Ecommerce, infoprenariat, que choisir ? (Roman Paillet)

Ecommerce, infoprenariat, que choisir ? (Roman Paillet)

De 0 à 75 000 € par mois, donc personnellement, c’est ce que j’arrive à faire actuellement. Roman arrive également à réaliser de 0 à 100 000 € par mois de ventes.

Et c’est du chiffre d’affaires.

Voilà, du chiffre d’affaires, que ce soit moi ou pour toi. Et de manière générale, qu’est-ce qui se passe ? C’est qu’on pourrait se poser la question suivante : est-ce qu’on peut mixer l’infoprenariat et le e-commerce ? Est-ce que c’est vraiment des domaines transversaux. Donc c’est ce qu’on va voir en détail dans cette vidéo. On a fait une autre vidéo : comment avoir des campagnes Facebook avec un ROI supérieur à 2. Je t’avais interviewé aussi à l’époque, histoire inspirante sur le dropshipping, parce que tu t’es lancé, il n’y a pas si longtemps que ça, mi-2016, donc à l’été 2016. Et je sais aussi que tu te formes énormément chez les États-Unis, donc chez les Américains pour…

Je viens de lâcher, là c’était…

Voilà, tu vas nous expliquer, 12 000 € récemment pour un gros…

12 000 € pour 5 jours, honnêtement c’est record, je n’avais jamais fait ça. Donc je disais à Maxence tout à l’heure, c’est marrant, parce que j’ai le souvenir quand j’étais jeune, vous savez les bouquins, les tout premiers e-books, c’était sur la séduction, parce que j’étais un peu timide…

À 20 € ?

… un peu gros et j’achetais des e-books à 17 €, à 17 balles et je me souviens, ça m’a arraché le cœur j’étais obligé de piquer la carte bancaire de mon père, enfin, c’était des trucs, c’était…

Pour 17 balles.

Le conseil de Roman Paillet : investir en soit

Pour 17 balles. Et dans ma tête je me disais : c’est énorme. Donc comme quoi les montants en fait, l’essentiel c’est d’investir en vous et peu importe. Moi je vous dis, là j’investis à 12 000, mais c’est parce que j’ai une entreprise qui génère beaucoup, mais donc peu importe le montant en fait, l’essentiel c’est juste de retenir qu’il faut toujours investir en vous, c’est ce qui importera le plus, j’ai mis ces 12 000 € parce que je suis persuadé que ça me rapportait plus que 12 000 €. Voilà, ça se passe avec des mecs qui font, comme je t’ai dit, des…

100 000 € par jour.

Pour moi les meilleurs, à l’heure actuelle, je pense aux… enfin, mondiaux, les meilleurs mondiaux en dropshipping et enfin eux-mêmes ils commencent à avoir des stocks et tout. Mais en tout cas, sur ce business avec Facebook, la pub Facebook, ils font, comme je t’ai dit, ils font des journées à 100 – 120 000 € par jour de chiffre d’affaires. Donc là on passe à des niveaux… donc rien que fréquenter ces personnes-là pendant cinq jours, il suffit qu’ils donnent une astuce. Surtout qu’après voilà, plus le business est gros, plus il suffit d’un petit truc à implémenter pour que ça fasse fois deux sur le business. Donc ça c’est très cool.

Et du coup, ce sera en Thaïlande à Phuket, c’est ça qui… donc ça c’est vraiment de l’immersion, cinq jours complets, 12 000 € tu as payé. Donc c’est un Mastermind, mais un Mastermind en immersion, en Thaïlande. Donc ça c’est…

C’est intéressant le format puisqu’il y a des…

C’est 100 % e-commerce, il n’y aura pas d’infoprenariat ?

Non non, là c’est 100 %. Et en plus ils demandaient d’envoyer les résultats avant de venir, donc souvent tu dois montrer des résultats, donc en tout je pense qu’on sera une…

Ah oui, en plus grosso modo c’est sur candidature, mois qui aurait l’argent pour payer, mais qui n’a pas de shop d’e-commerce, un touriste, je ne serais pas accepté.

Non non, c’est… après essaye peut-être de leur montrer tes chiffres, mais bon, ça ne va pas les intéresser, parce qu’eux ils font vraiment spécialisé e-commerce et ils demandent les montants.

Ils demandent les montants sur Shopify.

Ils font zéro pub, en fait ils ont juste un groupe Facebook avec plein de gens qui sont intéressés, ils ont posté, ils n’ont même pas besoin de faire de pub et ils trouvent directement 20… je ne sais pas combien on sera, on sera genre 20 ou 30 personnes qui génèrent des… comme ils le disent, ce n’est pas pour des débutants. Donc après je ne sais pas à quel palier ils ont mis, mais je pense que c’est au moins 1 000 € par jour avec…

Ouais, 12 000 € c’est au moins, strict minimum 1 000 € de vente par jour, ouais, ça ne peut pas être en dessous.

