maintenant je voulais qu’on revienne en détail. Donc vis-à-vis de ton organisation, c’est quoi la journée type de Thomas Gio ? Et numéro deux, combien de temps ça te prend par semaine ton business internet ? Donc du coup, comme tu as deux business, infoprenariat, e-commerce, est-ce que c’est 15 heures par semaine ? Est-ce que c’est 30 heures par semaine ? Est-ce que c’est 60 heures par semaine ? Donc je te laisse nous expliquer la journée type et le temps, du coup globalement, que ça te prend par semaine.

Pas de souci. Alors, aussi, bon, on n’en a pas parlé, mais je vais t’expliquer. J’ai aussi aux États-Unis une agence marketing qui me prend 30 heures par semaine. Donc, tu comprendras.

Ah oui, donc tu te lances, Thomas se lance à l’international.

Bah, alors, toi tu le sais, mais pour ceux qui ne le savent pas, en fait je vais déménager aux États-Unis et donc j’ai une société, une LLC aux États-Unis. Donc c’est pour ça que du coup j’ai une société aussi aux États-Unis et que je dois gérer et je dois faire développer, que je viens d’ouvrir il y a un ou deux mois, donc qui est encore toute petite. Donc on part de zéro. Et moi j’aime bien parce que c’est un nouveau challenge, etc., surtout sur un marché que je ne connais pas mine de rien.

J’imagine.

Donc l’e-commerce, donc en print on demand ça me prend 10 heures par semaine, donc mes deux sites, à gérer c’est 10 heures par semaine. Et donc au final, je dois être à peu près sur les 100 heures. Et donc 30 heures pour l’agence, 10 h pour le print on demand et l’e-commerce. Et tout le reste, donc ça fait, si je ne me trompe pas, 60 heures sur l’infoprenariat. Alors, c’est beaucoup…

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Donc là, Thomas, il approuve l’expression « en mode chinois ».

C’est exactement ça.

En tout cas, c’est ce qu’il vit.

Alors, c’est beaucoup, je sais qu’il y en a qui aiment bien la semaine de quatre heures et tout, OK. Mais moi je suis juste passionné par ce que je fais et je n’ai pas l’impression de travailler…

Donc sur les 60 heures, tu as peut-être l’impression de travailler, allez, trois heures et tu as 57 heures de plaisir ?

Ouais, c’est ça. Franchement, moi je ne compte pas mes heures, j’adore, et voilà. Parfois, je travaille jusqu’à 3 h du mat, parfois je me lève un peu plus tard, parfois non. Je suis vraiment autonome et c’est ça que j’adore, donc ouais, je travaille beaucoup, mais parce que j’aime et je sais…

Et tu te fais quand même une journée off par semaine ou pas trop ?

Je ne sais pas. Non, je ne sais pas ce que c’est.

Le mec, sept jours sur sept, mieux que les Chinois !

Ouais, ouais ouais. Non non, en vrai c’est très rare que je me fasse des journées off.

C’est important parce qu’il est né en 1992, donc ça vous donnera l’âge au moment où vous visionnez cette vidéo, donc tu es jeune.

Ouais.

Mais moi je suis né en 1989, donc je suis jeune aussi, je ne me considère pas vieux. Mais je sais aussi que pour être efficace, productif, et surtout tenir encore 5, 10, 15, 20 ans et continuer surtout à prendre du plaisir, c’est important de ne pas créer un déséquilibre dans sa vie en mode branche business, boum boum boum boum boum ! Et ensuite branche santé, relation de couple, sport, toutes ces choses-là, en mode pfutt !

Bien sûr, ouais. Non non, bien sûr, mais…

Parce que ça tourne mal ça au bout de quelques années.

Ça, je suis d’accord avec toi. Mais là en fait, comme je te l’ai expliqué, je suis vraiment en phase où je vais déménager, donc j’ai trois-quatre mois où je me dis : « il faut bombarder ».

