Comment gagner de l’argent avec les régies publicitaires

Comment gagner de l’argent avec les régies publicitaires

Je suis actuellement à l’événement Biz Club d’Alexandre Roth, et je suis actuellement cqui est un expert du sujet, qui est également le créateur et l’auteur de la méthode Business Révolution avec deux autres personnes. Donc, je vais laisser rapidement Simon se présenter et nous expliquer un petit peu la puissance des régies publicitaires comme source de trafic payant pour votre business.

Maxence Rigottier : Donc, salut Simon !

Simon Caporossi : Salut Maxence.

Maxence Rigottier : Est-ce que tu peux rapidement présenter ton parcours entrepreneurial et qu’est-ce qui t’a amené par la suite à être le créateur de business révolution, de vendre à travers une VTH (Vidéo Textuelle Hypnotique) ? Tous ces éléments, puisque ton histoire est très inspirante et surtout, casse tous les codes qu’on peut avoir sur internet, notamment à travers Youtube, Instagram, Facebook, un blog, Snapchat, etc.

Simon Caporossi : Je me suis lancé en 2009-2010 avec les approches classiques de type créer un blog, faire une page de capture.

Sa propre méthode avec un ROI immédiat de 3

Je ne faisais pas de lancement à l’époque, mais page de capture, cadeaux gratuits, capture d’adresses e-mails, e-mail de relance, page de vente. Puis, j’ai commencé là-dedans, ça « marchouillait » mais ça ne me correspondait pas. Je cherchais quelque chose qui aille beaucoup plus vite et beaucoup plus haut. Et en combinant certains outils de l’hypnose que j’étais en train d’étudier à l’époque, avec certaines techniques marketing que j’ai découvert, en 2011, je me suis lancé avec un nouveau système qui, du jour au lendemain, est devenu compétemment exponentiel et qui est entièrement basé sur l’achat de trafic et sur la rentabilisation immédiate, c’est-à-dire en 20 minutes de ce trafic. Ce qui fait qu’immédiatement dès le premier jour d’activité, je me suis mis à faire un ROI de 3, immédiat.

Maxence Rigottier : Tu avais posé 40 € à la fin de la journée, tu avais récupéré 120 €, donc 80 € de marge. Donc, un ROI de 3 et ainsi de suite. Tu as remis 100 € le lendemain, 300 €. Tu as remis 700 € la semaine d’après, 2 000 € et ainsi de suite. Au bout d’un an, 100 000 € investis, 292 000 € récupérés, près de 300 000 €. Et là, tu t’es dit, quand même…

Simon Caporossi : Je tiens quelque chose…

Maxence Rigottier : C’est peut-être une méthode ou alors une stratégie qui est quand même énorme.

Simon Caporossi : Mais j’ai mis du temps vraiment à me le dire, à vraiment réaliser. Il a même fallu que ça vienne beaucoup de l’extérieur en fait. Que mon entourage me dise : « Mais est-ce que tu te rends compte de la méthode ? » Moi je me disais : oui, mais je ne sais pas trop, mais est-ce que ça marchera pour d’autres ? Est-ce que ça va continuer déjà ? Le truc, c’était beaucoup : est-ce que ça va durer ? Parce qu’au début, j’ai longtemps…

Maxence Rigottier : Je comprends, au début…

Atteindre un ROI énorme jusqu’à saturation de la régie publicitaire

Simon Caporossi : Mais surtout que tout le monde me disait : mais ce n’est pas comme ça qu’il faut faire, mais moi je disais : ok, mais regardez le résultat que j’ai. Donc effectivement, ce que tu disais, c’est hyper important de comprendre ça avec ce système. C’est un système à rentabilité immédiate, ce qui veut dire qu’on peut réinvestir tout de suite. Donc, ça crée, ce que j’appelle l’effet boule de neige. C’est-à-dire qu’effectivement, au jour 1, j’ai déjà dégagé de la marge. Donc tout de suite le lendemain, je peux réinvestir, ce qui fait qu’on monte comme ça le palier d’investissement et de marge tous les jours, jusqu’à saturer la régie de diffusion en fait. En général, on la sature très vite, surtout quand on a des ROI de 2 ou 3, ça veut dire qu’on multiplie par 2 tous les jours par exemple. Donc, quand on multiplie par deux tous les jours, ça s’arrête assez vite de monter, parce que sinon…

