De 0 à 70 000 abonnés avec sa chaîne Youtube sur le fitness

De 0 à 70 000 abonnés avec sa chaîne Youtube sur le fitness

De 0 à 70 000 abonnés sur le Fitness. Je suis avec Alexandre Mallier. On va voir tout ça en détail dans cette vidéo.

Ça va être inspirant, parce qu’il y a encore un an, grosso modo, tu n’étais pas du tout prédestiné à être dans l’infoprenariat. Tu avais aussi quelques objections et je sais qu’il y en a certains qui vont regarder la vidéo qui vont se reconnaître, qui vont se dire : « Oui, ça, c’est moi ». Et, voilà, ça va être vraiment intéressant, pourquoi tu es arrivé dans l’infoprenariat. On va revenir en détails sur un peu toute l’histoire et après comment tu es en train d’exploser sur le Fitness.

Donc, salut Alex !

Alexandre : Salut Maxence.

Maxence : Alors, est-ce que tu peux rapidement te présenter et nous expliquer tes débuts. Donc, comment tu es arrivé un peu dans le fitness, tu as une boite en dur et, ensuite, surtout tu as travaillé pour de grosses marques et tu en as eu un petit peu marre pour ensuite te lancer en ligne. Je te laisse nous expliquer un peu tout ça, ça va être intéressant.

Globetrotter pour donner des cours de fitness

Alexandre : Alors, je m’appelle Alexandre Mallier. J’ai une société qui s’appelle Move Your Fit. On est une société sur le fitness. Au départ, je dis « on », parce que je suis associé avec Jessica Mellet donc on est deux dans cette société. Et donc, au départ, on faisait des évènements pour faire du step, de l’aérobique et des cours de zumba, donc de gros évènements avec 600 personnes. On louait une scène et voilà. Au début, on n’avait pas forcément beaucoup d’ambitions avec notre société, parce que nous, en fait, on voyageait beaucoup à l’étranger. On allait donner des cours de step et d’aérobique. On était invités. J’ai eu la chance de faire 30 pays grâce à mon métier. Donc, tous les week-ends, le vendredi, on partait avec la valise et le samedi, on allait donner des cours de step au Japon. Je suis allé en Estonie où tu en parles souvent. Bref, près de 30 pays.

Maxence : Pendant combien d’années ?

Alexandre : Pendant dix ans.

Maxence : Dix ans, des tours du monde où chaque fois, grosse vie prenante où tu fais ta passion, mais ça reste quand même assez intense.

Alexandre : Oui, prenante. Exactement. A peu près, de 2005 jusqu’à 2015. Donc, on voyageait beaucoup tout en ayant, en parallèle, notre société, mais ce n’est pas avec notre société qu’on gagnait forcément notre vie. Sauf qu’en 2009, on a commencé à créer des cours virtuels pour les salles de fitness. Donc, c’est-à-dire toutes les salles un petit peu low cost qui n’avaient pas forcément de profs ou même des salles en dur qui avaient des vrais cours. Pendant les heures creuses, en général, vous n’avez pas de cours. De 14h à 17h, votre salle de fitness, en général, elle est vide. Donc, nous, on avait créé un petit logiciel où les gens choisissent leur cours ; on apparait sur écran géant et on donne des cours virtuels. Donc, en 2009, on était les premiers à faire ça en France. Et puis, tout le monde nous regardait avec de gros yeux : « Vous allez casser le marché des profs ». Ok, aujourd’hui, tout le monde le fait. Donc, ça c’est vraiment beaucoup démocratisé. Et, donc, en 2010 on a commencé vraiment à avoir des revenus avec notre société et à bien gagner notre vie grâce à cette activité. Mais toujours, en parallèle, on continuait à voyager.

Premiers cours virtuels

Maxence : Et quand tu dis avec ta société en 2010, ça restait que tu vendais des prestas à des marques. Ce n’était pas de l’automatisation d’un produit online, des compléments alimentaires ou des choses comme ça ?

Alexandre : Non, pas du tout. Mais ça reste une sorte d’automatisation, parce que moi, en fait, je tournais des vidéos. Par exemple, tous les trois mois, je fais des mises à jour des vidéos. Donc, je tournais des vidéos dans un studio et après, je le dupliquais aux salles de fitness.

Maxence : Vous enregistriez une fois et ensuite boom, c’est dans toutes les salles de fitness.

Alexandre : Donc, on a eu plus de 200… Voilà. Donc, moi, que j’ai une salle de fitness ou que j’en ai 200,

Maxence : C’est pareil.

Alexandre : C’est exactement pareil.

Maxence : C’est comme les vidéos, que t’as une vue ou un million de vues, c’est la même chose.

Alexandre : C’est exactement pareil. Du coup, au niveau du… On va en reparler plus tard dans la vidéo de ce que je fais aujourd’hui, mais c’était… Ce n’est pas automatique… Ça reste automatique sans être automatique. Tu vois où est-ce que j’en étais. Et donc, 2010, on a grandi, on a réussi vraiment à avoir des grosses chaînes, les plus gros groupes nous ont fait confiance. Pourquoi ils nous ont fait confiance ? Si je raconte un petit peu notre histoire, c’est qu’on était, Jessica et moi, champions de France de fitness, on a fait les championnats d’Europe, on a fait les championnats du monde de step par équipe, on a été champions de France individuels, on a été élus meilleurs professeurs français, etc. On a un beau CV, donc on est assez connus dans le milieu de fitness. Jessica, c’était la meilleure vente de DVD de fitness en France.

Maxence : Alors, comme elle a eu cette opportunité d’un DVD ? Je trouve ça grandiose et génial. En plus, ça s’est vendu à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires.

