De 0 à 325 000 € en 3 mois

De 0 à 325 000 € en 3 mois

De 0 à 325 000 € en 3 mois. Je suis avec Eric Benhanzin à Paris.

Bienvenue une nouvelle fois. J’ai déjà rencontré Eric par le passé à de nombreux évènements notamment de développement personnel et de business.

Eric : Ouais !

Maxence : Ok ! Grand plaisir de réaliser une vidéo avec toi. Egalement, tu es l’auteur du livre qui vient juste de sortir donc 12 jours

Eric : Exactement.

Maxence : Où tu expliques voilà, comment tu as réalisé donc 12 jours sans nourriture, sans eau. Donc, ça paraît un petit peu extraterrestre en quelque sorte.

Eric : Ouais ouais carrément !

Maxence : Mais voilà, moi j’aime bien le dire : la clé de la persévérance pour pouvoir avoir du succès et là tu as un exemple type et donc on va revenir sur tout ça en détails aussi ben, comment tu vends des programmes très haut de gamme, comment tu t’y prends pour qu’il y a des gens qui arrivent à te faire confiance.

Eric : C’est ça !

Maxence : Jusqu’à voilà, 150 000 € des programmes d’accompagnement. Donc, c’est quand même plutôt sympatico.

Salut Eric ! Est-ce que tu peux rapidement te présenter pour les gens qui ne te connaissent pas.

Eric : Alors, moi, j’ai deux parties de ma vie. La plupart d’entre vous, peut-être si vous regardez les évènements d’infopreneurs, vous avez vu que j’étais coach vocal pendant des années. En fait, j’étais d’abord chanteur professionnel depuis 2002. Donc pendant plus de quinze, vingt ans, j’ai fait de la musique de manière professionnelle et j’ai fait de l’enseignement. Et ensuite, j’ai commencé à coacher des entrepreneurs en 2015 et là, on a créé donc la marque Business Fulgurant et je viens d’écrire donc du coup ce livre : 12 jours.

L’idée du jeûne pour développer son business et sa productivité

Maxence : Alors, première question que vous vous posez certainement : comment ça t’est venue cette idée en quelque sorte de jeûner et surtout de ne rien manger. Quel a été ton ressenti. Qu’est-ce que tu en as appris pour ta productivité, pour ton business, pour tes croyances, parce que vous avez peut-être déjà entendu cette statistique qui est souvent du pipo pour les gens qui le réalisent. On dit ouais, le corps humain va tenir trois-quatre jours sans manger, sans eau et voilà, toi tu as fait beaucoup plus.

Eric : Voilà, c’est ça ouais.

Maxence : Donc, dis-nous tout le ressenti de cette expérience par rapport à ces 12 jours où tu as exploré ton corps en profondeur.

Eric : Ouais, alors déjà, la première chose, c’est que la raison pour laquelle j’ai réalisé ça, je n’ai pas fait de but en blanc. J’avais déjà l’habitude d’avoir quelques jours de jeûne. Et il faut savoir que moi je viens de très loin. C’est à dire que j’avais même une grosse addiction à la nourriture et je mangeais n’importe comment. Donc, j’étais capable de manger deux sandwichs grecs d’affilés et c’était cheese burger, frite, ainsi de suite.

Maxence : A la base donc, niveau fast-food, McDo tu connaissais ouais. Tu viens de loin !

Eric : Je connaissais très bien. Je viens de très très très loin. Et en fait, au fur et à mesure que j’ai commencé à évoluer et à m’intéresser à la croissance et au développement personnel et tout, je me suis rendu compte qu’il y a beaucoup de choses, beaucoup d’habitudes que j’avais qui étaient forcément délétères, qui me détruisaient et puis j’avais des problèmes de dos. Il y a plus de quinze ans, j’avais des problèmes de dos. Et moi, je pensais que c’est parce que je portais des instruments lourds et ce genre de chose. Et donc, du coup, il m’arrivait d’avoir des lumbagos et d’être bloqué. Alors tu imagines, tu as 27 ans et tout le temps tu es bloqué alors que tu es censé être en pleine forme. Tu te dis : bon, voilà ! Et au fur et à mesure en fait, j’ai commencé à changer d’alimentation, sans vraiment m’en rendre compte. Et je me suis rendu compte qu’en effet, ça avait des conséquences directes sur mon niveau de santé, sur ma qualité de vie. Donc, au fur et à mesure, j’ai commencé à pousser et à aller plus loin. Donc, à m’intéresser aux fruits et légumes, ainsi de suite. Puis, il y a un certain moment j’ai lu un livre d’Anthony Robbins qui s’appelle pouvoir illimité. Il dit une phrase qui m’a choqué et qui est restée ancrée en moi, c’est : nous sommes vivants, nous devons manger de l’alimentation vivante.

Maxence : D’accord ! Donc, toi, tu prônes le manger vivant.

Eric : Alors concrètement, je suis parti là-dessus à la base.

Maxence : Ok.

Son expérience du jeûne

Eric : Donc du coup, j’ai voulu expérimenter. Parce que moi, j’aime bien le terrain. Donc, j’ai expérimenté ça pendant 10 jours au départ. Je suis parti et ce qui se passe c’est que j’ai commencé à fondre à vue d’œil, mais en même temps, j’avais beaucoup plus de vitalité, j’étais beaucoup plus smart, beaucoup plus perspicace, j’étais rapide, léger et du coup, j’allais beaucoup mieux. Et donc, j’ai poussé pendant trois semaines. Et en trois semaines, j’ai perdu à peu près 10 kg. Alors pour la plupart des gens, c’est carrément dingue, mais en réalité, j’allais très très bien. Donc, du coup, ce que j’ai décidé de faire c’est que je me suis dit : ok, chez moi, je n’achète plus de viande, je n’achète plus de choses, de pain, de ce genre de chose. Et puis, c’est quand je vais chez les autres ou quand je suis au restaurant que, bon, voilà, là je vais m’adapter aux situations. Et donc, j’ai continué à garder ça. Donc, si possible manger vivant.

