De 0 à 50 000 € de bénéfice / mois

De 0 à 50 000 € de bénéfice / mois

De 0 à 50 000 € de bénéfices par mois. Donc, je suis avec Jean-Luc Monteagudo. Donc, j’aime bien vous partager des histoires inspirantes. Tu vas nous expliquer tes débuts jusqu’à aujourd’hui sur internet. Et comment tu as procédé pour arriver à générer tout ce bénéfice mensuellement ?

Salut Jean-Luc, grand plaisir de t’accueillir dans la vidéo de cette chaîne YouTube.

Oh bah, ça me fait autant plaisir.

Est-ce que tu peux nous dire, voilà, comment tu t’es intéressé sur internet ? Quels ont été tes débuts ? Dis-nous tout pour les personnes qui te découvrent pour la première fois aujourd’hui.

Salut à tous les amis, ici Jean-Luc Monteagudo d’Idée Marketing

Eh bien, écoute, j’ai mon gimmick moi aussi : Salut à tous les amis, ici Jean-Luc Monteagudo d’Idée Marketing, bienvenue dans cette vidéo. Eh bah écoute, c’est avec un grand sourire que je fais cette vidéo avec toi, parce qu’au temps, jadis, je te suivais à tes débuts. Début de chez le début. Et…

Sur les paris sportifs ou le webmarketing ?

C’était paris sportifs au tout tout début. Et donc je me rappelle, on avait parlé déjà sur Skype, il fut un temps. Et donc, je vois tout le chemin que tu as parcouru et que j’ai parcouru aussi. Et ça me fait vraiment plaisir juste, voilà. C’est de l’aparté, mais le plaisir de pouvoir se retrouver là maintenant, à force d’avoir eu cette relation virtuelle, maintenant que ça puisse vraiment être humanisé, voilà. Je tenais à le dire donc ça fait bien plaisir. Donc, qui suis-je ? Bah, Jean-Luc Monteagudi d’Idée Marketing. Le plus intéressant en fait, c’est surtout ce que je fais. Grand passionné de marketing, forcément, j’adore ça. Et depuis bien longtemps, j’apprends aux gens le marketing, j’apprends aux gens tout ça je donne des cours à l’UIT. Et donc avec tous ces infoproduits, bah à chaque fois, je partage toutes ces connaissances et ces acquis, qui me fait le plus vibrer quoi.

Son déclic pour se lancer sur Internet

Alors, quel a été le déclic ? Qu’est-ce qui t’a donné envie de te lancer sur internet puisque souvent, moi, personnellement, c’est faire péter trois contraintes de la vie : horaire, hiérarchique et géographique. C’est ça, c’est par défaut, par ricochet que je suis arrivé sur le web. Toi, quel était ce déclic pour finalement te lancer sur Internet ?

Franchement, c’est tout simple. J’étais, on va dire, entrepreneur par défaut parce qu’impossible pour moi d’être salarié, tout simplement. Super mauvais salarié.

OK, alors tu me diras juste après pourquoi.

OK, ça marche. Et du coup bah, c’est vraiment cette envie-là et me dire tout simplement… j’étais un gros consommateur, tu sais des produits Amazon et eBay. Et du coup bah, un jour en fait, tout simplement je me suis dit, ça, je trouvais, je cherchais cette solution et j’ai acheté des trucs sur internet, etc. J’étais encore mineur, j’achetais, etc. Et au bout d’un moment, je me fais : mais il va où l’argent ? Il ne va pas au paradis, tu vois ? Il… mais où est-ce qu’il va ? Je me dis : mais il va bien dans la poche de quelqu’un. Je pourrais devenir ce quelqu’un et je pourrais aussi être indépendant en fait. Et c’est comme ça que tout a commencé et que j’ai commencé dans le business des airsofts, à faire justement mon propre e-commerce dans l’airsoft. Et c’est là où vraiment j’ai connu les merveilles de la liberté financière.

Donc, au début, donc c’est Amazon et eBay. Alors, c’était quelle année donc que tu as… voilà, ça t’a interpellé dans ton esprit ?