… pour mettre 12 000 €, pour cinq jours, ouais. Dans tous les cas, il faut toujours investir en vous, apprendre, et dès que… C’est un peu frustrant d’ailleurs, parce que les premiers euros que vous allez gagner sur internet, vous allez tout de suite les remettre en formation, mais c’est normal, il faut faire ça. C’est uniquement en continuant de mettre que vous allez grossir et continuer d’apprendre. Et voilà, les entreprises… je dis toujours, les entreprises qui s’écroulent ou les gens qui ne progressent pas dans la vie, c’est des gens qui arrêtent d’apprendre, qui croient qu’ils savent tout. Moi aujourd’hui je suis un petit peu vu, de la communauté, un petit peu comme un expert et je n’aime pas trop ce mot-là, parce que franchement, ça ne fait qu’un an et demi que je me suis lancé dans l’e-commerce. J’ai lancé une formation et tout, mais honnêtement j’ai plein de choses encore à apprendre. Donc j’essaye de continuer d’apprendre auprès de gens qui m’inspirent, qui font beaucoup plus que moi. Et voilà, l’idée aussi c’est d’être évidemment le plus… on dit souvent, tu sais, être le plus débile dans la salle. Donc éviter… alors, c’est toujours bien d’aller parler peut-être avec des gens qui sont aussi… qui ont peut-être moins de niveaux que vous, je n’ai pas envie d’être le snob. Et d’ailleurs si vous venez me parler, même si vous gagnez zéro sur internet, vous êtes juste… ça vous intéresse, voilà il n’y a pas de problème, je ne vais pas vous snober ou quoi que ce soit. Je sais que dans ce milieu-là il y a certaines personnes qui ont tendance un petit peu, vous savez, à « je ne te parle pas si tu ne fais pas x euros par mois », je ne suis pas dans cette logique-là. Simplement, c’est vrai que par rapport aux formations, j’ai tendance à plutôt me former auprès de gens qui ont vraiment les résultats que je cherche à obtenir et qui font plus que moi, ce qui est un peu logique.

Infoprenariat + e-commerce, quel intérêt ?

Alors, première question que vous posez certainement, l’infoprenariat, on réalise à peu près 70-80 % de marge, au minimum, vis-à-vis de ses différents produits. L’e-commerce, c’est plutôt entre 25 et 40 % de manière générale. Alors, pourquoi un infopreneur devrait réaliser du e-commerce ? Parce que toi tu as connu l’infoprenariat, donc pas avec des gros succès, mais tu as fait Salto Arrière, Roman Mouvement.

Ouais, j’étais à Salto Arrière 500 € par mois, Roman Mouvement 1 500 € par mois, donc ce n’était pas les gros succès, mais je pense que c’était correct.

Ouais, c’était correct, en tout cas tu as bien compris le milieu de l’infoprenariat.

Après ça m’a pris du temps, ça m’a pris du temps. Ouais, ouais, c’est sûr.

Alors, pour quelle raison moi je vais lancer le print-on-demand en 2018, donc vis-à-vis de mes propres produits, pour quelles raisons un infopreneur devrait donc s’intéresser au e-commerce au dropshipping au print-on-demand ou même peut-être avoir un shop vis-à-vis de ses différents produits. J’avais un membre de mon Mastermind qui avait… voilà, qui a une chaîne YouTube sur le fitness. Donc du coup qui était déjà…

Ouais, et qui a lancé… Alex… ?

… et qui a lancé un shop, ouais.

En fait on arrive… on en parlait avec Maxence, on arrive à un espèce d’entrecroisement aujourd’hui. Avant on parlait tout le temps… enfin, on séparait toujours l’infoprenariat et l’e-commerce, les produits physiques, les produits d’information, mais en fait les deux – et c’est ça un peu qu’on voulait vous dire dans cette vidéo – les deux se rejoignent finalement. Et même si je vous conseille au tout début de vous concentrer évidemment sur un seul, donc par exemple : ne vous dites pas « je veux faire de l’infopreneriat et de l’e-commerce tout de suite » même si ça peut être utile dans certains cas, mais essayez quand même de vous concentrer sur un produit au départ.

Au début, focus.

Au début focus. Mais une fois que vous avez une certaine gamme de produits, vous pouvez vous dire « OK, bah ça marche bien, maintenant comment je peux étendre – donc si on prend la place d’un infoprenariat qui commence à bien tourner : 1000 – 2000 – 3000 € par mois – comment je peux gagner plus sans trop me casser la tête ? » Tout simplement proposer des produits physiques qui correspondent à ce que vous enseignez et c’est beaucoup plus simple que ce qu’on peut croire. Moi je me souviens, je n’avais pas fait l’effort à la base sur Salto Arrière, mais par exemple j’avais une vidéo, je vous donne un exemple : à Salto Arrière, j’avais… et même Roman Mouvement, j’avais de nouveau buzzé sur ça, le grimpé de corde, parce que je parlais et voilà, j’étais le seul à avoir fait limite une vidéo sur le grimpé de corde. Et donc mon article était premier sur Google, donc j’étais super bien référencé. Et donc il y avait tous les jours, peut-être, 1 000 à 2 000 personnes qui regardaient cet article-là. Donc souvent…

Ah ouais ? Excellent.

