Un secret qui vend et qui a permis à Trump d’être élu

Un secret qui vend et qui a permis à Trump d’être élu

Maxence : Ah mais c’est Yannick ALAIN, qu’est-ce que tu fais avec moi ?

Yannick : Ecoute, je me suis incrusté parce que moi j’ai vu de la lumière, je me suis dit : il fait bon, on est dans un bel appartement. Je me suis dit : je vais venir chez mon Maxu. Je suis très heureux d’être avec toi.

Maxence : Donc bienvenue à toi et on est en direct de Paris.

Yannick : Ouais.

Maxence : Donc, on va voir un secret qui vend et qui a permis à Donald TRUMP et à Emmanuel MACRON d’être élus contre toute attente. On va revenir aussi un petit peu sur tous les principes de notre mindset. On viendra aussi sur la Neuro-Business School, un peu sur toutes ces tendances.

Yannick : Ah, j’en ai de l’audace tout ce que tu veux, voilà, on revient sur ce que tu veux.

Yannick : Si vous cliquez en fait, que vous vous abonnez et que vous likez cette vidéo, vous êtes bénis sur 18 générations. J’ai envie de dire les mecs : ça vaut le coup, qu’est-ce que vous attendez pour cliquez.

Maxence : Donc n’hésitez pas à la liker également dès que vous aurez regardé la vidéo.

Yannick : Toi qui regardes cette vidéo, saches que je t’aime. C’est important ! Même si tu ne likes pas, ce n’est pas grave.

Maxence : Alors est-ce que tu peux rapidement te présenter pour les personnes qui se disent c’est qui Yannick Alain.

Yannick : Qui est ce c*n ! Tu sais ça va être très drôle, tu sais le mec il dit : qui c’est ce mec ? Donc, moi je m’appelle Yannick ALAIN, je suis un … Alors mes amis me qualifient comme étant un aimant à opportunités.

Maxence : Ok !

Sa croyance : Les gens méritent de réussir

Yannick : Voilà, c’est Nicolas PENE d’ailleurs que tu connais très bien qui m’a qualifié comme ça. Donc, du coup, c’est comme ça que je me présente souvent. Moi, je suis très touché par une chose, c’est que très souvent, beaucoup de personnes que je connais sont extrêmement talentueux dans leur manière de livrer les choses qu’ils veulent partager. Alors c’est peut-être des coachs, des thérapeutes, ça peut être des kinés, ça peut être des infopreneurs aussi ou autres, mais en fait, ils ont une difficulté, c’est qu’ils ne savent pas mettre de réalité économique devant leurs activités. Et très souvent, ils sont passionnés par quelque chose, ça leur parle bien.

Maxence : Mais ils ne gagnent pas un rond.

Yannick : Oui parce qu’il y a une espèce de croyance qui disait à une époque que si tu es bon, tu vends. Et en fait en réalité aujourd’hui, ce n’est plus vrai. Il y a eu un temps où effectivement, c’était vrai. Aujourd’hui, il ne faut plus être bon, il faut être excellent, mais il faut être bi-métier en fait. Il faut être non seulement bon dans ta manière de livrer ton art et de livrer, c’est par rapport à la qualité de ton produit, ou de livrer ton service et aussi bon dans ta manière de le vendre. Et c’est pour ça que toutes ces formations émergent : les tiennes, les miennes et tout ça parce que c’est ce qu’on apprend. On apprend à être, à excellentiser sa manière de livrer. Sauf que tout ce qui est en rapport à la vente en général, le rapport à la vente, le rapport à l’argent, tout ça, ce sont des choses en fait qui, dans notre contexte, dans notre pays et dans nos traits judéo-chrétiens en fait dérangent en vrai et on ne peut pas devenir ce qu’on méprise et c’est rare que j’ai rencontré des personnes qui me disent : moi j’adore le métier de commercial et ça m’inspire de devenir commercial.

En vrai pour les gens c’est un peu compliqué quoi. Tu vois ? Et donc du coup, ce qui me touche en fait c’est d’éveiller les gens, à se dire : bah écoutez les gars, déjà un : faites ce qui vous inspire, donc ça c’est déjà le premier point et apprenez à le vendre, voilà. Parce que souvent, tu sais, moi j’entends très souvent parler de gens qui me disent : moi je suis, je ne pourrais jamais réussir dans les affaires, parce que je suis trop gentil. Ou parce que je suis une trop belle personne quelque part et ce n’est finalement que l’enfoiré qui peut réussir en fait. Ben, moi, je m’assure contre ça et au travers de tout ce que je peux proposer.

Donc, j’ai un programme qui va sortir qui va s’appeler Business with love, j’ai un livre qui va sortir qui va s’appeler également : Les gentils méritent aussi de réussir. J’ai la journée de l’audace que tu connais très bien puisque j’ai eu la chance de t’avoir comme speaker cette année. J’ai la Neuro-Business School dans laquelle on enseigne les meilleures stratégies qu’utilisent Apple, Google, Facebook pour vendre ce qu’ils vous vendent et également on y met en plus tous les fondamentaux marketings qui fonctionnent aujourd’hui, que j’ai la chance de partager. J’ai ouvert cette école l’année dernière avec David LEFRANÇOIS qui est un docteur en neuroscience, qui est juste une perle et un conférencier hors pairs.

Voilà ! Donc, du coup, ben, au travers de tout ce que je propose, mon idée c’est de bouger le mindset des gens et qu’ils se disent : pour moi aussi c’est possible, même si je suis un gentil, même si j’ai l’impression que je ne sais pas me vendre, ben, d’arriver à vendre avec éthique et avec bienveillance et voilà et de leur apporter les meilleures stratégies. Quand j’ai créé la Neuro-Business School, j’ai cherché le meilleur avec qui je pouvais m’associer pour moi. Au-delà de moi, c’est-à-dire que moi, je suis avec quelqu’un qui va vous donner des conseils, mais ce qui est important ce n’est pas moi, c’est vous qui êtes derrière la caméra. Donc du coup, je voulais vraiment le meilleur. Et pour moi, David LEFRANÇOIS était pour moi le meilleur pour enseigner, je croie en ses stratégies de neuromarketing. Il apportait un vrai plus. Et en plus, c’est un beau gosse. C’est un mec qui a une intelligence incroyable, qui sait livrer les choses et vulgariser les choses. La neuromarketing ce n’est pas simple, tu vois.

Maxence : Ouais, on y reviendra juste après parce que vous vous dites : c’est quoi ce jargon, ce charabia.

Yannick : Non mais c’est ça, neuromarketing c’est quelque chose qui peut paraitre extrêmement compliqué à entendre. Et d’ailleurs sur le conseil de l’accroche, c’est un conseil que je vais vous livrer et que je vais vous donner comme je peux, mais en réalité c’est David qui m’a donné ce conseil-là et qui nous livre ce conseil là que vous pourrez voir au lancement de la Neuro-Business School d’ailleurs au complet avec plein d’exemples ou autres, mais je vais vous expliquer déjà le fonctionnement, ça sera déjà pas mal.

Ses astuces pour supprimer la peur de vendre

Maxence : Ok ! Alors première question, et ça rebondit un petit peu sur ce que tu évoquais juste avant. Je sais qu’il y a beaucoup de personnes qui se disent : oui mais moi merci Yannick, mais je n’ai pas envie de passer par un marchand de tapis quand je vends.

Yannick : Ouais, bien sûr !

Maxence : Voilà, quelles sont les astuces que tu peux donner pour les personnes qui ont cette peur de vendre. Ou si tu as des conseils stratégiques, tactiques, astuces.

