De 0 à 4 000 € / mois avec Google

De 0 à 4 000 € / mois avec Google

De 0 à 4000 € par mois de chiffre d’affaires avec sa chaîne YouTube sur le dessin et son site web. Donc, je suis actuellement avec Roy Pallas. Donc, on va voir tout ça en détail dans cette vidéo. Donc salut Roy.

Salut Max.

Donc merci d’être ici aujourd’hui. Donc, je connais Roy depuis 2012 et du coup, voilà, ça va être intéressant parce que le dessin… Voilà, si vous, aujourd’hui, vous êtes artiste, soit vous êtes intéressé par la guitare, le piano, le dessin, la peinture, bref toutes les thématiques artistiques, souvent on a une objection et ce qui est vrai également, ce n’est pas forcément le plus simple, c’est : comment je pourrais vivre de ma passion, de mon savoir, de mon travail d’artiste en étant sur internet ?

Alors, je te laisse un petit peu te présenter parce que voilà, tu as grandi aussi un petit peu à l’autre bout de la planète, en Nouvelle-Calédonie, bref, alors, dis-nous tout. Comment c’est venu voilà, être dans le dessin dans un premier temps et après à migrer sur internet ?

Roy Pallas, dessinateur pro

OK, alors, bah déjà, je suis né en Nouvelle-Calédonie, je ne suis pas né en France. À mes 20 ans, je suis parti parce que quand on est là-bas, voilà, des cursus artistiques, ce n’est pas évident de trouver des écoles et faire ça à l’université, ce n’est pas possible. Donc, pour ça, j’ai dû partir en France et j’ai suivi, voilà, j’ai fait… j’ai suivi des études d’art à l’Université à Toulouse. Et comme la plupart des gens en art, on passe les trois quarts de ses études à faire des œuvres. Et le dernier… le dernier quart, à se demander : qu’est-ce qu’on va faire après ? Et en général, ce que ça donne, c’est qu’à la fin des études, soit on devient complètement autre chose de ce qu’on voulait à la base. Par exemple, il y a des gens qui sont partis dans le domaine de l’animation, dans le domaine… c’est de la… dans les musées, bref qui faisaient plus d’art, mais qui étaient des intermédiaires, des intervenants dans des institutions d’art. Et moi, j’ai voulu continuer dans ce que j’aimais, donc le dessin. Mais en plus de faire, oui voilà, vraiment d’en faire ce que moi je veux, ce que j’aime le plus, c’est-à-dire faire des croquis, faire des portraits, ce genre de choses. Et bah, à ce moment-là, je n’avais pas beaucoup d’options en fait sauf dessiner peut-être dans la rue et puis vendre des caricatures et ce genre de choses. Et… et après bah, est arrivé le blogging. Enfin, c’était déjà là, mais j’ai appris que ça existait que des gens vivaient de leur site internet en faisant ce qu’ils aimaient. Donc voilà, ça m’a demandé un petit peu de courage, parce que c’est… je ne connais rien du tout moi à l’internet. Déjà je suis une bille en informatique et tout. Mais… donc, ça m’a demandé du courage au niveau du média et puis voilà, c’était un… c’était une formation que j’ai suivie, donc ça a demandé de l’engagement financier. Et quand tu es artiste, tu vois…

Tu ne roules pas sur l’or, d’une manière générale, ouais.

Tu comptes un peu les euros au départ. Et quand tu te lances dans un truc comme ça que personne ne connaît, c’est vraiment quelque chose, c’est… tu… c’est le saut de la foi quoi en fait. Et… et donc, j’ai voulu continuer là-dedans et créer finalement mon entreprise sur internet. Et voilà, ça fait depuis 2000… officiellement, ouais, 2012 que j’ai fait mon premier chiffre d’affaires et que j’en vis, voilà. Donc, du dessin sur le thème du voyage, sur le… les techniques, tout ça.

On va revenir un petit peu en détail, par la suite ouais. Bah qu’est-ce que tu vends concrètement pour arriver à gagner de l’argent à travers cette thématique, le dessin ? Donc, on récapitule, tu as grandi en Nouvelle-Calédonie. Donc là-bas, tu n’avais pas forcément les universités comme on a en France hein. Si vous êtes artiste, bah vous connaissez pas mal d’écoles sur le sujet. Alors ensuite, quand tu as migré, donc de Nouvelle-Calédonie en France, donc exactement à Toulouse. Donc tu as fait quelques années d’études et comme tu le disais juste avant, généralement, comme on ne roule pas sur l’or, soit on va travailler en tant qu’employé pour de la bande dessinée ou des choses comme ça ou généralement, on va chercher un autre job. Parce qu’aujourd’hui ouais, tes amis avec qui tu étais donc en études, qu’est-ce qu’ils font ? Est-ce que tu as quelques exemples d’emplois qu’ils réalisent aujourd’hui ?