Alexandre : Oui, centaines de milliers d’exemplaires, oui.

Maxence : Comment c’est arrivé ce DVD ?

Alexandre : C’est un petit peu par hasard. On avait des titres. Donc, Jessica, en 2005, était déjà championne de France de fitness. Et puis, des rencontres d’un producteur qui veut faire une série de DVD de fitness avec Jessica ; une grande série avec 10 DVD. Donc, tout de suite, il y a eu une série qui s’appelait « Fitness Zone » et ça s’est fait comme ça. Il n’y a pas trop eu de casting, mais ce producteur-là a vu le potentiel qui avait en nous et donc du coup, moi aussi j’ai fait des DVD derrière qui étaient vendus à la Fnac, au Virgin, chez Amazon, partout. On a fait aussi des sites internet donc beaucoup de vidéos pour des sites internet. Mais tout ça, ce n’était pas avec notre société, c’était des gens qui voyaient Jessica et Alexandre partout donc ils se sont dit : « Il faut qu’ils fassent des vidéos pour notre site internet ». Donc, c’est un petit peu comme ça. On a fait, pendant deux ans, on était sur Direct 8 également à donner des cours le matin.

Maxence : Ça, c’est top pour l’autorité. Tu le mets en avant sur ta chaîne YouTube, maintenant.

Alexandre : Pas trop.

Maxence : Pas assez. Il faut mettre Direct 8. Tu sais quoi ? Deux ans, boom, à donner des cours. Direct 8, c’est quand même connue comme chaîne de télé et ensuite, c’est carrément une émission, donc ça c’est royal.

Alexandre : Oui. On a fait un petit peu de télé.

Maxence : Ou bien rajouter des extraits avec des captures sur la page de vente, ça va encore plus convertir.

Alexandre : Je le ferai dès la semaine prochaine. Donc, pas mal connu dans le milieu du fitness. Et puis, une société qui se porte bien, une vie qui va bien. Voilà, tout allait bien. Et puis après des rencontres. Je ne sais pas si tu veux…

Maxence : Du coup, on va récapituler. C’est peut-être votre cas. Tu bossais bien… C’est un petit peu, si on prend l’analogie du sport, c’est comme si vous bossiez pour Adidas, Nike, Puma ou encore, si on prend le running, Mizuno, Asics, Salomon ou encore que sais-je. Donc, énormément de représentation. Tu gagnais bien ta vie, tu t’éclatais dans ce que tu faisais, mais une nouvelle fois, tu vendais ton temps, donc il n’y avait pas d’actif en ta faveur par rapport à ça.

Transformer son expérience en actif

Alexandre : Exactement.

Maxence : Et, ensuite, je crois que c’est en 2015 que tu as démarré YouTube ?

Alexandre : Non.

Maxence : En quelle année tu as démarré YouTube et pour quelle raison, au final, tu t’es dit : « Je vais me mettre sur les réseaux sociaux alors que tu ignorais totalement l’infoprenariat. On y reviendra après. Qu’est-ce qui t’avait motivé à te mettre sur YouTube et sur les réseaux sociaux.

Alexandre : Alors, j’ignorais complètement l’infoprenariat. Nous, c’est vrai qu’était un petit peu des références dans le milieu du fitness français, je voyais quand même des instagrameuses à 200 000 abonnés. Je voyais des youtubeurs à 100 000, 200 000 abonnés, etc. Et…

Maxence : Oui, ce nombre d’abonnés YouTube peut faire rêver, mais vous, vous étiez connus dans le milieu, mais rien du tout online.

Alexandre : Oui.

Maxence : Juste le DVD, la télé…

Alexandre : Exactement. Donc connus, mais pas si connus que ça en fait. Donc connus dans notre niche ; on va au salon du fitness, tout le monde nous connait, mais on va dans la rue, personne ne nous connait. Et donc, grosse différence. Et donc, je commençais à voir des gens, des bloggeurs, des bloggeuses, je me suis dit : « Mais, elle n’est pas diplômée, elle fait des trucs en ligne et je suis sûr qu’elle gagne de l’argent ». Et donc, moi, je me suis dit : « Nous, avec l’autorité qu’on a, notre palmarès et tout ce qu’on a emmagasiné

Maxence : Toute l’audience.

Alexandre : Non, il n’y avait pas d’audience.

Maxence : Pas l’audience, mais le côté que t’es connu, donc si tu te mets en ligne, on va te reconnaitre dans tes vidéos. C’est ce que je veux dire.

Alexandre : Voilà. Exactement. Donc, toute l’expérience qu’on avait accumulée depuis 15 ans, je me suis dit : « Si on se met sur YouTube à faire quelque chose de régulier, on va exploser ». Et donc, c’était vraiment, moi, la démarche, au début, elle était là, mais je ne connaissais pas du tout l’infoprenariat. On y reviendra plus tard. Je ne connaissais pas Maxence, je ne connaissais personne, mais c’était en février… Oui, on a commencé février 2016.

Maxence : Février 2016, donc c’est quand même assez récent.

Alexandre : J’avais déjà une chaîne YouTube où je mettais, quand je faisais des stages, mes chorégraphies sur la chaîne YouTube. Quand on faisait des gros stages de Zumba, je mettais le résumé sur la chaîne YouTube. Mais c’était juste une plateforme pour que les gens aillent voir, mais il y avait aucun intérêt de délivrer du contenu ou quoi que ce soit, c’était juste histoire d’avoir mes vidéos quelque part. Et donc, en février 2016, j’ai dit à Jessica : « A partir d’aujourd’hui, on fait une vidéo par jour ». « Oui, mais pourquoi ». Je dis : « Non, tu me fais confiance. On fait une vidéo par jour. Le but du jeu, ça va être de se construire une audience, que les gens nous fassent confiance, que les gens – comment dire – voient…

Maxence : Suivent et voient l’évolution en même temps.

