Comment gagner deux fois plus avec la publicité Facebook ?

Comment gagner deux fois plus avec la publicité Facebook ?

Comment mettre en place des campagnes de publicité Facebook avec un R.O.I de plus de deux ? Je suis avec Roman Paillet, salut Roman.

La forme Max.

Donc on est en direct de Malte, et j’avais déjà interviewé Roman sur le sujet du dropshipping, donc de 0 à 250 000 € en un an et une histoire inspirante à travers son shop. Et là il va nous expliquer sur Facebook. Donc ce que j’aime bien dans le dropshipping, c’est que si on veut gagner de l’argent, son gagne-pain c’est Facebook. C’est pour ça que toutes les personnes qui gagnent considérablement de l’argent sur le dropshipping, vous devez vous inspirer d’eux sur la publicité de Facebook, parce que vous êtes H24 dedans. En tout cas, vous allez être largement meilleurs que nous dans l’infoprenariat. Et ce qui est bien, c’est que tu avais fait un business sur l’infoprenariat, donc « Salto Arrière », « Roman Mouvement », donc tu connais. Je pense que tu es peut-être le seul. Il y a Geoffrey *Ma*, mais également… qui est membre de ma formation.

Geoffrey il a tout fait.

Lui il a tout fait, il a fait énormément. Et à part toi et Geoffrey, il y a quand même peu de gens qui ont percé dans l’infoprenariat et le e-commerce, du moins qui étaient dans les deux sujets. Donc ça c’est intéressant de pouvoir recentrer tout ça.

Et c’est vrai que c’est sous… pour répondre à toi, c’est vraiment sous-utilisé à l’heure actuelle Facebook pour les gens qui font de l’infoprenariat, parce que quand vous faite de l’infoprenariat il y a…

On est bidon.

Voilà, il y a peu de gens en tout cas… aujourd’hui tu vois, je l’ai affiché tout à l’heure, je me disais, puisque je vais faire un séminaire en mars et je me disais : OK, qui je pourrais inviter qui est dans l’infoprenariat, qui utilise bien Facebook et qui a des bons R.O.I sur ses campagnes ? Et en fait, il n’y a pas tant de gens que ça en fait.

Il n’y a quasiment personne.

La publicité Facebook, un levier automatique pour drainer des prospects qualifiés en infoprenariat

Et c’est dommage, parce qu’une fois que vous avez un système qui est bien en place dans l’infoprenariat, vous mettez de la pub Facebook et le système devient d’un coup beaucoup plus automatique, vous n’avez plus à vous occuper d’aller chercher les clients. Donc peut-être, même besoin de faire moins de contenus, puisqu’automatiquement tu réutilises ton contenu. Toi par exemple, tu as largement fait, je pense, suffisamment de contenus aujourd’hui pour… même si, bon voilà, c’est toujours bien de continuer à en faire pour apporter toujours plus à ceux qui vous suivent évidemment. Mais ce qui est cool avec la pub Facebook, c’est que ça vous permet d’être découvert à de plus en plus de monde. C’est dommage que ce ne soit pas plus utilisé dans l’infoprenariat aussi, ouais, complètement.

Absolument. Je te laisse rapidement te présenter, puis ensuite juste après, nous expliquer ce que tu avais mis en place dans « La machine à trafic », parce que tu as réalisé le lancement avec Cédric Annicette, parce que ça va bien nous parler nous dans l’infoprenariat, donc le tunnel de vente pour avoir *l’Up king*, ensuite le R.O.I positif, les montants, l’achat de lead, tout ce qui va avec, peut-être aussi avoir plus de like sur sa page fan. Bref je te laisse te présenter, puis après nous expliquer un peu tout ça.

Ouais, les pages fan, je pense que tu récupères des likes assez facilement. Ouais, c’est vrai qu’à l’heure actuelle c’est beaucoup utilisé la publicité Facebook dans les lancements, parce que ça paraît logique dans le lancement, on se dit : il faut qu’on utilise tous les outils marketing. Donc c’est beaucoup utilisé des fois dans les lancements, on voit pas mal de publicités Facebook pendant les lancements, mais c’est dommage que ça ne soit pas utilisé tout le temps en fait, parce que ça te permet de récupérer tout le temps un peu des e-mails et de faire des ventes un petit comme ça en automatique, pendant que vous dormez, n’importe quand. Et du coup, c’est assez cool. Et ouais, donc du coup tu m’as dit de me présenter, donc présentations rapides. Donc je m’appelle Roman Paillet, pour ceux qui ne me connaissent pas. J’ai démarré sur internet, j’étais assez jeune juste à la sortie du Bac avec… on a démarré avec la même formation Olivier Roland, donc c’était l’époque des blogs, j’avais démarré un petit peu un blog. J’ai beaucoup galéré sur internet, je ne gagnais vraiment pas grand-chose. Voilà, j’ai passé deux, trois ans à un petit peu me chercher, à tester des choses. J’ai un… donc le tout premier blogue – Maxence l’a dit – c’était « Salto arrière ». J’ai fait toutes les erreurs possibles dessus. Je parlais d’un sujet qui n’intéressait que les jeunes qui avaient 14 ans et qui voulaient faire des Saltos. Je m’adressais mal, je ne savais pas comment vendre, j’avais vendu un programme 47 € sur six mois, du coup je n’arrivais pas à finir le programme si je n’avais pas assez d’argent… bref, c’était vraiment la galère. Et peu à peu je me suis formé, j’ai commencé à aller à des séminaires, j’ai commencé à lire de plus en plus, c’est comme ça qu’on progresse, c’est normal d’avoir des périodes. Et puis, j’ai fait notamment le stage avec Cédric. Donc j’ai travaillé, voilà, je vous le conseille évidemment si vous êtes un petit peu débutant, de travailler pour un infopreneur, on apprend beaucoup aux côtés des mecs qui réussissent. Et peu à peu je me suis dit : OK, tac, tac, j’ai commencé à comprendre un peu comment ça fonctionnait. Et donc juste après, trois ans après Salto Arrière, j’ai lancé « Roman Mouvement » qui était un peu plus orienté muscu souplesse et qui marchait un petit peu mieux. J’avais deux programmes à 47 € et j’avais dit dans ma présentation – il n’y a pas longtemps, tu sais que j’ai fait un start-up live – j’avais dit en fait : le défaut principal de Salto Arrière, c’est que je n’avais pas compris vraiment ce que les gens voulaient. Donc ça c’était… voilà, j’essayais de vendre ce qui moi me plaisait et pas ce que les gens voulaient. Je crois que c’est l’erreur principale numéro une, parce que quand on est expert ou quand on s’y connaît dans un domaine, on est déjà beaucoup trop en avance et on ne se rend plus compte de ce qu’un débutant veut vraiment. Parce que vous savez, quand on découvre un domaine, on ne cherche pas du tout les mêmes choses que quand on finit un domaine. Tu vois, je sais que Maxence tu m’avais dit par exemple, le tout premier truc que tu as tapé sur Google quand tu as démarré, c’était quoi ?

Changer de vie. Donc quand je voulais me lancer dans l’infoprenariat, c’est comme ça que je suis tombé sur le site d’Olivier Roland.