Bah ouais, alors, il y en a qui continuent parce qu’ils étaient dans le domaine… enfin ils étaient à l’université, ils ont fait leur licence, ils ont fait leur master et ils continuent en doctorat. Pas forcément parce qu’ils ont un sujet qui est brûlant qu’ils veulent… voilà, qu’ils veulent traiter, mais parce que c’est l’habitude quoi. Et ils ne sortent pas de ce système-là, il y a des personnes qui deviennent profs. Bah au départ, c’est ce que je voulais faire, professeur de…

Professeur de lycée.

Professeur au lycée. Et après, qu’est-ce qu’il y a d’autre ? Oui, donc il y a des gens qui travaillent dans des galeries, mais franchement, il y a pas énormément de possibilités après ça quoi. Prof, artiste, devenir artiste, là par contre, à part entière et puis de vivre de son art, il y a quelques personnes dans la… dans ma… dans mon cursus, mais c’est tout. C’est vraiment une exception.

Son déclic : vivre du dessin

Donc, si aujourd’hui, vous êtes artiste, je pense que vous confirmez, c’est ce que vous ressentez donc par rapport… voilà, trouver un job vis-à-vis de votre passion. Alors, tu t’es lancé sur internet, donc quel a été le déclic ? Pourquoi tu t’es dit : voilà, je vais mettre mon activité online ? Tout le monde, si vous regardez cette vidéo, vous avez peut-être déjà entendu que oui, internet c’est l’avenir, c’est ça aussi qui permet de lancer son entreprise à moindre coût et en partant totalement de zéro. Tu le disais aussi juste avant, tu es nul en technique, donc tu n’es pas du tout ingénieur informaticien. C’est aussi une croyance que l’on a en se disant : voilà, il faut que je sois extraordinaire sur le plan informatique pour lancer mon business sur internet, voilà. Explique-nous un petit peu ce déclic et comment tu gères aussi la partie technique de ton activité ?

Alors le déclic, il y a eu un déclic… enfin, il y avait une attente par rapport à moi sur le court terme et sur le long terme. Sur le long terme, c’était : voilà, je veux vivre de ma passion sur de… du dessin sur le net, ça, c’était à long terme. Puis voilà, créer une entreprise, être autoentrepreneur et puis être libre, indépendant et tout ça. Sur le court terme, c’est vrai que j’ai… je suis un peu romantique et puis j’avais une copine qui voyageait un petit peu partout. Et je me suis dit que c’est vrai que ce serait pas mal d’avoir un site internet du coup pour… bah voilà, pour aller un peu… pour la suivre au final.

Ouais, pour l’accompagner dans ses voyages.

Voilà, et donc elle avait un mode de vie assez bohème. Et moi, bah je pouvais pas… j’avais l’argent, mais après, après les études je n’avais pas forcément le temps. Donc du coup, je me suis dit : allez, on va… on va tester ça et puis… Et c’était dans la période où je ne gagnais pas encore d’argent. Donc, là plus je pinaillais au niveau technique. J’apprenais à…

À bidouiller.

À bidouiller, ouais. Mais en fait, moi, j’ai dû apprendre avec plusieurs petits tutoriels, il y en a plein maintenant sur YouTube, des choses qui te facilitent la création d’un site internet. Et…

Vous pouvez utiliser WordPress, qui est le plus connu. Vous pouvez taper, installer un blog WordPress, installer un site WordPress dans YouTube. Vous avez des tutoriels de 10 à 15 minutes max qui vont vous expliquer comment faire si vraiment vous êtes un total débutant.

Ouais, il y a plein d’outils maintenant et encore il y en a encore plus maintenant que quand on a commencé hein. Ça se comptait sur les doigts, il fallait vraiment être un peu… un peu geek pour les connaître, ces outils-là. Maintenant, on tape le nom d’un de ces outils sur internet, on a une… on sait plus quoi choisir. Maintenant, c’est l’inverse. On ne sait plus où donner de la tête avec tous ces trucs. Et le… et comment j’ai passé cette barrière de l’informatique ? C’est simplement vrai : en suivant des tutoriels et en faisant pause, c’est aussi simple que ça en fait. La formation sur internet, c’est… on suit le tutoriel, on fait pause, on fait ce qu’il dit, on remet lecture, on écoute, on met pause et on continue le travail jusqu’à ce que le truc soit fait. Et puis après, bah voilà quoi. Et au pire, il y a toujours des gens qui proposent des services… des informaticiens voilà, qui viennent, qui peuvent… les prestataires, voilà, qui viennent pour adapter des choses. Donc, si on a 20 € à mettre quelque part, on peut payer quelqu’un qui fasse… pour qu’il fasse la tâche à notre place quoi.