Ouais, là tu bombardes à court terme.

Et puis après évidemment…

… deux trimestres.

Voilà, on lâchera un peu plus. Mais après, c’est vrai que… j’ai pris par exemple, ça faisait deux ans que je n’avais pas pris de vacances, en juin j’ai pris 10 jours, pour moi c’était l’enfer. C’est génial les vacances, mais je me suis ennuyé. Parce que quand on aime ce qu’on fait en fait, on est là à se dire : « OK, qu’est-ce qui se passe, qu’est-ce qu’on peut faire », on a plein d’idées. Et donc voilà, moi c’est ma façon de travailler. Je ne dis pas que ça convient à tout le monde, je ne dis pas que c’est ce qu’il faut faire, ce qu’il faut faire c’est quelque chose qui vous convienne à vous, c’est le plus important. Mais voilà, moi j’adore ce que je fais. Donc si mes journées pouvaient être 48 heures, bah ça serait avec plaisir, vraiment.

Délégation des tâches chronophages : visuels, montage vidéo

Excellent. Alors, maintenant vis-à-vis de la technique, est-ce que tu délègues ? Comment tu procèdes par rapport à ça ? Est-ce que tu es un geek et tu fais tout toi-même ? Dis-nous un petit peu comment tu procèdes.

Bah moi en fait j’ai très vite compris, notamment grâce à toi. Je m’en souviens, quand on était au mastermind, tu avais fait un organigramme de toute ton entreprise.

Ah ouais, j’avais fait une session spéciale délégation, ouais, je m’en souviens.

Et en fait, j’ai très vite compris qu’il fallait déléguer. Quand j’ai commencé… alors, moi quand j’ai commencé l’infoprenariat, et je gagnais 300 € par mois, je n’ai pas voulu mettre de l’argent du e-commerce dedans, je voulais que ça soit chaque activité se finance elle-même. Et donc je gagnais 300 € par mois en infoprenariat. Et je me suis dit : « il faut que je délègue ». Parce que le montage, ça me prend trop de temps, et je déteste faire ça, je ne sais pas faire ça, donc j’ai délégué directement. Et en fait, là aujourd’hui j’ai cinq personnes qui travaillent pour moi. Donc j’ai un designer, Simon, que tu connais.

On a le même graphique designer.

Exactement. J’ai un monteur, j’ai une copywriter pour faire tous mes articles de blog. J’ai une assistante et une webmaster.

Et ça, l’ensemble de ton équipe ça te revient à combien ? 3000 € par mois ?

Non, 2000-2200 €. Ils ne sont pas à temps plein, donc… Mais en fait, en gros, je préfère avoir plus de personnes qui chaque personne a sa zone de génie comme tu dis, plutôt que moins de personnes qui font à peu près tout, et donc pas très bien. Là, en gros j’ai moins de personnes, mais… enfin j’ai plus de personnes, pardon, mais qui gèrent chacun une tâche spécifique. Et par exemple, ma webmaster, ça doit être 200 € par mois, tu vois.

Ouais. En fait, ce que… et souvent, il y a aussi pas mal de personnes, n’ayez pas ça en tête quand on prend des personnes dans une équipe, de se dire bah c’est un CDI en mode 2-3 000€ par mois.

Ouais, non, pas du tout, pas du tout.

Moi personnellement, donc il y a moi à temps plein, mon frère et mon ingénieur. Donc là, on est trois personnes à temps plein. Sinon bah pareil, je crois que j’ai sept-huit personnes en temps… à temps partiel. Bah tu t’occupes de ma boutique, mais ça, ça te prend juste quelques heures par mois, parce que tout a été automatisé. On a le même graphiste. Bah pareil, moi, Simon, le graphiste qu’on a en commun, tu vas peut-être le payer quelques centaines d’euros par mois ? Je le paye quelques centaines d’euros par mois.

C’est ça.