Et encore ça tu avais changé de vie, donc déjà tu étais dans une logique encore un peu plus élevé, tu vois ? Souvent une recherche, souvent ce que tapent les débutants dans n’importe quel domaine, c’est les mauvaises questions, c’est : comment gagner de l’argent facilement sans rien faire, comment prendre du muscle… Et c’est vrai que quand on veut trop orienter les gens vers notre solution, au lieu de se rendre compte qu’en fait il faut les écouter eux et comprendre, eux, leurs problèmes et comment les aider. Voilà, donc vraiment comprendre un peu les questions que se posent les débutants et y répondre. Et donc, ça c’était la première erreur que j’ai faite sur Salto Arrière. Et après Roman Mouvement, j’avais un petit peu mieux compris ce qu’ils voulaient, j’étais un peu plus orienté sur des sujets qui étaient un peu plus vendeurs qui correspondent un peu plus. La seule chose qui me manquait pour vraiment passer un palier selon moi, c’était tout simplement de faire de la publicité Facebook, c’est-à-dire au lieu d’attendre tranquillement que mon trafic il pousse tout seul – même si YouTube c’est génial, mais YouTube ça prend du temps – il faut tout de suite tous les leviers. Moi, ce qui est fou avec YouTube, c’est qu’encore aujourd’hui sur Roman Mouvement, mon nombre d’abonnés il grimpe et je vois que je continue de faire des ventes. Donc c’est ça qui est génial avec YouTube, c’est que tu fais le travail il y a trois ans, la vidéo elle te paye à vie limite, enfin, en tout cas pendant très longtemps. Par contre, le défaut c’est que si vous démarrez, avant que votre chaîne YouTube commence à avoir vraiment de l’attraction et plus de gens, ça prend bien un an et demi, deux ans. Donc c’est dommage de devoir attendre autant de temps avant de commencer à tester vos offres, alors qu’avec la publicité Facebook – d’ailleurs on pourrait parler de… tu peux mettre aussi de la publicité sur YouTube – l’idée d’investir un petit peu d’argent pour accélérer, montrer ce que tu fais et tout de suite avoir une réponse un petit peu du marché. Les gens vont dire : « oui j’aime ce que tu fais » ou « non je n’aime pas ». Et tu vas pouvoir rapidement savoir si ce que tu fais est bien ; alors que quand tu n’as pas de trafic, bah tu ne sais pas si c’est bien ou pas.

Les étapes pour lancer sa publicité FAcebook

Absolument. Alors on va revenir un petit peu sur les différentes étapes de A à Z, donc première étape : installer le pixel sur son site web ou sur une page de capture. Quelles seraient les toutes premières étapes ?

Les étapes pour moi, tu vois, en infoprenariat – et c’est pareil un peu en e-commerce – pour moi il y a quatre étapes, il y a quatre grandes étapes. La première c’est : créer une offre irrésistible. Facebook ce n’est pas magique, c’est-à-dire que si vous n’avez pas une offre irrésistible, si vous n’avez pas compris tout ce dont on vient de parler, c’est-à-dire : avoir un cadeau qui va vraiment plaire, répondre aux questions de débutants, les aider à résoudre leurs problèmes, si vous n’avez pas cette offre-là irrésistible, oubliez. C’est-à-dire que vous pouvez bien mettre de l’argent sur Facebook, ça ne fonctionnera pas. C’est-à-dire que ce n’est pas magique Facebook si vous n’avez pas une offre irrésistible, ça ne pourra pas fonctionner. Maxence, maintenant toi, ça fait tellement longtemps que tu es dans ce milieu-là, tu sais un petit peu ce que veulent les débutants. Mais quelqu’un qui démarre, il ne sait pas forcément et il risque de se tromper. Donc, bien prendre le temps de travailler son offre, pour moi c’est numéro 1, c’est bien travailler son offre et bien comprendre ce que veut un débutant et comment vous allez pouvoir l’aider. Pour moi, le script de vente le plus simple que vous pouvez faire au niveau d’une offre, c’est tout simplement vous poser la question : qu’est-ce que cette personne, dans mon domaine, elle veut vraiment ? Est-ce que c’est gagner de l’argent ? Par exemple nous, dans le « make money », c’est gagner de l’argent et surtout atteindre la liberté financière, souvent le but final. Voilà, je ne sais pas si vous êtes dans la santé c’est : plaire aux filles, parce qu’on a des abdos, pour les mecs, ça peut être en excellente santé et vivre… voilà. Peu importe, vous devez vraiment comprendre ce qu’ils veulent et ensuite vous dire, simplement leur expliquer : voilà, j’étais comme vous, en faites le script assez simple en quatre étapes c’est : j’étais comme vous, je galérais avec ce domaine-là, je ne savais pas comment progresser. Puis un jour j’ai découvert la technique – quelque chose : le dropshipping… voilà, un truc qui a vraiment changé pour vous tous dans le domaine, je ne sais pas si c’est dans la muscu, j’ai découvert le CrossFit – j’ai découvert un truc qui était différent de ce qui se faisait ailleurs. Et depuis que j’ai découvert ce truc-là, regardez mes résultats, je suis arrivé à obtenir ça. Et derrière, à la fin, tu expliques que tu as une formation qui les aide à progresser. Donc voilà, ça c’est le travail que tu fais sur l’offre irrésistible, la première base. Ensuite tout simplement tu vas commencer à faire la technique. Donc le click funnels, mettre en place un petit peu tout ton funnel de vente. Ensuite, tu lances ta publicité Facebook et ensuite tu analyses les résultats de publicité Facebook et tu fais en sorte que ça s’améliore, donc tu coupes ce qui ne marche pas et tu mets plus d’argent dans ce qui fonctionne tout simplement.

Alors, quelqu’un qui démarrerait de zéro, de manière générale ce qui est conseillé en infoprenariat, c’est que si vous avez déjà une liste d’e-mails, soit de prospects ou alors de clients – qui est encore mieux évidemment les clients, vous pouvez faire des audiences similaires – donc coup, quelqu’un qui n’a pas grand-chose et ensuite, je crois que tu avais une petite stat, tu disais que si on a moins de 300 mails, ou c’est quelque chose comme ça, c’est un peu inutile ?

Pour les audiences similaires en fait, tu vas chercher à avoir…

Il faut avoir combien de mails au minimum ?

Ça dépend, mais en fait plus tu en donnes à Facebook mieux c’est, puisque du coup il peut plus facilement aller chercher des gens similaires. Donc pour ceux qui ne connaissent pas les audiences similaires ou les Lookalikes, comme les appellent les Anglais, si vous donnez à Facebook une audience, elle va vous cherchez des personnes similaires en France, en Belgique, en Suisse où vous voulez dans le monde et, il va aller vous les retrouver ces personnes qui sont similaires. C’est génial, vous lui donnez un peu vos prospects ou vos acheteurs, en fonction de ce que vous avez à l’heure actuelle, et il va aller vous chercher des personnes similaires à qui vous allez pouvoir, justement, proposer de la publicité. Donc c’est une fonction très puissante. Par contre il vous faut un minimum de 300 personnes. Donc au départ, le truc le plus simple que les gens peuvent faire, c’est simplement mettre le pixel sur leur site et simplement prendre les visiteurs de leur site. Parce que c’est facile d’avoir 300 visiteurs, ce n’est pas trop compliqué d’avoir trois cents e-mails. C’est un peu plus compliqué d’avoir 300 acheteurs, mais voilà, tu fais au fur et à mesure de… tu vois ? Donc toi, je pense que tu peux largement faire des acheteurs par exemple. Mais quelqu’un qui démarre, moi je sais que sur le site de dropshipping que j’avais lancé, genre au bout de trois jours, j’avais déjà 500 visiteurs, donc je pouvais déjà faire cette audience similaire sur mes visiteurs.