Maxence : Ok.

Eric : Et en fait, j’ai poussé un peu plus loin. Parce que je me suis rendu compte qu’en faisant des lectures des Docteur Shelton, Docteur Heray, même dans des livres russes. Et je vais t’expliquer pourquoi je parle de russe, c’est qu’ils parlent de jeûne. Et il y a beaucoup de gens qui ont été guéris suite à des jeûnes très longs. Et il faut savoir que le seul endroit où ils ont poussé les jeûnes secs c’est en Russie.

Maxence : D’accord.

Eric : D’accord. Et donc, ils ont fait des expériences de trois, cinq, dix ou douze jours. Il y a même quelqu’un qui parlait d’un record à dix-huit jours, mais les sites que j’ai trouvés où en parlaient, alors ce sont des sites russes, donc tu es obligé d’utiliser Google Traduction, je ne parle pas le Russe. Et ils expliquent que donc il y a des maladies qui disparaissent au bout de plusieurs, plusieurs, plusieurs jours.

Donc, moi, j’avais un problème de peau. J’avais pas mal de choses que je voulais régler et en plus, je voulais me reposer. Donc, j’ai décidé de prendre douze jours. Je ne savais pas trop, je n’étais pas sûr si je voulais le faire ou pas, mais j’ai, comme en même temps j’avais envie d’écrire un livre depuis des années, et deux jours avant, j’ai eu cette pensée. Je dis : bon, ben, maintenant que tu as tes douze jours de repos, c’est le moment de le faire ce livre. Je suis : ah ok.

Ecrire un livre pendant un jeûne sec de 12 jours

Et donc, du coup, je l’ai fait. Donc, j’ai fait d’une pierre deux coups si je peux le dire. C’est que j’ai écrit ce livre en douze jours et en même temps, j’ai fait ce jeûne de douze jours. Et donc, du coup, ce livre en fait, il, sur les pages de gauche pour ceux qui sont cerveaux gauche, rationnels, j’ai écrit la méthode fulgurante pour devenir riche, heureux et fier de vous. Et sur les pages de droite, c’est : je raconte mon histoire. C’est-à-dire je raconte mes douze jours : jour 1, jour 2, jour 3, jour 4 jusqu’au douzième jour et en plus, je me suis filmé.

Maxence : Ok.

Eric : Donc, comme ça, les gens pourront me voir et que c’est réel. J’ai vraiment vécu. Et du coup, c’est un livre qui raconte en fait sur les pages de droite quelque chose de très émotionnel, très très personnel, et sur les pages de gauche, ben, la méthode : comment est-ce qu’on fait pour devenir riche et comment est-ce que je réussis à justement faire ces 325 000 € en trois mois et voir beaucoup plus sur les mois qui suivent.

Maxence : Alors qu’est-ce que tu as ressenti, à partir de quel jour tu t’es dit : wah, soit je suis fatigué ou soit inversement. Est-ce que c’est des idées ultra-claires et limpides. Et là, tu te dis : waouh, c’est ça que je dois réaliser au cours des prochains mois ou prochaines années dans mon business.

Eric : Alors en fait, je savais déjà, avec toutes les recherches que j’avais faites et puis j’avais déjà expérimenté de faire des jeûnes un jour, deux jours, trois jours, j’avais poussé jusqu’à quatre jours et demi. Donc, je savais qu’au bout de quatre jours et demi, ça allait, je fonctionnais bien, j’étais en pleine santé. Je dis, mais qu’est-ce qui m’empêche d’aller plus loin.

Maxence : Ok.

Eric : Et ce qui se passe c’est que quand je faisais ces jeûnes-là, j’avais un environnement, j’avais des proches, ainsi de suite. Mais je n’avais jamais fait tout seul. Et donc du coup, j’ai décidé de m’isoler. Et comme c’est douze jours, c’est le temps que j’avais entre mon dernier rendez-vous professionnel et un autre rendez-vous que j’avais, j’ai dû demander à mon équipe : réservez-moi une maison pendant douze jours. Et puis, pour douze jours, je suis parti.

Les croyances limitantes autour du jeûne

Maxence : Ok. Donc, ça c’est top. Alors quelle croyance as-tu cassée, puisque moi je t’ai connu avant que tu lances justement tes programmes à 35 000 € ou plus. Voilà, quelle croyance ça t’a permis de casser grâce à cette expérience.

Eric : Alors, l’une des choses, je pense qui a été le plus important pour moi, c’est de comprendre que la croyance c’est le fondement même de nos résultats. C’est-à-dire que si la raison pour laquelle en fait, je n’avais pas de résultat vraiment décisif et qui allait vraiment transformer complètement mon business et mon entreprise, c’est que j’étais limité là-dedans. Et donc, du coup, c’était une chose de savoir pour moi que c’était possible, mais du coup, j’ai voulu le vivre. Et en fait, il faut savoir que le cinquième jour, donc, quand j’ai dépassé les quatre jours et demi, la fameuse limite que j’avais jusqu’à maintenant, j’ai commencé à avoir des crises d’angoisses.

Maxence : Ok. Alors, donc, c’est-à-dire, genre tu tremblais, tu as failli tomber dans les pommes ?

Eric : Alors, crise d’angoisse, ça veut dire : non, alors physiquement, je n’ai eu aucun problème. Par contre, c’était dans mes pensées et dans mes émotions, il y avait plein d’anciennes croyances qui disaient : mais tu vas mourir, mais tu es sûr que tu vas vraiment pousser ça jusqu’au bout ? Mais tu imagines si on te retrouve là par terre ou le propriétaire de la maison il te retrouve …

Maxence : Ouais tu vas faire un malaise ?

Eric : Tu vas faire un malaise, il va se passer n’importe quoi, tu vas tomber d’un coup, enfin, pleins d’idées préconçues qui me sont venues quoi d’un seul coup le cinquième jour. Et donc en fait, c’est une somme de peur. Clairement, c’est une somme de peur. Parce que je me suis rendu compte que pendant des années, des années et des années, je m’étais déjà dépassé, mais là, le fait de vivre ça, c’était un peu mon Everest.