Ouais, il y avait vraiment beaucoup de monde, souvent des pompiers, des choses comme ça, donc je recevais beaucoup de messages de pompiers et tout. Et le truc simple que j’ai fait à un moment, c’est que j’ai fait de l’affiliation, j’aurais pu tout simplement stocker les cordes, j’aurais pu complètement acheter par exemple sur Alibaba, ou sur des producteurs européens, un stock de cordes que j’aurais loué chez moi, enfin que j’aurais rangé chez moi, un stock de cordes à grimper. Donc je ne sais pas, j’aurais pu les acheter, je pense, à l’unité 5 balles et j’aurais pu les revendre 50, quelque chose comme ça. Donc voilà, ça vous permet de lancer un autre business. Alors ce n’est pas tout à fait le même système que l’infoprenariat, il va falloir apprendre certains skills, donc peut-être faire du stock, si vous avez envie de faire du stock. Le plus simple au début, c’est juste faire de l’affiliation ou faire du drop shipping. Donc directement, c’est le producteur qui va expédier à votre client. Sachant que sur l’infoprenariat, le petit défaut qu’on peut avoir, c’est que souvent on va vouloir vraiment un produit top qualité. Donc je vous conseille de bien vous renseigner évidemment. Voilà, on n’a pas… enfin, ce n’est pas que sur Aliexpress vous avez des produits de merde, il y a de très bons produits, mais simplement n’hésitez pas, sachant que vous allez recommander à votre communauté, à tester les produits avant, ce qui paraît logique. Commandez-les, voyez comment… je ne sais pas, par exemple, un coach sportif qui donne des conseils en sport, il peut tout simplement commander, sur Aliexpress ou chez différents sites, des objets. Par exemple des bandes élastiques, des pantalons, des choses comme ça et les tester. Et puis, si ça lui plaît, bah tout simplement commencer à les vendre sur son shop.

Ouais, et vis-à-vis des différents tarifs, tu disais tout à l’heure hors vidéo, de manière générale si un produit est moins de 6-7 € sur Aliexpress, ce n’est pas forcément top qualité, mais au-delà de 7 € là…

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Même un peu plus, au-delà de 5 € vous pouvez faire des recherches sur Aliexpress si vous voulez vraiment des produits ou cherchez les produits top qualité, vous pourrez rechercher donc déjà des marques qui sont reconnues. Donc voilà, en fait c’est les mêmes marques que celles que vous achetez en France. Les gens des fois ils disent « ouais… » j’entends des gens qui disent « ouais, la Chine, ils font de la merde et tout ». Les trois quarts de ce que tu portes, les trois quarts de ce que tu utilises tous les jours…

C’est du made in china !

C’est du made in china. Aujourd’hui c’est 80 % de la production mondiale. Donc en fait, tout ce qu’on utilise et ce qu’on… et donc il y a de tout sur Aliexpress. Et comme sur beaucoup de sites de producteurs, il y a du bon, il y a du moins bon. C’est vrai que si, par exemple, vous recherchez au-delà de 5 €, vous allez commencer à voir des produits vraiment de bonne qualité. Souvent les produits un peu pourris ils vont être à 1 €, 50 centimes, vendus un peu à l’arraché par des mecs… Mais si vous savez un petit peu reconnaître… voilà, simplement sur Aliexpress, vous sélectionnez les producteurs qui ont des bonnes notes, vous allez pouvoir trouver des produits à vendre. Et puis là, on a parlé vraiment du dropshipping, donc des produits physiques que vous pourriez sourcer. Il y a d’ailleurs, si vraiment vous avez un problème avec la Chine, vous pouvez tout à fait vous renseigner en Europe, il y a des producteurs, il suffit de les contacter. Souvent c’est un peu plus compliqué et il va falloir poser sur la table un peu plus d’argent. Mais au-delà de juste les produits physiques, vous avez aussi le print-on-demand qui est une opportunité, aujourd’hui, je pense qui est assez incroyable et qui est particulièrement intéressante pour ceux qui font de l’infoprenariat.

Justement, pour rebondir sur le print-on-demand, donc moi c’est quelque chose que je vais mettre en place, donc la phrase « on veut du cash » ou encore, voilà, 50-97-197, là tu portes une collection de Cédric Annicette, donc « gros argent ».

Ouais, il a lancé son… alors lui, il a plus…

Branding de marque

Alors du coup, qu’est-ce qu’il a mis en place ? Ça pourrait peut-être être une étude de cas vis-à-vis du sujet, parce que ça alourdit et ça augmente le branding de la marque et c’est top vis-à-vis de l’infoprenariat.