Yannick : Oui, bien sûr évidemment. Déjà c’est une peur qui revient très souvent, il y a de multiples raisons à cette peur, il faut le savoir. Une des raisons principales, c’est que très souvent, c’est une question de posture. C’est-à-dire que moi j’aime bien prendre cette analogie. Je ne sais pas si vous vous rappelez quand, que vous soyez une fille ou un garçon et quand vous passez devant le rayon jouet que vous aviez envie de jouer et que vous demandiez à votre maman. Tu sais, tu tapes, dis à ta mère : ah je veux ce jouet.

Maxence : Maman, stp, je peux avoir ce jouet ?

Yannick : Je veux ce jouet, je veux ce jouet ou autre. Et votre mère, elle vous disait : non. Et je ne sais pas si vous vous rappelez, mais ce que vous ressentiez à ce moment-là, mais généralement, quand votre mère elle vous dit non, vous avez les boules. C’est vrai !

Maxence : Exactement ! Parce qu’on dit : pourquoi tu me dis non ? Je le veux ce jouet !

Yannick : Pourquoi tu me dis non ? Pourquoi ? Et c’est important, c’est très important pour mon développement personnel que j’ai ce jouet. Ce robot-là, il est important, cette barbie-là elle est importante. Et en fait, on a les boules. Et bizarrement, vous posez une question à votre mère, elle vous dit non, vous avez les boules.

Dans un autre contexte, par exemple : vous êtes avec des amis, vous voulez inviter un autre ami à sortir, parce que vous faites une soirée. Puis vous l’appelez et vous dites : eh mec, écoutes, ou girl, viens, on fait une soirée avec un tel, un tel, un tel, il faut que tu viennes ça va être ouf et tout ça, ça va être génial. La personne elle vous dit : ah mais non, je ne peux pas venir. En fait là, j’ai un repas avec ma famille, du coup, je ne peux vraiment pas venir. Vous proposez quelque chose, vous reposez une question, pourtant vous n’avez pas les boules. Et vous n’avez en plus aucun scrupule à insister et à dire à la personne : non, mais viens, ce n’est pas grave, coupe ton repas, vient quand même, c’est important que tu viennes parce qu’on va s’éclater de ouf, il y a lui, il y a lui, il y a lui, on va s’éclater. Et tu n’as aucun scrupule à insister en fait. Et tout se joue à une seule chose, c’est la posture que vous prenez au moment où vous le faites. Dans une où vous êtes demandeur, dans l’autre vous êtes un offreur.

Maxence : Alors quand tu dis posture, c’est physique ou alors c’est l’enthousiasme qu’on dégage ?

Yannick : Les deux ! Parce qu’en fait dans ta tête avant tout en fait si dans ta tête on va dire que tu proposes c’est bon et que la personne doit prendre, ou doit te dire oui et ce serait, et si tu penses que c’est une connerie qu’elle te dise non, là tu es offreur, parce que quelque part, tu es dans une logique de service et tu sais que la valeur quand tu vas proposer à la personne, quand vous allez proposer une soirée ou que vous proposiez un produit qui est juste génialissime, ben à ce moment-là, vous développez en fait une crédibilité et une confiance qui fait que vous, la personne déjà, elle est impactée par la force de votre conviction et par le fait que même si elle vous dit non, ben, vous, vous n’êtes pas touché par ça. Vous n’avez pas les boules.

Donc, l’astuce, c’est d’inspirer les gens. On n’est pas dans une logique, on veut être offreur, on ne veut pas être demandeur. Ok ! Moi, je n’aime pas l’idée d’être demandeur d’emploi. Je suis offreur de compétences, je pense que c’est mieux. J’ai longtemps coaché …

Maxence : Excellent ! Donc, souvenez vous, vous êtes offreurs de compétences et non demandeurs d’emplois. C’est pas mal comme …

Yannick : Je suis offreur d’une compétence, d’une expertise ou autre, mais je ne suis pas un demandeur tu vois. Demandeur c’est le mec qui demande : oui, s’il vous plaît, pardon d’exister, pardon d’être là, mais je voudrais peut-être s’il vous plaît. Est-ce que vous auriez la gentillesse de bien vouloir me donner un salaire s’il vous plaît, je peux rendre des services, je peux balayer, je peux … Non, les mecs ! Vous avez une valeur, elle est importante. Et cette valeur, elle est importante à construire. Tu vois ? Donc pour les gens qui, voilà, qui se disent : je n’ai pas envie d’être un marchand de tapis, c’est parce que vous ne vous êtes pas fait la meilleure vente. Et la première vente que vous devez vous faire, c’est la vente que vous vous faites à vous-même les amis.

Le processus de vente c’est incroyablement simple ; c’est plus de valeur que de coûts. C’est ça. C’est-à-dire que tu crées une valeur qui est plus importante que le coût que tu demandes. C’est tout ! Le processus de vente c’est ça. Et donc si vous-même, vous avez l’impression que si vous demandez un coaching 90 € par heure, eh bien, vous avez l’impression que c’est trop cher. Fatalement, quand vous allez approcher un client, même si vous voyez qu’il y en a d’autres qui proposent, qu’il y en a d’autres qui voilà, ben, en fait, vous allez vous dire c’est 90 € de l’heure, ah c’est 90 € l’heure, c’est compliqué. C’est cher, c’est machin. Donc du coup, vous n’allez pas dégager cette confiance. Vous allez vous mettre dans votre position de demandeur et vous êtes mort.

Offrir et non demander

Avec les mêmes mots, je vais pouvoir vous mettre dans la bouche les mots exacts que vous allez devoir dire pour être convaincant, si dans votre état interne, vous êtes demandeur, vous êtes mort. Parce qu’il y a un système en fait, c’est pareil, David en parlerait beaucoup mieux que moi et si vous regardez le lancement, vous aurez la chance de faire sa rencontre et vous verrez à quel point cet homme est d’une valeur extraordinaire. On a les neurones miroirs, ok ! Tu as déjà entendu parler des neurones miroirs ?

Maxence : Alors non, j’ai, l’effet miroir quand on insultait quelqu’un, je ne sais pas si c’est la même chose, mais neurones miroirs non ! Alors c’est quoi exactement ?

Yannick : Alors les neurones miroirs en fait, évidemment David l’expliquerait mieux que moi, mais je vais tâcher de vulgariser ça et de vous l’expliquer avec mes mots. Vous avez des aires spécifiques dans votre cerveau qui sont faites pour lire le non verbal. C’est-à-dire que toi, tout ce que tu fais, tes micro-gestes, tes micro-expressions, la manière dont tu as, en fait, moi dans mon cerveau, j’ai des aires spécifiques qui sont là pour les décoder.

Maxence : Qui sont capables de décoder et d’analyser.

Yannick : Je ne suis pas capable de le faire ressortir dans mon conscient, mais par contre, inconsciemment, je vais analyser ta posture. Et ce dont on s’est rendu compte dans les années 90 je crois, c’est que non seulement je vais lire ton état interne, mais en plus, je vais le reproduire moi dans mon cerveau. C’est-à-dire que si tu te sens mal, si tu te sens mal à l’aise de me proposer un service, si tu n’es pas bien, moi je vais ressentir ce mal-être. Et je ne sais pas pourquoi, mais je vais te dire : je ne le sens pas. Tu sais c’est des trucs…

Maxence : Ouais c’est un peu les vibrations, l’énergie, la fréquence de la personne.

Yannick : Voilà exactement. Et tu vas dire : je ne le sens pas.