Maxence Rigottier : La martingale montante…

Simon Caporossi : Parce que sinon, au bout d’un moment, on aurait la terre entière qui arriverait sur nos sites, ça ne marche pas. Donc, on sature en fait, c’est une stratégie de saturation de l’offre. On vient acheter tout ce qui est possible. Et c’est d’ailleurs assez marrant quand je cherche une régie, et que je tombe sur une nouvelle régie, donc je discute souvent avec l’account manager et tout, et quand les personnes me disent : c’est quoi ton budget mensuel ? Je dis : c’est illimité.

Maxence Rigottier : Du coup, quelle est la réaction de ces personnes-là ? Ce n’est quand même pas souvent. Souvent, on va dire : 10 €, 100 € par jour, même 2 000 € par jour, mais toi, illimité. C’est quoi leur réaction ? Ils deviennent blancs, ils disent : c’est qui ce psychopathe ?

Simon Caporossi : Ils ne comprennent pas. Il faut souvent y revenir plusieurs fois. Ça ne rentre pas dans les cases souvent.

Maxence Rigottier : Vous êtes qui Monsieur ?

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Simon Caporossi : En général, ce n’est pas une question de crédibilité, mais c’est que ça ne rentre pas dans leur modèle en fait. Même les grosses marques ne travaillent pas comme ça. Les grosses marques, elles arrivent avec un budget pub, et elles disent : on a ça à dépenser et ensuite, on verra. Moi je dis non, on a des budgets test au début, mettons 500 €. Mais à partir du moment où c’est rentable, je n’ai plus de limite. Parce que tant que c’est rentable, tant que je gagne, je joue. Comme l’homme qui met une pièce dans la machine, à chaque fois, il a une boisson, donc il remet à chaque fois. Donc, tant que je gagne, je joue, et il vide la machine. Enfin, c’est une connerie. Mais l’idée, c’est ça quoi, tant que je gagne, je réinvestis, je réinvestis de plus en plus et autant que possible. Puisque c’est immédiatement rentable, donc je n’a pas de raison de me limiter dans l’investissement.

Le top 4 des régies publicitaires

Maxence Rigottier : Ok, alors une question que vous posez certainement du coup. Quelles sont les régies publicitaires sur le web et quel serait le top 3 selon toi ? Je fais un petit aparté, tu as évoqué quelque chose qui m’a vraiment accroché en tant que tel, c’est donc la loi du déséquilibre. Mais c’est la même chose pour tout ce que vous faites, les régies publicitaires. Alors, quelles seraient les régies publicitaires que tu connais ? Et ensuite, le top 3 qui sont au final celles qui vont ramener 95% du chiffre d’affaires ?

Simon Caporossi : Alors, on va parler en dehors de Facebook et de Google, je crois que tu as déjà d’autres choses là-dessus.

Maxence Rigottier : Voilà ! En dehors de la pub Youtube, Facebook ou Google, voilà, les régies publicitaires que vous ne connaissez certainement pas.

Simon Caporossi : Le top 4 que je vais te donner, c’est Maxiweb, régie par e-mailing. Je ne te les donne pas forcément dans l’ordre. Le Ligatus, Taboola, et Outbrain.

Maxence Rigottier : Outbrain, ok, jamais entendu celle-là pour ma part.

Simon Caporossi : C’est une qui fonctionne un peu comme Taboola, qui fait partie du top 4 des régies en France avec le type de métier qu’on a, qui permet d’obtenir du trafic qu’on arrive à rentabiliser rapidement.

Les thématiques noires des régies pub

Maxence Rigottier : Une question que vous vous posez aussi certainement, vous dites : merci Simon, mais est-ce qu’il y a des thématiques qui sont black-listés. Par exemple, j’ai un business sur la bourse, fumée, la peinture, le dessin. Est-ce qu’il y a des thématiques précises à avoir pour les régies publicitaires ?