Ouais, en fait c’est simplement que les gens aujourd’hui… Alors, juste pour expliquer du coup vite fait le print-on-demand, c’est quoi ? Le concept c’est simple. C’est que vous allez simplement créer quelque chose de visuel qui représente votre marque ou un petit peu votre mission et vous allez demander à une entreprise de l’imprimer sur des t-shirts, des mugs, vous pouvez l’imprimer sur vraiment plein de choses, sur des tableaux, vous pouvez vraiment faire plein de choses différentes. Et ensuite, vous allez vendre, vous, ce produit-là. Et en fait c’est souvent… ça peut être le producteur qui expédie directement chez vous. Donc Cédric lui, vu qu’il était à Maurice, il a fait faire à Maurice. Mais tu as tout à fait des app en fait qui sont sur Shopify par exemple, donc Shopify la plateforme de vente, qui te permettent en fait de créer tes designs. Donc il n’y a rien à envoyer, automatiquement les gens là-bas peuvent imprimer ton logo, le design que tu as fait sur un t-shirt et l’envoyer directement à ton client. Donc c’est assez magique, ça demande un effort très faible. Et bien sûr, l’idée c’est soit de faire un branding sur vos expressions à vous, donc ça c’est vraiment sympa, notamment quand vous commencez à avoir une bonne communauté pour renforcer le branding. N’hésitez pas aussi à pourquoi pas élargir encore plus et faire des expressions qui vont parler, parce que c’est ce qui va le mieux marcher pour vos t-shirts, parler un petit peu à votre communauté. Donc je ne sais pas, par exemple les gens qui jouent au poker, ils ont des expressions des gens qui jouent au poker. Et si vous arrivez à faire un t-shirt…

Comme la Bankroll, comme Tapis, All in…

Oui, comme All In, Raise… donc vous pouvez vraiment par exemple faire un t-shirt ou… voilà je balance le poker comme ça, mais je suis sûr que ça marcherait très bien, un t-shirt All In avec peut-être des graphismes un peu marrants, etc. Et un joueur de poker, quelqu’un qui joue régulièrement, vous lui mettez une pub Facebook comme ça, avec un t-shirt comme ça, donc en plus c’est facile à cibler les gens qui jouent au poker sur Facebook, évidemment il va tout de suite dire « ah c’est trop bien ». Rien que… déjà vous êtes sûr que même s’il n’achète pas, déjà il va liker, c’est sûr, parce qu’il… on a tendance à liker les choses auxquelles on croit. Et si vous voyez, je ne sais pas, un t-shirt de Maxence passer sur le business, etc., bah vous allez sûrement liker. Et là c’est un petit peu le même concept. On va liker, on va partager, donc fort taux d’engagement et derrière, beaucoup de ventes sur des t-shirts comme ça avec des citations qui sont fortes.

OK, vis-à-vis du tarif, si un t-shirt on le vend 30 €, à peu près c’est 5 € de coût, est-ce que tu as une petite tendance vis-à-vis de tout ça ? Et comment en fait on l’expédie, est-ce c’est directement le site en question qui expédie aux clients, est-ce que non, ça va chez nous et après c’est nous qui devons l’expédier ?

Toujours toujours démarrer en dropshipping quand vous testez votre idée. C’est-à-dire que c’est le producteur qui va faire votre t-shirt et qui va expédier. Au tout début vous passez tout simplement par des prestataires extérieurs. En France, vous avez un site qui s’appelle Tunetoo qui ça par exemple, T-U-N-E-T-O-O, j’ai vu, il n’y a pas longtemps, un géant américain qui s’appelle Print Fool, je crois que c’est Print Fool, du coup maintenant je me compte parce qu’ils ont tous Print dans leur nom, donc j’ai tendance à les confondre, mais je crois que c’est Print Fool qui a dit qu’il allait s’installer en Europe. Donc avant c’était beaucoup… il y avait beaucoup de print-on-demand aux États-Unis, mais là ça commence à arriver de plus en plus en Europe. Donc renseignez-vous, ça peut même… j’ai des amis qui avaient… voilà, les t-shirts étaient produits aux États-Unis et ensuite envoyés en Europe. Donc ça fait des délais un peu plus longs et vous payez un peu plus cher la livraison, mais ça peut aussi fonctionner… donc voilà, je vous conseille toujours toujours au départ de passer par un prestataire, ça va vous coûter plus cher, donc le t-shirt, tout dépend un petit peu de la qualité que vous allez prendre, mais ça va coûter entre, je ne sais pas, entre 8 et 12 € le t-shirt et vous pouvez le vendre entre 20-25-29 le t-shirt, donc ce n’est pas des marges incroyables, mais l’idée c’est de tester votre idée. Et si ça marche bien, vous allez tout simplement… c’est toujours un peu pareil, vous voyez, vous commencez par le dropshipping et le produit qu’ils ont super bien. Eh bah, tu peux tout simplement aller voir ensuite quelqu’un qui est spécialisé dans faire des t-shirts en grande quantité. Et là d’un coup, ton t-shirt, au lieu de le payer 8 €, tu vas le payer 50 centimes. Donc voilà, l’idée c’est toujours de démarrer par le dropshipping pour tester, pour voir un petit peu, pour ne pas prendre de risque, c’est le même concept avec tous les produits physiques, tester en dropshipping, et si ça fonctionne bien passer sur du stock, passer sur des producteurs… Voilà, Cédric il est directement passé par un producteur mauricien, donc ça lui a coûté beaucoup moins cher que si c’était imprimé en Europe. Donc après, à vous aussi de voir où vous vous fournissez, quelle qualité vous voulez dans vos t-shirts, vous pouvez choisir tout ça, mais c’est quelque chose d’assez prometteur, assez sympa. Et ce qui est fort, c’est qu’en fait vous, votre vraie valeur ajoutée ce n’est pas le produit, le t-shirt, c’est qu’est-ce que vous allez faire comme design. Et d’ailleurs, si vous n’êtes pas bon en design, peut-être certains d’entre vous se disent « ouais, mais moi je suis une chèvre sur Photoshop et quoi ». Ne vous inquiétez pas, c’est tout à fait possible de le déléguer. Par exemple, vous avez des sites comme Fiverr, F-I-V-E-R-R, il y a un équivalent français qui s’appelle « tout à 5 € » qui, comme le nom l’indique, vous permet de faire plein de tâches pour 5 € et donc vous pouvez assez facilement pour 5-10 € créer des graphismes et payer des gens pour vous créer des designs, tout simplement, leur dire ce que vous voulez, et c’est des gens qui sont bons sur Photoshop et qui vont vous créer comme ça des designs que vous allez pouvoir vendre sur votre site. Donc ce qui est bien avec le print-on-demand c’est que vous pouvez… j’avais un ami, il me disait « bah le top ça serait de… tu en fais un tous les jours, tu en fais un tous les jours, tu publies sur la page Facebook et à un moment il y en a un qui va plus marcher que les autres. Et celui qui marche plus que les autres, tu fais de la pub Facebook… » Enfin voilà, c’est vraiment la logique. Parce que de toute façon, dans tous vos designs, évidemment ça sera 80/20, il y aura un design qui va remporter 80 % de suffrage…