Donc du coup, si vous êtes dans une posture de demandeur, même si vous mettez un plus beau sourire que vous mettez les bons mots, si intérieurement, votre état interne n’est pas bon, la personne va le ressentir et vous vous éloignez finalement de votre acte de vente. Parce que vous devez être convaincu. Si vous êtes convaincu, vous serez convaincant. Ok ? Et donc, du coup, ça c’est ce qui fait que si vous ne vous mettez pas en position d’offreur et si vous ne dégagez pas cette confiance-là, ben, vous aurez beaucoup de mal à vendre finalement et à proposer votre service. Donc, pour répondre à ta première question qui est : moi je n’ai pas envie d’être un marchand de tapis. Je pense que c’est la mauvaise question. C’est qu’en fait, en vrai, c’est que tu n’as pas créé suffisamment de valeurs pour toi que tu vas proposer à ton client. Et ça, ça me parait important.

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Maxence : Ouais dites-vous toujours, pourquoi il y a des gens sur la planète qui sont payés 2 000 €, 10 000, 100 000 ou un million plus de l’heure, pendant que d’autres personnes sont peut-être payées un dollar de l’heure ou des choses comme ça. C’est à chaque fois la valeur que vous apportez dans la société. L’exemple assez simple pour vraiment comprendre si vous allez voir un avocat fiscaliste, même s’il a une loi ou donc un document qui permet de vous économiser un million d’euros d’impôts par exemple, alors là, si vous le payez 50 000 €, lui il a gagné 50 000 € en l’espace d’une heure ou beaucoup moins de temps. Et vous, vous avez économisé 950 000 €. Donc, ça c’est important d’avoir l’esprit par rapport à ça. Donc toujours la valeur et non par heure.

Définir sa propre valeur

Yannick : Absolument ! Il y a un exemple aussi qui est intéressant aussi et que vous pourrez peut-être aller voir sur une vidéo YouTube, je donnerais la référence ou peut-être tu la trouveras. C’est en fait, on voit un violoniste qui joue dans une rame de métro. Tu l’as vu cette … ?

Maxence : Alors ça me parle, mais il y a peut-être longtemps que j’avais vu la vidéo.

Yannick : Et en fait le violoniste il joue les morceaux les plus durs qui existent pour le répertoire de violonistes et il joue dans le métro. Et ils avaient des chalands qui passent. En fait, personne ne fait gaffe à lui. Et lui pendant une heure, il joue, il joue. Et ce gars là c’est Joshua BELL. Voilà et il récolte quelque chose comme 30 $, quelque chose comme ça en fait durant son set. Et à un moment donné, évidemment, il y a une personne qui a le décodeur allumé et qui sait voir que c’est très très fort ce que le mec joue et qui le reconnait en fait. Et Joshua BELL c’était une étude qu’il a fait pour le New-York Times je crois. Vous regardez Joshua BELL et voilà. Et du coup, ce mec-là en fait, une semaine avant, il jouait à 300 € la place dans un des plus beaux théâtres de je ne sais plus si c’est Londres ou New York. Et là, ce que les gens lui donnent, en fait c’est juste 1 € comme ça et encore. Il fait 30 € de l’heure alors que le gars, la place, il la vendait 300 € en fait.

Maxence : Donc, c’est lui-même qui a créé le test pour montrer …

Yannick : Alors ce n’est pas lui, je crois que c’est le…, il faudra se renseigner sur la vidéo. Mais ce qui est intéressant là-dedans, ce que je trouve intéressant c’est que ne laissez pas les autres définir votre valeur.

Maxence : Excellent comme conseil ouais. Ne laissez pas les autres donc définir votre propre valeur ouais, parfait !

Yannick : Ouais, voilà, ça me parait important en fait de savoir quelle est votre valeur à vous et comment est-ce que vous avez construit cette valeur là et la première personne avec qui vous devez construire cette valeur-là – pardon, si je ne parle pas bien français mais vous m’aurez compris- , c’est vous. Vous devez comprendre que ce que vous proposez, ça a une put*in de valeur. Si vous êtes coach et que si vous aidez quelqu’un à arrêter de fumer, mais combien d’années de vie, vous allez faire gagner à la personne ? C’est ça aussi. Si vous êtes coach et que vous aidez un patron d’entreprise à rentrer tous les jours une heure plutôt chez lui, ça veut dire que sur une année, il a passé plus d’un mois, un mois et demi de plus avec sa famille. Un mois de travaille avec sa famille, combien ça vaut ça, ce temps passé ? Et donc, ne vous vendez pas à l’heure, mais vendez-vous au résultat. C’est ce qui est important. Et donc, du coup, cette valeur là, elle est importante créée, mais d’abord elle doit être créée dans votre esprit à vous. Si vous développez cette confiance-là autour de votre service et du tarif que vous proposez pour votre service, vous verrez que vous allez développer une confiance naturelle qui fait que toutes les techniques de ventes que je vais vous renseigner, vont vous aider à être meilleur face à quelqu’un qui sera aussi bon que vous et aussi convaincu, mais ça vous aidera déjà à vendre massivement déjà.

Maxence : Ok ! Donc, c’est un excellent conseil. Donc retenez : ne laissez pas les autres définir votre propre valeur ouais !

Yannick : Et quelque chose d’intéressant par rapport aux neurones miroirs que je te disais tout à l’heure c’est qu’il y a une grosse injustice, c’est que les femmes sont équipées de deux fois plus de neurones miroirs que les hommes. Donc, ça ne sert à rien de leur mentir les gars, on se fait gauler à chaque fois, c’est comme ça.

Maxence : Donc si vous êtes une femme, sachez que vous avez un petit pouvoir supplémentaire par rapport aux hommes.

Yannick : Je crois que c’est lié justement à l’enfant, justement quand tu…, pour qu’une femme en fait…, il faudrait demander à David, mais je crois que c’est lié au fait qu’un enfant, elle doit pouvoir lire le non verbal beaucoup plus vite que l’homme en fait, une femme. Du coup, je crois que génétiquement c’est pour ça. Mais encore une fois, je voilà, vérifiez l’information.

Les neurosciences et la vente

Maxence : Ok ! Alors vous vous posez peut-être la question suivante, vous dites certainement : ok Yannick, merci pour déjà tous tes conseils que tu viens de nous délivrer. Vis-à-vis de la neuroscience, est-ce que tu as des études ou alors des anecdotes par rapport à la vente, voilà, des conseils à nous donner.

Yannick : Il y a une astuce effectivement qui est très intéressante en fait que David donne, notamment à partir du 14 novembre quand on fera les vidéos de promotion de la Neuro-Business School et la fête qui avance, c’est-à-dire toute une série de formations gratuites qu’il y a juste avant. Il va bien l’expliquer mais je vais détourer la chose. C’est qu’en gros David, il y a quelque temps en fait quand il y a eu les élections américaines, me dit et même pour Macon, il me l’avait dit, il m’a dit : Yannick, je suis sûr que Trump va être élu. Et je lui dis : écoute, sincèrement, ce mec là fait peur. Je dis, je suis quasi certain qu’il ne sera pas élu. Et tous les sondages étaient ok pour dire que Trump ne serait jamais élu. Parce qu’il avait un discours très saillant, très compliqué. Il me dit : écoute, moi je te le dis, ce mec là est conseiller en neuroscience. C’est sûr et je te dis qu’il sera président. Et moi, presque je l’avais ri au nez quoi, en lui disant : mais écoute moi bien …

Maxence : Tu as dit, ouais… tu as fumé quoi, c’est de la flûte.

Yannick : Tu as fumé quoi parce que c’est juste impossible, parce qu’il disait des choses horribles. Et en fait quand il a été élu, en fait, je lui dis, mais David mais comment tu savais quoi. Et il dit, mais tout simplement parce qu’en fait, il a utilisé parfaitement le cerveau tri-unique. On se rend compte …

Maxence : alors c’est quoi ce cerveau ?