Mais voilà, c’est bien d’avoir une équipe. Peut-être une, deux ou trois personnes à temps plein en fonction évidemment de là où vous en êtes. Mais très rapidement, avoir ces automatismes de délégation.

Non, mais… et c’est ça. Et à chaque fois que je dis… par exemple, je suis avec des gens, des entrepreneurs qui font : « ouais, je n’y arrive pas » et tout ça, je fais : « bah délègue », ils font : « mais non non… ». Mais parce que direct dans la tête des gens c’est du 35 heures. Mais non, pas du tout, on peut déléguer. Bah moi mon assistant, qui était mon monteur à la base, me coûtait 300 € par mois au tout début, donc ce n’est rien du tout. Ce n’est rien du tout. Et il m’a permis par contre de gagner 20 heures par mois dans tous les montages vidéo et des trucs où je suis nul et qui me font perdre du temps. Et donc encore une fois, il faut se concentrer là où on est bon et puis bah bombarder dessus quoi.

Zone de génie, zone de talent les amis, très très important.

C’est clair, pas de secret.

Son avis sur le Club Privé Business de Maxence Rigottier

Alors, pour finir cette vidéo, je voulais qu’on revienne sur la partie Club Privé Business. Donc on s’est rencontrés, c’était en janvier 2017 à Malte, à Marsaskala exactement. S’il y a des gens qui nous regardent ou qui connaissent Malte, vous avez peut-être déjà entendu parler de Marsxlokk, là où il y a le marché avec les poissons et Marsaskala. Donc moi j’ai habité à Gzira, à Bugibba, et à Marsaskala, à Malte, donc de fin 2012 à début 2018. Aujourd’hui, depuis avril 2018 je suis expatrié à Tallinn en Estonie. Donc tu avais fait l’un de mes weekends mastermind à cette époque-là. Il y avait aussi Romain Paillet que vous connaissez certainement. Il y avait eu aussi Yann Darwin, il y avait aussi Stéphane Bremont que vous avez peut-être déjà entendu parler.

Ouais…

Pour les gens du e-commerce, vous connaissez peut-être Geoffrey Mile. Et j’en oublie, mais il y a aussi des noms…

Ouais, on était 10-15.

On était 10-15 à peu près ?

Ouais.

Si je ne dis pas de bêtises, tu étais à zéro à cette époque-là, ou… ?

Allez, 150 €.

150 € en janvier 2017, donc on voit le chemin parcouru depuis cette *0:44:35*

Et c’était seulement deux… enfin, pour moi c’est il y a cinq ans ou dix ans, alors que c’était qu’il y a deux ans quoi, c’est ça qui est dingue.

Voilà, donc c’est ça qui est assez fabuleux. Là, ça va fêter les trois ans depuis ce weekend-là. Alors, vis-à-vis donc du Club Privé Business quels sont les avantages du club ? Qu’est-ce que ça t’avait apporté à l’époque ? Là, on voit les résultats, bah de zéro à 10 000 € par mois en infoprenariat, 5 000 € par mois d’e-commerce de bénéfices. Quels étaient les points forts ? Et surtout comment tu m’avais découvert et qu’est-ce qui t’avait convaincu à finalement rejoindre mon mastermind et rejoindre le Club Privé Business ?

Comment je t’ai découvert ? Bah je t’ai dit, je regardais des vidéos d’Olivier Roland, parce que j’ai commencé comme ça. Et puis bah du coup par affiliation, recommandation et tout, que ce soit YouTube…

Donc toi, ouais, toi c’est YouTube…

Comme d’hab.

Le fameux YouTube.