Le changement dans sa vie

Alors, autre question que vous vous posez certainement, voilà. Aujourd’hui, donc quel a été le changement pour tes proches et toi-même ? Voilà, donc là, tu as… tu as démarré donc il y a déjà quelques années, donc c’était en 2012. Voilà, c’était quoi la vie de Roy Pallas avant 2012 ? Et c’est quoi la vie aujourd’hui ? Donc voilà, déjà, depuis quelques années, depuis que tu vis de ton activité. Quels sont, voilà, les gros changements ? Est-ce que tu es 100 % libre ? Est-ce que, voilà, tu es plus en mode à l’euro près comme pour le… c’est ce qui est souvent le cas quand on est artiste ? Est-ce que tu suis tout le temps ta copine dans tes différents voyages ? Est-ce que tu vois davantage ta famille, donc par rapport à là où tu as grandi, la Nouvelle-Calédonie ? Quels sont un peu les gros changements entre l’avant-Roy avant le business, sur internet et aujourd’hui ?

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Bah déjà, plus pragmatique.

OK.

Parce que c’est vrai que, il y a… on a l’idée de l’artiste qui est un peu sur la lune, la tête dans les nuages et tout. Et ça, je vais rebondir sur l’entourage, parce que ma famille me voyait un peu comme ça. Parce que voilà, je voyage beaucoup et puis j’ai… ouais, j’ai fait… j’ai fait des études d’art. Et du coup, tout le monde me voyait un peu comme l’artiste qui n’avait pas de plan au-delà de deux mois, de trois mois quoi.

J’aime bien l’analogie la tête dans les nuages, la tête dans la lune, où bah c’est souvent ce qui permet d’avoir de la créativité hein. Si aujourd’hui, vous êtes à quelqu’un d’artistique, si cette créativité que vous avez grâce à ces deux petits points, quand on dit : la tête dans la lune, la tête dans les nuages.

Ouais, je pense, c’est un avantage. Mais au départ, c’est un inconvénient parce que du coup, on est moins… bah, on est moins pragmatique et on a tendance à se dire, surtout en tant qu’artiste je veux dire, on a un ego qui est comme ça, même plus, plus grand encore. C’est qu’on se dit : voilà, je veux faire un truc sur internet et il faut que ça soit différent de tout le monde, que ce soit différent de tout le monde. Et puis, je veux avoir une idée, ce sera la meilleure. Et puis, je vais… je veux faire ça. Et cette remise en question au début, de se dire : tiens, j’ai une idée, mais elle ne marche pas forcément, mais il faut que je l’accepte. Ça, ce serait peut-être un frein… enfin, au début, ça peut être un frein de croissance, voilà. Et au niveau de mon… de mon entourage, alors ouais, les gens pensaient que…

Alors, comment perçoit ta famille aujourd’hui ?

Bah elle est rassurée, elle est rassurée parce que je leur montre un petit peu comment ça se passe, ils voient concrètement les choses. Ce qui a fait… ce qui faisait peur, c’est que pendant que pendant la formation de… sur le blogging que j’avais suivi, eh bien, officiellement j’étais en année sabbatique. Après les études, je me disais : je suis en année sabbatique, et puis… mais voilà, je bûchais sur mon blog. Et le truc, tout le monde pensait que j’étais en vacances. Et à la fin, quand j’ai sorti cette espèce de site internet et que les gens me disaient : mais tu vas vendre des dessins, qu’est-ce que tu vas faire avec ça ? Je leur dis : non…

C’est ton site de galeries d’art.

Ouais, c’est… mais je sais pas ce qu’ils avaient dans la tête. C’est ma carte de visite, mon portfolio. Et ils ne pensaient pas que j’allais en ressortir un revenu… voilà, un revenu.

De ton activité, OK.

Voilà, et donc, ils voyaient ça d’un œil : mais qu’est-ce qu’il nous sort là ? Tu vois ? Il fait des vacances, mais il fait son site. Et puis du coup, ils savaient pas trop où j’allais quoi. J’ai même été suivi par un conseiller en création d’entreprises à Toulouse, et lui pareil, il ne savait pas du tout où j’allais. Mais à la fin, je lui ai dit : voilà, en 2012, j’ai fait une… tant de CA et j’étais au RSA en fait hein, j’étais au RSA. Et voilà, tant de CA en 2012, et puis, on a fait des prévisionnels et tout ça pour 2013. On avait vu à peu près la croissance et c’était… voilà, c’était suffisant pour sortir du RSA en à peine un an. Un an et puis apparemment, c’est quelque chose d’assez court, les gens, ils restent plus longtemps en fait. Et donc ça, ça a rassuré mes proches. Au départ, ils étaient très sceptiques, ils étaient… ils se demandaient : ouais, qu’est-ce que j’allais faire ? Mais quand tu commences à montrer, voilà, j’ai reçu de l’argent, j’ai tant. Ensuite, avec ce que je mets en place, je vais gagner tant. Là, on est déjà… on est loin de l’art là, on est vraiment sur du concret. Et je pense que c’est important de pouvoir passer de l’un à l’autre, d’avoir des idées, d’être un peu la tête dans la lune, dans les nuages, quand il faut. Et d’autres moments, bah voilà, on est dans la compta, on est dans les chiffres et tout, bien que ce ne soit pas mon fort, ça vraiment… ouais, c’est toujours un truc qui me rebute à faire, mais voilà, du coup, c’est essentiel pour moi.