Simon Caporossi : Alors, tu as rarement des problèmes avec la peinture et le dessin. D’une manière générale, ça se passe bien. Non, l’énorme avantage avec ces régies-là, c’est qu’on peut travailler à l’ancienne. C’est-à-dire qu’il y a les caches avec quasiment toutes les thématiques. Je ne pense pas qu’on puisse faire des trucs type éj*culation précoce par exemple, ou des choses très explicites sur la sexualité en frontal comme ça. En revanche oui, on peut faire de la bourse, on peut faire de la minceur, on peut faire de la séduction. Toutes les thématiques qui sont compliquées à gérer sur d’autres régies comme Google ou Facebook, elles sont jouables sur ces régies-là.

Maxence Rigottier : Est-ce que tu sais approximativement, moi je m’étais renseigné sur Maxiweb, il me semble qu’il y a un ticket d’entrée à 1 000 ou 2 000 €. Globalement, c’est 2 000 € d’investissement, 5 000 €, 10 000. Est-ce que tu as un exemple, un type de fourchette en fonction de la date aussi où vous visionnez cette vidéo, ça aura changé, mais déjà pour avoir un aperçu, un petit exemple.

Simon Caporossi : L’idée globale, c’est que sur ce type de régie là, on est autour de 2 000 €. Je ne suis pas dans la précision, d’autant plus que ce n’est plus moi qui gère ça actuellement. Et comme tu disais, ça change. De toute façon, ça évolue au cours du temps. Mais oui, ces régies-là, c’est entre 2 et 5 000 € minimum mensuel sur lesquels il faut s’engager pour pouvoir travailler avec eux.

Maxence Rigottier : Donc ça, c’est un point spécifique à voir.

Simon Caporossi : Sachant qu’après, il y a certaines de ces régies qui ont des plateformes self-service, c’est-à-dire qu’on pilote soi-même, comme sur Facebook ou sur Google Adwords, et qui permettent de rentrer à moins que ça met… elles ont certaines limitations. Moi je travaille directement avec des gestionnaires de compte, des account managers, on dit en anglais, qui gèrent les campagnes pour nous et qui du coup, eux, ont les pleins pouvoirs sur l’interface, alors que les plateformes self-service n’offrent pas forcément toutes les possibilités qui existent dans le réseau. Mais ça, c’est du cas par cas après.

L’intérêt des Vidéos Textuelles Hypnotiques

Maxence Rigottier : Après à adapter en fonction de votre profil et vos besoins, ça c’est important de l’avoir en tête. Alors également, tu as évoqué, tu réalises des VTH, des Vidéos Textuelles Hypnotiques. Vous êtes peut-être en train de regarder la vidéo en vous disant : mais moi, j’ai plutôt des produits d’information, j’ai des tunnels de vente, je fais des conférences en ligne, des lancements orchestrés etc. Est-ce que ces régies publicitaires correspondent à ce format, ou alors c’est quand même vraiment spécialisé VTH, Vidéo Textuelle Hypnotique ?

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Simon Caporossi : Non, on est très peu nombreux sur ces régies là à faire des VTH. La plupart des gens font de la capture de lead classique, page de capture, donc aussi bien dans les régies e-mailing que sur les régies au clic. Donc, de toute façon, ce sont des régies qui sont partout, sur tout type de médias, sur tout type de site, sur tous les gros sites de presse, Le Monde, le Figaro, tous ces sites-là, les sites féminins, etc. Donc en fait, il couvre tous les types d’audience et tous les types de marchés. Donc, il n’y a aucune raison qu’il soit plus adapté à un procédé marketing ou à un autre. Mais c’est vraiment acheter du trafic en masse, ça permet d’acheter du trafic en masse.

Maxence Rigottier : Quand tu dis, le trafic en masse, c’est 1 million de visites, 500 000 visites, 3 millions de visites. C’est ce côté illimité également que permettent ces régies comme Facebook, Google Adwords ou encore Youtube.