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Bah comme toutes les choses.

Comme toutes les choses, ouais, 80/20 ça reste la base.

Copywriting

OK, alors autre question. Donc si vous regardez la vidéo, vous êtes plutôt dans le dropshipping ou Amazon FBA, quel serait l’intérêt ? Parce qu’il y a un intérêt de s’intéresser à l’infoprenariat, peut-être pour le copywriter, peut-être…

Complètement, c’est une excellente question.

Qu’est-ce que tu répondrais ?

Je dirais que ça a encore plus de valeur. En fait je donne toujours cet exemple aux personnes qui me parlent. Il y a un Américain que je suis beaucoup, qui s’appelle Ezra Firestone qui a une entreprise qui a fait plusieurs millions. Je crois que l’année dernière il a fait… il ne faudrait pas que je dise de conneries, mais 40 millions sur son Shopify, donc c’est un très joli chiffre.

Grosse somme, 3 millions d’euros par mois.

Voilà, et lui, il a très peu de produits. Donc ce n’est pas forcément avoir plus de produits qui est la solution, mais c’est des bons produits : bio, machin… et c’est du maquillage pour les femmes de plus de 50 ans. Donc déjà, vous voyez, la promesse est très ciblée. C’est-à-dire on sait à qui ça peut intéresser. Le maquillage, alors je crois que c’est plus de 40 ans, je dis peut-être une connerie, plus de 40 ans, en tout cas pour les femmes qui sont un petit peu âgées. Et il se concurrence… enfin, il fait de la concurrence à L’Oréal et tout en disant simplement, voilà L’Oréal, les grandes marques, elles disent : tu sais vous avez quel… que vous allez… c’est des crèmes antirides, anti-vieillesse, donc en fait qui est un petit peu… crache sur votre vieillesse. Et lui, il dit simplement, nous, on fait des crèmes qui sont pro-âge, donc c’est-à-dire qui subliment votre vieillesse. Donc au final c’est les mêmes crèmes, on est d’accord, c’est juste du marketing, mais marketing-ment c’est très bon, parce que finalement il dit aux femmes âgées qu’en fait elles n’ont pas honte, elles n’ont pas à avoir besoin… et le message, vous voyez, le message émotionnel, les gens achètent des émotions, le message émotionnel est très fort. Ce qu’il dit simplement aux femmes âgées, aux femmes de plus de 40 ans, c’est : il leur dit tout simplement « vous n’avez pas à avoir honte d’avoir 40 ans et vous pouvez encore être belle et briller à cet âge-là avec notre gamme de maquillages ». Et lui, pourquoi je te parle de lui par rapport à ça, c’est que lui, la page qui lui a rapporté le plus, il y a une page qui lui a rapporté, je ne sais plus combien il disait : 10 millions, c’est tout simplement une page qui… en fait c’est un article qui donne cinq conseils pour se maquiller quand on est une femme qui a plus de 40 ans. Et cet article en fait, c’est ça qui faisait… lui, au lieu de faire de la pub sur les produits, il fait de la pub sur cet article-là. C’est un petit peu magique, parce que si vous êtes une femme, imaginez-vous à la place d’une femme qui a plus de 40 ans, vous voyez passer ça, évidemment vous allez cliquer, parce que c’est peut-être sûrement une problématique que vous avez : « ouais, je suis âgée, je commence à voir des rides, comment je peux… » voilà, etc. Il faut savoir que le maquillage c’est un marché qui est énorme. Tu sais sur les plus gros sites de Shopify, le top 5, je crois qu’il y en a trois c’est du maquillage. Donc c’est un marché énorme énorme et c’est pour ça que L’Oréal cartonne et il y a plein de marques qui cartonnent, Kim Kardashian, la sœur de Kim Kardashian a lancé une marque de maquillages, elle a fait carrément planter Google, enfin, c’est des trucs de fou. Mais tout ça pour dire, ouais, faire du contenu et ensuite emmener sur un produit c’est excellent, parce que du coup vous apportez de la valeur aux gens, donc gratuitement les gens sont sur Facebook, en plus ça plaît beaucoup de lire des articles, des conseils, des choses comme ça sur Facebook. Et derrière, bien évidemment dans les cinq conseils, donc il donne cinq conseils et à la fin il dit : « bah voilà, pour respecter ces cinq conseils là, on vous conseille nos crèmes, parce que les crèmes des concurrents ne respectent pas ces cinq conseils-là ». Donc peut-être qu’un des conseils c’était : utiliser uniquement des produits naturels. Et comme par hasard, nous, dans notre crème, on a des produits naturels et on a un ami en commun, tu sais, Laurent *Bréa*, il donnait une stat comme ça, que je trouve hyper intéressante, il disait qu’en gros une entreprise qui donne des conseils à son client, donc des conseils purement utilisation ou des conseils sur le domaine dans lequel il souhaite s’améliorer, il y a 300 ou 400 % de chances de plus que le client finisse par choisir cette entreprise pour acheter le produit. C’est une façon un petit peu de remercier et voilà, c’est excellent. Donc si vous avez un e-commerce, faites des articles…