J’avais 17 ans, j’avais 17 ans, donc j’étais encore mineur. En fait, j’avais profité de faire un stage dans le magasin d’Airsoft, Soft Air Compagny, à Corbeil-Essonnes dans le 91 pour ceux qui connaissent, voilà. Et j’avais fait ce stage là-bas et Tom, le gérant m’avait demandé en fait de faire un site, etc. Et j’avais vu qu’il y avait une vraie opportunité à travers ce site et j’étais passionné d’Airsoft. Donc, je me suis dit : allez, je vais me lancer et je reprenais les airsofts qui étaient cassés en fait des clients, je les rachetais pour une bouchée de pain, je les réparais, et je les revendais bien plus chers. Et j’utilisais le vecteur des forums qui est bien trop sous-exploité très chers amis. Ça, il y a eu tout le temps des effets de mode : forums, ensuite SEO avec les blogs, ensuite Facebook Ads, maintenant la mode via Instagram, etc. À chaque fois, voilà, il y a des effets de mode, mais en fait, tout marche. Il faut juste savoir maîtriser son vivier, son vecteur, basta. Et du coup, j’utilisais beaucoup les forums et du coup, je n’utilisais pas Amazon, mais vraiment mon propre site e-commerce.

Ses envies d’entreprenariat

OK, et autre chose là qu’on a évoqué juste avant. Qu’est-ce qui te disait, tu dis : jamais je ne serais salarié. Donc, moi, c’est ma même philosophie. Mais il y a beaucoup de personnes quand même qui le font par défaut, voilà. Pour quelles raisons tu te dis : non, je ne veux pas être salarié, je voulais être entrepreneur ?

La première, un gros problème avec la hiérarchie. J’estime qu’on se doit tous le respect en fait et qu’on n’est pas supérieur ou même inférieur de quelqu’un. On est tous égaux en fait sur le principe. Et j’avais beaucoup de mal avec ça, que quelqu’un me prenne de haut, sans aucun respect, sans tact, en perdant toute humanité et agir de façon vraiment robotisée en fait. J’avais beaucoup de mal avec ça, déjà. Donc ça, ça ne passe pas, voilà. Ça, c’est hors de question, voilà. Et je me suis toujours efforcé d’ailleurs, avec toute mon équipe, de… tout le temps à parler d’égal à égal et même essayer d’instaurer un climat d’amitié. Même s’il faut toujours, tu sais, quand même un petit clivage, vraiment et bien segmenter amitié et travail. Mais c’était très important pour moi. Aussi, comme tu le disais, le temps, notre valeur la plus précieuse. Eh oui, très chers amis et il était important pour moi justement de me dire : je veux avoir le temps que je veux et pouvoir l’utiliser en fait à bon escient, ne pas avoir ce contrat imposé. Et ensuite, je vais encore répéter ce que tu as dit tout à l’heure, mais la contrainte aussi géographique. C’est-à-dire que : waouh ! Quand j’ai commencé, je me rappelais, mon bureau, c’était mon lit. J’allais à mon bureau quoi, mais sans l’embouteillage. C’était, voilà, mon ex-femme qui était devant la machine à café quoi. Tu vois, c’était juste ça, donc c’était magnifique, c’était superbe. Donc voilà, c’est… ça répondait à tous mes besoins, enfin bon.

Bah là, on est sur la Côte d’Azur et je suis expatrié maintenant à Tallinn en Estonie. Avant, tu habitais également dans les Alpes, donc c’est ça qui est cool. C’est qu’on peut toujours se rejoindre. C’est ça la beauté d’internet, c’est que tout marche partout dans le monde, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et ça, bah quel est le business qui permet ça ? Aucun à part internet. Donc ça, c’est grandiose. Alors, autre chose si vous visionnez cette vidéo, vous vous dites peut-être : bah OK, Jean-Luc, j’aimerais bien avoir ton avis. Généralement, il y a deux possibilités sur internet : numéro une, l’infoprenariat. Donc moi, que je prône et bah que je fais personnellement à travers Google, YouTube, Instagram, Facebook. Et le deuxième pilier, c’est le e-commerce que tu as évoqué juste avant. Et c’est ça qui t’a donné la révélation, eBay, Amazon. Alors, qu’est-ce que tu penses de dropshipping ? Qu’est-ce que tu penses d’Amazon FBA ? Est-ce que tu conseilles ? Quels sont… bah qu’est-ce que tu as déjà réalisé dedans ? Dis-nous tout et donne-nous ce retour d’expérience parce que finalement, tu es comme moi. Tu es un dinosaure du web, j’ai démarré en 2011, tu nous le diras en quelle année tu as démarré également, mais il y a un petit moment déjà. Pour nous expliquer bah aussi ton point de vue, ouais, sur le e-commerce, dropshipping et Amazon FBA.