Simon Caporossi : Oui, à la limite, en fait, elle va se calculer autour de son seuil de rentabilité. Donc, c’est à combien tu es prêt à payer le clic. En fait, en général, plus tu es prêt à payer cher, plus tu as de clics. Au contraire, tu baisses ton prix, enfin, c’est un calcul qui est plus complexe que ça. En fait, c’est la multiplication entre le prix au clic et ton taux de clic. Parce que finalement, ce qui est le plus intéressant pour la régie, elle le favorise, elle le montre plus souvent, elle l’affiche plus souvent. Donc, tu peux avoir davantage de clics comme ça. Ce qui me permettait moi au tout début quand je me suis lancé sur ces régies-là, comme j’avais des taux de clic très fort, j’avais des prix au clic qui étaient deux à trois fois inférieurs à la moyenne du marché sur cette régie. Ça me permettait de payer très peu cher le visiteur, et en même temps, j’avais beaucoup de visiteurs. Ça c’est le graal en fait. Avec des taux de clic très forts pour pouvoir payer peu cher.

Maxence Rigottier : Donc là, ce qu’on nous dit des fois, vous savez, sur Youtube, les types pute à clics là c’était quelque chose où les gens se disaient : waouh, il faut que je clique pour savoir.

Simon Caporossi : Alors ça, il y a un vrai équilibre à trouver, parce que si tu arrives vraiment dans le titre pute à clics, tu suscites plus de curiosité que d’intérêt. Tu te mets à payer pour des clics qui ne t’apportent pas de conversion. Donc en fait, il y a un vrai équilibre à trouver. C’est un travail de copywriting un peu fin, pour trouver le juste milieu entre suffisamment de curiosité, mais quand même teinté de suffisamment d’intérêt, et pas que du pute à clics pour faire cliquer comme ça.

Pour revenir à ta question de la quantité, je n’ai pas le détail mois par mois, mais je sais, on a regardé il n’y a pas longtemps, que sur la VTH vidéo de vente minceur, en cinq ans, on a fait venir 12 millions de personnes.

Maxence Rigottier : 12 millions de personnes, donc ça fait 1 000 stades de France, peut-être même plus. C’est assez énorme.

Simon Caporossi : Je ne sais pas en stade France. C’est plus de 20 fois la ville de Lyon.

Maxence Rigottier : Plus de 20 fois la ville de Lyon, donc assez chapeau par rapport à cela. Alors par rapport au tarif, que ce soit au clic, au lead, est-ce que tu as vu une évolution à la hausse des tarifs ? Ou paradoxalement, non, cela n’a pas vraiment augmenté ou alors peut-être baissé ? Quelle est la tendance au fil des années sur le trafic payant ?

Simon Caporossi : La tendance, c’est toujours l’inflation. Donc, le prix tend toujours à monter et après, c’est ce que je te disais qui est important, c’est que sur les régies au clic par exemple, tu peux contrer cet effet d’inflation en état meilleur en copywriting pour avoir des meilleurs taux de clic.

Maxence Rigottier : Le prix augmente, ton expertise en copywriting augmente, du coup, tu n’arrives pas toujours à avoir…

Simon Caporossi : Donc, si tu te débrouilles bien, tu restes.

Les erreurs à éviter pour ne pas perdre d’argent dans les régies publicitaires

Maxence Rigottier : Alors, également, vous dites la chose suivante, quelles sont les erreurs à éviter lorsqu’on se lance dans les régies publicitaires pour ne pas cramer 2 000, 5 000, 10 000 € parce qu’on démarre justement.

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Simon Caporossi : Déjà, je pense qu’il ne faut pas se lancer sur ces régies-là effectivement, vu qu’il y a une barrière à l’entrée. Il faut mettre plusieurs milliers d’euros sur la table d’entrée de jeu.

Maxence Rigottier : Donc, valider le concept sur du Adwords, sur du Facebook, sur du Youtube.