Yannick : On s’est rendu compte en fait…, alors David l’expliquerait mieux que moi, mais pour faire passer un message de manière percutante auprès de quelqu’un en fait, il y a trois types de cerveaux, je ne saurais pas te les nommer, mais je vais te donner leurs significations et tu vas me comprendre.

Maxence : Tête, cœur, corps, non c’est ça ? Ou c’est encore autre chose.

Yannick : Ben, non justement.

Maxence : Ah d’accord ! ok !

Yannick : Justement, c’est peur, émotion et cérébral.

Maxence : Donc peur, émotion et cérébral pour les trois types de cerveau en neuroscience ok !

Yannick : Donald Trump il disait quoi ? Il disait. Alors, non c’est émotion, peur et cérébral.

Maxence : émotion, peur et cérébral ok !

Yannick : Mais vous vérifierez l’information, mais en fait en gros ce que dit Donald Trump, c’est : je suis triste pour mon pays, je suis vraiment malheureux pour mon pays ! Donc, boum les émotions. Je suis triste parce que mon pays est un grand pays, le plus grand pays du monde et en fait on est en train de se faire dépasser, en train de se faire bouffer. Et là ensuite, je suis triste émotion. Ensuite peur : parce que dans mon pays ce qui se passe c’est ça, il y a les bases aériennes…, les machins, les trucs, voilà. Il y a de l’immigration pas choisie, il dit des choses horribles et donc, il fait peur. Il dit un truc de peur et il dit ce qu’il faut faire où est la solution, c’est ça, ça et ça. Et du coup, il est beaucoup plus impactant en disant ça. Ça c’est le secret qui a fait que ça l’a mis sur le trône j’allais dire mais c’est un peu ça.

Maxence : Alors par ricochet, c’est ce que font exactement les médias, attentats, crises, chômages, viols, donc incendie, crash d’avion ou que sais-je. A chaque fois, c’est les peurs, parce que ouais c’est le cerveau, ce que tu viens d’évoquer justement…

Yannick : Ouais, le cerveau tri-unique en fait. Donc, voilà, mais je vous invite à suivre le cours de David là-dessus qui serait gratuit dans la vidéo de Neuro-Business School parce que c’est vraiment, il l’explique extrêmement bien et c’est extrêmement puissant. Et c’est ce qu’on apprend dans la Neuro-Business School, en tout cas ça appartient à lui justement de décoder ce genre de chose. Ecouter ce que Apple, Facebook…, sur le dernier i-phone, vous allez avoir une analyse complète de la vente de l’iPhone et ça évite juste une tuerie atomique. Parce qu’en fait les quatre cerveaux on se rend compte qu’il utilise les quatre cerveaux quoi du conceptuel, du social, de l’analytique, voilà, et donc du coup, il y a tout ça qui fait qu’on parle à tout le monde. Quand tu veux parler à la masse, tu t’adresses en fait à ces cerveaux-là et du coup tu es beaucoup plus impactant quand ton message parle à tous ces cerveaux là. Donc, voilà, c’est passionnant

Maxence : Alors pour Emmanuel Macron, c’est … je n’ai pas suivi du tout, mais il a également mis en place les peurs vis-à-vis de la France ?

Yannick : Ouais, c’était pareil. Bien sûr, voilà, il l’a fait de manière beaucoup plus finement. Voilà, il l’a fait de manière moins…

Maxence : Moins crash.

Yannick : Moins crash, mais il l’a bien fait. Il l’a très bien fait ouais ! Donc, je n’ai pas d’exemple à te donner là, mais David t’en donnerait, mais voilà, je… En tout cas, il a très bien fait. Donc, c’est vrai que ça, ça joue beaucoup.

Maxence : Alors moi personnellement, j’avais lu un bouquin alors pas lu, mais on m’avait fait un bon résumé donc de : influence et manipulation de Robert Cialdini…

Yannick : Cialdini ouais !

Maxence : … vis-à-vis des neurosciences. Est-ce que c’est un livre qui reprend toutes ces bases de celui-là, voilà, quels sont un petit peu les avis que tu peux nous donner par rapport à ça ?

Créer de l’autorité

Yannick : Le livre de Cialdini, pour moi, est une base on va dire en termes de…, alors c’est la source des leviers de persuasion là, mais pour moi, c’est un combo parfait avec les quatre cerveaux. Mais c’est plus l’idée de comment est-ce que tu peux mettre dans tes offres en fait un discours plus impactant et avec certains outils. On voit donc effectivement l’idée de réciprocité, l’idée de générer de la rareté dans ses offres, l’idée de créer de l’autorité…

Maxence : D’accord ! De preuve sociale.

Yannick : … Preuve sociale, autorité, tout ça ce sont des choses, ce sont des leviers qui pour nous en tout cas, ce sont des leviers que j’enseigne d’ailleurs dans la Neuro-Business School, qui sont essentiels à mettre dans une offre. En tout cas, ça parait évident. Alors en face à face, parce que moi j’apprends aussi la vente en face à face, j’apprends à bien se présenter, devenir impactant, émotionnel et comment est-ce que tu fais pour toucher le cœur de la personne quand tu te présentes. Qu’est-ce qui se passe en fait parce que souvent les présentations, c’est nous sommes leader sur le marché dans tel domaine : Boring… Qu’est-ce que tu t’ennuies dans ce genre de chose là. Du coup, non, moi j’apprends à être percutant quand on se présente. J’apprends également le face à face. En face à face, tu t’aperçois que ces leviers là, tu ne vas pas tous les utiliser. En tout cas, ça fait gros pataud. Tu dis, ça fait hyper-pataud. Donc, du coup, voilà, par contre dans les offres promotionnelles ou commerciales, je recommande chaudement de les utiliser. Des fois, tu peux les utiliser extrêmement finement. Tes offres, tu peux mettre de l’autorité et juste avec un diplôme qui est derrière toi.

Maxence : Absolument ! Donc, n’hésitez pas à les mettre.

Yannick : A mettre ça. Il met, quand tu arrives chez un cabinet de médecin.

Maxence : Ouais Docteur …

Yannick : Docteur …, diplôme d’un tel, certifié de telle école Harward School, machin truc, tu es là dedans en fait. Tu es dans cette dynamique-là. Donc, ouais, ouais, tu peux mettre tous ces leviers là, notamment la blouse blanche est une autorité, on le sait aujourd’hui. Quand tu prends l’expérience de Mid-man ou Milgram…

Maxime : C’est Milgram, je crois !

Alexandre : Milgram, c’est ça ! Tu sais où la force de l’autorité, on se rend compte qu’à l’époque des nazis, l’autorité a fait faire des choses absolument horribles à des personnes, juste parce que les personnes se sont dédouanées de leurs responsabilités en faisant cet acte-là. Il y a des personnes c’étaient en conduisant le train, il y a des personnes c’était en activant les chambres à gaz et en tuant des personnes, mais à chaque fois, à chaque étape, c’est l’autorité qui a fait son rôle. Donc c’est la puissance de l’autorité et on s’aperçoit que la blouse blanche est un principe d’autorité. Tu sais quand tu reçois un médecin, il y a une espèce de différence qui se crée, une sorte d’autorité naturelle qui se crée c’est fou, mais c’est comme ça. Alors aujourd’hui beaucoup moins, mais c’est dingue. C’est dingue puisque l’autorité peut créer …

La preuve sociale

Maxence : En gros depuis la naissance. Donc, c’est ancré dans notre esprit pendant des décennies.