Du coup on a bien compris d’importer, soit sa liste de prospects ou soit sa liste de clients si on en a une. Si on n’en a pas, avoir au moins 300 visites sur son site web ou sur une page quelconque, qui permet un petit peu de traquer les gens qui vont regarder tout ça. Alors, quelles sont après les différentes étapes ? Reviens sur La machine à trafic que tu as fait avec Cédric. Donc tu amènes… ce qui est intéressant, c’est comme tu as créé une page Roman Paillet, personnellement tu peux nous expliquer comment… voilà, un petit peu les détails, comment tu as fait pour promouvoir les vidéos, acheter des leads, les rentabiliser ? Bref, parce que là en l’occurrence tu as… c’est un bel exemple, tu étais à zéro.

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Ouais, j’étais complètement à zéro, donc j’ai simplement lancé ma page Facebook.

Le budget aussi que tu as mis, un petit peu toutes les étapes.

Le lancement de ses campagnes publicitaires Facebook pour sa page Roman Paillet

Voilà, donc je vais t’expliquer : c’était assez simple, on avait fait le lancement de cette formation avec Cédric et c’était prévu d’être seulement en interne. Donc c’est-à-dire que ça devait être que sur la liste e-mail de Cédric, on ne devait parler que de ça. Parce qu’à la base en fait, c’était avec Cédric on a eu cette idée et qu’il y avait des gens dans… voilà, moi je suis beaucoup avec Cédric et il y avait des gens dans sa liste qui étaient intéressés. Du coup on voulait vraiment le faire en interne, puis je me suis dit : bon, c’est une formation qui parle de publicité Facebook, qui parle de e-commerce, c’est dommage de ne pas faire de pub sur Facebook, tu vois ? Donc j’ai dit : « bon, allez on va en faire une ». Je n’avais vraiment pas le temps, c’est ça qui était marrant, c’est que j’étais un petit peu à court de temps. Donc je me suis dit : « je vais quand même la faire rapidement ». Je crois que ça m’a pris en tout, deux ou trois heures, parce que quand on connaît la puissance de Facebook, ça va très rapidement pour mettre en place sa publicité même si vous démarrez de zéro. Et du coup, qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai créé ma page Facebook, j’ai dû poster, j’ai juste mis mon profil et tout. Et puis après tout simplement ce que j’ai fait, c’est de créer un cadeau. Donc le but, ça va être sur Facebook d’aller récupérer un e-mail. Pour l’infoprenariat c’est souvent comme ça qu’on va faire, on va faire en deux étapes. Premièrement : proposer quelque chose aux gens en échange d’un cadeau. Donc on va tout simplement leur faire une offre, leur dire… Alors, souvent ce que j’aime bien faire, c’est tout simplement une vidéo qui apporte du contenu. Donc là c’était l’extrait de la conférence que j’avais donnée, donc les gens pouvaient regarder deux minutes d’extrait de conférence. Et ensuite, je leur disais : « voilà, si vous voulez aller plus loin, vous voulez voir cette conférence en entier, cliquez sur le bouton et laissez votre… ». Et donc, ça amenait sur une squeeze page, une page de capture, où les gens laissaient leur e-mail et derrière, ils pouvaient voir la vidéo entière. Et en fait, cette vidéo c’était une partie du lancement.

OK, donc ça c’est un excellent moyen. Si vous avez un replay d’un quelconque enregistrement : petit extrait, vous voulez voir la suite, prénom, e-mail ou juste e-mail.

C’est le truc le plus simple, c’est ce que je pouvais faire le plus simplement. J’aurais pu faire aussi tout à fait faire des pubs, je ne sais pas, par exemple on a donné des cadeaux pendant le lancement, j’aurais pu dire : « téléchargez les 39 meilleures niches pour percer dans le dropshipping », quelque chose comme ça. Ça, ça marche très bien aussi. Donc soit la publicité peut être purement une image, soit moi ce que je vous conseille dans l’infoprenariat, c’est plutôt de vous diriger vers les vidéos, puisqu’une image d’un produit c’est vendeur, une image d’un guide c’est pas mal, mais c’est moins vendeur je trouve. J’aurais tendance plus à vous conseiller de partir sur une vidéo. Donc la vidéo, soit c’est une vidéo purement de contenu où vous répondez simplement à une question, je ne sais pas vous êtes un jardinier, vous répondez à la question « comment planter des carottes en hiver quand il fait froid » et vous répondez juste à cette question. Et puis à la fin, comme fait Maxence souvent, vous dites aux gens : « si vous souhaitez en savoir plus, je vous ai préparé un guide juste en haut, où je vous explique les dix meilleurs légumes à planter en hiver ». Donc en plus c’est en relation évidemment. Sur Facebook, vous voulez que votre cadeau soit en relation avec la vidéo. Là c’était le truc le plus logique, les gens avaient vu deux-trois minutes d’un extrait, ils ont kiffé et bien évidemment ils ont envie de voir la suite, donc ils donnent leur e-mail, il faut que ça soit vraiment logique. Si tu parles des carottes et que ton guide n’est même pas sur le jardinage, ça va moins bien marcher, donc toujours faire en sorte que soient les deux. Et peut-être que par rapport à YouTube, là par exemple la vidéo qu’on fait là, elle est un petit peu longue, c’est un peu plus détaillé, les gens sur YouTube souvent sont un peu plus posés. Je ne sais pas si toi tu le fais, mais moi souvent YouTube je l’allume, je mets une vidéo et je cuisine en même temps ou je fais des choses comme ça. Donc voilà, c’est un peu plus posé. Donc on a un peu plus de temps. Sur Facebook, les gens n’ont pas le temps, ils sont en train de scroller. Donc il va falloir capturer l’attention, il faut mettre quelque chose, souvent ce qu’on appelle… les marketeurs ils appellent le « pattern interrupt », donc un truc qui pète un peu. Je ne sais pas, on voit souvent… je vois pas mal de pubs américains : ils sont sur un bateau où ils se jettent dans l’eau…

Quelque chose qui est clinquant qu’on se dit : Ouhhh !!!