Maxence : Ok.

Eric : Tu sais le treizième, le quatorzième jour, j’ai pris l’avion et j’ai vu le film à l’époque : L’ascension de Ahmed Sylla, avec Ahmed Sylla. Et en fait, c’est quelqu’un, c’est un jeune de banlieue qui monte l’Everest en fait. Et c’est basé sur une histoire vraie, mais sauf qu’il n’avait pas de préparation, rien du tout. Et ce qui est assez terrible, c’est que pendant qu’il est en train de monter, on voit des corps de personnes qui meurent.

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Maxence : Ah je l’avais vu ouais ce film.

Eric : Qui sont mort. Ouais, et c’est assez terrible. Et on dit, mais le plus dur ce n’est pas monter, le plus dur c’est de redescendre vivant. Et là, moi, j’étais en fait, lorsque j’ai vu ce film, j’en ai pleuré parce que c’est ce que j’ai vécu. Je me suis dit : mais en fait je pourrais peut-être mourir.

Maxence : Absolument !

Eric : Et tu imagines le mindset qu’il faut pour continuer et se dire : non tu vas jusqu’au bout. Non, tu ne vas pas mourir. Et là en fait, il y a vraiment eu cette idée où je me suis dit : ok, qu’est-ce que tu as dit, est-ce que tu y as cru et la raison pour laquelle tu l’as fait. Est-ce que tu y crois ou pas ? Je dis : ouais j’y crois. Alors tu y vas, tu vas jusqu’au bout. Et donc, ça pourrait paraitre insensé, mais c’est exactement le même mindset qu’il faut pour regarder un entrepreneur et lui dire : écoute, je vais t’aider à multiplier ton business par dix dans les dix-huit prochains mois ou sinon je te rembourse le double de ton investissement. Et ton investissement, c’est 35 000 €.

Et il faut le même type de certitude, le même type d’ancre, quand je dis d’ancre c’est de confiance en soi pour pouvoir se dire : oui, on va le faire ensemble. Oui, on va y aller. Et c’est vrai qu’il y a ce rapport à la vente. Et je parle de la vente forcément dans le livre. Et ce rapport à la vente qu’on a, ce rapport à ce qu’on a à l’autre où on lui dit : écoutes, viens avec moi, on va travailler ensemble, je sais ce dont tu as besoin et je vais t’aider à passer au niveau supérieur, eh bien c’est exactement la même chose. Parce que la réalité c’est que les démons ils ne sont pas à l’extérieur, ils sont à l’intérieur. Je pense que …

Maxence : Absolument, ouais.

Eric : On le sait tous, mais du coup, il a fallu que je vainque ça. Donc, cinquième jour et puis septième jour pareil émotionnellement très difficile. J’écrivais théoriquement un chapitre sur les pages de gauche et un chapitre sur les pages de droite. Et le septième jour, je n’ai pratiquement rien écrit. Parce que je n’en pouvais plus, j’étais étalé, je voulais arrêter, je n’en pouvais plus, puis je ne me sentais pas bien émotionnellement, puis psychologiquement parlant. Donc, j’avais envie d’arrêter. D’ailleurs la vidéo du septième jour, elle est très courte. Pareil pour le cinquième d’ailleurs. Et puis finalement, lorsque tu laisses passer malgré ça, tu traverses jusqu’au bout cette phase de turbulence, d’un seul coup le soleil quoi. D’un seul coup le soleil. Et c’est un peu comme l’aigle. Moi, j’aime bien. Et j’ai appris qu’il y avait des aigles qui volaient au-dessus des nuages. Et quand tu prends l’avion et que tu voles, tu vois les avions quand tu fais du long courrier, il passe au-dessus des nuages, là il y a le soleil tout le temps.

Maxence : Exactement ouais ! Là, c’était la même sensation que tu as ressenti.

Eric : C’est exactement ça. Le huitième jour, du coup, j’ai écrit comme un dingue. Pourtant, c’est un chapitre qui est très très dense. Et j’ai écrit, écrit, écrit, j’ai produit, j’ai tout rattrapé. Et en fait à la fin de ça, la seule chose qui me, je suis sorti de là, waouh je suis fier de moi. Et c’est pareil pour le business, c’est pareil pour ce qui est en train de faire. Ce n’est pas tant les chiffres, ce n’est pas ça qui me remplit le plus, c’est quand j’aide un entrepreneur à transformer son business, transformer sa vie, à exploser ses croyances et se dire : ok tu es capable d’apporter plus de valeurs. Tu es capable de donner plus, on va la trouver ensemble. Je vais t’accompagner, on va créer les offres. Je vais t’apprendre à les vendre et tu vas voir que pour toi aussi, ça va être possible. Et c’est dans cette dimension là en fait que moi j’ai envie d’être un game changer et j’ai envie que l’entreprenariat français, tu sais…, j’avais un coach qui venait des Etats-Unis, il me dit : la France ce n’est pas un pays d’entrepreneurs. Il m’a dit ça très sérieusement. Il dit : la France, bon, ben, ce sont des gens qui descendent dans la rue, qui manifestent.

Maxence : Avec des panneaux pour gueuler.