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Alexandre : Voilà. Et nous, on avait vraiment envie de donner du contenu, parce qu’on voyait – je suis désolé – trop de merde sur internet, trop de gens qui mettaient vraiment des trucs où je me dis : ce n’est pas possible. Donc, il faut qu’on arrive, en mettant du bon contenu – je ne dis pas que tous les contenus sur internet sont mauvais.

Maxence : Tu te dis, si eux, a priori, ils ont l’air de gagner leur vie ou même avoir peut-être 10 000 – 50 000, toi, avec l’expertise que tu as – chose que je peux comprendre, c’est un peu comme si un joueur de tennis, un top 10 mondial il se dit : « Wow, je peux quand même apporter plus de valeurs que ce qui se fait déjà ».

Alexandre : Plus de valeur. Voilà, c’est ça.

Maxence : C’est ça qui est important.

Alexandre : Et même au-delà aussi de gagner de l’argent ou quoi que ce soit. C’était vraiment aussi l’ambition de rétablir les vérités mais aussi, de dire : « Mais attends, toi tu dis trop de la merde. Il faut que vous, vous veniez sur notre chaîne pour écouter les vrais discours des professionnels ». Voilà, c’était un petit peu le truc. Donc, ça, c’était il y a un an et demi au moment où vous regardez cette vidéo.

Maxence : En février 2016.

Alexandre : Là, on est en octobre-novembre.

Maxence : Donc tu t’es tablé dans un premier temps qu’YouTube ou tu as fait en même temps du Facebook, mettre tes vidéos sur un site…

Alexandre : Non, on avait déjà Facebook.

Maxence : Tout tablé YouTube et Instagram aussi. J’ai dit à Jessica : « A partir d’aujourd’hui, tu mets une photo par jour ». Donc, facebook…

Maxence : YouTube et Instagram.

Alexandre : YouTube et Instagram en même temps. Donc pendant… Tout le temps, à partir de là, on a été à une vidéo sur YouTube. Et je lui dis vas-y. Et puis elle en avait marre, parce que tous les jours je disais : « Il faut faire une vidéo » et elle ne voyait pas trop le tunnel, elle ne voyait pas trop le chemin, où est-ce que j’allais l’emmener au fait. Et moi non plus, je ne savais pas trop où est-ce que j’allais aller, mais le but c’était de se créer une communauté et qu’un jour, si on avait un produit ou quoi que ce soit, cette communauté nous ferait tellement confiance, parce qu’on lui a amené du bon contenu, on essaierait de changer la vie des gens avec un vrai contenu bien possible. C’était l’idée, mais, honnêtement, encore une fois, je ne connaissais pas les gars, je ne connaissais pas Maxence et je ne connaissais pas grand-chose de l’infoprenariat. Mais il y avait peut-être une voix…

Maxence : A l’intérieur de de toi qui t’as dit : « Tôt ou tard, ça paiera pour vous »

Changement de paradigme

Alexandre : Qui dit c’est la voie. Oui, tout à fait.

Maxence : Alors, on récapitule : février 2016, vous démarrez YouTube, vous démarrez Instagram. Ensuite, à quel moment, quel a été le déclic que tu t’es dit : « A priori, je dois quand même ignorer des choses que d’autres personnes ou des marketeurs ou des influenceurs doivent savoir ». Quel était à peu près le moment ? Est-ce que c’est septembre 2016, octobre 2016 où, en gros, tu t’es dit : Bon, ça ne va pas aussi vite que ce que j’aimerais avoir. Ou quel était le moment un petit peu, parce que tu m’as dit que t’avais fait quelques recherches avant de tomber sur moi.

Alexandre : Oui, je ne sais même pas. Je me suis dit si ça ne va pas assez vite, c’est que j’ai peut-être commencé à m’intéresser à comment vendre un produit sur internet, comment faire du marketing, etc. Et puis, on regarde les vidéos sur YouTube et à un moment donné, on tombe sur des gens et puis, c’est ce que j’expliquais, je suis tombé sur des vidéos de certaines personnes qui m’ont amené à… A un moment donné, j’ai entendu « Maxence Rigottier » dans une vidéo, dans une interview.

Maxence : Tu me disais, c’était via Nina Habault. Donc, si tu regardes la vidéo…

Alexandre : Dédicace.

Maxence : 0:12:53 a priori. Comme de temps en temps des chroniques, tu as dit mon nom. Mais après tu as tapé les noms des gens dans YouTube, tu as regardé rapidement ce que je faisais.

Alexandre : Oui, je me souviens. Elle avait dit : « Comme le dit souvent Maxence Rigottier, il faut faire ça, il faut faire ça ». Ok. Donc, toi Nina, si tu cites quelqu’un ça veut dire que tu lui fais confiance. Donc si tu lui fais confiance, c’est peut-être quelqu’un qui est connu dans le métier. Peu importe. Du coup, j’ai tapé Maxence Rigottier, je suis tombé sur toi et puis c’était le début, mais ce n’était pas le début, je n’ai pas dit « je vais te donner les rennes », je te fais te confiance à 2000 et on y va quoi. Non, moi, je suis très sceptique, il faut réussir à me convaincre.

Maxence : Alors dis-nous tout, parce que… Tu m’as fait une petite confidence récemment, tu te disais : « Mais c’est qui tous ces pigeons qui achètent des formations online ou qui vont aller dans des séminaires ou qui rejoignent des mastermind ou encore que sais-je »

Alexandre : Que sais-je.