Donnez de la valeur aussi gratuite, parce que c’est bien de vendre, c’est le nerf de la guerre et félicitation et bravo à vous. Et à chaque fois, systématiquement, c’est important, c’est que les gens se disent : OK, qu’est-ce qu’il peut m’apporter ou alors est-ce que je me retrouve dans tel ou tel sujet ? Et ça, voilà, après vous avez le client fidèle à vie et c’est ça la beauté.

Tu peux faire de la vente directe en e-commerce – à l’heure actuelle je fais quasiment que de la vente directe – mais il faut toujours penser à cette vente indirecte, surtout qu’après… Ezra Firestone, celui dont je te parlais, il a une technique assez intelligente, c’est-à-dire que les gens par exemple qui ont regardé l’article, mais qui n’ont pas vu les produits, il va leur mettre une pub sur Facebook en leur disant : venez voir nos produits. Ceux qui ont vu les produits et qui n’ont pas acheté, il va mettre une pub « achetez nos produits ». Donc tu as compris, il remet une pub à l’endroit où le prospect s’est arrêté. Et donc c’est excellent, parce que c’est un système comme ça qui se nourrit par lui-même et qui fait en sorte un petit peu que le prospect suit. Donc évidemment, ça demande plus d’efforts de faire cet article-là avant de vendre, c’est plus facile d’envoyer les gens directement sur une page de vente, mais vous allez voir que vos coûts par acquisition vont évidemment beaucoup diminuer quand vous ne vendez pas juste les produits physiques, mais vous apportez de la valeur, des conseils. Et d’ailleurs, il y a des sites qui marchent très bien, tu sais, par exemple test d’appareils photo. Voilà, ils vous donnent des conseils et vous dites : OK, bah je vais acheter sur ce site-là, parce que c’est ce site-là qui m’a conseillé. C’est pareil d’ailleurs, c’est basique, ce qui se passe sur internet, c’est pareil, ça se passe en réalité. Je ne sais pas, si vous allez à la FNAC, le vendeur il ne vous regarde pas, il vous crache à la gueule, vous n’avez pas envie d’acheter, par contre si vous allez dans un autre magasin et que le vendeur vous donne des conseils, il vous dit « tiens, tu vas essayer ça, tiens il faut essayer les appareils ». Même si vous n’êtes pas convaincu du produit, vous allez quand même vouloir l’acheter pour le remercier quoi. Donc, ouais, le contenu reste… il y a un Américain, il disait « la vente c’est le king et le contenu aujourd’hui en e-commerce c’est la queen, c’est la reine », donc il faut en faire aussi si vous faites du e-commerce évidemment et pourquoi pas des produits d’infoprenariat aussi, complètement.

Ses conseils pour percer dans le business en ligne

OK, alors pour finir sur une dernière question, donc vis-à-vis des États-Unis, donc moi j’aime bien avec Roman, souvent il me fait des petits résumés de formation ou juste en échangeant avec lui, moi j’apprends énormément de choses. Généralement…

J’apprends aussi énormément en échangeant avec toi Max.