OK, bah moi, j’ai commencé avec le black hat hein, de base de base. J’avais… j’étais… en dessous des 17 ans, j’étais très… j’aimais bien tout ce qui était un peu dark. Donc, je me suis vite… c’est limite sur le droit chemin. Et donc, moi, c’est à l’âge de 17 ans, j’ai plus l’année donc en tête, mais c’était vraiment à 17 ans que j’ai commencé. Et pour être franc, mon avis sur le e-commerce, c’est très bien, mais ça nécessite quand même beaucoup beaucoup beaucoup de temps. Très franchement. Et moi, c’était le temps, ce n’était pas l’argent qui me motivait, voilà, tout simplement. Donc, je me rappelle qu’il y a un moment vraiment qui a changé ma vie. Alors, j’ai fait du e-commerce et je continuais tous mes e-commerces hein, ça, il y avait pas de souci. Mais très franchement, ce n’est pas ce qui ramenait le plus. Je n’ai aucune honte à dire que durant des années, donc de 17 ans jusqu’à au moins 21 ans, ouais 21 ans, 21 ans et demi, un truc comme ça. Je stagnais entre 1 000 et 2 000 €, max de bénéfices par mois.

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OK.

J’ai pas honte à le dire et juste…

De la vente de formations en marketing

Donc, tu as connu comme moi les années de galère.

Ouais, ouais, j’ai connu, ouais. Avoir plus de charges que de bénéfices, ouais, je m’en rappelle. Et donc, donc voilà, je stagnais et c’est juste un jour en fait, je me suis… j’ai une autre passion que j’avais développée en prenant en photo en fait tous les Airsofts, ça a été la photographie. Oh, la photographie, j’adorais ça. Voilà, le graphisme et tout, mamma mia, j’adorais. Et du coup, j’ai monté un Instagram et j’ai voulu me faire connaître forcément pour vendre mes prestations. Eh bah, je me suis formé au marketing. Je me suis formé beaucoup au marketing pour pouvoir me faire connaître cette page Instagram. Il y a des enseignes en fin de compte qui étaient plus intéressées, non pas par mes photos, mais comprendre comment j’avais fait pour, tu vois, faire monter cette page Instagram aussi rapidement et aussi bien. Du coup, je fais OK. Et un jour, je vais former une entreprise à Megève, là où j’habitais comme tu sais. À Megève j’y allais. Et il y a une entreprise qui… je peux pas le dire puisque je ne suis pas sûr que j’ai le droit, mais bon, qui me demande une prestation de services et qui me demande de former un de ses salariés pour le marketing. Et c’est là où tout a commencé. J’ai fait : ah, c’est payé combien ? Et là, on me disait 500 €. Je fais : 500 € pour combien temps ? Elle me faisait : trois heures. Waouh ! C’est… à l’époque. Je fais : waouh !

Pour toi qui tu étais entre 1 000 et 2 000 € par mois, comme un chinois entre guillemets sur ton shop de e-commerce. Et là, trois heures, 500 € nets. OK, in the pocket.