Maxence : Je le dis souvent aussi en vidéo, tu m’as fait la petite remarque. Du coup, par rapport à ça, tu es arrivé extrêmement sceptique. En gros, tu te posais toutes ces questions : pourquoi il y a des gens qui vendent des formations ? Ça devrait être gratuit. Je ne sais pas, quelles étaient tes croyances à l’intérieur, dans ton esprit ?

Alexandre : Oui, quand je vois, par exemple, en décembre 2016 ou même janvier 2017.

Maxence : C’est quand même récent.

Alexandre : Oui, c’est très récent. Je vois des témoignages des gens qui sont venus te voir à Malte, à travers un mastermind, etc. Et, moi, tout de suite, première réaction, je dis : mais c’est quoi ce pigeon ? C’est quoi le gars qui vient jusqu’ici pour juste échanger. Il donne de l’argent et basta. Mais, moi, je n’avais pas fait cette démarche-là dans ma tête. C’est comme avant, à l’époque, je me souviens… En fait, je suis originaire de Rennes et quand j’ai débuté, j’ai été diplômé en 2003. Donc, quand j’ai débuté le fitness, au début, il y avait des gens qui venaient faire des stages à Rennes. Et donc, là, nous, on suivait les stages et il nous disait : « Si vous voulez quelque chose d’encore plus grandiose, il faut venir à Paris, parce que vous allez voir, c’est génial ». Et moi je dis : « Mais pourquoi – et je m’en rappelle très bien – je viendrais à Paris alors que tu viens de faire ton stage ici à Rennes, donc je ne vais pas encore te repayer quelque chose, je ne suis pas un pigeon ». Et là, c’est marrant, quelques années plus tard, j’ai encore cette même réflexion. Donc, des fois, c’est vrai qu’on est arrêté à des choses, on est arrêté à des croyances, on se dit : « Mais c’est impossible, je ne serai jamais comme ça ». Ne dites jamais ça. Ça n’existe pas, on n’est jamais arrêté à quelque chose et on évolue toujours. Et encore, heureusement qu’on évolue, parce que c’est là qu’on devient con si on n’évolue pas de toute façon dans son mindset et dans sa façon de penser.

Maxence : Du coup, tu suivais ma chaîne YouTube, mais tu suivais qui d’autre également.

Alexandre : Un peu tout le monde.

Maxence : Donc Pierre Ollier, Alexandre Roth, Théophile Ellier, peut-être Olivier Roland.

Alexandre : Oui, je suivais les vidéos…

Maxence : En gros, t’en suivais une dizaine quoi.

Alexandre : Oui, voilà. Je suis des vidéos, je consomme beaucoup de contenus. Et à un moment donné, je regarde une vidéo, je dis : « Ah, Alexandre Roth, met du bon contenu. Tiens, je vais suivre sa formation ». Ah non ! Puis le lendemain : ah tiens, Théophile Ellier, peut-être que j’ai… Puis un jour…

Maxence : Dis-nous tout, parce que, moi, quand on me dit ça, je dis : « En fait, pourquoi tu n’es pas allé chez les autres et pourquoi t’es allé chez moi »

Alexandre : Je vais vous raconter une petite anecdote, j’étais en Angleterre. On était en mars 2017. Et donc, j’étais en Angleterre, j’étais dans un séminaire, j’étais en train de donner mes cours de step, machin. Et donc, je me retrouve tout seul dans mon hôtel un samedi soir à 19h. Et, du coup, j’étais bloqué dans ma stratégie, dans mon tunnel de vente, etc. Donc, j’étais bloqué à construire mon tunnel. Et donc là je me suis dit : « Tiens, je vais envoyer un message à Maxence, je vais envoyer un mail et puis j’espère avoir ma réponse, comme ça, ça va peut-être me débloquer ». Et un samedi à 19h, un quart d’heure après, j’ai eu ma réponse par mail. Alors, je crois que tu m’as répondu. Tout de suite après, c’est Steny qui a pris le relais, mais en un quart d’heure, un samedi soir, j’ai eu ma réponse. Et moi, j’étais à l’étranger. Ça, c’est la petite parenthèse. Et donc, là, je me suis dit : « Ils sont forts les gars ». Donc, du coup, tout de suite, dès lundi, j’ai acheté le club privé.

Maxence : Oui, tu as acheté le club privé. Je fais un petit aparté. C’était en quelque sorte aussi une chance pour moi. Pourquoi ? Parce qu’en fait, quand je traite mes emails, s’il y a quelqu’un qui m’en envoie un au moment où je traite mes emails, évidemment, je vais lui répondre. Donc, là, c’était le coup de bol de ma part sur toi. Et sinon, de manière générale, moi, je ne réponds pas forcément, mais Steny – qui est mon assistant, qui fait tout ce qui est SAV et la technique. Je te remercie une nouvelle fois, Steny.

Alexandre : Good job.

Maxence : Donc, vis-à-vis de tout ça, vous avez une réponse 24 heures grand max et de manière générale, c’est sous 12 heures, ça dépend un petit peu du moment. Donc, ça, oui, c’est vraiment le côté « boom SAV » que t’avais…

Alexandre : Oui, parce que, moi, je pense vraiment que j’avais besoin de quelqu’un comme toi, ton produit. Je pense que ton club privé me correspond à 100%.

Maxence : Tu t’es attaqué direct à un produit à 1 000 € quand même. Tu t’es dit : « Je ne suis pas un pigeon, en quelque sorte. Je ne mets pas ma CB » et bam, 1000 balles.