Eric : Exactement, mais ce n’est pas un pays d’entrepreneurs. Et à un certain moment, moi, je suis en contact et je fais partie de réseaux internationaux. Et c’est vrai que je me suis rendu compte de la différence. Et je me dis : mais waouh, c’est du fois-cent quoi sur le marché international. Je me suis dit : ok, j’ai envie que ça change. J’ai envie que ça change, j’ai envie qu’il y ait des entrepreneurs à un certain moment qui voient beaucoup plus loin, beaucoup plus grand, qui apportent beaucoup plus de valeurs, qui soient beaucoup plus solides et ancrés. Et c’est ce que je veux faire au travers de Business Fulgurant. C’est ce que je veux faire au travers de ce livre déjà, de manière à ce que les gens comprennent que ce que vous croyez jusqu’à maintenant, c’est peut-être ça qui vous a enfermé dans vos résultats. Et si vous voulez peut-être fois dix, fois cent, c’est possible. Et c’est possible tout de suite. Et c’est là-dessus que moi je veux créer une percée en fait dans la mentalité des entrepreneurs qu’on accompagne dans Business Fulgurant, parce que maintenant on est une équipe. Avant, j’étais tout seul, mais aujourd’hui, on est une équipe et que tous ces coachs et tous ces commerciaux et toute mon équipe, que ce soit les directrices générales, opérationnelles, branding et tout, qu’on soit tous là pour changer vraiment l’entreprenariat français et pour qu’on ne nous dise plus jamais que : vous savez les français c’est des petits joueurs.

Maxence : C’est des petits râleurs et non des entrepreneurs.

Eric : C’est ça, exactement ouais. Et ils sont contents quand ils ont fait 100 000 €. Non, non, non, et j’ai vraiment envie qu’on apporte beaucoup plus de valeurs.

Ses 2 offres : 35k€ et 150k€

Maxence : Ok, alors, tu dis juste avant, donc j’avais précisé que tu as deux offres : une offre à 35 000 € et une offre à 150 000 €. Si vous visionnez cette vidéo, vous dites : waouh, c’est des offres « très chères », où on ne se sent pas forcément à l’aise à vendre. La majorité des gens donc vend des produits entre 7-19 € jusqu’à 3 000 €, mais ça va rarement au-delà hormis vis-à-vis des mastermind. Comment tu as structuré cette offre à 35 000 € pour que des gens te fassent confiance et aussi voilà, vis-à-vis de la garantie des résultats, comment tu la structures, comment voilà, pour que ça soit gagnant-gagnant entre le client et toi et pas que ça soit voilà, un déséquilibre total.

Eric : Alors la première chose qui est très importante pour moi c’est la sélection des clients. Parce que …

Maxence : Donc tu pars instantanément sur l’avatar client type et non en fait un client normal.

Eric : C’est ça ! Alors, moi j’ai un avatar très très précis. Et ensuite, j’ai alors…, ce n’est pas parce que j’ai un avatar que je suis fixé sur cet avatar. Mais mon discours, ma communication, tout ce que je fais est basé pour cet avatar. Donc, à la base, mon client entrepreneur c’est un homme qui a la quarantaine d’années, qui a dépassé le million de chiffre d’affaires. Mais en fait, j’ai de tout. J’ai des gens qui correspondent à ça, et j’ai aussi des femmes, et j’ai de tout comme type de clients. J’ai des gens qui ont 50 000 € de chiffre d’affaires. Donc, j’ai vraiment de tout. Mais par contre, dans la sélection de mes clients, je fais très attention à avoir en face de moi une personne qui est prête à changer. Parce que …

Maxence : Alors comment on voit une personne là puis tu as donné un exemple de 50 000 €, on pourrait se dire : ben, 50 000 €, si j’investis 35 000 €, je n’ai plus grand-chose dans la poche. Ou encore, comment voir en fait quelqu’un qui a une véritable grinta, folie qui va changer pour avoir justement ce Business Fulgurant.

Eric : C’est ça, ben en fait c’est simple. Déjà, j’explique… très vite je parle de mes produits. C’est-à-dire quand on me parle de produits qui sont assez élevés, je me suis rendu compte que dans le luxe, l’argent n’est pas un problème.

Maxence : Absolument !

Eric : Ça, c’est très important. Bon, tu es bien placé pour le savoir. Dans le luxe, l’argent n’est pas un problème. C’est-à-dire qu’il y a une gamme de prix en-dessous de laquelle on ne regarde pas et au-dessus de laquelle on ne regarde pas. Ça veut dire que imagine, je vais dans un café, je demande un café, je n’ai pas besoin de regarder la carte pour regarder le prix du café. Même si le café monte à 15 €, globalement, en tant qu’entrepreneur, je vais avoir les moyens pour le payer. Et au-dessus d’un certain prix, c’est exactement la même chose. C’est-à-dire que lorsque je positionne mes programmes à 35 000 €, il y a beaucoup de clients qui sont un petit peu compliqués, un peu difficiles que je n’aurais pas.

Maxence : Ok.

Eric : Parce que le prix sélectionne direct. Et c’est exactement de la même manière que quelqu’un ne se pose pas de question pour un café à 2-5 ou 10 €, c’est exactement la même chose pour quelqu’un qui achète un billet première classe. Le gars qui est multimillionnaire, voire milliardaire, achetait un billet à 10 000 € en première classe …

Maxence : Ouais pour lui, c’est comme nous à 2 € quoi.

Eric : Exactement ! Donc, il ne regarde pas. Et au-dessus, c’est la même chose. Et au-dessus en fait, on a une gamme de personnes qui veulent quelque chose et qui ne regardent pas au prix. Et ça, c’est très très important. C’est-à-dire que : ok. Et aujourd’hui en fait, moi je fonctionne de la même manière. C’est-à-dire que peu importe le prix que je vais investir, et je parle vraiment d’investissement, je dis : est-ce que toi tu peux me garantir le résultat ? Parce que j’ai investi aujourd’hui au moment où cette vidéo, j’ai investi plus de 163 000 € en formation, mastermind, en coaching.

Maxence : Ouais, tu étais dans des masterminds ouais, je reconnais.

Eric : En séminaire, donc, je suis parti aux Etats-Unis, j’ai investi, investi, investi. Donc, si tu veux, à un certain moment, évidemment, j’ai eu ce retour. Et aujourd’hui, je sais pourquoi je suis capable d’apporter cette valeur, mais la raison pour laquelle j’ai fait tout ça, c’est que j’étais prêt, je voulais plus que tout avoir un résultat extraordinaire. Et donc, du coup, j’étais prêt à payer le prix. Si j’avais confiance à la personne qui est en face de moi, j’étais prêt à payer le prix. Et il y a des personnes qui sont comme ça. Et il y en a beaucoup plus qu’on ne le pense en réalité. Et lorsqu’on tombe sur ces types de personnes, la seule chose qui reste rentre dans ce processus-là de vente. Ça veut dire qu’il faut une clarté totale.