Voilà, il faut que ça pète à l’intro. Moi j’avais simplement mis l’extrait de la conférence, un bout de la conférence où je dis : « yes » et tout le monde se lève. Les gens se disent : c’est quoi ce truc de fou, il se passe quoi ? Et ça ce n’est pas mal pour capturer un petit peu l’attention. Au départ, les gens sont un petit peu… sur Facebook, tu es un petit peu en mode tu défiles, il faut vraiment un truc qui capture un petit peu l’attention. Et une fois que vous avez fait ce truc de capturer l’attention, vous parlez aux gens. Vous pouvez capturer l’attention de plein de façons différentes, mais en tous cas faire des changements de plans réguliers pour que la vidéo soit vraiment dynamique sur Facebook. Et ensuite, une vidéo assez courte, je dirais deux-trois minutes. Pour moi, les gens ils décrochent au bout de trois minutes, les gens ont tendance à décrocher. Donc deux ou trois minutes, vous expliquez, vous donnez de la valeur et vous dites, vous invitez aux gens à télécharger votre cadeau. Donc ensuite, vous les envoyez sur une page click funnels, vous avez simplement votre cadeau, ils laissent leur e-mail et ça leur permet de télécharger le cadeau offert. Et alors là, vous pouvez vous arrêter là, ça vous permet de récolter plein d’adresses e-mails ou vous pouvez vous dire : bon bah, je peux proposer directement une offre à ceux qui ont téléchargé mon cadeau. Donc souvent en infoprenariat, on a tendance à attendre avant de proposer une offre. Je crois que ce n’est pas forcément utile, quelqu’un qui est intéressé par le potager, il a téléchargé nos dix meilleurs… voilà, il a téléchargé le guide. On peut simplement tout de suite lui dire après : « merci d’avoir téléchargé ton guide. Écoute, j’ai une formation qui s’appelle « comment avoir un super potager en 30 jours ». Et là tu expliques un petit ce que je vous avais expliqué au début, c’est-à-dire que c’est un petit peu le fameux script que Russell Brunson il utilise beaucoup pour vendre. Donc 1 – je suis comme vous, je galère avec mon potager. 2 – je galérais avec mon… d’ailleurs tu dis bien : « je galère avec mon potager, j’ai du mal, j’avais testé les méthodes que les médias conseillent, j’ai testé plein de choses sur internet et je n’y arrivais pas, ou enfin, j’avais testé plein de choses avec mon jardin et je n’y arrivais pas ». Ensuite « j’ai trouvé cette super solution ». La solution c’est votre méthode, n’importe quoi, quelque chose qui a fait la différence pour vous. Et ensuite, vous dites simplement aux gens : « cette méthode-là elle m’a permis aujourd’hui, alors qu’avant j’ai galéré, à atteindre mon revenu, à trouver la femme de mes rêves », voilà, à l’objectif que les gens qui vous regardent ont eux aussi. Et à la fin, tu dis simplement que tu as une formation et là tu détailles un peu les promesses de ta formation. Voilà, c’est un petit peu ça, c’est un peu comme ça qu’on va faire la vidéo de vente. Donc pour résumer tout ça : tac, on a la vidéo sur Facebook qui envoie sur une page de capture, qui envoie sur une page de vente. Nous ce qu’on avait fait, c’était un petit peu différent avec Cédric, parce que du coup ça emmenait sur une page de capture, qui ensuite emmenait sur la page de lancement, parce qu’on faisait un lancement, mais voilà. Et donc, j’ai fait très simplement sur Facebook, j’ai mis deux pubs à 50 € par jour. Je l’ai fait très vite, deux pubs à 50 € par jour sur deux audiences différentes. Il y avait une audience qui était un lookalike et une audience d’intérêt. Les intérêts c’est…

Intérêt quoi ? web marketing ou plutôt argent et indépendance financière ?

J’avais ciblé un truc du genre dépenses publicitaire. Tu sais, il y a plein de petits intérêts, donc intéressés par retour sur investissement, des choses comme ça. Donc j’avais ciblé des choses comme ça. Et étrangement, je crois que c’était celle avec l’intérêt qui avait mieux fonctionné. Donc on était peut-être à 75 centimes de coût par prospect, alors que l’autre on devait être à 1,20 €. Donc au final, ça m’a fait à peu près 1 € le prospect, sachant que vous pouvez avoir beaucoup mieux que ça si les coûts sont plus chers, ça dépend des niches.

C’est pas mal, 1 € le prospect quand même en web marketing c’est…

C’est pas mal, de toute façon, tu sais… voilà, tu es à combien par… Après derrière, une fois qu’on a récupéré ce e-mail-là, on sait qu’on…

Si vous avez une offre à 1 000 € à 1 € le prospect, vous êtes d’accord avec moi : 1 000 leads ! Et ensuite, si vous faites bien votre job, la valeur à vie du client c’est peut-être 5 000 € minimum. Donc du coup… c’est quand même sympa.

C’est-à-dire, vous pouvez même… moi j’avais un ami à moi, je le dis toujours, mais il récoltait du lead dans la nutrition à genre 20 centimes. Je lui dis : « mais fonce ! » Je veux dire : « met tout ce que tu… » enfin, tant que tu es à ce niveau-là continues de dépenser, parce que même si tu as zéro offre, c’est-à-dire même si tu… vous vous dites : « mais moi, ça me fait chier de créer un produit et tout », récoltez des leads et ensuite envoyez sur des offres partenaires. Il y a plein de gens…

Comme l’affiliation, comme ce que je fais dans mes vidéos.

Bichonner sa liste d’emails

Voilà, complètement. Toi tu envoies beaucoup sur des partenaires qui proposent des formations et je veux dire, dans la nutrition, dans tous les domaines que vous pouvez imaginer, dans la parentalité, il y a des gens qui sont ravis que vous leur envoyiez vos leads. Donc évidemment, attention les leads il faut s’en occuper un petit peu. C’est-à-dire qu’une fois que vous avez récupéré l’e-mail, il faut un minimum, leur donner de la valeur, un minimum de relations. Donc assurez-vous d’envoyer au moins un mail par semaine. Mais c’est facile d’envoyer un mail par semaine, simplement avec un petit texte, en les envoyant sur une vidéo, en leur conseillant un article que vous avez lu. Si vous êtes un minimum passionné par votre domaine, je pense que ça ne sera pas trop dur. Vous entretenez cette liste et vous faites : un coup un mail de contenu et un coup un mail d’affiliation. Ou alors, vous vendez vos propres produits. Dans tous les cas, ceux aujourd’hui qui réussissent sur Facebook, ils récoltent beaucoup d’e-mail et après c’est facile. Aujourd’hui, moi par exemple sur le e-commerce, j’ai 30 000 e-mails dans ma base clients. Et en fait…

30 000 clients en plus ou 30 000 prospects ?

Alors, oui à la différence en e-commerce c’est que c’est… tu as beaucoup plus de clients. Donc tu as environ 50 à 60 % de clients, alors qu’en infoprenariat tu n’as que 10 %, 5 % de clients. Donc moi c’est encore mieux, parce que du coup si c’est des clients, c’est des gens qui me font un peu plus confiance.

Qui ont déjà acheté au moins une fois.

Voilà. Après… attention, parce qu’en e-commerce aussi le panier moyen est plus bas. Donc quelqu’un qui t’a acheté dix balles, ce n’est pas comme quelqu’un qui a acheté 1 000 € de formation. Donc voilà, la relation au final elle s’équilibre. Tu as toujours une… c’est important en tout cas de maintenir la relation. Et il y avait un Américain qui disait : « l’e-mail, c’est ce qu’il y a de plus proche d’une machine à billets, à imprimer les billets ». C’est-à-dire que : c’est quelque chose vous pouvez… c’est gratuit, c’est-à-dire que vous avez vos e-mails, vous envoyer un e-mail c’est gratuit. Et automatiquement, dès que j’envoie un e-mail je fais 1 000 €, au moins 1 000 € de vente. C’est impossible.

Et du cash. Ça fait ça : Stripe, Stripe, Stripe… PayPal, Stripe, PayPal…

47-47-47-97-97… Non, mais en fait c’est impossible, quand vous atteignez 10 000, 20 000 e-mails ou 30 000 e-mails, c’est impossible que vous envoyiez un mail à ces 30 000 personnes et que vous ne fassiez pas 1 000 € en fait. Même si vous faites une offre bidon, des fois c’est marrant puisqu’on envoie des mails où on ne parle pas de produits, on parle juste d’un autre truc, d’un article ou d’autre chose, eh bah ça fait quand même 1 000 à 1 500 €.