Alexandre : Oui, je vais mettre 1 000 balles là, mais je ne vais pas mettre 1000 balles dans trois jours chez quelqu’un d’autre et 1 000 balles dans cinq jours chez quelqu’un d’autre encore. Du coup, je savais que ces 1 000 € seraient rentabilisés en très peu de temps, mais de toute façon, moi je savais que mon produit-là, il allait exploser. Donc, je savais. Des fois, il y a, tu sais, des choses, on sait, mais on ne sait pas pourquoi on sait, mais c’est comme ça. Il faut le faire et voilà, passer à l’action. Aussi, si je procrastine pendant encore des mois, mon business, il ne décolle jamais et je n’y arriverai jamais. Donc, à un moment donné, c’est bien de se renseigner, de ne pas foncer sur le premier produit venu, mais à un moment donné, il faut y aller.

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Arrêter de procrastiner et passer à l’action

Maxence : Oui, c’est sur ça que je voulais revenir dans la vidéo. C’est clair, si aujourd’hui vous voulez être un king sur YouTube, formez-vous sur YouTube. Si vous voulez être une star de la vente, formez-vous sur la vente. Puisqu’à un moment donné, il va forcément nous manquer des éléments qui pourraient nous permettre d’aller à un niveau supérieur, donc c’est dommage de perdre son temps et, par ricochet, beaucoup d’argent dans le business.

Alexandre : Oui, c’est vrai, parce que souvent, on voit les infopreneurs, on voit les gens qui sont dans le business. Toi, tes collègues, vous dites toujours : « Il faut vous former » et toi dans ta tête, tu te dis : « Oui, mais tu me dis ça, parce que tu veux que je prenne ta formation »

Maxence : Ta formation.

Alexandre : Donc, moi, j’ai cette réflexion-là. Donc, oui, c’est le cas, mais c’est vraiment la vérité. Moi qui suis dans la remise en forme, je passe mon temps à dire : « Si vous voulez passer à l’étape supérieur, il vous faut un coach »

Maxence : Il vous faut un coach au final.

Alexandre : « Il faut prendre notre produit, parce que notre produit, il va vraiment vous faire décoller ». Donc, oui, je suis en train de vendre mon produit, mais je sais aussi que mon produit est ta solution. Et donc, c’est un petit peu ça aussi pour vous. Vous vendez votre produit, mais vous savez au fond de vous que vous ne vendez pas du vent, que c’est vraiment le truc qui vous fera passer à l’étape supérieure. Et même, moi, c’est exactement pareil dans la remise en forme. Je sais très bien que mon produit va changer la vie des gens. Et on y reviendra après comment ça s’est passé et comment ça continue à se passer, mais mon produit est en train de changer la vie des gens. Donc, du coup, je dis qu’il faut acheter, mais pourquoi il faut acheter ? Pour vous, pour toi quoi, tout simplement.

Maxence : Absolument. Donc, là, du coup, tu rejoins le Club Privé Business. Ensuite, tu te présentes… Je me souviens, j’avais été voir ta chaîne YouTube. Combien tu as d’abonnés à ce moment-là ? 12 000, 15 000, 20 000 ?

Alexandre : Je ne sais plus. Là, en février là…

Maxence : Peut-être 15, 20 000 ?

Alexandre : Non, plus parce que… C’était il y a six mois ?

Maxence : Oui.

Alexandre : Quand j’ai… Oui, j’avais…

Maxence : Peut-être un bon 30 000 au maximum.

Alexandre : Oui, un bon 30 000.

Maxence : Un bon 30 000, donc du coup, clairement… Je vais vous faire sourire, mais tout de suite, il y a de gros résultats, tu ne récupérais pas les emails. Donc grosse communauté, tout de suite on voit le…

Alexandre : Peut-être plus, j’étais à 40 000.

Maxence : 40 000 abonnés, donc là, on voit tout de suite. Typiquement, Alexandre fait partie de mon avatar client type, que je recherche quand je souhaite vendre mon Club Privé Business. Et tout de suite, tu as mis en place tout ce qui est email. Et aussi, appel à l’action. Je ne suis pas sûr si tu mettais des écrans de fin, des fiches comme infos. Tu ne mettais rien du tout.

Alexandre : Non. Je n’avais rien.

Maxence : C’était une vidéo brute comme ça sur YouTube.

Alexandre : Non. C’était une vidéo brute, j’avais ma vignette. J’avais les annotations de fin…

Maxence : Tu mettais quand même des liens dans la description vers une page de squeeze page ou quelque chose comme ça ?

Alexandre : Ah non.

Maxence : Rien. D’accord. Juste des abonnés, mais zéro business.

Alexandre : J’ai des vidéos qui ont 150 000 vues qui continuent à… Et je n’ai pas d’appel à l’action. Tu rigoles, mais ça ne me fait pas trop rire. Mais, ce n’est pas grave, on apprend de ses erreurs et j’ai mis tout ça en place…

Maxence : En quelques mois, tu as eu combien d’emails. Tu as quoi, 20 000 emails maintenant ?

Alexandre : Oui, c’est ça oui.

Maxence : Alors six mois, c’est ça qui est beau, 20 000 emails, ultra qualifiés, parce que ça vient de la chaîne YouTube.

Alexandre : Oui.

Maxence : Donc, c’est royal par rapport à ça. Du coup, quelles sont les actions ou quels sont les chocs… Donc là, on a l’emailing, les appels à l’action, est-ce que tu as en tête deux-trois autres chocs que tu t’es pris en uppercut peut-être. Je sais que tu utilises également Clickfunnels, donc de dire : on peut faire de super pages de ventes ou de pages de produits, bon de commande ou que sais-je. Est-ce que tu te souviens un peu les deux-trois uppercuts, en quelque sorte, que tu as pris vis-à-vis des conseils que tu peux découvrir grâce au webmarketing.