Maxence : Ok.

Eric : Une clarté totale, ça veut dire, ma promesse elle est claire, fois dix en dix-huit mois ou je rembourse le double de votre investissement.

Maxence : Donc quelqu’un qui serait à 100 000 € en dix-huit mois, l’objectif un million.

Sa promesse de vente : Objectif un million

Eric : Objectif un million. Donc, ça signifie quoi ?

Maxence : Donc, grosse promesse qui donne envie d’acheter.

Eric : Voilà, donc clairement, alors évidemment, je regarde le business, je regarde tout de suite quels sont les leviers, donc, il y a différentes critères qu’on met en place par rapport au business modèle. Il y a toujours des failles et c’est très facile aujourd’hui à trouver. Donc, le business modèle, ça peut être le nombre de prix, ça peut être le nombre de clients, ça peut être le prix des produits, ça peut être les offres qui ne sont pas assez alléchantes ou la personne n’apporte pas assez de valeur. Et en tout cas, on travaille toujours de manière globale sur l’essence du business modèle, c’est-à-dire l’offre. L’idée, c’est d’avoir une offre. Il y a une chose, il y a un entrepreneur qui s’appelle Andrei Parabellum.

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Maxence : Ouais c’est un Russe qui est magique.

Eric : Monstrueux et énorme. Et il avait dit une chose : vous pouvez rater votre lancement orchestré, vous pouvez rater votre webinaire, vous pouvez envoyer les mails pas au bon moment pas au bon endroit, pas à la bonne personne, vous pouvez vous planter sur la technique. Mais il y a quelque chose de sûr, c’est que si vous avez une offre qui est vraiment irrésistible, alors là, c’est-à-dire un point tel que vos clients sont capables de se masser un peu comme les derniers iPhones qui sortent, se masser à attendre la veille pour avoir le premier téléphone qui arrive et pour être en premier. Si vous n’avez pas cette offre où les gens courent, courent comme des dingues pour l’obtenir, ça veut dire que vous allez vous battre pour réussir à la vendre. Et c’est ça le problème : c’est qu’on n’apporte pas assez de valeur dans nos offres. C’est pour ça que je dis : écoute ! Quand je regarde les entrepreneurs ou les personnes qui viennent vers nous, on leur dit, c’est simple. On multiplie votre business par dix dans les dix-huit mois ou alors on vous rembourse le double, vous avez tout à y gagner.

Maxence : Absolument.

Eric : Vous avez tout à y gagner. Et nous, on sait qu’une fois qu’on a sélectionné la bonne personne, la bonne personne qui est vraiment prête à changer, à transformer son business modèle, la bonne personne sur laquelle on regarde son business, la manière dont elle l’a structuré et dit elle est prête à embaucher, elle est prête à se débarrasser de certaines personnes, elle est prête à changer sa manière de vendre, de proposer, ainsi de suite pour que son business explose vraiment, à partir du moment où on a cette bonne personne : ok, bingo, rentre dans ce programme. Et du coup, pourquoi est-ce que j’en suis venu à ça ? Parce que je me suis rendu compte que quand je coachais des artistes, des chanteurs, j’arrivais à les transformer en rockstar. C’est-à-dire des personnes qui avaient peur de tout, qui n’avaient pas forcément confiance en elle et j’arrivais à trouver la chose en quoi elle était exceptionnelle, extraordinaire et qu’elle apporte de la valeur à partir de ça. Et donc, du coup, j’explique, j’appelle ça le don ultime. Je l’explique dans le livre. Pourquoi est-ce que cette personne peut apporter beaucoup plus, voire 100 fois plus de valeurs et donc recueillir facilement dix fois plus.

Sa méthode pour rassurer ses clients

Maxence : Ok. Alors il y a peut-être une question que vous vous posez, vous vous dites : j’ai bien compris Eric par rapport à la garantie des résultats et même l’offre irrésistible qui est excellente. Vous, vous dites certainement vis-à-vis de la légitimité. Donc, tu as investi 163 000 €, en gros comment tu arrives à montrer à tes clients ou les prospects ultra-chaud cette autorité perçue qui fait que ben « ce n’est pas de la flûte »…

Eric : Ouais, je comprends.

Maxence : Ce que je mets et qu’en fait la personne se dise : ouais, ce mec-là, il peut réellement m’aider. Le syndrome de l’imposteur et légitimité.

Eric : Excellent, excellente question. C’est simple, c’est par l’exemple. Les gens ne peuvent pas, alors, j’ai un pitch qui est assez clair qui est assez précis qui est assez net, donc, les gens savent tout de suite à qui ils ont affaire. Soit ils accrochent, soit ils n’accrochent pas. Donc, je suis hyper-clivant. Et puis du coup, qu’est-ce que je commence à faire. Je commence tout de suite à coacher. Je commence tout de suite à dire : mais est-ce que tu nous permets de te poser quelques questions à propos de ton business ? Parce que tu dis : ouais, mais comment tu peux payer ça. Forcément, il y a plein de croyances qui viennent Donc, est-ce que tu me permets de t’apporter un peu d’aide par rapport à ton business ?