… les États-Unis ont trois ans, quatre ans, cinq ans en avance, qu’est-ce qui se passe un petit peu là-bas ? Est-ce que maintenant, beaucoup d’infopreneurs sont dans le e-commerce, les e-commerces font aussi pas mal de contenus gratuits… Comment ça se passe ? Est-ce qu’il y a déjà une vision, parce que là voilà, en France on est encore à ses balbutiements. On a souvent deux-trois-cinq ans en fonction du sujet précis en retard vis-à-vis des USA, donc…

Ça a tendance un petit peu peut-être à se réduire aujourd’hui avec internet, parce que les infos vont très vite, c’est que les Français consultent des fois du contenu anglais, etc.

De plus en plus de Français se forment aux États-Unis et donc…

Voilà, donc du coup ça se mélange, mais comme tu dis, je pense qu’il y a au moins deux à trois ans. C’est-à-dire qu’aujourd’hui, ce que tu payes en publicité Facebook aux États-Unis, c’est encore très loin de ce que tu peux payer, par exemple si tu cibles la France. Donc voilà, c’est plus dur de réussir aux États-Unis, ils sont plus nombreux, donc c’est toujours intéressant de regarder ce qu’ils font. Et en effet bah…

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Comment gagner de l'argent avec le Bitcoin sans risque ?

Est-ce qu’il y a un ou deux games changer que tu vois là-bas et qui n’est encore pas apparu en France ou tout est déjà apparu en France ?

Comme je te dis, voilà, c’est toujours… de toute façon, si tu veux fonctionner en business, c’est toujours arriver à faire l’effort que tes concurrents ne veulent pas faire. Donc si tu es prêt à faire du contenu, alors que tes concurrents ne le font pas, tu vas passer devant. Si tu es prêt à faire en sorte d’avoir un produit qui est meilleur que ta concurrence, tu vas passer devant. Si tu fais en sorte d’avoir un meilleur service client, tu vas passer devant. Donc en fait, c’est ça un petit peu, c’est qu’aujourd’hui, bah il y avait un moment où c’était un peu l’époque d’or du dropshipping où tout le monde faisait des shops un peu à l’arrache. Et encore en France, c’est encore un peu le cas, je vois des shops qui marchent qui sont faits à l’arrache, voilà. Et ça peut fonctionner, notamment parce que les gens des fois sectionnent des bons produits qui ont un buzz. Mais sur le long terme, c’est que j’ai beaucoup plus tendance à penser long terme, je ne cherche pas à me faire un peu d’argent puis me barrer en courant. J’essaye vraiment de construire une marque. Donc au début, tu attaques avec ce que tu peux et peu à peu tu construis, tu améliores. Et je pense qu’aux États-Unis, ça va devenir de plus en plus compliqué pour les gens qui font, comme je te dis, des choses à l’arrache et qui essayent de vendre des trucs un peu comme ça a vite fait sur Facebook et qui n’ont pas cette vision un petit peu long terme de récolter des e-mails, de construire une relation. Aujourd’hui, ce que disent tous les Américains, et je pense que c’est ça, à comprendre c’est que si tu veux continuer à être là dans le business, il faut que tu construise ton back-end. Donc le back-end, c’est la relation et les offres qui viennent après le premier achat. Donc arrêtez de tout miser sur le premier achat, parce qu’il y a des gens aujourd’hui qui ont fait beaucoup d’argent sur Facebook avec vraiment juste un achat. Mais derrière, quelqu’un qui vous achète un produit un peu buzz, genre un hand spinner ou des coques iPhone, derrière, comment vous allez lui vendre d’autres choses ? C’est plus compliqué que si vous avez vraiment créé une niche, vous êtes vraiment niché et que les gens vous aiment, vous, plutôt que… voilà, le… En fait, moi je dis souvent, tu vois quand tu fais un shop généraliste, c’est marrant parce que personne… enfin, en infoprenariat, les gens voient moins cette erreur, même si elle se fait un petit peu, tu sais, de vouloir parler de tout. Et en e-commerce, tu as encore beaucoup de gens qui font des shops généralistes. Et le problème du shop généraliste, c’est que du coup tu n’as pas vraiment de relation avec les gens qui te suivent et du coup c’est plus difficile de leur vendre des choses après, alors que tu sais très bien que l’argent… la vraie argent est surtout gagnée après, pas à la première vente. Donc voilà un petit peu le sentiment que j’ai aux États-Unis et ça se développe de plus en plus comme ça. Donc c’est un petit peu comment tu crées ta marque, comment tu fais en sorte que les gens te suivent toi, te choisissent toi et comment tu continues de grossir.

Ouais, puis j’ai vu… alors, je ne sais plus si j’ai entendu ou lu une stat, a priori 83 % des clients de Coca, si on leur met du Pepsi, ils croient que c’est du Coca. Donc c’est vraiment la puissance de la marque. Et c’est assez incroyable, on pourrait se dire… souvent les gens aussi ils achètent les produits. Maintenant, tellement une marque est ancrée dans l’esprit ou les gens kiffent cette marque en question…

Regardez le McDo…

McDo, c’est le même genre.

McDo aujourd’hui ils font même des publicités, ils mettent même plus leur logo, ils mettent juste un burger et…

Et on se dit : boum, c’est McDo, tellement ils sont puissants.