Alexandre : Oui, grâce au webmarketing, l’emailing.

Maxence : C’est ça, l’emailing.

Alexandre : Les autorépondeurs, les machins, tout ça, c’était…

Maxence : Et tes concurrents, ils ne les utilisent pas trop quand même.

Alexandre : Ah non, pas du tout.

Maxence : Top.

Être en cohérence avec son avatar

Alexandre : Mais moi, en fait, je n’ai même pas trop de concurrents. J’ai beaucoup de gens, des fitness girls, des influenceuses sur Instagram, etc. Mais on ne s’adresse peut-être pas forcément au même public, parce que moi je m’adresse vraiment à la ménagère de 25-50 ans qui est à la maison, qui veut faire du sport à la maison. Donc, nous, c’est vraiment notre avatar. Et vous qui nous regardez aussi, il faut vraiment bien cibler son discours, parce qu’au début, sur notre chaîne YouTube, on était peut-être un petit peu trop généraliste. On parlait un petit peu de muscu, on parlait un petit peu de ça, on parlait un petit peu de ci. Et, à un moment donné, il faut vraiment cibler son avatar comme tu dis si bien pour pouvoir délivrer un discours en cohérence avec son avatar.

Maxence : Oui, l’avatar, il sert pour une seule et unique chose, c’est vis-à-vis de la vente et vraiment que les personnes se reconnaissent et du coup achètent votre produit, c’est ça qui est très important. Et si vous parlez à tout le monde, vous avez déjà entendu cette phrase, et c’est vrai, vous parlez à personne à la fois. Donc, à chaque fois, restreindre la com et ça vous permet de multiplier les résultats. Alors, ensuite, quelles ont été les mises en place ? Tu n’avais pas de produit, aujourd’hui tu as deux produits. Non même plus, parce qu’au final, tu vends aussi des compléments alimentaires.

Alexandre : Oui. Aujourd’hui…

Maxence : T’estimerais que t’as combien de produits et quels sont les tarifs pour les gens qui se posent la question

Alexandre : Aujourd’hui, j’ai trois produits. On a un produit à 197€ qui est vraiment notre produit de phare « Transformation en douze semaines ». C’est vraiment le produit…

Maxence : Donc formation en vidéos sur le sujet. Ok.

Alexandre : Oui, formation en vidéo avec un groupe privé Facebook. On a plus de 1000 personnes sur le groupe privé. Ça échange énormément.

Maxence : Grosse audience, imaginez tout de suite les clients.

Alexandre : Voilà. Donc notre produit phare. Ensuite on a « ventre plat » en quatre semaines. Donc là, c’est pareil, c’est de la vidéo sur quatre semaines. Celui-ci est à 67 €. le but du jeu, c’est d’avoir le gros produit phare, donc « Transformation en douze semaines », puis après plein de petits modules d’un mois qui seraient moins chers, peut-être une autre de gamme. Et donc, aujourd’hui, on en a deux et le troisième, on commence les compléments alimentaires.

Maxence : Donc, c’est avec, c’est quoi, 40% de marge à peu près les compléments alimentaires ?

Alexandre : Oui, c’est ça. 40% de marge, oui.

Maxence : Ça, c’est Royal. Pourquoi ? Parce que, clairement, quand vous êtes dans nutrition, généralement, il faut prendre soit des compléments alimentaires ou quelques aliments précis qui vont vraiment permettre à votre client de se sentir bien et puis surtout, ça va lui permettre de corriger tous ces problèmes qu’il avait. Alors, autre chose, vous vous dites : Merci Alex, j’ai entendu que t’avais une associée. Moi, j’ai peur, j’entends à chaque fois des histoires, à la limite, ça finit en procès ou alors on se dit : plus jamais un associé. J’en ai plein le cul, parce que les personnes ne sont pas sur la même longueur d’onde. Ou alors, là aussi, il y a le souci, quand on a un associé qu’on peut avoir, c’est : je veux faire ça – non, je ne suis pas d’accord ou, pourquoi tu veux faire ça, je pense qu’il faudrait faire autre chose. Comment tu gères cette relation et ce business à deux ». Moi je sais que, personnellement, à mon avis, je n’y arriverai pas avec un associé, j’aime bien que je prenne une bonne ou une mauvaise décision, je la prends, mais je veux la prendre. Et je ne veux pas…

Alexandre : Oui, je suis d’accord.

Maxence : Comment tu fais en duo ?

Alexandre : Ce qui est paradoxal, c’est que, nous, on dit toujours « plus jamais d’associés » non plus. Parce que nous deux, on est des associés, mais… Donc, Jessica qui est mon ex-femme, comme je te le disais en off…

Maxence : J’ai halluciné, j’ai fait « Quoi ? What ? Comment c’est possible ? »

Alexandre : Du coup, on se connait depuis des années. Aujourd’hui, on n’est plus ensemble, mais on continue à travailler ensemble, ça se passe très bien. Et, justement, on a tellement cette… Je la connais tellement par cœur et que je connais ses défauts, je connais ses qualités, elle connait mes qualités, on est tellement complémentaires que, de toute façon, je ne me verrais pas faire… Moi, je ne veux pas d’associé, mais je ne me vois pas faire une société tout seul. Je ne me vois pas…

Maxence : Qu’est-ce qui te bloquerait, tout seul ? Comment tu gères aussi la production YouTube ou le marketing ? Est-ce qu’à chaque fois, vous vendez tout en duo ? Comment vous faites ? Parce que, forcément, à deux, il y a peut-être des choses où c’est peut-être plus complexe. Ou si vous faites un live, est-ce que vous êtes tout le temps tous les deux ?