Et je vais te donner un exemple. Il y a un entrepreneur que j’ai rencontré alors s’il regarde cette vidéo, il va se reconnaitre. Donc, je ne vais pas citer son nom. Et ce qui est très intéressant, c’est qu’il a un business, une espèce de startup, mais qui n’est pas technologique. Lui, son business, il me dit et commence à m’expliquer ce qu’il fait. Donc, il me dit : on a des boutiques mobiles, et puis bon, voilà, moi je suis tailleurs et les gens en fait, je me déplace un peu n’importe où. Et puis, je peux faire des costumes sur mesure. Je dis : waouh, c’est génial, et tout ! Et donc, il explique le type de prix qu’il a. Donc, c’est des prix de costumes à 600, 700 €, ainsi de suite. Donc, il est en plus très très bien placé au niveau prix. Il est en milieu de gamme du point de vue prix et puis il explique ses boutiques mobiles. Je dis : mais qu’est-ce que tu veux dire par là boutique mobile. Et là en fait, il est en train d’expliquer que, pour moi c’était boutique éphémère. Et du coup, il m’explique que ce sont dans des camions. C’est-à-dire qu’il a des camions dans lesquelles il a tout où la personne descend, il descend en bas de chez les gens, les gens donc arrivent et là en fait, il prend les mesures de personnes. Et à partir de ça, il peut tailler le costume. Je dis : ok, c’est super ! Et puis un certain moment, je lui ai dit : est-ce que tu as une gamme premium ? Puisque moi, je le suis toujours et…

Maxence : A chaque fois, bah… c’est logique ! Tu me diras la même chose pour moi que je n’ai pas de gamme premium.

Eric : Exactement, est-ce que tu as une gamme premium, est-ce que tu as une gamme platine ? Il me dit : ouais, j’ai une gamme premium où les costumes sont un peu plus chers, meilleurs tissus tout ça et puis on peut livrer en trois jours. J’ai fait quoi ? On peut livrer en trois jours ? J’ai fait : attends attends attends. Voilà ce que je lui dis, j’ai dit : écoute, dans tout ce que tu m’as dit, on a parlé pendant vingt minutes, j’ai écouté tout ce que tu m’as dit. Et voilà ce que tu devrais dire lorsque tu te présentes aux gens : tu devrais dire, je suis tailleur, je crée des costumes sur mesure, haut de gammes, livrés à domicile en trois jours.

Maxence : Trois jours chrono.

Eric : Trois jours chrono : costumes haut de gamme, sur mesure. Je t’assure que lorsqu’on a pris cette phrase-là, et on l’a dit à une autre personne, la personne fait : ah, tu es capable de faire ça ? Tout de suite, on a vu les yeux de l’autre personne qui se sont allumés. Et ce qui est assez terrible, c’est qu’il m’a dit : mais ah ouais mais tu as raison. Il n’avait pas conscience que dans tout ce qu’il faisait, tout, il n’arrivait pas, il n’avait pas réussi à voir en fait le meilleur de ce qui est apporté. Et je lui ai dit, c’est simple à partir de maintenant, au lieu de poser tes prix à 500, 600 €, étant donné que tu es le seul à faire ça, tu peux tranquillement te placer sous la barre des 2 000. Parce qu’en plus, il me dit qu’il a des entrepreneurs qui arrivent, qui voyagent dans des hôtels, qui viennent à Paris très rapidement et qui veulent leurs produits très rapidement. Non, je dis, mais ça veut dire que tu as des clients parfaits. Et ceux-là, tu peux tout de suite te positionner très haut dans le haut de gamme et mettre…

Maxence : Parce que eux le prix est secondaire.

Eric : Exactement. Et donc là je lui ai dit : tu appliques ça. Et clairement, je suis sûr que tu es capable de doubler ton chiffre d’affaires. Et dans ce coup, ça a changé carrément sa manière de vivre, de voir son business. Il n’avait pas conscience de la valeur qu’il pouvait apporter alors qu’il vendait des costumes à 500, 600 là, il pourrait vendre des costumes qui sont aux alentours des 2 000 €, livrés à domicile en trois jours. C’est juste énorme. Et là, il n’y a personne qui fait ça. Et donc, du coup, là, en l’espace de quelques minutes, il s’est rendu compte de la valeur que je pouvais lui apporter alors que je ne connaissais pas son business modèle en entier, je ne sais pas comment il vend, je ne sais pas quels sont ses prix de reviens et ainsi de suite. Si on rentrait en profondeur dans son business, ça changerait carrément tout. Et c’est ce que je fais du coup avec toutes les personnes que j’accompagne.

Il y a les personnes pour lesquelles ça été un game changer, quelqu’un qui vendait des programme qui avait été un peu accompagné par des personnes dans le webmarketing à 1500, à 2000 € dès la première semaine, il a vendu un programme à 7500.

Maxence : Ah ouais d’accord ! Excellent !

Eric : Dès la première semaine qui suit. Et donc, bon, je ne peux pas rentrer dans les détails, parce que je ne peux pas parler de mes clients, mais il y a vraiment cette idée qu’il y a une transformation totale.

Maxence : Je ne sais pas si tu as déjà entendu ces statistiques, moi je les avais vues aux Etats-Unis et c’est vrai en fait. A chaque fois 20% de vos clients sont prêts à acheter un produit quatre fois plus cher. Donc si vous avez 100 clients à 1 000 €, vous allez avoir donc 20 clients potentiels à 4 000 € et ensuite 20 % de ces 20 clients à 16 000 € donc, ce qui fait 4 clients à 16 000 € et ainsi de suite.

Eric : C’est ça, et ainsi de suite et ainsi de suite.

La question de la temporalité pour ce game changer en 18 mois

Maxence : Voilà, donc, ayez ça à l’esprit, c’est voilà, c’est quelque chose d’énorme. Alors autre chose, vous vous dites : donc, Eric, j’ai bien compris vis-à-vis du costume donc livré sur trois jours. Sauf que toi ta garantie c’est en 18 mois. Donc, quand tu lances l’offre, au final, comment tu sais que tu vas arriver à tenir cette promesse donc fois dix en dix-huit mois, puisque le costume ben, trois jours, on sait voilà, ce qui merde, ce qui va, ce qui ne va pas. Par contre toi, comme ça prend du temps, les premiers clients, sur quoi tu te bases vis-à-vis de cette temporalité de dix-huit mois ?