Et on en revient à ce qu’on disait…

YouTube, voilà, comme… bah si vous faites une vidéo sur l’investissement dans l’or, si vous visionnez une vidéo que j’ai faite vous allez avoir d’autres acteurs qui auront fait des vidéos sur l’investissement dans l’or, que YouTube va recommander. Et inversement, si quelqu’un regarde une vidéo sur « investir dans l’or », moi je vais être dans les recommandations de YouTube sur le côté. Donc en fait, ce qui est assez bien, c’est un vase communicant YouTube, et du coup tout le monde connaît tout le monde. Si vous visionnez cette vidéo, j’imagine que vous connaissez d’autres formateurs dans le web marketing, et c’est normal, c’est la puissance de YouTube, donc c’est donnant-donnant de tous les côtés.

Bah c’est exactement ça. Et puis donc c’est comme ça que j’ai…

Donc Olivier Roland, et par ricochet temps tu es tombé sur moi ?

C’est exactement ça. Et donc du coup, j’ai commencé, et je crois que c’est toi qui disais que quand quelqu’un regarde 10-15 vidéos, il achète. Eh bah c’est exactement ça.

Il achète ? Bingo pour Thomas.

Eh non, mais c’est vrai, mais ça se vérifie à chaque fois. Moi je fais comme toi, je demande à chaque fois où les gens m’ont connu et comment, et pourquoi ils ont acheté chez moi. Et à chaque fois, c’est ça, 10-15 vidéos, 20 vidéos et ils achètent. Parce qu’en fait, en vidéo, plus que n’importe quel autre média, on peut voir la pédagogie de la personne, et il n’y a pas de secret quoi.

Ouais. Alors, toi c’était quoi ? Par exemple, pourquoi tu es venu chez moi par rapport à Olivier Roland typiquement ?

Bah déjà le prix, parce que lui il avait son produit, je crois, à 2 000 €.

Ouais. Et moi c’est 1 000 €, ouais. Donc là c’est le prix, ouais, OK.

C’est ça, bah déjà c’est divisé par deux. Et puis c’était ta façon d’expliquer. Tu sais, tu prenais bien le temps d’expliquer et après tu répétais pour mieux détailler les choses. Et ça se ressent d’ailleurs dans le Club Privé Business, où par exemple moi le module qui m’avait marqué, les deux modules qui m’ont marqué c’est Manychat et ClickFunnels.

Ah, Manychat, OK, et ClickFunnels, OK.

Et c’est des trucs où je ne connaissais rien du tout. Et tu vois, tu expliques vidéo par vidéo : « OK, donc là il faut faire là et après il faut… » Et ce n’est pas des grosses vidéos, c’est des vidéos de cinq minutes, mais au moins elle explique sur cinq minutes ça, c’est… voilà, quelle action il faut réaliser sur cinq minutes, comment le faire et comment bien le faire. Et puis bah moi voilà, je pense que c’était comme toi à la base quand tu as découvert ClickFunnels, tu dis : « wouah, c’est quoi cette usine à gaz ». Et après, bah je suis devenu… alors je ne dirais pas expert du tout, mais maintenant je sais très bien faire des tunnels de vente, etc., avec ClickFunnels.

Ouais, c’est les vidéos tutoriels étape par étape de…

C’est ça.

Ça va de 5 à 12-13 minutes de manière générale, où je détaille un point et où je filme mon écran. Si ce n’est pas moi, c’est soit mon frère ou un membre de mon équipe, pour vraiment que ça soit le plus complet possible.

Ouais, c’est ça. Et Manychat, c’était pareil, je sais que c’était très bien à un moment, je l’utilise encore, mais c’est vrai, un peu moins. Et je me suis dit : « bah je vais me lancer dessus ». Mais quand on arrive dessus, on fait : « wouah, c’est quoi cette usine ». Et en fait…

Ouais, là, en regardant le module, boum, tu es…

C’est ça. Et en fait, ce que tu arrives à faire c’est que tu arrives à rendre quelque chose de très compliqué, quand on débarque dessus, bah simple en fait. Et donc du coup, je pense que c’est pour ça que bah j’ai réussi à implémenter ça très très vite. Et puis après, il n’y a pas de secret, pourquoi j’ai eu des résultats ? C’est que j’ai bossé quoi. Il n’y a pas de secret, à un moment…