Alexandre : Non, moi, j’habite à Lille, elle habite à Bordeaux.

Maxence : D’accord. Ok.

Alexandre : Donc, tu vois, moi, j’habite à Lille ; elle habite à Bordeaux. On se regroupe de temps en temps pour faire des vidéos et ça se passe super bien. Mais il y a vraiment… On a passé le cap de « ah, mais moi, j’en fais plus. Ah, mais toi, t’es plus en avant, moi je suis plus en retrait ». C’est très clair et très fluide. Ça durera le temps que ça durera, mais c’est vrai qu’aujourd’hui, tout est…

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Maxence : Oui, toi, tu sens vraiment que c’est bénéfique. Du coup, qu’est-ce qui te bloquerait d’être tout seul ?

Alexandre : Je ne sais pas. Parce que j’aime partager, j’aime échanger. Je suis déjà assez tout seul. Les infopreneurs, on est déjà assez tout seul dans notre coin, dans mon bureau toute la journée.

Maxence : Oui, c’est vrai.

Alexandre : Donc, c’est vrai que sur des décisions, j’aime bien passer un coup de fil et lui dire : « ça va ? Tu valides et tout ». Et j’aime bien avoir cet avis extérieur qui permet de… Moi, j’ai des compétences qu’elle n’a pas, mais à chaque fois que je n’arrive pas à quelque chose, je sais que peut-être Jessica pourra me débloquer.

Déléguer pour avancer

Maxence : Ok. Donc merci par rapport ce retour d’expérience. Donc, autre question que vous avez certainement, vous vous dites :

Alex, tu étais à la télé ou encore tu as fait beaucoup de présentations. Ensuite, l’infoprenariat, il faut aussi mettre les mains dans le cambouis et dans la technique. Comment tu gères par rapport à ça, parce que vous vous dites certainement : Moi, je ne suis pas geek ou je déteste ça, ou je suis allergique par rapport à tout ça. Comment tu gères ? Est-ce que tu le délègues ou est-ce que t’avais les mains dans le cambouis.

Alexandre : Oui, je fais tout. Alors, on commence gentiment à déléguer.

Maxence : Mini-geek.

Alexandre : Oui, mais sans pour autant être une star de l’informatique. Pas du tout ! Mais Photoshop, moi, j’ai toujours fait, parce que notre société, elle a 10 ans, donc du coup, j’ai toujours fait des flyers, mais… Pour moi, ce n’est pas moi qui les faisais, parce que Photoshop, c’était impossible. Et à un moment donné, tu te dis : Ok, il me faut une vignette toutes les semaines, donc je ne vais pas payer un graphiste 150 € par semaine pour me faire ma vignette. Donc, tu tapes « comment travailler sur Photoshop, comment faire un calque » dans YouTube. Donc, j’ai appris à faire Photoshop via YouTube. J’ai appris à faire des montages vidéo via YouTube. Voilà. Sur YouTube, de toute façon…

Maxence : Il y a tout au final.

Alexandre : Si vous êtes là… Voilà. Comment découper une carotte en forme de machin, tu vas trouver. De toute façon, il y a tout sur YouTube. Et donc, voilà, comment manipuler Clickfunnels, comment faire un WordPress. Voilà, j’ai tout fait. J’avais juste la partie WordPress, la partie site internet que j’ai déléguée à un Webmaster que j’avais déjà avant. Donc voilà, mais au début, on fait avec les moyens du bord, parce que si on commence à… Tout le monde dit, oui, il faut déléguer, oui, mais c’est facile de tout déléguer. C’est quand même des budgets, donc je comprends. Au début, il faut se débrouiller un petit quand même.

Maxence : Oui, c’est ce que je disais. Souvent, moi-même, j’ai mis les mains dans les cambouis énormément. Donc, même si j’ai détesté ça et que j’ai perdu beaucoup de temps et d’énergie, quand on n’a peu de moyen. Puis, en fait, le seul avantage de savoir le faire, c’est donc de savoir aussi si ça a été bien fait ou mal fait. Je donne un exemple concret : moi, en 2018, mon objectif – et je pense que ça va être pareil pour toi -, c’est vraiment de développer la publicité Facebook. Mais je fois savoir le faire moi-même un petit peu, parce que si vous prenez quelqu’un pour le déléguer, excellent, mais au final, vous ne pouvez pas savoir s’il est bon ou il n’est pas bon. En fait, vous lisez les chiffres du ROI, donc négatif ou positif, mais vous ne savez pas si au final, ce n’est pas de bol ou il y a deux trois détails. En gros, moi, ce qui me dérange, c’est que, quand je ne sais pas faire la chose une fois moi-même, j’ai du mal à savoir si le boulot a été bien fait. Pareil sur un montage. Evidemment, je ne fais plus du tout le montage, mais j’en ai fait par le passé, comme ça je sais si quelqu’un m’a fait un cut qui est de la merde, je le vois ; et s’il est bien fait, je le vois également.

Alexandre : Et aussi, ce qui est intéressant, aussi, c’est une fois qu’on sait un peu de technique, lorsqu’on va voir un prestataire…

Maxence : On peut aussi bien déléguer.

Alexandre : Oui, mais lorsqu’on va voir un prestataire aussi et qu’il nous dit : c’est 2 000 €. 2 000 € pourquoi ? Pour faire ça, ça va te prendre une heure ? Non, tu n’es pas sérieux.

Maxence : Excellent.