Du RSA à 4k€ mensuels

Donc, ayez bien ça en tête. Donc au démarrage, quand tu avais lancé ton business sur internet, bah tu étais au RSA. Donc voilà, tu étais le plus bas en quelque sorte sur le plan financier. Et ensuite, au fil des années, bah boum, dès 2013, tu es sorti du RSA. Et ensuite, voilà 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, etc., voilà, ça a monté crescendo et ce qui te permet aujourd’hui d’en vivre confortablement depuis quelques années. Donc ça, c’est un gros avantage, c’est ça, la magie du business en ligne. Ayez toujours ça à l’esprit. Donc, pour gagner de l’argent sur internet, vous avez quatre plateformes majeures : donc YouTube, Google, Facebook, Instagram. Donc pour Roy, c’est principalement YouTube et Google, donc via son site web. Donc pour Google et via sa chaîne YouTube, parce qu’il fait pas mal de vidéos. Et également, vous avez compris que l’argent qu’il génère, donc là aujourd’hui, 4 000 € par mois, ce n’est pas en vendant des dessins, ça ne va pas être une galerie d’art, c’est à travers différentes formations en ligne sur le dessin. Alors, qu’est-ce que tu vends exactement pour les personnes qui, voilà, se posent la question ? Qu’est- ce que je pourrais vendre dans l’art ? Quels sont un petit peu les noms de tes formations ? Voilà, qu’est-ce que tu enseignes ? Est-ce que c’est… ? Voilà, qui sont un petit peu tes différents clients ? Explique-nous tout.

D’accord. Les… bah ce qu’on vend sur internet finalement, enfin, ce qui a le plus de valeur en ce moment, c’est le savoir. En tant qu’artiste, je n’ai pas fait énormément d’expos, on avait fait trois à Toulouse. Voilà, ça ne me suffit pas pour avoir une réputation ou ce genre de choses et pouvoir vendre des dessins très chers. Par contre, le savoir-faire, c’est quelque chose qui est très valorisé et c’est paradoxalement ce que les artistes, mais je pense dans d’autres domaines aussi, les gens veulent le moins donner finalement. Parce qu’ils se disent : ouais, ça, c’est ma recette. Et ils ne veulent pas la balancer comme ça. Mais voilà, c’est… mais c’est ça là, c’est ce qui a le plus de valeur, en tout cas à l’ère d’internet où on apprend des choses et puis tout le monde veut savoir tout et tout ça. Et du coup, moi, je…

Tu te dis, ouais, le savoir, c’est principalement la pédagogie, la connaissance, l’expertise, votre capital aussi, sympathie auprès des gens. Et ça, c’est une grosse valeur. Et comme tu l’as dit, souvent, peut-être encore un petit peu plus dans le côté artiste, c’est : on va le garder pour soi en se disant : non, moi, je ne vais pas du tout donner mes tuyaux en quelque sorte. Parce que je n’ai pas envie qu’on me copie ou ainsi de suite. Alors que non, dès que vous mettez en place donc du marketing, des stratégies de vente, les gens qui sont intéressés par le contenu que vous avez fait, vous allez créer une petite communauté, vont acheter vos produits et vos services et c’est ça qui va vous permettre de gagner de l’argent, donc sur le web.

Ouais voilà, et c’est au travers de cours. Bon après, ça demande de connaître un petit peu quelques… bah quelques structures pour être un bon pédagogue. Ça, c’est très important du coup. Savoir structurer son savoir pour créer des formations, des cours, qui soient ni trop longs ni trop courts, qui soient suffisamment interactifs, qui soient divertissants un petit peu, enfin surtout dans là où c’est visuel. Et voilà, donc moi, j’ai plusieurs cours que j’ai créés comme ça. Bah les noms, j’avais une série qui s’appelait : De l’œil au croquis, de l’œil au portrait, donc ça, c’est des formats qui sont assez lents, qui… des cursus d’un an. Après, il y a des formats et là, c’était plus intéressant parce que là où je me suis le plus amusé à… j’ai vraiment commencé à m’amuser à créer des cours, c’est dans la série de cours qui s’appelle : le croque-voyage. Et c’est les croques… les aquarelles du croque-voyage, c’est les paysages du croque-voyage, c’est l’atelier du croque-voyage. Et en fait, ce qui est… ce qui est bien, c’est que dans ces cours, vu que c’est nous qui choisissons la thématique, les techniques… et on fait tout quoi, on peut y ajouter une petite touche d’originalité. Et c’est à partir de ce moment-là où je me suis… j’ai suffisamment appris du domaine pédagogique pour pouvoir transmettre mon savoir de manière efficace et que j’ai pu enrober ça avec quelques petits… comme on dit aux États-Unis, des beauties, une petite touche d’originalité dans mes cours qui fait que ça ait une saveur. Voilà, c’est… ouais, ça me ressemble. Du coup finalement, mon…

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Une grosse authenticité, gros humanisme auprès de son audience et bah les gens après apprécient énormément.