Yannick : Ouais, l’exemple aussi, l’exemple chez d’autres personnes, quand tu vois d’autres personnes faire quelque chose, ça c’est la preuve sociale. Ils le font et c’était rigolo. Ils montraient une expérience qui est très marrante que vous pouvez voir sur internet où ils montraient une dame dans une salle d’attente. Et puis, il y a trois personnes devant elle en fait, qui sont des complices, qui sont donc dans la salle d’attente assis avec elle. Elle s’assoie et il y a un bip qui retentit dans la salle d’attente et en fait les trois personnes se lèvent. Et ensuite, elles s’assoient. Donc, la personne, elle les regarde, elle se dit : tiens il y a le bip, elles se sont levées, c’est bizarre. Puis ensuite, il y a le bip qui re-retentit puis les trois autres personnes se lèvent comme ça puis la regardent et lui sourient. Puis, ils s’assoient quand il y a le bip, à la troisième fois, la personne, elle se lève aussi. Elle dit : ben, je ne sais pas pourquoi, mais les autres le font donc sûrement que ça doit être…, on doit le faire. Et on s’aperçoit. Ce qui est drôle c’est que petit à petit la salle d’attente est vide, donc, en fait les trois personnes qui étaient des complices décantent… Ils sont partis tous, elle est toute seule, le bip retentit, elle se lève et elle le fait, elle se lève et elle se rassoie. Il y a une autre personne qui n’est pas une complice qui arrive qui s’assoie, qui la voit se lever, il dit mais pourquoi vous faites ça ? Elle dit je ne sais pas il faut le faire quand on bip, voilà, et donc du coup, ça a une influence terrible, ça fonctionne.

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Comment Magali a gagné 1500€ en 48 heures avec seulement 50 visites par jour ?

Maxence : Alors c’est ce qu’on appelle aussi en d’autres termes le mimétisme au final.

Yannick : Ouais, c’est du mimétisme. Toujours est-il que dans ce principe de preuve sociale, quand les autres font quelque chose, tu as tendance à vouloir le suivre. C’est comme ça quoi. C’est fou hein ? Moi, ça m’impressionne toujours ce genre de chose.

Maxence : Non, mais c’est exactement ça. Par exemple hier, j’étais au stade de France pour voir un match de l’équipe de France, et je me suis dis, il n’y a que les médias et les choses comme ça pour arriver systématiquement à faire dans les stades 70 000, 80 000 personnes ou plus. Ouais c’est ce qu’on appelle la preuve sociale, autorité, et tout ce qui va avec quoi.

Yannick : Et quand tu fais la holà.

Maxence : Aussi !

Yannick : tu fais la holà, tu vois les gens en truc carré, tu fais ce qu’on te dit de faire, voilà et tu le fais. Tu vois, tu ne te poses pas la question. Moi j’ai plein de gens qui viennent dans mes séminaires et bon qui me disent : moi je ne suis pas dans, je ne suis pas prendre dans les bras, je ne suis pas machin. Quand ils arrivent dans le séminaire, tout le monde se prend dans les bras, tout le monde danse, tout le monde machin, la personne elle danse. Au bout d’un moment, elle me dit : putain, mais j’ai lâché prise à un moment donné. Pourquoi ? C’est l’effet du groupe, c’est une épigénétique quoi ; l’effet du groupe qui fait que quand quelqu’un fait quelque chose, tu le suis et du coup, dans vos offres à vous aussi effectivement, ben, c’est bien aussi la meilleure manière de prouver à un client que ton service c’est le bon. C’est curieusement, la preuve sociale. C’est-à-dire des témoignages clients. C’est la meilleure manière que tu as de le prouver. Tu as plein d’autres manières. Tu as, là, je ne les ai pas toutes en tête, je vais peut-être en oublier une ou deux, mais tu as en un, les témoignages, c’est celui qui a le plus de résultats. En deux, c’est test démonstration. Donc, moi, j’explique souvent que j’ai acheté un thermomix. Tu vois ce que c’est un thermomix ?

Maxence : Ouais absolument !

Yannick : C’est le truc, tu sais la machine de fou, tu mets tes ingrédients, ça cuisine tout seul, c’est fou, mais quand tu le vois fonctionner, il te le faut. Il me le faut, mais il me le fallait. Moi pendant un moment, je travaillais avec une boite qui s’appelait Lorastar qui fait un fer à repasser qui repasse avec la planche qui aspire aussi, qui envoie de la vapeur aussi. Donc, tu peux mettre quatre couches de serviettes, tu mets ton fer dessus, ça repasse les quatre couches de serviettes. Tu ne le feras jamais dans ta vie. Et quand tu le vois faire, il te le faut. Il te le faut. Et moi, je suis très sensible à ça. Et c’est vraiment la meilleure manière. Donc, du coup, témoignages, ensuite, démonstration, ensuite tu as la notion de statistique. Tu peux donner des statistiques si tes statistiques sont vraies. Si vous êtes coach ou autres et que, par exemple, vous voulez…

Maxence : Ou une source de…

Yannick : ouais des statistiques ou autres, ça marche. Mais par exemple, si vous êtes coach et que vous avez coaché peut-être dix personnes et que les huit personnes sont satisfaites, vous pouvez dire 80% de personnes satisfaites.

Maxence : Absolument ouais !

Yannick : Donc, vous pouvez vous servir de vos propres statistiques, why not, voilà, ou chercher d’autres statistiques pour vous aider. Alors vous aussi avez une autre manière de prouver, qui est la vision. Et ça, c’est typiquement l’absence de preuve. La vision, c’est quoi ? C’est la force de conviction. Vous êtes convaincu donc vous êtes convaincant. Steve Jobs, la première fois qu’il a vendu des ordinateurs, il a vendu l’idée que ça serait cool et que ça serait facile. Et personne ne savait parce que personne n’avait acheté avant. Maintenant, tu le sais, quand tu utilises un ordinateur qu’il faut s’en servir.

Maxence : Ouais, il y avait tellement la conviction qu’il a pu avoir la vision, ouais.

La puissance et la force de la conviction

Yannick : Il y avait tellement la conviction il était tellement animé que du coup les gens suivaient. Et c’est cette puissance-là. Et il ne faut pas la mettre aux oubliettes celle-là, parce que la puissance de conviction que tu vas mettre dans ton offre et dans ton service, elle va grandement donner confiance aux personnes. Et je vais revenir sur ce principe là. Je vais y revenir dans quelques secondes et voilà, je te donne le dernier, c’est tout ce qui est diplôme. Voilà, diplôme ou autre et ça, ça permet aux gens d’être rassuré.

Pour revenir sur la force de conviction. Si demain, je te mets dans la jungle, je te mets tout nu dans la jungle, je suis sûr que vous rêvez de voir Max tout nu, vous les femmes. Mais, on va dire aller avec le plus simple appareil en tout cas dans la jungle et que tu n’as droit – alors la jungle, on est d’accord avec toutes l’hostilité que ça peut représenter, donc, on va dire les fauves qui peuvent attaquer, les piqûres d’araignées, les serpents, toutes les piqûres de tous les côtés, te faire avaler par une plante géante ; enfin, bon, il y a plein de trucs dans la jungle horribles ok, les maladies que tu peux attraper, tout ça- et donc, ce que tu fais, c’est que tu, je te donne le choix entre deux alliés, ok !?

Maxence : Ouais.

Yannick : Tu as le droit d’avoir timon, tu as vu le roi lion ?

Maxence : Timon et Pumba ?