Il y a quand même des gens qui achètent.

Parce que dans les 30 000, tu as toujours un petit pourcentage de gens qui avaient envie d’acheter, qui avaient oublié ton nom et voilà. L’importance de tout ça pour tenir… vous retenez : l’important c’est acquérir le maximum de prospects à des coûts assez faibles. Pour donner un exemple, notamment quand vous vendez des produits chers, ça vaut vraiment le coup. Nous sur La machine à trafic, j’ai fait ces deux campagnes à 50 € par jour pendant, je suis tourné je crois, 10 jours, donc ça fait 1 000 € dépensés. On a récupéré 1 200 prospects. Au final un peu moins de 1 €…

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Donc 1 000 € dépensés, 1 200 prospects, c’est top.

1 200 prospects, c’est top, je n’ai pas du tout optimisé, j’aurais pu optimiser, j’aurais pu dire : « tiens, celle-ci elle marche mieux, je peux la dupliquer, tester une autre campagne, j’aurais pu… peut-être tester au lieu d’une vidéo, j’aurais pu faire une image. Il y a plein d’optimisations qui auraient pu être faites. Je ne les ai pas faites, parce que je n’en avais pas trop le temps, mais j’ai juste laissé tourner ça. Et derrière, on a fait 15 ventes. Donc 15 ventes sur 1 000 on peut se dire ce n’est pas grand-chose, mais en l’occurrence c’est un produit très cher, c’était un produit de 1 000 €.

15 ventes à 1 000 €, ça fait 15 000 € R.O.I de 15.

R.O.I de 15, c’est un petit magique.

R.O.I 1 500 % !

Voilà, c’est ça. Donc c’est assez magique de se dire que : non seulement on a récolté les prospects intéressés et que peut-être qu’ils achèteront d’autres choses au final, même s’ils n’ont pas acheté cette formation. Et en plus de ça, R.O.I de 15. Donc je ne comprends pas pourquoi les gens ne mettent pas plus d’argent sur…

C’est fou, parce que j’ai interviewé Margaux Klein hier, elle n’était pas R.O.I de 15, mais elle était peut-être R.O.I de 10. Pareil, sur une offre à 1 000 € son incubateur. C’est fou, je me dis : quand je vais maîtriser le truc, ça va être scandaleux.

Non, mais c’est sûr que c’est… en fait voilà, dans un pourcentage… et alors je ne vous parle même pas du retargeting, parce qu’on a fait du retargeting. Alors, le retargeting, ça ne compte pas vraiment comme un R.O.I puisque peut-être que les gens… peut-être que par exemple, il y avait des gens qui étaient dans le mailing 10 de Cédric, qui ont vu les vidéos. Et après que j’ai retargeté sur Facebook et qui ont acheté. Et du coup, ceux-là, je ne peux pas vraiment dire que c’est grâce à moi. Enfin, ça a contribué…

Mais c’est plutôt du trafic déjà un peu chaud, existant.

Un peu chaud voilà. Mais, après tu ne sais jamais, parce que le retargeting c’est toujours pareil, tu sais il y a sûrement un pourcentage de gens qui n’auraient pas acheté si je n’ai pas fait la pub en retargeting, puisque voilà. Et le retargeting, je ne sais pas, on a eu genre 30 ou 40 ventes en retargeting, quelque chose comme ça. Donc voilà, dans tous les cas, que vous fassiez du retargeting c’est des R.O.I encore plus forts, là c’était des R.O.I de 40 – mais même de l’acquisition froide de prospects, aujourd’hui ça marche très bien sur Facebook. Notamment parce que, vous allez pouvoir cibler des gens qui sont très intéressés par votre domaine, notamment avec les audiences similaires – on en a parlé – ou avec des intérêts très précis. Et du coup ces gens-là, en fait ce n’est pas des… il y avait une période… dès fois avant on faisait de la pub un peu sur des trucs, je ne sais pas comment dire, mais si tu fais du taboula ou des choses un petit peu très larges où tu achètes des mails, tu sais des fois il y a des gens qui proposent : ouais, j’ai 100 000 e-mails…

La co-registration ?

Ouais, la liste est pourrie. Voilà, ce genre de truc, évidemment c’est très difficile de convertir. Ici sur Facebook, si les gens vous ont donné leur e-mail et qu’en l’occurrence la vidéo que vous avez faite était ciblée, vous avez apporté de la valeur et tout, derrière c’est des mails qui convertissent bien. À une époque, il y avait des gens qui disaient : « ouais, Facebook c’est super, on récolte du mail pas cher », mais c’est des mails de merde. Aujourd’hui ce n’est pas le cas, honnêtement aujourd’hui, les mails que vous récupérez sur Facebook, ils ont autant de valeur… enfin, un peu moins de valeurs.

Un peu moins de valeurs que YouTube, un blog ou Instagram, mais grosse valeur quand même.

Un peu moins de valeurs qu’un YouTube ou un blog, mais grosse valeur quand même.

Les photos pour convertir en Ads Facebook ?

Autre question que vous posez certainement, vous vous dites : OK, Roman tu as parlé de pas mal de vidéos. Et photos, ça convertit un petit peu moins vis-à-vis d’un post ? Est-ce que de manière générale, il faut avoir toujours cette tendance de mettre de la vidéo plutôt que des images ? Toi comme tu as un shop depuis un petit moment, tu as pas mal de retour d’expérience, qu’est-ce que tu as pu voir sur le sujet ? À chaque fois, la vidéo est quand même et de manière générale meilleure ?

En fait moi, ce que je conseille dans la formation, c’est ce que j’explique un peu à mes élèves, c’est qu’en fait il faut toujours tester déjà. Sur Facebook il n’y a pas d’idées préconçues, il ne faut pas se dire : cette audience c’est sûr ça ne va jamais marcher. La preuve je l’ai dit, l’audience similaire normalement devait mieux marcher que l’intérêt. Et moi sur la pub que j’ai faite avec Cédric, ça n’a pas été le cas. Donc, des fois on a toujours des surprises. Donc déjà : tester, tester, tester… et ensuite il faut être un petit peu logique, se dire : est-ce que ce produit-là, rien qu’avec l’image, les gens comprennent ce que c’est ou il vaut mieux avoir une vidéo ? Je vois trop de gens qui postent des images, genre d’un sac à main ou d’un truc un peu basique. Non, sur Facebook on veut quelque chose qui soit un peu…

Qui interpelle alors ?

Qui interpelle, qui soit un peu surprenant. Pierre *Oli* me disait qu’il avait fait une vidéo où il arrivait en Porsche. Là, les gens ça les… le but c’est…

Que tu regardes ?

Voilà. Et c’est pareil pour un produit physique. Si vous vendez un produit… par exemple, moi les quelques résultats où ça marche mieux les images, c’est par exemple mettre des bijoux, parce qu’un bijou en vidéo…

Ouais, c’est compliqué de le montrer.