Je me cache… je ne me cache de rien sur les cours. Quand il y a des… par exemple, si j’aime une ville et que je fais le cours du croque-voyage. Par exemple, bah j’étais à Sliema à Malte pendant un an et j’ai choisi cette ville-là, parce que je l’aimais bien, elle était près de la mer et puis, c’est un cadre touristique assez sympa. Et j’ai choisi de faire le cours, le premier cours de croque-voyage là-bas, parce que j’aimais bien la lumière, j’aimais bien la couleur des briques, j’aimais bien le fait qu’il y ait la mer à côté, ouais, les églises, tout, enfin bref, il y a beaucoup de choses qui me plaisaient. Et j’en ai fait un cours. Et ce cours-là, il est suivi par des gens qui veulent apprendre le carnet de voyage, qui s’intéressaient peu ou pas au début à Malte et qui ont découvert cette ville-là grâce à mes cours et qui maintenant aimeraient bien y faire un petit tour, voilà.

D’accord, excellent.

Et du coup bah, en plus de ça…

Le voyage grâce au dessin

Ça permet de voyager sans voyager grâce aux différents dessins.

Ouais, tu partages en même temps des endroits que tu as visités et du coup, ça donne quelque chose d’unique quoi.

OK, bah ça… donc vous l’avez compris, pour gagner de l’argent, donc j’ai dit il y a quelques instants, les quatre plateformes, vous avez deux stratégies principales : la première, c’est vendre ses propres produits. Donc en l’occurrence, toi, c’est des cours en vidéo qui permettent aux personnes de s’améliorer. Donc, comme c’est du dessin, le croquis, le portrait, carnet de voyage, donc à chaque fois, toujours être meilleur par rapport à ce qu’on réalise. Et la deuxième solution, mais ça, a priori tu ne le fais pas trop, c’est l’affiliation, c’est recommander d’autres produits, ce qui est un petit peu logique parce qu’il n’y a pas forcément beaucoup de personnes qui vendent des formations sur le dessin. Et voilà, avec ces deux manières : donc soit la réalisation de vos propres produits ou encore donc l’affiliation. C’est ça qui va vous permettre de monétiser votre expertise, votre savoir. Alors, peut-être que vous avez une question vous disant : Roy, tu as dit, ouais, tu as exposé à deux, trois expositions. Quelle est ma légitimité ? Comment tu as fait face par rapport à ça ? Puisque souvent, il y a des personnes qui se disent : oui, mais moi, je ne suis pas expert, je ne suis pas maître du monde dans telle ou telle spécificité. Comment, toi, tu as fait en place par rapport à ce syndrome de l’expert ?

Syndrome de l’expert ? Par rapport à ça déjà… récemment, c’est marrant parce que j’ai re-regardé les premiers articles de mon blog. Et même si j’ai dessiné depuis très très longtemps et que c’est quelque chose que… je suis à l’aise avec, j’ai trouvé les illustrations, mais…

Tu t’es dit : c’est… c’est moi qui ai fait ça ? Tu as vu ton évolution.

Oh la la ! Je me demandais comment je vais… enfin, il fallait que je les change ces dessins, je ne peux pas laisser ça quoi. Mais finalement, c’était un témoin de mon évolution. Même en tant que spécialiste et expert, on n’est pas à l’abri de se dire : ouais, j’ai fait ça, mais c’est moche, voilà. Et il faut penser plutôt en termes de progression. Et même si on part de très bas, ce qui est important, c’est finalement bah d’en faire un petit peu tous les jours. Moi, ce qui m’a vraiment fait encore plus avancer, c’est d’apprendre, mais pas en faisant… Dessiner, ça je savais, mais connaître les techniques d’autres personnes, de me former également aux beaux-arts et puis chez d’autres professeurs, eh bah, ça m’a fait progresser encore plus dans le dessin donc. Finalement, même si j’étais spécialiste, j’étais dans ma… les gens savent… par rapport à ce que j’ai appris après avoir commencé mon blog, ce n’est rien, enfin je ne savais rien. Franchement, je ne savais rien du tout. Et cet article-là sur les proportions du visage, il en est le témoin quoi, c’est que… il y a… c’était fade, c’était vraiment très très fade. Et maintenant, avec toutes ces… les techniques que j’ai apprises, c’est… du coup, je me rends compte de l’univers que c’est et voilà, c’est quelque chose que…

Ouais, à chaque fois, tu vois ton évolution personnelle. Et c’est ça aussi qui est gratifiant, c’est de se dire : waouh ! Maintenant, j’obtiens une qualité exemplaire, en tout cas, la meilleure possible par rapport à ses débuts. Et notre évolution change, notre perception change. Et au fil du temps, c’est toujours cool. On se dit : là, maintenant, je fais du cinq étoiles, avant je faisais du trois étoiles.