Yannick : Oui, Timon. Tu as droit à Timon en allié. Tu vas bien te marrer avec lui, il est super sympa, il est adorable. Et à côté de ça en fait, tu as droit à un putain de lion, le roi de la jungle. Tu vois, ok ! Tu as droit à un lion d’un côté, le roi de la jungle, Simba, mais avec la force, la puissance et d’un côté tu as droit à Timon. Qui tu choisis ? Généralement, mis à part les suicidaires, tu vas choisir le roi de la jungle. Ok ? Timon il est super sympa, je suis persuadé que vous êtes des personnes gentilles, bienveillantes, sympa et vous l’êtes, sympa et c’est cool, ok ? Mais quand même si tu as le choix et dans la vie aujourd’hui, on pourrait s’apparenter la vie à une jungle, parce qu’il faut s’en sortir dans cette jungle, d’arriver à gagner de l’argent, de remonter sa boîte d’avoir un salaire ou autre, il faut jouer des coudes ou autres. C’est une jungle. Malgré tout, si vous voulez qu’on vous suive, on va quand même préférer que vous soyez le lion ou le roi de la jungle, peut-être une peau de vache, peut-être pas le mec le plus welcome du monde, mais par contre, le mec où on sent que vous gérez quoi. On sent que vous êtes là et que vous êtes : bon les gars, on est là, venez avec moi. Et voilà, en fait, j’ai envie de vous dire que la force de conviction vous devez aussi démontrer votre côté alfa aussi à un moment donné. Il y a le côté gentil qui est important, bienveillant ou autre, il ne faut pas le perdre, ok ? Il y a aussi à un moment donné, il faut savoir que : viens avec moi, on y va, ok ?

Vous voyez, vous regardez comment vous parler avec vos enfants ou autres. Généralement, vous n’êtes pas tout le temps gentille gentil ou autre. A un moment donné, vous dites : bon, viens, hop ou viens avec moi tu fais ça. Et vous êtes directif avec lui. Parce qu’il a besoin de ça. Il a besoin de vous pour avoir cette direction là et que vous lui donnez le cap, ok ?

Et pour vos clients, c’est pareil, il faut que vous leur donnez le cap : suivez-moi ! Et on va suivre. Et puis, tu veux que je te dise ? Il y a des fois aussi, j’aime bien c’est Martin LATULIPPE qui parle de ça en fait et je vais donner son analogie parce que je la trouve vraiment très bonne, c’est que parfois, pour être in cohérence, dans la cohérence…

Maxence : ok !

Yannick : …il faut être incohérent.

Maxence : Alors est-ce que tu as quelques exemples concrets par rapport à ça ?

Yannick : Ouais, je veux dire un chirurgien il a opéré une première fois ok ! Il ne va pas le dire à son patient.

Maxence : absolument ouais parce que sinon, le patient pourrait vite flipper : putain, si je décède, si je meurs…

Yannick : ouais, tu vois ? Et dès fois, un coach, il coach pour une première fois. Un gars qui veut rendre un service ou qui est coach ou qui veut être infopreneur, il a vendu une première fois. Il ne l’a pas dit à ses clients nécessairement. Et il y a des moments en fait, au bout d’un moment il vend, puis revend dans un autre service, plus il le vend moins cher au début. Et au bout d’un moment et il augmente ces tarifs ou autres et il prend la confiance, il prend cette confiance. Mais au début, eh bien, il faut parier sur vous. Eh bien du coup, il faut miser sur vous. Misez sur vous. Si j’ai un conseil à vous donner c’est miser sur votre potentiel. Ne vous voyez pas comme vous êtes aujourd’hui, mais voyez vous comme vous pouvez devenir. Et vous devez faire confiance en cette vision-là et faire comme si cette vision elle était là aujourd’hui. Donc, effectivement, du coup, quand tu veux vendre des formations ou autres, mais tu as vendu une formation une première fois. Et cette formation là, au début, ben tu vas peut-être la vendre moins chère. Tu vois au tout début, tu vas peut-être au début, ben, brader tes prix au tout début, mais au moins tu as vendu, tu as eu un client qui est venu, tu as eu le retour de ton client. Il a été content, tu as eu un témoignage, deux-trois témoignages. Du coup, ça te permet de faire une autre offre. Du coup qui est plus confiante ou tu es plus confiant, tu as plus confiance en ce que tu fais et voilà. Mais au début, tu n’es pas confiant. Tu vois ?

J’adore un film qui s’appelle Le plus beau des combats.

Maxence : Ok !

Yannick : je ne sais pas si tu connais ce film là, avec …

Maxence : Alors pas du tout, je n’ai jamais entendu parler.

Yannick : Avec Denzel Washington. C’est l’histoire vraie du coach Boone qui est le premier coach afro-américain à avoir coaché une équipe mixte blanc-noir aux Etats-Unis, c’était une ligue très importante de football, et on lui a dit si tu perds un match, tu es renvoyé, ok ? Et donc, ce gars-là en fait pendant un des gros matchs qu’il livre, il perd son quaterback, ok ? Pour une équipe de football américain, le quaterback c’est le Zinedine Zidane de l’équipe, ok ?

Et lui, c’est un tueur atomique, ok, le mec. Et du coup, il doit prendre son remplaçant. Mais le remplaçant il est flippé. Il est flippé de chez flippé. Et là, il dit : coach, il va revenir le révérend, c’est sûr il va ? … Et lui il le regarde comme ça, il dit : écoute-moi bien. Il dit, je devais avoir 15 ans, il dit : j’ai perdu ma mère et mon père, j’avais 15 ans. Il dit : ok !? Et à 15 ans, en fait, dans le même mois en fait mes frères voulaient tous prendre exemple sur moi. Je n’étais pas prêt. Je n’étais pas prêt non plus, il dit : mais mes douze frères avaient compté sur moi. Je n’étais pas prêt mais ils comptaient sur moi et aujourd’hui, tu es un général, tu vas commander tes armées et dit : c’est à toi d’être là. Et lui là, il est flippé et dit : ah, ok, d’accord. Il s’en va à ses équipes et leur dit : alors les gars, c’est une bestiole au football qui me fait peur ? Alors qu’il était flippé deux secondes avant tu vois ? Il dit allez on y va, je veux vous voir courir, machin, ça. Et ils gagnent le match. Ok ?

Tu as deux jeux de dupes là quelque part. Tu en a un qui lui dit, alors il faut savoir que juste dans les plans de coupe, tu vois en fait que tu as l’assistant du coach qui dit : tu avais douze frères et sœurs ? Il dit : non huit. Donc, en fait c’était à raconter une connerie, mais pour qu’il ait confiance, tu vois ? Alors, ça peut choquer ce que vous dit, ça peut renvoyer à quelque chose de pas honnête, de machin ou de truc, tout ce que vous voulez. Mais en fait, en vrai, vous devez ça aussi à vos clients, cette confiance-là parce que votre client aussi, sa réussite, elle est liée aussi à la confiance qu’il met en vous en réalité. Et donc, du coup, c’est très important en fait d’être dans cette logique-là aussi. Voilà ! Moi quand j’ai été directeur commercial, la première fois, quand on m’a proposé d’être directeur commercial d’un gros groupe, j’avais quarante commerciaux chez moi, j’avais deux chefs des ventes que je dirigeais, j’avais un chef de projet, j’avais une assistance que je dirigeais, je n’avais jamais managé personne.

Maxence : Donc, ça t’a peut-être fait un peu flipper au début.