Voilà, regardez d’ailleurs les marques qui vendent des bijoux, est-ce qu’elles font des pubs en vidéo ? Non, souvent les grands bijoutiers c’est de très belles photos. Donc voilà, tout dépend un petit peu du type de produit que vous allez vendre : il y a des produits qui… Alors, les produits que j’adore faire en vidéo, c’est les produits où il y a un truc un peu fun, un truc un peu marrant, je ne sais pas. Par exemple, je sais qu’il y en a qui vendaient des coques pour iPhone qui se collent contre le mur. Donc ça typiquement, si vous mettez une photo, les gens vont se dire : c’est quoi ? C’est juste une coque ? Par contre si vous faites une vidéo, vous montrez que vous pouvez la coller contre le mur et faire des trucs supers funs, les gens vont se dire : « waouh, c’est génial ! » Et ils vont partager la vidéo et là, ça va beaucoup mieux marcher. Donc tout dépend un peu de comment vous allez faire. C’est vrai qu’en infoprenariat, un guide, il faut vraiment que la promesse de votre guide soit très forte pour que ça marche en image, sinon je partirais beaucoup plus sur la vidéo. Et tu me fais penser un truc par rapport aux likes, tu me parlais par rapport aux likes : je vous déconseille absolument de faire des campagnes de like. J’en ai trop vu, j’ai vu des infopreneurs qui ont fait ça, c’est une connerie.

Explique-nous pourquoi. Parce qu’il y a des – on ne va pas citer les noms – mais des grosses pages qui sont montées à 300 000, 400 000, 500 000 likes.

Après ce n’est pas forcément leur faute, parce qu’ils ne savaient peut-être pas. Et c’est vrai que Facebook aussi n’est pas forcément malin, parce que Facebook vous dit : « faites des campagnes de likes, c’est génial, regardez, vous allez gagner des likes ». En fait le problème de ça, c’est que déjà un like aujourd’hui ça perd de plus en plus, en valeur, parce qu’en fait les gens… ta portée organique – la portée organique c’est la portée quand vous publiez sans pub – elle est de plus en plus diminuée, notamment parce qu’il y a des gens qui sont prêts à mettre de l’argent à faire de la pub…

10 % max. Si vous avez 10 000 personnes sur votre page, moi c’est ce que j’ai là en business, il y a 1 000 personnes max qui voient la publication.

C’est ça, sauf si elle va vraiment buzzer. En fait, Facebook va le montrer. En fait comment ça se passe ? Facebook va le montrer à peut-être… et d’ailleurs ça va être expliqué…

Et ça dépend aussi si vous posez un lien. Si on met un lien, ça va défoncer.

Il y a plein de trucs comme ça, c’est-à-dire que c’est bien aussi, comme tu dis, de poster 100 liens, parce que Facebook il est logique il se dit, lui le but, son but final, il faut bien penser en interne, qu’est-ce qu’il veut Facebook ? Son but final c’est que les gens restent le maximum sur Facebook. Donc si vous mettez un lien vers YouTube par exemple.

Ou vers une page…

YouTube c’est encore pire, parce qu’ils n’ont pas envie d’aider Google.

C’est le concurrent, c’est le concurrent, c’est YouTube !

Donc souvent ils vont diminuer un petit peu votre portée. Ça ne veut pas dire que vous ne pouvez pas faire des pubs avec des liens, mais souvent moi la règle que j’essaye de faire c’est que : quand je mets un lien vers un produit où je fais sortir de Facebook, je mets de la pub. Donc quand vous faites des posts en organique, faites du contenu direct sur Facebook. Et quand vous faites des posts plutôt payants, là vous pouvez amener les gens ailleurs. Mais par exemple, il vaut mieux faire une vidéo directement ou un Live Facebook directement sur Facebook, plutôt que de se dire : je vais faire une vidéo YouTube et je vais mettre un lien YouTube sur… Sur Facebook, ça ne marche pas du tout et de moins en moins. Donc déjà il y a ça le problème des likes. Et enfin, en fait Facebook comment il fait ? En fait il met toujours une note un peu à ta page et ce qu’il va faire par exemple quand tu vas poster en organique, c’est qu’il va… tout de suite dès que tu vas poster, il va aller le mettre sur le fil d’actualité de 1 % des gens qui te suivent, comme tu dis un très faible pourcentage, par exemple si tu as 10 000 il va mettre juste à 100 personnes. Il va regarder ce qui se passe : est-ce que les gens ils regardent, est-ce qu’ils likent votre publi, est-ce qu’ils la commentent, est-ce que… ? Voilà, Facebook a des stats et il sait que, je ne sais pas, sur 100 personnes il va y en avoir au moins, je dis les chiffres au pif, mais il va y en avoir au moins dix qui likent, deux qui commentent et un qui partage. Et si vous n’atteignez pas ces chiffres-là, ils bloquent. Facebook se dit : OK, c’est une publi de merde, je ne vais pas la montrer à d’autres personnes.

Et donc il ne la montre à personne. Si elle buzz, évidemment là c’est superbe. Donc c’est très important le démarrage, mais même en publicité, c’est pour ça qu’il y a une part un petit peu aussi de… ce n’est pas de chance, mais de hasard un petit peu quand vous lancez votre publicité, parce que les premières personnes comptent beaucoup. C’est-à-dire que si les premières personnes qui voient votre publicité ils vont liker, ils vont partager, ils vont beaucoup kiffer, c’est un gros démarrage et Facebook va montrer de plus en plus la publicité. Parce que Facebook ce n’est pas juste un montant d’enchères, tu sais ce n’est pas… je veux dire, si tous les deux on fait de la pub et que toi tu mets 1 000 € et que moi je mets 100 €, on pourrait se dire : Max, tu vas forcément gagner. Pas forcément, parce que si moi j’ai une publicité qui plaît plus, que les gens likent plus, que les gens commentent plus, Facebook va se dire : « OK, Roman il nous donne moins d’argent, mais sa pub elle plaît aux gens, donc je vais plus montrer celle de Roman ». Donc, faites attention de travailler à maximum vos publicités, vos visuels, etc., sur Facebook pour que les gens les likent, les commentent, qu’il y ait de l’interaction, parce que dès qu’il va y avoir de l’interaction, Facebook va kiffer et va vous faire payer beaucoup moins cher pour montrer à plus de gens. Donc tout ça pour dire, on s’est beaucoup égaré du sujet, n’achetez pas des likes, pourquoi ? Tout simplement par rapport à ce que je vous ai expliqué : si vous achetez des likes, généralement Facebook a un système d’optimisation, donc il va montrer votre publicité de like aux gens qui ont le plus de chance de liker. Et il faut savoir que dans certains pays, par exemple en Afrique, en Asie, on ne voit presque jamais de publicités, donc les gens adorent liker. Donc Facebook va très rapidement, notamment si vous n’avez pas ciblé, montrer de plus en plus la publicité aux gens qui ont tendance à liker. Donc souvent, vous savez, c’est des gens qui likent, ils oublient complètement ce qu’ils ont liké, ils ne savent même pas ce que c’est souvent, parce qu’en plus la publicité c’est genre… tu n’as pas tout le temps d’expliquer tout ce que tu fais, donc les gens ils likent, ils disent : ouais, business, vas-y je like, etc. Et après ces gens-là, quand tu vas publier, vu que c’est des mauvais prospects, des gens qui ne connaissent pas vraiment, ils ne vont pas liker, ils ne vont pas commenter ta publi. Donc tu comprends le cercle vicieux que ça crée ? Tu as, je ne sais pas combien, de milliers de personnes, mais en fait, à chaque fois que tu montres une publicité organique, bah du coup il n’y a personne qui interagit avec, du coup Facebook se dit : OK, cette page c’est de la merde. Et c’est horrible, parce que… en plus Facebook… ce qu’il faut savoir c’est que : si à la première publi Facebook vous montre à 1 % et que vous faites de la merde, la prochaine fois il montre à 0,75. Vous faites de la merde, il vous montre à 0,5. À la fin on a des pages qui sont incroyables, des pages de 400 000-500 000 personnes…

Et il y a 15 likes.