C’est comme tu dis, in the pocket, tu vois. Je fais : ah bon ! Un peu suspicieux, je fais : bah, pourquoi pas ? Très contente. Donc je fais cette formation. Très contente, elle me dit : j’aimerais que vous formiez aussi trois autres personnes. Et je fais : OK. Donc, je fais la facture et quand je lui apporte la deuxième facture de 500 €, elle fait : ah bah non, c’est 500 € fois trois, je vous ai demandé trois personnes. Attendez ! Ça y est, tu vois, je fais : Non, attendez, je suis payé 1 500 € pour former trois personnes, dans une seule après-midi ? Elle fait : bah oui. Tu sais, d’ailleurs style, mais d’un flegme au style : bah oui. Je me retrouve un peu con tu vois. Et je fais : waouh ! Et là, je comprends. Mais en fait, c’est top parce que je prenais bien plus de plaisir déjà à former quelqu’un, avoir la reconnaissance, etc., et avoir un petit peu le prestige aussi de se dire : waouh ! Les gens apprennent de moi et tout ça et reconnaissance. J’avais trouvé ça formidable d’avoir formé ces gens, j’avais pris bien plus de plaisir que vendre en e-commerce et tout, même que faire mes prestations de photos. Et je m’étais dit : attends, je crois que je viens de créer quelque chose. Enfin, tu vois, dans mon esprit, c’était : attends, il y a un truc là. Et donc, c’est parti. Et elle me fait : bah écoutez, j’embauche souvent des salariés, il y a beaucoup de turnovers, ce serait bien de pouvoir venir souvent. Et là, je lui dis : bah attendez, la prochaine fois, je me filme en train de former vos salariés et à chaque fois, je vous vends les vidéos. Elle fait : bah, bonne idée, Jean-Luc ! Allez bonne idée ! Et ça y est, je rentre dans le monde de la formation, en vidéo. Et c’est ça là où je crée mon premier produit, qui va travailler pour moi et non plus moi qui vais travailler pour un produit. Et là, ça change ma vie. Ça y est, ça y est. Ça change la donne et je me suis dit : je veux me former, je veux aller plus loin, je veux quelqu’un qui maîtrise le domaine de la formation qui excelle dans l’art d’enseigner, de vendre également cet enseignement. Et également, tant qu’à faire, autant qu’apprendre une formation, apprendre une formation dans quelque chose que j’aime bien et que j’aimerai aussi aller au-delà, c’était le e-commerce. Et je rencontre Frédéric Zibette de Mon salaire en slip, qui habitait juste à côté de chez moi.

Une rencontre avec Frédéric Zibette (mon salaire en slip)

Donc…

Donc ça, une pépite, ouais, vraiment de la chance. Voilà, et c’est parfait, c’est parfait. Je dirais j’achète sa formation, j’apprends tout. Donc déjà, ça m’aide pour mes e-commerces et effectivement je passe un cap déjà pour mes e-commerces. Ils m’imprègnent de cette mentalité growth hacking que je tiens beaucoup à cœur. Et en plus de ça, il voit un potentiel en moi, etc. Et je lui dis : moi aussi, ça me plaît beaucoup, j’aimerais bien aussi vendre mon expertise pour la photo, pour ça, pour ça, pour le marketing. Il me dit : bah écoute, allez, c’est parti, je vais t’aider. Et il m’apprend tout et il m’a entouré comme jamais. Et ensuite, de fil en aiguille, bah je me suis perfectionné et c’est comme ça que j’ai atteint les chiffres que j’ai maintenant.

Alors ouais, comment ça s’est fait avec Frédéric Zibette ? Voilà, c’est parce que tu étais un bon élève de sa formation ? C’est parce que tu n’habitais pas très loin de chez lui, du coup c’est comme ça vous avez pu vraiment être en relation ? Comment ça s’est fait exactement ?

C’est mon physique qui a fait la différence, Maxence, quelle question ! Très franchement, une réelle entente, une réelle amitié qui se développe.

D’accord ouais, un gros feeling d’entrée de jeu qui s’est installé.

Ouais, vraiment. Vraiment vraiment un feeling, vraiment… je sais que tu vas voir cette vidéo Fred, alors déjà grosses bises et merci pour tout ce que tu m’as fait. J’ai une reconnaissance éternelle envers toi. Je me permets de le dire parce que, comme je dis, il a changé ma vie, il m’a pris vraiment par la main et je pense que ce feeling vraiment, on s’est senti tous les deux qu’il y avait un échange gagnant-gagnant déjà très important. Et vraiment qu’il y avait vraiment une symbiose quoi. On s’est dit : dans le travail, ça pourra que fonctionner. Et c’était parti.

OK, bah voilà, vous voyez un petit peu la différence. Donc là, Jean-Luc, pendant quelques années, tu végétais vis-à-vis du e-commerce. Ensuite, tu te mets dans ta passion donc qui est la photo. Bah d’ailleurs, on le voit dans ta qualité d’image de visuel que c’est de manière générale beaucoup mieux que la moyenne dans l’infoprenariat.

Ça, c’est dans mon cœur ça, direct.