Yannick : Ouais au début, ce n’est pas que j’ai un peu flippé, c’est que j’ai failli refuser le poste. Et tu vois, ce que ça aurait été une connerie. Et en fait, la personne qui m’a embauché a eu cette lucidité de me dire : on va t’aider et laisse-toi le temps d’habiter le poste. Et au début, ben, j’ai flippé. Au début, j’ai eu du mal, au début, j’ai eu vraiment beaucoup de mal à prendre le poste. Par contre, j’ai travaillé beaucoup, j’étais disponible, je faisais tout ce que je pouvais et puis je suis resté quatre ans. Et au bout d’un an, j’étais directeur commercial. Ce n’est pas les preuves, ce n’est pas l’homme qui est fait pour les preuves c’est les preuves qui fait l’homme ! Ok ?

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Maxence : D’accord !

Yannick : Tu vois ce que je veux dire ? C’est-à-dire que moi je n’étais pas prêt pour cette épreuve-là non plus. Si par contre pour me lancer ou autre, eh bien il n’empêche que le fait de comment dire, de me sentir, de mettre un premier pas et de me lancer, de me mettre en action, eh bien au bout d’un moment en fait, tu es obligé d’apprendre à marcher. C’est comme un vélo sans roulette. Au début, ben, pédale, tu vas peut-être tomber, mais continue à pédaler quand même si tu veux avancer.

Influence, manipulation et persuasion

Maxence : Absolument. Alors ça rebondit peut-être sur un point que vous vous dites : merci Yannick, mais en gros, voilà, quel est le curseur entre être dans la manipulation et du coup pas être sympa ou malhonnête avec les gens et le curseur, comme tu l’as dit : si c’est la première fois où vous coachez ou c’est la première fois où vous êtes en train d’opérer quelqu’un sur la table du billard, vous ne pouvez pas lui dire c’est la première fois parce que le mec, il va vraiment être en stress total et avoir un manque de confiance en vous alors que vous avez peut-être tout compris les mécanismes, ça va très bien se passer, voilà, est-ce que tu…

Yannick : C’est quoi la différence entre l’influence, la manipulation et la persuasion ?

Maxence : Ouais, voilà, excellent ! Entre l’influence et la manipulation.

Yannick : Et voilà ou alors la conviction ou alors. Moi j’aime bien dire que j’inspire les gens à venir m’acheter quelque chose ok ? Parce qu’au moins je serais dans une logique d’aller chercher quelqu’un pour l’amener à moi. Et je dis : écoute, regarde comme c’est beau et la personne, je la laisse venir. Je trouve que c’est beaucoup plus naturel. Il y a des méthodes de ventes qui existent, qui t’attrapent par le col en fait et qui me disent viens. Moi, je ne les enseigne pas. En revanche, ce que j’enseigne moi, c’est très puissant aussi et ça pourrait être aussi utilisé à des fins malhonnêtes. Ok ? Je pense que tout est affaire d’intention. A partir du moment où tu as une intention juste sur ce que tu veux donner, ce que tu veux livrer, ce que tu veux proposer aux personnes qui te suivent, si ton intention est juste, les gens le ressentent, par effet de neurones miroirs. Si je veux ton argent, les gens vont le ressentir. Si je veux te rendre service, les gens vont le ressentir aussi. Donc, ton intention fait toute la différence. Et pour moi, si vous voulez quelque chose de plus « concret » que l’intention qui peut paraitre peut-être quelque chose de fou, c’est faire les choses dans l’intérêt de son client et son intérêt à soi. C’est ça avoir le sens des affaires. Si je ne fais les choses que dans mon intérêt, je suis dans la manipulation.

Maxence : D’accord !

Yannick : Parce que je veux, je fais, je confonds servir et se servir. Ok ?

Donc, d’abord, en fait l’idée c’est de rendre service. Si je ne fais que prendre pour moi, je suis dans la manipulation. Si je ne fais que donner, je suis dans le don, dans l’altruisme le plus total et c’est ok pour moi, mais je ne suis pas dans une logique commerciale. Ok ?

Si je veux développer ce Saint Graal qui est, on va dire, le sens des affaires, je suis capable de voir l’opportunité pour l’autre mais je suis aussi capable de voir l’opportunité pour moi. Je suis capable pour ces opportunités d’apporter de la valeur à l’autre plus que de ce que je veux lui demander comme coût. Et peu importe le sens dans lequel est la relation, ok ? Peu importe l’échange, si c’est un argent ou autre. L’idée c’est que je vais t’apporter des choses, je ne vais pas t’apporter de la valeur et je vais te demander un coût qui sera moins important que la valeur que je vais t’apporter. Et pour moi, c’est important. En tout cas, la notion pour moi de manipulation, elle est liée là-dessus.

Maxence : Ouais tu as raison d’expliquer un petit peu la distinction parce que ça peut être flou pour votre esprit.

Yannick : Ouais bien sûr. Merci d’avoir posé la question, puisque c’est vrai que ça peut paraitre un petit peu flou effectivement.

Les 3 principales erreurs

Maxence : Ok, alors juste pour finir sur une dernière question, quelles sont les trois principales erreurs que tu vois souvent dans des membres de tes formations vis-à-vis de la Neuro-Business School où à chaque fois tu dis : wah, tu es tombé dans le panneau ou dommage que toi aussi tu ais fait l’erreur. De manière général l’être humain, dont les gens qui rejoignent tous tes programmes quelles sont les trois erreurs principales.

Yannick : Ce n’est pas évident de les trouver comme ça les trois parce qu’on n’y avait pas pensé avant, mais peu importe, je vais t’en trouver une en tout cas qui est importante pour moi, c’est de toujours être dans une logique de service et d’aide à ton client peu importe ta situation.

Maxence : Voilà, donc, toujours l’adage vous connaissez : donnez avant de recevoir. Mais quand on dit donner c’est sincèrement et énormément.

Yannick : Vraiment, la journée de l’audace si tu te rappelles, première journée de l’audace, j’ai fait venir 70 personnes, ce n’est pas beaucoup. J’avais une salle de 300 personnes, j’ai fait venir 70 personnes. Dans ces 70 personnes, il y a 10 personnes qui ont annulé quelques jours avant en fait à la journée de l’audace. Et moi en fait je n’avais pas mis de clause comme quoi je pouvais rembourser. Ils m’ont demandé un remboursement parce qu’ils venaient d’ailleurs ou autres. Et en fait, je me suis connecté à l’amour que je pouvais avoir pour mes clients. C’est-à-dire qu’à un moment donné, je me suis dit : attend, je me suis dit : est-ce que ces gens-là, c’est valable la raison pour la…

Maxence : Leur demande d’annulation…

Yannick : l’annulation, j’ai dit oui en fait c’est valable. Est-ce qu’ils vont revenir si je ne les remboursais pas.

Maxence : Logiquement non ouais, ou probablement non.

Yannick : Probablement non. Et je me suis dit est-ce que c’est juste en fait pour moi ? Et je me suis dit oui, donc je les ai remboursés. Pourtant, j’étais en déficit. Et mon réflexe au début ça était de dire qu’ils aillent se faire foutre, il est hors de question que je rembourse. Je veux dire : clairement, mon réflexe pourquoi ?

Maxence : Ah ouais je comprends.

Yannick : parce qu’au début, je me suis dis, mais putain, mais moi, de mon côté, j’ai des investissements sur cet évènement, je vais perdre de l’argent. Et du coup, comme je perdais de l’argent, j’étais dans une logique de prendre. Tu vois ?

Maxence : Ah ouais.

Yannick : tu vois ? Et après je me suis ressaisi. Je me suis dis non, soit dans cette logique là, tu seras gagnant. L’année d’après, ils sont revenus à 20-30.

Maxence : Ah ouais, d’accord, excellent !