Eric : Ouais, alors il y a un processus de sélection qui est assez fin en ce qui concerne mes clients, mais lorsque j’observe un entrepreneur et lorsque je lui dis, lorsque je lui parle, je vois tout de suite si c’est une personne qui est ouverte à une nouvelle manière de penser. Alors on met en place un processus de sélection qui est assez fin et en discutant justement avec l’entrepreneur, je commence déjà à le coacher. Donc, je commence déjà à lui apporter de la valeur. Et ça, c’est très très important. Parce que si j’apporte déjà une valeur massive de manière gratuite, tout de suite, ça change. Mais au fur et à mesure des questions.

Et justement de ce fameux entrepreneur qui devait changer sa manière de se positionner par rapport à la valeur qu’il apporte, au fur et à mesure des questions que je pose, ça me permet de savoir si c’est une personne qui est réfractaire ou si c’est une personne qui est vraiment intéressé sur ce que je lui dis, qui dit : mais ouais, mais c’est génial, je veux le faire dès demain, je vais prendre des notes et ainsi de suite.

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L’autrefois, j’avais coaché un taximan et c’était pareil. J’ai dit, c’était juste tout simple, je lui ai dit un conseil de base et la première chose c’est faire des cartes. Et donnez les cartes à chacun de vos clients. Et c’est la base. Mais ça, il n’y avait pas pensé. Et à chaque fois, les taximans, ils attendent, ils attendent, ils attendent. Il me dit : mais c’est génial, juste jeudi je fais imprimer les cartes. Et ce qui est très très intéressant en soi c’est qu’au fur et à mesure de la discussion, je fais trois choses.

Première chose : je le coache. Donc, ça signifie que je lui apporte de la valeur.

Deuxième chose : tout en le coachant, je vois, je sélectionne et je vois si c’est une personne qui est coachable et qui est prête à changer, qui est prête à transformer radicalement sa manière de penser et son business model et aussi surtout est-ce que, j’appelle ça le degré de criticité, est-ce qu’elle a une douleur suffisamment profonde pour pouvoir passer au niveau supérieur ? Parce que c’est vrai que multiplier par dix et multiplier par deux, ça n’a rien à voir. Ce n’est pas du tout la même stratégie.

Maxence : Et surtout si des gens achètent ton programme c’est qu’ils ont déjà un certain niveau donc, on va dire allez 600 000 €, ça fera un million, donc c’est une belle promesse en tout cas l’investissement vaut le coût.

Eric : Ouais, c’est clair. Donc, du coup, ce n’est pas du tout, ce ne sont pas les mêmes risques. Il est obligé de changer complètement sa manière de voir, déléguer des choses, arrêter certains types de produits aussi et d’offres. Parce que s’il continue à vendre des choses ou il échange son temps contre de l’argent et le vendre 500 €, ce genre de chose, je dis mais là tu ne vas pas y arriver. Il va falloir que tu aies 20 000 clients donc, on ne va pas y arriver. Donc, du coup, on travaille vraiment en profondeur avec l’entrepreneur dans cet échange là pour savoir lui il reçoit de la valeur, moi, ça me permet de savoir si c’est un client pour moi que j’ai envie d’avoir avec qui j’ai envie de travailler. Et la troisième chose, c’est que j’ai très vite dit le prix dès le départ.

Maxence : Donc, assez rapidement ouais, tu l’évoques pour que la personne le sache.

Eric : Exactement. Parce que pour les personnes qui n’ont pas les revenus, qui n’ont pas les moyens, qui n’ont pas envie d’investir, pour eux, ce n’est pas du tout une offre irrésistible.

Maxence : Absolument, absolument. Moi j’exclus tous les débutants.

Eric : C’est ça, exactement. Donc tout de suite ça sélectionne. Quand je lui dis que je fais des programmes à 35 000 € et je crée le vide, c’est-à-dire il n’y a rien en dessous. Et ça c’est une stratégie qui est particulière. C’est-à-dire : étant donné que je crée le vide, toutes les personnes qui sont dessous, qui voudraient un programme de 1 000 €, à 5 000 €, à 10 000 €, ils n’ont rien. Le seul moyen de travailler avec Business Fulgurant, c’est rentrer dans les programmes à 35. Ben, il y a deux solutions : soit ils le veulent, soit ils ne le veulent pas. Mais c’est aussi le type de client que je veux moi personnellement.

Donc, lorsqu’on vend des produits très très haut de gamme, la stratégie n’a plus rien à voir avec les produits de moyenne gamme ou d’entrée de gamme. Parce que là, on est hyper-sélectif, hyper-clivant. On veut absolument un client qui est prêt à bouger, prêt à changer, qui est très aussi exigeant sur la qualité, mais ça signifie qu’aussi on est capable d’apporter énormément de valeurs. Et donc, moi j’appelle ça la valeur massive. J’en parle dans le livre et il y a deux choses qui nous permettent de donner la valeur massive c’est un : ce que j’appelle le don ultime. C’est-à-dire découvrir en quoi on est extraordinaire personnellement. Et ça, c’est quelque chose qui est liée à notre histoire personnelle. Et deux : une formation massive. Et comme je l’ai dit, j’ai investi énormément d’argents et je continue à investir encore. Je voyage aux Etats-Unis, là en novembre, je repars et j’aide, je veux toujours devenir meilleur vendeur, meilleur leader, meilleur businessman, pour apporter encore plus de valeur à mon équipe, aux personnes avec qui je travaille ou à mes business coach, les commerciaux et ainsi de suite de manière à ce que j’ai vraiment un business qui inspire et mes clients et mon équipe et même en dehors toutes les personnes qui soit lisent mes livres ou entendent et voient ce que fait Business Fulgurant.

Sa méthode originale de prospection

Maxence : Alors autre question que vous vous posez peut-être, vous dites : ben, j’ai bien compris Eric par rapport au programme haut de gamme, mais tu les trouves où ces clients : la publicité Facebook, de bouche à oreille, une chaîne YouTube, les partenariats ? En gros, c’est où que tu arrives à trouver ce fameux avatar client type.