Donc, ça, c’est cool. D’ailleurs, il y avait une personne qui m’a dit : oui, mais c’est normal, il avait fait de la photo. Je n’étais pas au courant, mais évidemment, ça t’aide, c’est un bon point positif. Tu réalises tes premières prestations en consulting, donc là, ça te permet de débloquer des croyances, de dire : OK, je vaux ça de l’heure. Plus : je suis prêt à donner de la valeur pour que les gens se disent : waouh ! J’ai fait une affaire hein, il faut qu’il y ait toujours un échange gagnant-gagnant, offre irrésistible. Donc, en l’occurrence, c’était ton cas. Ensuite, tu continues à te former, tu rencontres donc Frédéric Zibette. De manière générale, il vous faudra toujours un mentor. Moi personnellement, ça avait été Olivier Roland de 2011 à 2014, ensuite Max Piccinini de 2014 à 2018. Donc voilà, on a toujours des personnes qui nous inspirent ou alors qui vont vraiment changer le cours de notre vie. Et maintenant, tu t’es focalisé et c’est ça le Saint Graal, il y a rien qui va vous rapporter plus, c’est la vente de formation en ligne. Donc, par rapport à votre passion, votre expertise. Alors, dis-nous tout. Aujourd’hui, qu’est-ce que tu vends ? Quels sont tes différents programmes ? Il y a peut-être des personnes qui se disent, voilà : comment tu as fixé ton prix ? Comment tu as fait pour faire un produit dont les gens s’arrachent et non un produit dont l’expert s’arrache, mais les gens, ils n’en ont rien à foutre ?

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Bien sûr.

Se former et encore se former

Dis-nous tout par rapport à comment ça s’est mis en place, ces différentes formations online ?

OK, bah comme tu le sais, j’avais la formation Instagram, on avait beaucoup partagé là-dessus, formation sur le growth hacking. En fait, j’essaie de… sur le placement de mon produit aussi. J’essaie de repérer vraiment des segments où il y avait personne. C’est-à-dire Instagram à l’époque, c’était un petit moment quand même, mais il y avait personne.

Il n’y avait personne.

Il n’y avait personne.

Il n’y avait personne, je m’en souviens.

Aucune expertise. Et moi, je fais : attendez, je connais. Je suis là, je suis là les amis. Je l’ai fait, le growth hacking.

Bah pareil, il y a rien sur YouTube, il y a peut-être une formation, mais le mec, il n’est tellement pas connu que finalement, il ne peut pas la vendre quoi.

Totalement, donc pareil. Les placements de produits, pareil, personne n’en parlait. Moi, je veux dire, je côtoie des super gros youtubeurs, je fais du consulting pour des gros youtubeurs, etc. Je dis : je connais parfaitement ce milieu, les agences de communication, pareil. La mise en relation entre influenceurs et professionnels, je connais extrêmement bien. Je fais beaucoup de placements de produits pour mes e-commerces et c’est parti. Et bam, je balance. Et au fur et à mesure, et là, c’est le petit tip que j’ai remarqué au fur et à mesure du temps, c’est à force de dire experts de ça, expert de ça, expert de ça, les gens, ils se disent : ouais, tu es expert de tout.

C’est louche.

Ouais. Encore une fois, voilà, tu as mal aux pieds, si c’est un petit bobo, tu vas voir le généraliste, mais si c’est bien au-delà, tu vas voir un réel expert, voilà. Je veux dire, tu as mal au ventre, pareil, tu vas… dès lors que tu veux vraiment quelque chose qui te tient vraiment à cœur, tu ne vas pas chez le médecin généraliste, tu vas voir un expert. Et là, un expert, on a du mal, pourtant c’est totalement possible, mais on a du mal à conscientiser le fait qu’il peut être expert de plein de domaines. Et du coup, en fin de compte, je me suis dit : mais je voyais bien que je marchais vraiment bien dans la formation que ça me rapportait beaucoup. Et tu sais, moi, je donne des cours à l’université, en école de commerce, etc. Coucou à tous les élèves. Et du coup, je voyais bien que ce qui les intéressait, c’était en fait apprendre l’art de vendre, vraiment, voilà. Que ce soit le placement produit, que c’était via le growth hacking, que c’était via Instagram, peu importe, c’était l’art de vendre. Et je me suis dit : mais bien sûr, en fait, c’est ça. Je vais tout mettre et tout mettre en forme pour réellement apprendre aux gens à juste créer un business et vendre. Faire une formation sur vivre d’Internet. Tu vois, je me dis : voilà, je veux faire et je veux faire le truc le plus complet, c’est-à-dire que je ne veux pas juste donner des techniques marketing ni une forme quelconque ? Je veux apprendre aux gens à créer une entreprise, à l’optimiser fiscalement, à optimiser tout son contenu. Mais les réalisations audiovisuelles, photographies, tout ce que tu veux, apprendre le growth hacking, savoir pérenniser, savoir scaler, connaître tous les vecteurs, le growth hacking et aller bien plus loin, vraiment que ce soit une machine. Que les gens se disent : j’ai besoin de ça et rien d’autre et qu’ils comprennent tout. Et ça, ça a été grâce à toutes les heures que j’ai faites de consulting, de coaching, les cours que j’ai donnés aux élèves. Je ne comprenais pas quand j’allais voir des élèves qui étaient quand même minimum, j’enseigne minimum à des Bac+3, en licence e- commerce, bon, c’est quand même assez niché, tu vois.