Simon Caporossi : Voilà, sur des régies qui permettent de rentrer avec des budgets plus petits ou alors passer par les plateformes self-service de ces régies-là. Je sais qu’il y avait une de ces régies-là, je crois que c’était Ligatus, c’était il y a plusieurs années quand je le pilotais moi. Sur la régie self-service, il y avait un prix au clic minimum, moi j’avais démarré là-dessus, qui faisait que je n’étais pas rentable. Mais en fait, on s’en fout, parce que ça m’a servi de test, et j’ai pu mesurer qu’ok, à ce prix-là de clic, je ne suis pas rentable, mais en passant sur la régie pleine, la grosse régie pilotée par des gestionnaires de compte, sachant que je pouvais avoir un prix moindre au clic, vu que mes performances étaient bonnes, je savais qu’avec un prix au moindre clic, j’étais rentable. Donc en fait, il faut aussi tout le temps considérer, pas seulement considérer la rentabilité immédiate dans ces conditions-là, mais qu’est-ce que ça peut donner si on change un paramètre ? Sachant qu’on va pouvoir le changer. Evidemment, je pense que c’est un petit peu confus ce que je suis en train de raconter. Je ne suis pas sûr qu’on me comprenne bien.

Maxence Rigottier : En fait, le paramètre numéro 1, ce n’est pas regarder forcément que le tarif au clic, mais regarder avec des plus gros budgets, ou alors avec une autre audience personnalisée. Est-ce que je suis rentable avec le coût qui a lieu dans ce cas de figure là ?

Simon Caporossi : Oui, c’est comme par exemple, tu as des gens qui vont tester trois campagnes différentes, même sur Facebook, tu vois. Alors, mettons, ils dépensent 100 € sur chaque campagne. Il y en a deux qui ne font aucune vente, et une qui fait deux ventes à 100 €. Donc, tu en as deux qui ont perdu de l’argent, qui ont 100 € à la poubelle, et une qui a fait un ROI de 2, tu vois ce que je veux dire ? Tu as des gens qui sont dans ce cas-là, et qui disent : ah c’est pourri, ça ne marche pas, j’ai perdu de l’argent. Et ils ne se rendent pas compte qu’il y a une de ses campagnes qui est ultra rentable et qui vaut des millions.

Du coup, ils considèrent leur résultat au global et ils disent : j’ai perdu de l’argent. Mais pas du tout, tu n’as pas perdu de l’argent, tu as juste trouvé une mine d’or et ça t’a coûté 200 €. Donc, il faut bien comprendre que les données qu’on acquiert, elles sont une énorme valeur. Il faut apprendre à interpréter ces données.

Donc, pour l’inverser, puisque ta question, c’était les erreurs. Ce serait de s’arrêter à des donnes superficielles et ne pas plonger dans la réalité de ce que ça indique comme potentiel. Parce que ce qui est toujours important, c’est de voir un cran plus loin en fait. C’est comme si tu fais un investissement, tu veux faire développer un produit par quelqu’un, puis tu te mets à le vendre. Le prix de développement, ça t’a coûté 5 000 €, mettons, il va être amorti. Ok peut-être, au début, le premier mois, tu vas le prendre en compte dans ta comptabilité, c’est de la comptabilité en fait. Il ne faut pas confondre la stratégie à la comptabilité. En gros, la stratégie marketing d’un côté avec les données que tu extrais de tes résultats et qui te permettent du coup d’exploiter le meilleur potentiel dans le test que tu as fait. Et il ne faut pas confondre ça avec la comptabilité qui elle, c’est ok, dépenses recettes. Donc, il faut vraiment faire la part des choses.

Maxence Rigottier : Ayez toujours ça en tête, moi j’aime bien ton exemple de différentes campagnes. Quand vous faites beaucoup de tests, regardez campagne par campagne, et non la rentabilité comme tu as évoqué, parce que sinon, on se dit : voilà, j’ai paumé du fric, mais en réalité, il y a une campagne qui va vous permettre d’avoir des dizaines de milliers d’euros, voire plus, grâce à ces différents tests.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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