Du dessin à l’aquarelle en 1 an

Ouais, je ne sais pas si j’en suis là, mais ouais. Il y a un autre exemple, peut-être un peu plus parlant, c’est que je me suis à l’aquarelle.

OK, aquarelle.

Et j’ai commencé… j’ai commencé, je ne connaissais rien du tout. Mon truc, c’est le dessin, c’est de crayon, c’est le feutre à la limite, mais ce n’est pas la peinture et encore moins l’aquarelle, qui apparemment de ce qu’on m’a dit, c’était le médium le plus dur. Et je me suis dit : je vais essayer juste pour voir. Et bah c’était une tache, ouais. C’était une tache, une catastrophe en fait le truc. Mais, j’en ai fait une vidéo et en fait, pendant dix jours, j’ai fait une aquarelle par jour, mais juste dix jours. Et j’ai… ce que j’ai fait, j’ai expliqué ça dans une vidéo, voilà. Je crois qu’elle s’appelle : apprendre l’aquarelle en dix jours, tout simplement, pour commencer l’aquarelle finalement. Et au bout de dix jours, la dixième peinture, elle avait plus de gueule que la première. Et voilà, dans cette vidéo-là, je montrais que tous les jours, je regardais mon aquarelle avec un œil critique et puis en me disant, en raturant, en disant : voilà, là, c’est quoi cette tache ? Là, le jus, il est mauvais, machin. Et le lendemain, j’essaie de refaire une aquarelle, mais en prenant en compte les notations que j’avais faites sur l’aquarelle précédente. Et en faisant ça juste, pour à peine plus d’une semaine, on a déjà un paysage qui tient un peu plus la route. Ce n’est pas parfait, mais voilà, tu… on se dit : si on continue ces dix jours pendant plus longtemps, finalement on arrive à faire quelque chose qui est joli. Et de ce petit défi-là, bah ça… j’ai quand même, pendant une petite année, fait des aquarelles. Et après, j’ai sorti mon cours. Et donc…

Ouais, aujourd’hui, les gens achètent ton cours sur l’aquarelle, excellent !

Les gens achètent un cours d’aquarelle, alors qu’au départ, je suis un dessinateur et je… clairement, je dis que je n’étais pas doué en aquarelle et que j’ai appris en un an et que voilà. J’ai ma manière de faire, qui est pas du tout orthodoxe et du coup… mais qui marche.

Ayez toujours à l’esprit. Si aujourd’hui, si vous n’êtes pas expert, il faut juste être transparent avec les gens. Vous pouvez dire : voilà, là, je démarre, on va apprendre ensemble pas à pas. Et je vais vous donner à chaque fois ce que j’ai comme enseignement de ce démarrage de cette activité. Et souvenez-vous toujours : 99 % des gens sont débutants dans une activité. Et du coup, quand on voit que des experts gigantesques, souvent on oublie les bases et quelqu’un qui démarre, il se dit : waouh, c’est vraiment du trop haut niveau ou c’est parfait pour moi. Donc, c’est ça… d’avoir à l’esprit.

Ouais, progresser par petits pas régulièrement, c’est le mieux, c’est le moins… c’est le moins stressant, c’est le moins frustrant. Et en plus, on a une espèce de journal de notre progression, ce qui est hyper motivant à la fin. Quand on a un carnet d’aquarelles, on voit la première et puis on arrive à la fin et puis on se dit : ouais, c’est mieux. Bah ça fait… ça donne toujours plus envie de continuer que si on faisait de temps en temps : tiens, je fais une aquarelle, elle est moche. Bon, je vais reprendre dans cinq jours, elle est moche, bon, tant pis. Et là, on n’a pas envie de continuer.

Son avis sur le Club Privé Business

OK, merci par rapport à ce retour d’expérience par rapport à cela. Donc, tu es également membre de mon club privé business depuis décembre 2015. Alors, qu’est-ce que t’apporte le club privé ? Donc c’est important, quand vous vous lancez sur internet, de vous former. Donc moi-même, j’ai investi plus de 100 000 € au cours des dernières années dans des formations, coachings, séminaires. Roy a investi dans mon club privé business, même dans d’autres formations à chaque fois pour pouvoir être à la pointe dans un domaine précis. Alors qu’est-ce que t’apporte et t’as apporté le club privé business ? Qu’est-ce que tu as mis en place ? Quels sont les gros points positifs, selon toi ? Je te laisse un petit peu nous expliquer tout ça.