C’est incroyable et ça, ça arrive très souvent. Et quand vous regardez, souvent ça va être des marques. Donc j’ai vu des choses comme… je ne sais plus quelle marque j’avais vue, des marques de bébés. Donc c’est du genre en gros ils arrivent, ils sont un peu bourrins, ils disent : ouais, j’aimerais bien que… voilà, on pèse dans le milieu, donc vas-y, je mets 10 000 balles sur la pub Facebook, fais-moi monter cette page à 500 000 likes. Et vu que les likes n’ont pas été acquises de manière naturelle, derrière il y a vraiment une portée organique qui est pourrie. Donc moi ce que je vous conseille vraiment c’est : faites de la pub et naturellement, en fait, en faisant de la pub, les gens vont aller…

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Ils vont liker, ouais, d’accord.

Ils vont liker votre page. Franchement les campagnes de likes, à part dans peut-être certains cas précis – moi honnêtement je ne les ai jamais utilisés et pourtant aujourd’hui ma page Facebook va atteindre les 100 000 likes – il n’y en a pas besoin, honnêtement il n’y en a pas besoin.

Son avis sur les lives Facebook, Instagram ou YouTube

Alors autre question, c’est pour les Lives. Donc qui est de plus en plus le vent en poupe, donc Lives Instagram, YouTube ou encore Facebook. Donc là, comme on est sur Facebook, idem quand tu avais vendu La machine à trafic, tu avais fait différents Lives. Est-ce que c’est quelque chose que tu recommandes ? Ensuite comment on le promeut en publicité ? Parce que souvent quand on fait un Live, ça va durer une heure, deux heures. Alors, est-ce que tu mets que certains passages, est-ce que tu boostes la publication ? Comment tu procéderais, pour quelqu’un qui aime bien de temps en temps faire des conférences en ligne ou des choses vis-à-vis de sa page et ensuite qui a envie de l’optimiser ? Puisque l’inconvénient de Facebook par rapport à YouTube, c’est que si on ne met pas de la pub, 24 heures après c’est dans le flux de l’actualité, plus personne ne la voit. Donc du coup il faut la booster quoi, ça paraît logique. Qu’est-ce que tu conseillerais par rapport à tout ça ?

J’aurais tendance à ne pas forcément booster des Lives, pourquoi ? Parce que le vrai intérêt d’un Live, c’est d’être en Live, c’est le concept. C’est-à-dire que les gens qui vont vraiment kiffer, c’est ceux qui vont pouvoir vous écrire et vous allez répondre. Et il va y avoir un petit peu cette interaction et c’est ces gens-là qui vont le plus apprécier le Live. Ceux qui le voient après, je ne dis pas que ce n’est pas intéressant et qu’ils ne vont pas le regarder, mais voilà, vous vous baladez sur Facebook, vous voyez un Live qui fait une heure et demie, c’est un peu la flemme quoi.

Tu as peu de chance de te dire : je vais regarder.

À la limite, pourquoi pas une publicité de ton Live sur les gens qui te connaissent déjà ? Donc ça ce qui est sûr, c’est que je n’enverrais jamais une publicité d’un Live sur des gens qui ne me connaissent pas.

Seulement pour les gens de sa page ?

Alors, pour moi justement les gens qui me connaissent, ce n’est pas forcément les gens qui likent, parce qu’en fait tu as des fois des gens qui likent, qui ne connaissent même pas, tu as toujours… voilà. Donc plutôt, par exemple je mettrais ma liste e-mail sur Facebook et vous pouvez aller cibler vos prospects et leur montrer ce Live, si c’est un Live intéressant, que vous allez apporter beaucoup de valeurs. Mais n’oubliez pas, sur Facebook les gens n’ont pas trop le temps, ils aiment bien les trucs un peu dynamiques. Donc moi j’aurais plutôt tendance à faire des Lives de temps en temps, mais surtout pour les gens qui sont en direct et parce que Facebook aime bien et parce que ça permet de créer de l’engagement.

C’est là où on a le meilleur reach, moi c’est ce que je vois de manière générale.

Oui meilleur reach, mais par contre quand tu fais une publicité et que veux du R.O.I pour le Live ce n’est pas le truc le plus intéressant à booster. Je préfère refaire une vidéo spécialement pour Facebook. Même les vidéos YouTube, tu peux reprendre une de tes vidéos YouTube qui a bien marché, mais moi je referais une vidéo spéciale pour Facebook. Et notamment qu’est-ce que je ferais ? Je la rendrais plus dynamique, par exemple toi tu pourrais prendre les vidéos YouTube qui ont bien fonctionné chez toi et, je ne sais pas, par exemple : mettre des extraits, la rendre plus dynamique. Aujourd’hui ce que les gros marketeurs sur Facebook font, c’est qu’ils mettent le texte en dessous. Parce que souvent vous savez, quand vous êtes sur portable par exemple, le son est coupé. Donc du coup les gens peuvent regarder votre vidéo, sans avoir besoin de mettre le son. Et ça, c’est très fort, ils voient les bouts de textes qui défilent. Donc je la rendrais plus dynamique, avec plus de trucs qui coupent. Et pourquoi pas la mettre en format carré, parce qu’en fait ce qui se passe, sur Facebook notamment, quand vous êtes sur le smartphone, c’est que le format carré c’est ce qui prend le plus d’espace ; alors que le format des vidéos YouTube prend moins d’espace. Donc c’est une petite technique, un petit hack, que vous pouvez utiliser sur Facebook. Souvent, j’ai testé plusieurs fois moi, les vidéos en carré fonctionnent mieux souvent que les vidéos en 16:9. Si vraiment votre vidéo est en 16:9, vous pouvez la laisser en 16:9 ; ou alors vous pouvez mettre des bandes noires, voilà, il y a différentes astuces. Mais si vous pouvez avoir une vidéo en carré sur Facebook, ça marche très bien aussi.

Plutôt texte long ou court ?

Alors du coup, par ricochet vous posez peut-être la question suivante : est-ce qu’il vaut mieux privilégier texte court ou texte long ? Parce qu’on voit de plus en plus aussi des fois des longs posts. Alors, même si ça se coupe à la deuxième ligne, on va lire la suite, mais est-ce que c’est intéressant ? Qu’est-ce que tu as pu voir sur le sujet ?

Ouais, c’est hyper intéressant, c’est marrant que tu en parles. C’est hyper intéressant parce qu’en fait, notamment quand le texte est très long, vous savez si vous appuyez sur « lire la suite », ça ouvre carrément un autre onglet. Donc il y a des Américains qui se sont amusés à tester : est-ce que ça marche mieux, est-ce que le fait d’ouvrir un nouvel onglet ça ne fait pas vraiment chier les gens ? Et donc ils ont testé d’avoir « lire la suite », mais sans amener sur un autre onglet qu’un texte court, etc. Donc souvent, moi ce que j’ai pu voir, c’est qu’en infoprenariat ce qui marche bien c’est le texte long.

OK, donc paradoxalement on pourrait se dire, parce que comme on scrolle, donc texte long.