Boum ! Voilà, si vous voulez des résultats massifs, vous le savez. Et c’est pour ça que j’utilise l’expression que des fois des personnes reprennent sur l’infoprenariat « en mode chinois ». Parce que moi je ne suis pas là pour vous vendre du rêve, Thomas, la même chose. Vous pouvez par la suite travailler moins. Et moi aujourd’hui je travaille moins que 60 heures par semaine. Mais j’ai charbonné, je peux vous assurer les amis, pendant des années et des années… C’était aussi différent internet, parce que moi j’ai démarré en 2011, il y avait moins de possibilités, il y avait moins également… j’avais pas du tout ce mindset, il y a des choses qui étaient différentes. Moins de concurrences, ça, certes, il n’y a aucun souci. Moins de gens aussi, de trafic…

Mais le marché était moins grand.

C’est-à-dire qu’aujourd’hui, vous avez un tas de possibilités, par exemple de formateur, quelles que soient les activités, donc beaucoup plus de concurrences. Mais vous vous apercevez si vous êtes producteur qu’il y a quelques années ça aurait été impossible d’avoir des vidéos à 10-15-20-30 000 ou 50 000 vues, parce que les gens n’étaient pas sur les plateformes.

Non non, c’est vrai.

Maintenant, tout le monde est ultra connecté, Instagram, WhatsApp, Facebook, de la lecture, YouTube, LinkedIn, Snapchat, Pinterest, tout le monde est ultra connecté sur son smartphone.

C’est clair.

Quand j’ai démarré en 2011, c’était le démarrage des gens qui achetaient les premiers iPhone, pour vous donner cet exemple-là.

Ouais, bah c’est ça.

Donc totalement différent. Mais vous devez travailler travailler travailler intelligemment et ensuite ça va payer pour vous encore et encore.

Mais c’est ça. Parce qu’il y a beaucoup de personnes, et je pense que tu en as rencontré pas mal, qui n’ont pas de business et veulent direct l’automatiser. Non, il faut d’abord bien bosser dessus et après l’automatiser. Et c’est pareil, pour le print on demand, oui, je passe 10 heures par semaine maintenant, mais avant je charbonnais à mort parce que bah il n’y a rien qui était automatisé. Il faut comprendre comment tout marche avant d’automatiser quelque chose. Et après on peut automatiser évidemment en déléguant, en ayant des programmes qui vont tout faire. Mais si on ne sait pas ce qu’on fait, ça sert à rien d’automatiser.

Pour finir sur une dernière question, quel message laisserais-tu aux personnes qui hésitent à s’inscrire au Club Privé Business ?

Bah si vous voulez réussir, faites-le tout simplement.

Tout est dit. Merci en tout cas à Thomas. Et moi, je vais faire aussi un feedback par rapport à Thomas donc qui s’est occupé de ma boutique, et qui s’occupe toujours de ma boutique e-commerce. Je vous le recommande, donc je recommande vraiment ses formations. Donc si… donc moi, ce n’est pas mon domaine d’expertise. Si vous voulez vous lancer dans l’e-commerce, et particulièrement print on demand, foncez chez Thomas Gio.

Merci.

Pour moi, c’est le meilleur formateur sur le sujet. Et comme je vous ai dit, il a travaillé pour moi, il s’occupe encore de ma boutique. Donc voilà, je le vois en temps réel, donc c’est pour ça… chose rare, et je ne le ferais pas si je ne le pensais pas. Donc, foncez et allez-y, vous allez kiffer et puis ça vous permettra… si l’infoprenariat ce n’est pas quelque chose qui vous convient, l’e-commerce ça sera peut-être une belle alternative pour vous.

Bah merci beaucoup en tout cas. Et merci de m’avoir invité sur ta chaîne.

Avec plaisir.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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