Alexandre : Donc, à un moment donné aussi, c’est de se dire aussi : non, je ne vais pas te payer n’importe quoi, je sais très bien ce que ça vaut. Moi, si je le faisais, ça me prendrait une heure, donc à un moment donné, fais-moi le prix que ça vaut.

Maxence : Ça, c’est un excellent conseil. C’est clair, que ce soit des prestataires, agences, connaissances, réseaux. Surtout quand vous gagnez pas mal d’argent, on peut vous surfacturer un petit peu le tarif. Donc, comme vous le savez vous-même, vous vous dites : what the… En gros, tu essaies de m’enc*ler, c’est quoi ce bordel par rapport à ça. Donc, ça, c’est important aussi de le savoir, au moins le faire une fois. Ok. Alors, pour finir sur une dernière question. Tu es venu à un de mes week-ends mastermind. J’étais très heureux.

Alexandre : Je suis un pigeon.

Maxence : C’est comme ça quand tu es venu, que tu m’as dit, ça m’a fait sourire. Donc, quelle est la différence que tu vois entre les formations online. Parce que tu es membre de mon club privé business, tu n’as pas mal de produits chez moi. Donc, une nouvelle fois, vous voyez aussi, c’est ce que tu fais dans ton business, c’est ce que tout le monde fait : panier moyen du client, valeur à vie du client, toutes ces choses-là. Donc, c’est important de se concentrer sur cette satisfaction clientèle. Selon toi, c’est quoi la différence entre le online et le physique ? Donc typiquement, la différence entre formation, clubs privés et séminaires, ateliers, comme là, c’était un atelier privé donc on rencontre les gens. C’est quoi que tu estimerais la différence ?

Alexandre : C’est toujours intéressant. Ce que je disais tout à l’heure, c’est toujours intéressant de rencontrer, de côtoyer les gens qui ont vraiment le même mindset que toi, parce que…

Maxence : Parce qu’à Lille, tu es seul dans ta bulle.

Alexandre : Oui, je suis tout seul dans ma bulle et du coup, ce n’est pas… Je ne dis pas que c’est dur, moi, je m’éclate et ça me va très bien, donc c’est top. Mais là, c’est une bouffée d’oxygène en fait. C’est vraiment une bouffée d’oxygène de rencontrer des gens qui ont vraiment la même volonté et la même envie d’avancer. Et surtout, les gens qui comprennent ce que tu fais, parce que la majorité du temps, personne ne comprend concrètement…

Maxence : Qu’est-ce qu’on te dit ? Est-ce que ta famille ou tes connaissances, même peut-être tes ex-collègues savent un peu ce que tu fais ou ils se disent : « Mais, il est parti en couilles sur YouTube ! »

Alexandre : Oui. Il est parti en couilles sur YouTube. Oui, c’est exactement ça, mais ce que les gens ne savent pas, c’est effectivement, tout ce qu’il y a derrière. Ils pensent qu’on ne fait que des vidéos YouTube alors qu’on est vraiment en train de créer…

Maxence : C’est une véritable entreprise voire même une véritable marque, parce que c’est ce que tu es en train de mettre en place et c’est ça qui est top.

Alexandre : Oui. On met en avant une marque. C’est vrai que la plupart des infopreneurs se mettent en avant, nous, ça a toujours été notre marque, mais notre marque, c’est Jessica et Alexandre. Donc, c’est quand même nous deux. Mais, oui, on crée une vraie marque. On crée notre marque de complément alimentaire, mais c’est vraiment nos compléments alimentaires. On est en train de créer une marque de thé. Donc, c’est vraiment notre marque brandée « Move Your Fit ». Donc, on est vraiment en train de créer quelque chose de solide et ce n’est que le début.

Maxence : Alors, comment tu te vois dans trois ou cinq ans ? Est-ce que tu te dis : « Chaine YouTube à 300 000, 500 000, 1 000 000 d’abonnés ? ».

Alexandre : Oui, je pense qu’on peut… Il n’y a pas de limite en fait. Là, je pense qu’en – allez, on va faire des petits pronostics, mais j’espère avant juin 2018 avant les 100 000 abonnées. Je pense que c’est facile…

Maxence : Oui, c’est dans tes cordes.

Alexandre : C’est dans les cordes, mais on va rester prudent.

Maxence : Tu passeras un certain seuil. Sur YouTube, il y a le premier 1 000, 10 000 et après 100 000 et tu commences à être pris au sérieux en quelque sorte.

Alexandre : Mais ça dépend… Oui, le 100 000.

Maxence : 100 000, c’est le bon seuil.

Alexandre : Donc ça, mais après, de toute façon, ça va être crescendo. Toutes les croyances limitantes que j’avais, que je pensais que je gagnerai toujours le même salaire toute ma vie, je pensais que ma société ferait toujours le même chiffre d’affaires toute sa vie également, eh bien, là, déjà, en 2017, tout a explosé. En 2018, on va… Donc, ne pas se dire que « ma vie, elle est comme ça », ne pas se dire que « de toute façon, je vais gagner toujours le même salaire toute ma vie ». Tout est possible. C’est vraiment ce que je veux. Tout est possible. Nous, on s’est remis en question, on était bien dans notre niche, on était bien connu et tout allait bien. On est reparti de zéro en allant sur YouTube. On est quand même vraiment reparti de zéro. On allait taper à des portes des gens qui font…

Maxence : En février 2016, boom, tu étais reparti à zéro complet.

Alexandre : Voilà, reparti à zéro. Et c’était un super nouveau challenge et depuis, on s’éclate et c’est super.

Maxence : Ok. Merci une nouvelle fois.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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