Donc ils étaient proches de ton âge…

Voilà, qui plus est.

Voire peut-être certains plus âgés, c’est ça ?

Oui, totalement. J’ai que 26 ans, je suis pas bien vieux. Et c’était quand même très niché, tu vois les e-commerces, en Licence Bac+3, tu te dis quand même que les gens, ils savent ce qu’ils veulent faire. Eh bah, j’étais quand même stupéfait. Je demandais à chaque rentrée, je demandais de lever la main : est-ce que vous savez ce que vous voulez faire ? Les gens, ils ne savaient même pas quel métier ? Ils ne comprenaient même pas les tenants et les aboutissants de leur diplôme. Et ça me faisait peur pour eux. Et je leur disais : est-ce que voulez entreprendre ? Il y avait une main ou deux qui se levait. Ça faisait mal et j’étais heureux de me dire en fin d’année quand je dis : qui vont entreprendre ? Tu avais 90 % de la classe. Moi, moi, moi, moi, moi. Et là, je disais : voilà, j’ai réussi. Et j’ai réussi à inculquer cette mentalité qui m’était chère et de voir maintenant se sourire. Avant, je voyais juste des regards perdus. Là, je voyais les sourires satisfaits, vraiment. Et c’est ça qui m’a motivé à faire cette grosse formation, maintenant j’ai plus que celle-là, qui regroupe toutes les anciennes, mais qui apprend vraiment aux gens à vivre d’un business, mais de façon la plus complète possible, vraiment.

Les tarifs de ses formations

Donc ça, alors ça, c’est une formation que tu vois en combien ? 1 000 € ? 1 500 € ? 2 000 € ?

Elle est à…

Comment tu as fixé ton prix parce que peut-être que vous vous dites : oui, mais il y a déjà pas mal de formations sur le sujet ? Donc, comment tu te positionnes dans le marché quand c’est un produit plus ou moins similaire ?

C’est très intéressant, je pars tout le temps sur le principe que les concurrents c’est bien juste pour savoir identifier qu’il y a une demande, voilà.

Parfait, ouais, je confirme.

Sinon, je me concentre sur moi. Pour moi, il y a pas de concurrent, on n’est que des partenaires. C’est-à-dire que regarde : toi, tu vends également des infoproduits qui vont apprendre à optimiser par exemple, etc.

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Qui est similaire…

Et aussi Patrimoine en or, ouais, sur l’expatriation.

Voilà, jamais au grand jamais, la preuve étant, sinon, on serait pas là, côte à côte. Jamais je te considérerai comme un concurrent, simplement, parce que pour moi, on est partenaire. C’est-à-dire que toi, ce que tu proposes, et c’est sûr et certain que ça va être complémentaire à ce que moi aussi je… ce que je propose, et qui sera également complémentaire. Les informations que tu as, qui valent de l’or et que moi je n’ai pas, tu vois ?

Absolument, voilà.

Et même si je les ai, je ne les ai pas dites de la même façon. Ou sinon, on les interprète d’une autre façon. Encore une fois, la base de la communication, ce n’est pas ce qu’on dit, mais ce que l’autre comprend. Peut-être que tu vas mieux faire comprendre ton message, etc. Nous sommes complémentaires. Et donc, je ne surveille pas la concurrence, enfin pas dans ce sens, c’est plus j’admire les partenaires.