Eric : Alors ce qui est très très intéressant c’est que le client, là, c’est encore une croyance qui est très très importante qu’il faut avoir, c’est que mon client il est là, il est partout. Il y a une expérience que je faisais en séminaire. Je leur disais de fermer les yeux et de se concentrer sur une couleur. Et hop, ils ouvraient les yeux et ils trouvaient la couleur. Après, je fermais les yeux, ce qu’on trouvait c’est une autre couleur.

Maxence : Ah oui, ils tombent tous dans le panneau.

Eric : Exactement. Et ce qui se passe, c’est que quand je cherchais une couleur, je ne voyais pas l’autre. Eh bien, c’est la même chose. C’est-à-dire que si vous commencez à croire que ce client-là n’existe pas, c’est sûr …

Maxence : Vous n’allez jamais le trouver.

Eric : Exactement. Vous n’allez jamais le voir. Et moi, je suis arrivé avec cette croyance profonde, ce client-là, il existe. Il m’a fallu des semaines et des semaines jusqu’à ce que je fasse ma première vente. Une fois que j’ai fait ma première vente, il y a des choses qui se sont débloquées. Dans mon mindset, il y a des choses qui se sont débloquées dans mon approche. Et ce qui est très bien aussi c’est qu’en persévérant de cette manière-là, je me suis rendu compte que je rencontrais beaucoup de personnes et que mon offre n’était pas claire. J’en parlais tout à l’heure : mon offre n’était pas claire. Je n’étais pas capable de dire : je vais t’aider à faire fois dix en dix-huit mois ou sinon, je te rembourse le double de ton investissement. Je n’étais pas capable de dire ça en une phrase. Là, c’est clair …

Maxence : Donc tu as travaillé à fond la clarté de la proposition commerciale.

Eric : J’ai travaillé la clarté, mais comment je travaillais la clarté ? En rencontrant les gens. Et moi, j’ai fait des séminaires et je faisais du networking. Avant, je me souviens, j’étais très sauvage. J’étais dans mon coin, dans le networking, ce n’était pas mon truc. Alors qu’aujourd’hui, qu’est-ce que je fais ? A chaque fois que je rencontre des gens, je viens vers eux et je leur apporte de la valeur. Je dis : en quoi je peux t’aider ? Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? Et j’apporte gratuitement, j’apporte, j’apporte, j’apporte. Et à certain moment, votre avatar, claque, il a accroché. Il a accroché. Et lorsque vous êtes dans cette idée de donner inconditionnellement, donner, donner, donner encore et encore, qu’est-ce qui se passe ? Forcément, au bout d’un moment, ça revient. Et j’ai eu un client, deux clients, trois clients, quatre clients, cinq clients et boum et ça commençait à venir. Et d’un seul coup, je me suis rendu compte que : waouh, il va falloir que j’aie des business coach. Oh, il va falloir que j’aie des commerciaux, il va falloir que j’arrête de vendre et j’arrête de livrer parce que mon planning commençait à être chargé. Et c’est là-dessus que très vite, je suis rentré dans une dimension où il faut que j’embauche, il faut que je crée d’autres coachs comme moi qui travaillent avec cette méthode Business Fulgurant pour que d’autres personnes puissent profiter de mes programmes. Et moi, je sais que même si beaucoup de personnes ont reçu mes conseils gratuitement, mais n’ont pas pris les programmes. Je sais que les conseils que je leur ai apportés, s’ils les appliquent, ça change et ça bouleverse leur business.

Un produit d’entrée de gamme au programme ?

Maxence : Alors est-ce que tu as l’intention, parce que le gap entre 0 et 35 000 € de créer un programme à 1 000 €, à 2 000 €, 5 000 € pour juste, il y a peut-être des gens justement, le temps qu’ils te connaissent avant de mettre 35 000 €, alors qu’ils feraient, ils seraient directement l’avatar client type. Est-ce que tu as l’intention de mettre un petit produit d’entrée de gamme.

Eric : Je comprends, alors très très bonne question, c’est la raison pour laquelle j’ai créé ce livre.

Maxence : D’accord, donc, ce livre doit amener des fans à 35 000 € par la suite.

Eric : Voilà ! Il y a vraiment cette idée dans ce livre, je donne la base, la structure d’ailleurs, c’est pour moi, c’est comme un manuel. Je l’écris sur les pages de gauche. Parce que sur les pages de droite, je raconte mon jeûne. Mais sur les pages de gauche, c’est un manuel. Et c’est pour ça que j’ai dit méthode fulgurante pour devenir riche, heureux et fier de vous, c’est que sur les pages de gauche, il y a même des encadrés, c’est super. Je dis : la meilleure manière la plus rapide de gagner de l’argent, c’est de vendre ou en devenant entrepreneur. Et j’explique exactement en partant de qui vous êtes, comment est-ce que vous pouvez définir la valeur massive que vous pouvez apporter et ensuite comment vous pouvez la vendre et comment est-ce que vous pouvez rencontrer les gens. Et je donne des exemples, j’ai même mis un exemple d’entretien de vente que j’ai utilisé pour pouvoir vendre des programmes de 5 000 jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros. Donc, je l’explique, j’ai même écrit carrément un entretien basé sur ce que moi j’ai vécu. Et la réalité, c’est que, c’est toujours cette idée d’offre. Qu’est-ce que j’offre, qu’est-ce que j’apporte à mon client. Si je sais pertinemment de manière extrêmement précise que mon client va dire bingo pour ça, alors je ne vends que ça et le reste, je le mets à la poubelle. Et donc, comme je te disais, c’est un énorme gap en effet, tu le disais, mais pour l’instant, si la personne est déjà capable d’appliquer ça et elle l’applique à fond. C’est un livre qui est très léger et qui est très court, il fait 130 pages et si on ne lit que les pages de gauche, donc, ça fait 65 pages. Donc, ça va très vite. On a juste à appliquer et passer à l’action. Si vous faites ça, déjà, vous allez avoir énormément, énormément de valeurs.

Maxence : Ok, ben merci pour tous tes conseils.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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