Et ils sont tellement puissants. Et même, ça va plus loin que ça, c’est-à-dire qu’ils sont tellement puissant que quand Quick fait de la pub, McDo gagne plus… alors, j’avais lu une stat, un truc comme ça…

Ah oui, McDo gagne encore plus d’argent, donc c’est horrible pour eux.

McDo gagne plus d’argent que Quick, parce que bah voilà, quand vous faites une pub pour un burger, les gens pensent aux burgers et voilà. Donc vous c’est… vous, si vous êtes petits, peut-être vous allez faire des pubs sur les produits et les gens vont aller acheter sur Amazon, parce que Amazon est plus puissant. Donc ouais, l’importance d’avoir, comme tu dis, d’avoir une marque forte. Et c’est un impact, je pensais aussi à Nike, Nike c’est incroyable, pour les gens qui aiment… si vous aimez bien le sport et la muscu, moi je le vois, un short noir exactement normal, enfin sans le Swoosh, voilà ça vaut dix balles. Tu mets le Swoosh, ça vaut 50 €. Et tu es content de payer les 50 € et tu as l’impression, parce que tu n’achètes pas juste un produit, tu achètes vraiment toute une philosophie derrière ça, tu achètes…

Tu te sens… tu as l’impression d’avoir une meilleure estime de toi-même, une meilleure confiance en toi. C’est con, mais…

Et c’est ça, c’est ça qu’ils vendent, c’est-à-dire qu’évidemment derrière, il faut que le produit ne soit pas de mauvaise qualité, mais ce qu’ils vendent ce n’est pas vraiment le produit, c’est la promesse, c’est ce que…

Le ressenti personnel que tu as.

C’est l’image, c’est un petit peu ton égo, ce que ça va ressentir… même tu vois, les voitures de luxe, les gens n’achètent pas des voitures de luxe pour… voilà, ceux qui me disent, j’achète une voiture de luxe parce que… non, tu achètes aussi une voiture de luxe un petit peu pour l’ego, parce que… Et puis même pour toi-même, d’ailleurs l’égo on pense l’image que les autres ont de nous, mais c’est aussi pour soi-même. Quand on achète une belle chose, on se dit : voilà je suis quelqu’un de beau, je suis quelqu’un qui vaut cette chose-là. Donc…

Bah, je vais te donner l’exemple personnel, là je suis habillé en Hugo Boss, tu te sens mieux que si j’étais habillé en Camaïeu ou en LV… comment s’appelle le magasin aussi qui n’est pas cher, ou en Zara ou que sais-je, bref, je me sens mieux, mais c’est inconscient. Parce qu’au final, Hugo Boss, la qualité de l’habit n’est pas 20 fois supérieure, mais c’est clair qu’on se sent mieux.

Et donc l’important aussi de créer votre marque et de peu à peu… alors, ça se fait au fur et à mesure du temps, évidemment vous n’êtes pas Nike, vous ne pouvez pas sortir un slogan et faire des pubs à plusieurs millions pour captiver les gens. Mais construire et penser dès le départ quel est un petit peu l’objectif, en quoi vous vous différenciez, quelles sont les valeurs de votre marque. Et c’est ce qui va faire la différence entre votre business qui va rapporter un petit peu d’argent, parce qu’il faut faire la différence entre un petit business qui va rapporter un coup 10 000 balles, parce que vous avez profité d’un petit…

D’un effet de rush.

D’un effet de rush sur Facebook et un business qui va être là sur le long terme. On le voit, les entreprises qui survivent 5 ans, 10 ans, 15 ans, 20 ans, 50 ans, bah elles ont une forte… tout simplement elles ont des gens qui sont fans et une valeur à vie par client qui est incroyable. Apple par exemple, aujourd’hui je suis sur iPhone, je suis sur Mac et c’est vrai que… à moins d’un tremblement de terre, à moins d’un gros changement, je pense que je ne changerais pas, parce que voilà. Non seulement je crois, je suis content et je suis satisfait des produits, mais aussi j’adore la philosophie d’Apple, donc feel different, les pubs qu’ils font. D’ailleurs c’est marrant de regarder par exemple une pub du parfum, on ne vous montre pas dans un parfum, les vraies pub de parfum, souvent on ne montre même pas le parfum. C’est juste l’évocation et ce que ce parfum représente, donc la classe, l’amour… et c’est simplement ça qu’on vous vend. On vend beaucoup des émotions et donc je pense, de faire ce travail-là sur votre propre shop, à votre niveau évidemment, ça va vous permettre de vraiment fédérer une communauté et derrière pouvoir vendre vos produits. Et en plus, ce qui est bien, c’est que… c’est un peu comme toi, il n’y a pas de concurrences en fait. Il n’y a plus de concurrences, quand vous êtes capable de créer comme ça une image de marque qui est forte, il n’y a plus de concurrences, les gens ils veulent acheter chez Maxence, ils veulent Maxence, ils ne veulent pas quelqu’un d’autre, parce que Maxence a créé une image de marque forte.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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