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Je confirme et j’ai une petite astuce que j’aime bien évoquer. Souvent, il y a des fois des personnes qui me disent : ouais, c’est quoi la différence avec tel ou tel programme ? Tu dois choisir. Et moi, ma réponse, elle est toujours la suivante : c’est prenez la formation avec le formateur où vous avez le meilleur feeling. Vraiment, vous vous dites : waouh, mais je pense exactement comme lui. Bah c’est pareil hein, je vous ai dit tout à l’heure, Max Piccinini, développement personnel. Bah vous avez plein d’autres acteurs : David Laroche, Martin Latulippe, Franck Nicolas, Anthony Robbins et j’en passe et j’en passe. Prenez la personne avec qui vous vous sentez le mieux. Et comme ça, vous allez vraiment passer un cap monumental. Alors, je voulais revenir sur deux choses. Peut-être que vous vous êtes posé la question suivante, vous vous dites : bah comment tu as fait pour intervenir dans une université ? Et vous voulez peut-être faire la même chose par rapport à la ville là où vous êtes la plus proche.

Comment décrocher un partenariat avec un influenceur

Et ensuite par rapport aux influenceurs, parce que je sais que si vous regardez la vidéo et que vous êtes débutant, vous vous dites : oui, mais moi, qui va vouloir accepter un partenariat avec un gros influenceur ou même un influenceur qui a déjà une communauté plutôt correcte ? Dis-nous et quelles ont été tes approches ? Et aussi comment tu as fait pour intervenir et donner des cours dans c’est à… c’est l’université, c’est ça ou… ?

Ouais ouais.

Ouais, voilà. Je te laisse nous expliquer tout ça.

Je vais prendre point par point. Alors, pour l’université, la toute première, j’étais un ancien élève. Et ils ont suivi avec grand intérêt mon parcours parce qu’ils savaient de… dès que j’ai intégré que j’étais entrepreneur d’un côté. Comme je t’ai dit, j’ai commencé à 17 ans, donc ils savaient en fait. Ils suivaient, les professeurs suivaient beaucoup ce que je faisais, mes business, ça les intéressait également, tu vois. Et forcément, il y a les enseignants, mais il y a aussi ce qu’on appelle le statut de vacataire : des professionnels qui certifient d’une réussite professionnelle tout du moins d’un certain angle, soit d’une certaine durée d’entrepreneuriat, soit d’un certain chiffre d’affaires et qui peuvent donc prétendre enseignant, statut de vacataire en université, voilà. Donc, c’est un statut différent, mais c’est… bon, c’est clairement, tu es prof, voilà. C’est… tu enseignes à l’université. Donc, moi, c’est ce statut-là, vacataire. Bah, j’ai plusieurs grosses entreprises, j’ai un chiffre d’affaires qui dépasse le minimum requis. Donc, j’ai juste eu à postuler et ils me connaissaient très bien. Voilà, un petit test, etc. pour voir si ça se passait très bien et ça s’est vraiment extrêmement bien passé et tout simplement, voilà. Ensuite, il y a beaucoup d’universités qui recherchent, pour ne parler que *dalle*, mais aussi des écoles de commerce, etc., qui recherchent à recruter des vacataires, surtout dans le milieu du marketing en ligne, parce que forcément, ça prend, ça prend comme pas possible, c’est le futur je veux dire. Enfin, c’est même le présent tu me diras. Et du coup, il y a plein de demandes et donc à vous d’envoyer vos candidatures comme d’habitude, un CV, lettre de motivation. Si vraiment, vraiment déterminé, vous appelez, vous allez sur place et que vous allez… vous arrivez à les convaincre avec vos arguments, votre plus-value. Et encore une fois, vous vous concentrez sur vous et non pas les autres. Amenez votre plus-value, votre grand sourire et puis… et votre expertise, voilà.

OK, bah parfait. Donc, vous voyez, souvent, voilà, on se met plein de bâtons dans la tête, entre guillemets. Et ici, statut de vacataire, tu avais tous les champs requis pour postuler, tu l’as fait, tu as été pris et maintenant, c’est parti. Et par rapport aux influenceurs, je me souviens, tu avais fait une vidéo avec Poisson Fécond, du moins sur sa chaîne. Donc ça, bah qui est plutôt cool, qui a dû te ramener pas mal de prospects. Voilà, comment on procède pour contacter un influenceur ? Et surtout qu’il ne nous snobe pas ?