Texte long. Et e-commerce, plutôt texte court. Alors tout dépend, même en e-commerce, si vous pouvez faire un texte long, ça peut aussi très bien fonctionner. En fait, ce qu’il faut se dire c’est que : en infoprenariat notamment, il y a pas mal de choses à expliquer à quelqu’un qui ne vous connaît pas, donc le processus, etc., c’est peut-être moins clair. Alors qu’en e-commerce, parce que vous montrez un produit, c’est : achète-le ou pas, c’est beaucoup plus direct. Donc du coup il y a peut-être moins besoin de texte. Après, les gens ils aiment bien regarder un petit peu le texte, marquer un peu la description. Et donc, moi je vous conseille si vous faites une pub en infoprenariat de ne pas hésiter à mettre à fond du texte. Et ce qui est très important, évidemment c’est le début du texte. Et ça c’est l’erreur, je pense que beaucoup de gens font, c’est que le début n’est pas bon. Et si les gens, la toute première phrase…

En fait, c’est la première phrase, une nouvelle fois c’est comme l’accroche d’une page de vente.

Ses conseils

C’est comme les titres d’une vidéo YouTube. En fait, il y a plein d’études qui ont montré que la décision d’achat d’un prospect, elle se fait dans les 30 premières secondes d’une vidéo, elle se fait en lisant juste le titre, les gens ils savent déjà. En fait, la décision est déjà faite. En lisant, je crois qu’il y a genre un truc genre : 70 % des gens quand ils ont lu la headline, ta promesse en fait, celle que tu mets tout en haut de ta page de vente, dans leur tête c’est déjà décidé s’ils vont acheter ou pas.

Donc d’où l’intérêt de faire ce qu’on appelle des titres « putes à click » parce que c’est incroyable, mais souvent c’est ce qui fonctionne. C’est ce que font les médias aussi : « les secrets, la face cachée… »

C’est ce qu’on appelle le « clickbaits », les Anglais appellent ça le clickbait, donc c’est faire un titre qui va attirer le click. Donc on peut appeler ça « pute à click », mais c’est vrai que pute à click je trouve que ça dénote un peu. Alors qu’en fait, c’est juste de faire le clickbait. Le clickbait ce n’est pas forcément dérangeant, c’est derrière que vous allez vraiment une vraie valeur. Ce qui est énervant avec le clickbait, c’est : « cette femme, vous n’allez jamais deviner ce que cette femme a fait », en fait elle a juste accouché d’un enfant ou elle a juste accouché de jumeaux. Enfin, des fois ce qui énerve avec le clickbait, c’est quand on se fait avoir, on est obligé de cliquer et qu’à la fin on dit : en fait c’était nul. Donc le but, c’est aussi quand on fait du clickbait, c’est évidemment derrière d’avoir la vraie valeur.

C’est le genre kif, ouais.

Mais par contre, c’est comme tu dis, c’est très puissant. En fait, si vous pouvez dans votre headline, dans votre promesse créer ce sentiment de curiosité, c’est-à-dire que les gens se disent : il manque quelque chose, c’est-à-dire : ils ont presque tout le texte, mais il leur manque un truc, ils vont très rapidement ouvrir. Donc par exemple, par e-mail, un titre d’e-mail qui marche bien ça peut être : « qui part à la chasse perd sa… » trois petits points. C’est débile, parce que du coup dans sa tête on répond automatiquement, on sait ce qu’il y a, mais on a quand même envie de cliquer pour savoir si c’est vraiment ça la réponse. Vous voyez ce que je veux dire ? Le côté… l’e-mail c’est très intéressant au niveau d’ailleurs copywriting. J’ai un ami à moi qui fait beaucoup d’e-mails et du coup il s’entraîne beaucoup à faire du clickbait, parce qu’en fait, en e-mail vous avez qu’une seule chance, du coup vous n’avez que votre titre d’e-mail. Le titre d’e-mail fait 90 % la réussite d’un e-mail. C’est-à-dire que vous avez beau avoir le meilleur contenu du monde, la meilleure page de vente, derrière votre e-mail si les gens n’ouvrent pas l’e-mail, c’est fini, ça ne marchera pas. Donc du coup, il faut travailler le titre. Et lui ce qu’il me disait c’est que, même quand tu fais des titres très putes à click, très clickbait, derrière il y a aussi plus de clicks sur l’offre dans l’e-mail. Donc le clickbait, comme tu dis, c’est très puissant, il ne faut pas hésiter, vous, à tester, à vous entraîner là-dessus, à créer, à apprendre à créer cette curiosité, ne pas hésiter à mettre des émojis. Je t’avais donné le conseil, j’ai vu que maintenant tu les mets bien dans les e-mails.

Par rapport aux émojis, ça fleurit de plus en plus, donc c’est quelque chose que tu conseilles. Quelle est, un petit peu, la parcimonie pour… un texte étoilé, où il y en a de partout.

C’est ça, sur Facebook, j’ai vu deux-trois personnes qui mettent des émojis de partout. Honnêtement c’est invivable.

Ça devient illisible et ça ne donne plus envie.

Et ça fait très – alors, tout dépend dans quel milieu vous êtes évidemment, tout dépend de votre marché, justement c’est là aussi l’importance de bien communiquer à votre marché, notamment si vous vendez des trucs pros – ça ne fait pas très pro. Ce qu’il faut savoir, c’est que même si vous vendez des trucs un petit peu sérieux, même de l’immo et tout, je mettrais quand même des émojis. Par contre, soyez logique : donc par exemple par e-mail, vous ne mettez qu’un seul émoji et dans une pub Facebook, deux, voire trois, pas plus. Et si possible, peut-être les mêmes émojis, donc vous pouvez mettre les mêmes émojis qui entourent pour un petit mieux illustrer, donner un petit peu de saveur. Mais voilà, les émojis c’est un petit peu comme les épices qu’on met dans un plat, il ne faut pas en mettre trop sinon c’est dégoûtant et ça devient dégueulasse. Donc faites attention à ça, par contre ça peut être très bien. Et sinon pour l’accroche, ce que je te disais, le clickbait sur Facebook, vous devez vraiment travailler votre première phrase. Et ce qu’il faut vraiment vous dire, c’est que la première phrase elle doit parler à votre prospect type et elle doit tout de suite parler à ses objectifs. Donc souvent une question ça marche très bien : en avez-vous marre de… ? Donc : en avez-vous marre de ne pas gagner d’argent sur internet ? Ça c’est peut-être un peu fort, mais : en avez-vous marre, etc., ça marche très bien. Ou alors : souhaiteriez-vous… ? Par exemple, tu vois ? Donc une interrogation qui est ciblée sur le prospect et qui l’interrompt, lui et il comprend tout de suite que c’est ciblé pour lui, parce que c’est la question qui se pose sans arrêt dans sa tête. Je vais donner l’exemple d’une amie à qui je disais, une maman par exemple : à quoi elle pense la nuit, à quoi elle pense tout le temps ? C’est son gamin. Donc si tu es dans la parentalité et tu fais un headline : « cinq choses qu’il ne faut surtout pas donner à votre enfant », vous pouvez être sûr que là, ça va capturer son attention. Et en plus, quand vous mettez par exemple cinq choses, évidemment il y a l’effet curiosité dont on parlait juste avant : la personne se dit : « oh, c’est quoi ces choses, il faut que j’aille voir ça ».

OK, merci par rapport à tous tes conseils.

maxence-rigottier-vivre-site-internet-portrait02-2021

Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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