Yannick : Ils ont apprécié ce truc-là. Donc, en tout cas, c’est gagnant. Après, vous pouvez croire ce que vous voulez, moi je suis assez terre à terre, mais il y a des choses très bizarres qui me sont arrivées, mais je me rends compte que plus je suis dans l’amour vis-à-vis de mes clients, plus je suis dans l’acceptation des choses, plus je suis dans le don et dans cette idée d’apporter, plus je reçois. Et ça ne veut pas dire unilatéral. Donc, une erreur à faire…

Maxence : c’est le mot universel de la vie c’est aussi bête que ça.

Yannick : Et voilà, une erreur à faire c’est de croire que le service qu’on va rendre, il va revenir de la même personne. C’est une connerie ! Là c’est arrivé, mais pour moi, c’est une connerie. Et de dire je veux être vraiment dans une logique même si je suis dans une pression financière, c’est chiant d’être en pression financière, je le sais, ok ? C’est chiant, mais n’empêche que je dois rester droit dans mes valeurs par rapport à ça. Ça pour moi, c’est une erreur qui est principale. Deuxième erreur que je pourrais voir c’est de voir les gens et de voir les personnes comme ils sont aujourd’hui.

Maxence : D’accord !

Yannick : Ok, et moi en fait, je suis tellement beaucoup plus inspiré par ce que tu vois… quand je te vois toi, quand je te voyais il y a trois ans, déjà je t’appréciais il y a trois ans, quand je vois le bon que tu as fait en fait, je voyais …

Maxence : Ouais, tu as vu l’évolution ouais !

Yannick : Mais je voyais déjà l’évolution en fait moi. En réalité quand je te voyais toi, je voyais déjà en fait le brillant mec que tu allais devenir. Et quand je te vois aujourd’hui, je vois encore où tu vas aller.

Maxence : D’accord, ok !

Yannick : Et je me dis, pu*ain le potentiel. Donc, moi en situation de réseautage par exemple ou quand on arrive dans une région où on ne connait personne où autre ou on doit réseauter ou autre, on essaie automatiquement de s’accrocher à celui qui brille le plus. Sauf que celui qui brille le plus c’est celui qui attire le plus de monde aussi et celui qui attire le plus de monde, c’est celui qui est le plus cher à aborder et qui est le plus compliqué à aborder.

Maxence : Absolument, et à convaincre aussi après.

Yannick : Par contre, si vous créez votre monde, et que vous êtes dans une logique où quand vous voyez quelqu’un que vous voyez son potentiel, vous êtes à l’avant-garde de tout le monde. Parce qu’en fait, la personne vous la voyez vous dites : voilà, quand on a crée la journée de l’audace au tout début, personne ne nous connaissait.

Maxence : Ouais, ben, absolument ! Il faut laisser le temps au temps aussi.

Yannick : Moi, je n’étais pas absolument…, moi je n’étais pas du tout connu, j’avais une petite chaîne YouTube, mais c’est tout. Il y a eu mes petites infos produits, mais je n’étais pas connu. Michel Poulaert qui n’était pas trop connu dans le monde de l’infoprenariat, Isabelle Calkins non plus, Nicolas Pene un peu plus. Nicolas était plus connu que nous.

Mais voilà, toutes les personnes là n’étaient pas connues. On a misé sur nous même. On a misé sur notre potentiel. On n’a pas fait ça pour gagner de l’argent. J’en avais perdu sur la première journée de l’audace. Et j’ai perdu de l’argent. Par contre, la team qu’on a créée, aujourd’hui, quand je la vois, et que les gens me disent : ah Yannick vous avez une belle équipe à Toulouse, mais vous avez de la chance, vous avez une belle équipe à Toulouse. On se l’est créée mon pote, on a créé notre monde. Parce qu’on a misé sur des potentiels.

Donc, l’erreur que je vois moi et que les gens font, c’est de voir quelqu’un et de se dire : ah tu t’habilles mal, tu n’es pas machin, tu n’es pas truc, tu ne m’intéresses pas.

Maxence : En gros, critique, peur du regard de l’autre, le jugement et tout ça ouais, c’est impressionnant.

Yannick : Et ça, après il ne faut pas perdre du temps avec des gens avec qui ça n’avise pas.

Maxence : …qui ne sont pas dans la même fréquence et qui ne vous inspire pas, c’est normal.

Yannick : Voilà, ça c’est ok pour moi. Mais juste miser sur les potentiels. C’est quelque chose d’important. Et miser sur le potentiel de l’autre, nous avons tous un potentiel énorme et avoir s’il va se réaliser ce potentiel, je ne sais pas, mais en tout cas vous pouvez aider la personne à réaliser ce potentiel que vous voyez. Et il y a une étude qui a été faite par des neuro-marketeurs aussi qui s’appelle la stratégie de l’étiquette. Tu as déjà entendu parler de cette …

Maxence : Ah non ! Si tu peux nous en parler un petit peu.

Yannick : La stratégie de l’étiquette c’est quoi, c’est que quand tu donnes en fait une qualité à quelqu’un ou quand tu colles une étiquette à quelqu’un…

Maxence : ok !

Yannick : eh bien il a tendance à s’y conformer.

Maxence : Donc ça rejoindrait peut-être l’effet Pygmalion où quand on drive la personne en disant…

Yannick : Peut-être.

Maxence : voilà : je suis un champion dans tel truc, elle va avoir dans sa tête que c’est un champion. C’est l’effet Pygmalion.

Yannick : Absolument ! Ça marche aussi pour les défauts aussi malheureusement. Mais donc du coup, si vous avez une vision sur quelqu’un, que vous laissez entrevoir cette vision, que vous lui exprimez les qualités qu’elle peut avoir et les qualités de la vision. Cette personne-là va se rapprocher de cette vision et va réaliser ça. Et vous lui aurez rendu un grand service parce que dans la pièce ici là, tu es la seule personne que tu ne peux pas voir.

Maxence : Exactement, ouais !

Yannick : Et donc du coup, c’est très difficile de faire son introspection et de voir ses propres qualités. Et donc du coup, faites ce cadeau aux autres et ça sera mon dernier conseil, du coup, il y en aura trois, c’est de dire aux gens leurs qualités. Je pense que c’est important.

Maxence : Et puis n’hésitez pas à noter, moi j’avais fait l’exercice. Je resors d’un séminaire de développement personnel où ils expliquaient voilà : quelles sont vos trois qualités ? Donc, prenez un petit bout de papier donc pour les noter. Puisqu’aussi souvent, voilà, on n’a même plus conscience de ses propres qualités à nous pour en afficher. Donc, ne soyez pas modeste ou humble. N’hésitez pas à lister toutes vos qualités. C’est aussi important pour pouvoir vous améliorer, puis surtout aussi savoir vos forces, ça c’est top.

Yannick : C’est important de le faire ce travail là, moi. C’est un travail que j’ai fait quand je me suis réorienté, que je suis passé de directeur commercial à entrepreneur. Du coup, c’est des questions que je me suis posée en fait, de dire quels sont mes forces, comment ça fonctionne pour moi quoi ? J’ai fait ma petite stratégie MCU, c’est qu’est-ce que j’aime faire, qu’est-ce que je sais faire, qu’est-ce que je veux faire, qu’est-ce qui me rend unique ? J’ai posé des questions à mon entourage, tout ça et puis du coup, ça m’a permis d’aller …

Maxence : ça a apporté ses fruits par la suite.

Yannick : Ouais et puis ça m’a aidé, ça m’a fait du bien déjà. Parce que ça fait du bien aussi. Et de voir aussi ce qui est bon chez soi et ça m’a permis aussi de prendre conscience de ma valeur aussi.

Maxence : Absolument !

Yannick : et la valeur que je peux voir en réel et ça c’est cool quoi.

Maxence : Ok, ben merci Yannick !

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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