Bah, ce que j’aime bien dans ce club c’est qu’il y a… il a comme objectif d’être complet. C’est-à-dire que… tout à l’heure on parlait d’outils qui étaient déjà plus nombreux qu’avant, on ne savait pas trop quoi choisir. Là, on est dans un espace, dans le club privé, où les outils sont sélectionnés par rapport à leur pertinence et puis leur efficacité, surtout leur efficacité. Et du coup, on va à l’essentiel. Direct, on va sur l’outil qui va apporter le plus de résultats et on met en place comme ça des stratégies sur le site. Donc moi, j’aime bien ce côté-là, ouais, donc pragmatique là pour le coup, le côté pragmatique de ton club. C’est riche parce qu’il y a également… au niveau des outils qui sont expliqués, où il y a plein de tutoriels, mais également au niveau de la communauté qui est assez réactive et puis qui génère plein d’idées. Parce qu’il n’y a pas que des débutants là-dedans, il y a aussi des gens qui ont une grande expérience et qui du coup donnent des idées auxquelles on n’aurait pas forcément pensées. Et voilà, ça permet d’avoir aussi de la distance par rapport à son entreprise, parce que quand on est le nez dans le guidon, on ne voit pas forcément ce qui pourrait être améliorable, ce qui voilà.

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Je confirme.

Et du coup, quand on a quelqu’un comme toi qui nous suit ou même d’autres personnes sur le club-là, ils permettent de mettre le doigt directement sur le point. Alors que toi, en regardant, bah ça t’aurait pris peut-être une semaine à comprendre que c’était là. Et voilà, donc ça, déjà c’est un autre gain de temps. Et, ouais voilà, donc c’est vraiment une manière d’avoir des solutions diversifiées, rapides et qui sont faciles à mettre en place, parce que voilà, il y a plein de tutoriels. Encore une fois, il y a plein de choses qui t’expliquent pas à pas les démarches.

OK, donc pour récapituler un petit peu le club privé business, lorsque vous allez vous inscrire, vous allez avoir les différents tutoriels en vidéo. Donc, il y a dix modules comme YouTube, Facebook, conférence en ligne, Instagram, Click Funnels, les séquences d’e-mails en automatique, créez et vendez votre premier produit. Bref, il y a une petite dizaine de modules comme celui-ci. Et par-dessus, donc je fais une fois par mois une séance de coaching commun. Donc c’est des séances de coaching commun où je coache les gens personnellement en live. Donc, quelques jours avant le coaching, il y a un petit questionnaire à remplir et les personnes donc repartent avec les trois actions majeures. Donc, où là j’estime il y a le meilleur retour sur investissement. Parce que l’objectif, vous l’avez compris, c’est bien d’avoir un projet. Mais si à la fin du mois, on n’a pas un euro sur son compte en banque, alors on va vite abandonner par manque de trésorerie. Donc, c’est important et c’est là mon point fort. Et les autres personnes qui sont connectées au coaching commun, c’est d’appuyer les actions sur la forte valeur ajoutée, donc là où il y a le meilleur retour sur investissement par rapport à là où vous en êtes. Si vous êtes déjà débutant, si vous avez déjà un business qui cartonne, bref, pour tout le temps aller au next level.

Merci Roy par rapport à ton retour d’expérience, par rapport au club privé business. Donc, en rejoignant le club privé vous aurez accès à différents modules comme YouTube, Facebook, Instagram, les conférences en ligne, Stripe, PayPal, Créez et vendez votre premier produit, les coachings communs. Donc, il y a des dizaines de modules où vous avez des vidéos tutoriels. Et à travers les coachings communs, donc je coache personnellement les différents membres. Donc qu’est-ce que… comment ça se passe exactement ? Donc, quelques jours avant le coaching commun, j’envoie un petit questionnaire. Et à travers ce questionnaire, ça me permet de savoir où vous en êtes dans votre activité. Et l’objectif, c’est à chaque fois vous repartez avec les trois actions concrètes à mettre en place dans votre activité, mais surtout qu’il y a un retour sur investissement. Parce qu’aujourd’hui, bah voilà, si vous lancez une activité, si à la fin du mois, vous avez zéro euro sur votre compte en banque, vous allez vite abandonner par un manque de trésorerie. Donc l’objectif, c’est que vous mettez à chaque fois des actions à forte valeur ajoutée, là où vous allez avoir de l’argent qui va tomber dans les caisses de votre entreprise. Et également, vous allez aussi bénéficier de la communauté, ce que moi-même et les autres membres qui sont en ligne dans le coaching, on vous donne des conseils par rapport à là où il faut vous spécialiser, donc soit en fonction de là vous en êtes. Donc, si vous êtes débutant ou si vous avez déjà un business qui cartonne. Alors, je vais du coup finir par une dernière question. Quels conseils tu donnerais là, le nouveau Roy à l’ancien Roy, donc qui va permettre à des personnes qui aimeraient se lancer sur internet en se disant : waouh ! Là maintenant, avec le recul, voici les conseils, donc le nouveau Roy Pallas qui dirait à l’ancien pour se lancer sur un business en ligne pour aller encore plus vite dans la vitesse d’implémentation. Voilà, voir des résultats massifs en un temps record.