Oh ! là ! là ! Je vais essayer de faire au plus vite, mais en synthétisant pour vous tenir quand même en haleine. Un influenceur, en fait, ça dépend s’il a un agent, s’il est freelance entre guillemets, ça dépend déjà de ça en fait. S’il y a un agent, on ne peut pas le contacter directement, voilà. Si… en fait, s’il n’en a pas, vous pouvez le contacter, mais très souvent ils ont tellement de demandes qu’ils s’en foutent un peu. Le gros secret, et je vous le dis sincèrement, c’est quoi ? Je veux dire à cette caméra, je la trouve très belle. Le secret, c’est de trouver l’influenceur, un seul qui a un superbe réseau et avec lequel vous allez pouvoir réellement travailler. Vous trouvez un seul influenceur, une fois que vous l’avez et que vous êtes devenus amis, vous avez réussi à aller bien au-delà du champ du professionnel, il va vous amener, vous verrez, tout le réseau d’influenceurs que vous voulez. Surtout si vous avez réussi à trouver un influenceur qui est dans la thématique qui vous, vous intéresse, pour votre business, j’entends. Et donc…

Donc, là, ce que tu as fait avec Poisson Fécond par exemple ?

Exactement, exactement. Et on est devenu ultra potes. Mais vraiment, mais vraiment vraiment, enfin, il vient la maison, etc. maintenant. On est devenus super copains et je continue à l’aider dans ce que je peux l’aider. Lui aussi m’apporte également de sa plus-value, etc. Je sais que si j’ai besoin de lui, il m’apportera. Et vraiment, j’ai qu’à lui demander, c’est un homme, il a le cœur sur la main quoi, c’est fou. Et il a un réseau phénoménal, tu te doutes bien. Et c’est comme ça. Et ça a été comme ça, mais pour tout. Avant, j’étais dans le fitness, je m’étais trouvé une personne et Pa pa pa pa pa ! Il y a plein. C’est vraiment ça le secret, donc, moi, c’est comme ça que j’aime procéder sincèrement.

Ses conseils pour passer à l’action

OK, bah écoute, parfait merci par rapport à tes conseils. Donc, pour finir sur une dernière question, quel conseil ou quel message laisserais-tu à une personne qui souhaite démarrer sur Internet ? Et si tu devais parler au Jean-Luc d’il y a cinq ans, puisque souvent, on se dit : waouh ! Si on m’avait dit ça ou alors, si j’avais été au courant que telle ou telle action m’aurait fait passer un cap, bah évidemment que je l’aurais mis plus tôt dans mon business. Alors voilà, quel message tu laisserais à l’ancien Jean-Luc qui permettrait du coup par ricochet donner un superbe conseil aux débutants ?

Ah, sincèrement, Jean-Luc, je te regarderai droit dans les yeux comme ça, je dirai déjà à ton ego mal placé : tu arrêtes, arrêtes de te prendre supérieur pour les autres, apprends des autres parce qu’on est tous put*in d’extraordinaire. Et tout le monde a quelque chose à t’apporter. Par contre, sache mesurer aussi à qui tu donnes ton énergie. Il y a des gens à qui tu vas donner ton énergie et qui ne seront pas en fin de compte être reconnaissant, qui vont te puiser, te puiser et qui vont plus te fatiguer qu’autre chose. Donc, fais la bonne mesure des choses et surtout arrête d’être entêté, apprends. Parce que tu verras qu’apprendre, c’est ce qui va t’amener là où tu souhaites aller. Donc, apprends des gens et ne sois pas réticent envers justement l’apprentissage. Et passe à l’action, petit coquin.

Merci par rapport à ton feedback.

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Maxence Rigottier

Issu d’une ferme agricole, il est devenu multimillionnaire Internet, conférencier professionnel et auteur best-seller.

Chef d’entreprise depuis 2011, Maxence et son équipe ont accompagné plus de 9 000 clients sur Internet.

Il possède un patrimoine net supérieur à 3 millions d'euros en investissant en bourse sur les marchés américains, dans l'or, les crypto-monnaies et l'immobilier en possédant 6 biens à Tallinn en Estonie.

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