Ouais, le conseil, il est simple en fait. C’est les petites étapes journalières, c’est de travailler tous les jours à améliorer de 1 % son entreprise, son… bah il y a plusieurs choses, son domaine d’activité, enfin, son expertise, améliorer ça de 1 %, son efficacité. Voilà, essayer d’améliorer un tout petit truc tous les jours de 1 %. Moi, concrètement, c’est faire un dessin un peu tous les jours, c’est essayer de regarder mon site, faire un article, une vidéo, quelque chose. Et ouais, en fait, l’ancien Roy, il voulait tout faire en même temps, c’est ça le problème, alors que c’est tellement plus simple et que c’est plus gratifiant, plus facile aussi de faire chaque jour un petit pas vers l’objectif, plutôt que de se dire : je vais m’attaquer à la montagne directe. Mais plutôt se dire : on va regarder la première marche, on va faire ce qu’il y a à faire aujourd’hui et quand c’est fini, voilà le boulot a été fait et on peut attaquer demain sur la deuxième… sur la deuxième partie, etc. jusqu’à arriver à l’objectif. Et après on y arrive, voilà. Et une autre chose que je voudrais dire, c’est surtout si vous êtes dans un domaine artistique et qu’on vous regarde avec des yeux encore plus bizarres que…

Gros yeux ronds.

Que lorsque vous avez dit : je vais m’inscrire aux Beaux-arts et puis ce genre de chose, c’est d’être encore moins regardant par rapport à ce que disent les gens de vous, c’est d’être dans votre bulle, mais en même temps, de faire les choses posément et descendre un petit peu de votre nuage. Et laissez votre égo de côté pendant un petit moment juste le temps de mettre les choses en place sur internet et d’apprendre. Et donc voilà, vraiment, ne pas regarder, enfin, ne pas écouter ce que les gens disent, la plupart ne vont pas comprendre votre démarche, la plupart vont… je ne sais pas, peut-être vont se moquer de vous, ou alors, ils vont vous dénigrer, ils vont… il y a plein de réactions franchement. Et il faut que vous y croyiez, voilà. Il faut que vous y croyiez et puis que vous… il faut que vous fassiez le boulot, 1 % tous les jours. Et au bout d’un an, au bout de deux ans, peut-être ça va prendre plus de temps, mais voilà, à un moment donné, ça va marcher. Et ça, si vous le faites régulièrement, ça ne peut qu’arriver, voilà.

OK alors, pour résumer, la constance, donc dites-vous, voilà, au quotidien, faire une, deux ou trois actions précises qui vous permettent d’aller directement à l’objectif que vous vous êtes fixé. Point numéro deux, donc faire face. Ouais je sais, toutes les personnes qui se sont lancées au début vont un petit peu soit se moquer de vous ou alors on ne va pas forcément croire en vous. Se libérer de la critique, du jugement et du regard de l’autre. Et voilà, le troisième point, c’est exactement ça, c’est pour 100 % des personnes qui se sont lancées à travers une entreprise, c’est tout bête. Donc, croyez en vous. Et le plus important, c’est de passer à l’action massivement pour avoir le maximum de résultats en un minimum de temps. OK, merci. J’espère que cette étude de cas, ce témoignage de Roy vous a inspiré. Si aujourd’hui, voilà, une nouvelle fois, si vous êtes artiste ou même dans une thématique ou dans un premier abord, vous vous dites : oui, mais… voilà, ça me paraît compliqué de gagner de l’argent sur internet avec mon expertise ou ma passion où je surkiffe de faire cela, je suis content parce que ce n’est pas forcément les thématiques les plus simples hein, les thématiques comme le dessin. Donc si Roy peut le faire, il était au RSA encore il y a quelques années, donc c’est vraiment… comme moi, il est parti totalement de zéro. Et aujourd’hui, tu as quelque chose qui fonctionne et puis qui te permet… voilà, là on peut passer du bon temps, on est libre, on n’a plus de contraintes horaires, on n’a plus de contrainte hiérarchique, il n’y a plus un boss qui est là pour nous donner des ordres, on n’a plus de contraintes géographiques. Voilà, tu voyages aujourd’hui à travers le monde. Donc, c’est ça la beauté du business internet. Donc au plaisir de vous voir à l’intérieur du club privé business. Si vous avez apprécié la vidéo, partagez-la et à très vite pour des prochaines vidéos.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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